Voici une histoire qui remonte à 2005, putain 7 ans déjà...
J’avais 24 ans, et comme beaucoup d’hommes de cet âge, je papillonnais et butinais à droite et à gauche, suite à une histoire de 3 ans avec une nana de 4 ans ma cadette, terminée environ un an plus tôt. Oui, si vous faites le calcul, j’avais 20 ans et elle 16 quand nous avons gouté au fruit défendu. Souvenirs, souvenirs quand tu nous tiens. Mais là n’est pas le propos…
A cette époque j’étais jeune agent immobilier sur Nantes. Je trainais souvent les soirs de la semaine avec les vieux briscards de l’agence, qui me faisaient rencontrer le tout Nantes Bobo. Et le week-end, je sortais avec mes potes (5 nanas et 2 autres mecs), et nous nous rendions souvent dans une boite pour trentenaire, le Royal. Nous avions nos entrées, même si nous étions plus jeunes que l’âge autorisé pour danser là-bas. En effet, deux autres de mes potes (« G » et « BigY ») étaient videurs dans une autres discothèque nantaise ; et les videurs se connaissaient entre eux, c’était le temps où les patrons de club ne faisaient pas encore appelle à des sociétés privées pour gérer le fameux : « Toi tu rent’es, toi tu rent’es po ! ».
Un soir, je suis en train de prendre un verre avec mes collègues, dans un bar qui n’existe plus aujourd’hui, place du Commerce. Nous devisons avec un chef d’entreprise, sa femme, et des amis à eux. Alors que je sirotais un nectar (franchement je ne sais plus ce que c’était, surement une boisson alcoolisé à base de houblons) et que je me faisais chier comme un rat mort à écouter des conneries sur l’économie locale (aujourd’hui je suis plus qu’intéressé par le sujet, c’est mon taf que d’être au courant de ce qui se passe) une femme arrive (HB7.5-8 dans mes souvenir) et tape la bise au chef d’entreprise et à sa femme. La trentaine bien tassée, brune aux yeux verts, belle paire de seins (90D ?), habillée en tailleur, sandales vernis avec des talons de 10 ou 12 - donc un cul bien remonté sur lequel j’ai scotché – peau mate surement dut à des UV, petit sac à main qui va bien, bref une pépète ! La nana s’installe avec nous. Tout ce petit monde discute. Je continu à me faire chier.
A un moment, mon phone sonne. Je quitte le bar pour répondre. Je raccroche et vais pour reprendre ma place, quand la nana en question, qui était elle aussi sortie, pour téléphoner, me fait signe de l’attendre. Je patiente, mais qu’est-ce qu’elle me veut ? A cette époque j’étais encore un peu intimidé par la partie de la gente féminine plus âgée que moi. Elle raccroche. Et me demande si je peux la ramener chez elle - un de mes collègue lui ayant dit qu’on habitait le même quartier – parce qu’elle n’a pas envie de prendre le bus, blablabla. On retourne dans le bar, on finit nos consommations, en faisant un peu connaissance. On quitte le bar, on va à ma voiture, une vieille Fiat Panda noire. Elle me dit que c’est marrant, mais qu’elle avait la même bagnole il y a quelques années, blablabla. Sur le trajet, elle me raconte sa vie, elle est séparé, elle a 35 ans, elle a une petite fille de je ne sais plus quel âge. Je la dépose devant son immeuble, elle me remercie, me tape la bise. Puis je rentre chez moi, je me suis surement taper une queue en pensant à elle.
Trois semaines plus tard, je vais au Royal avec mes potes. On s’amuse, on consomme, on danse, on guinche. A l’époque, le lieu était connu pour le nombre de secrétaires trentenaires célibataires qui le fréquentaient pour trouver l’âme sœur ou un coup d’une nuit. Je ne parle pas ici de Pumas ou de Couguars, puisque la moyenne d’âge des hommes tournait autour de la quarantaine. Au milieu de la soirée, alors que je suis assis à la table où une serveuse nous avait installé avec notre bouteille, et que je suis en train de regarder les filles du groupe danser entre elle – il y en avait une (Jennifer) qui m’intéressait fortement, nous sommes d’ailleurs sortie ensemble quelques semaines – je sens une main se poser sur mon épaule. Je me retourne, c’est la nana que j’avais raccompagné chez elle. Elle me tape la bise. Je me souviens de la tête de mon pote qui était avec moi à la table, il était sous le charme, presque la bave aux lèvres. Elle s’assoie avec nous. Mon pote fait le beau, je le disqualifie rapidement, et il se casse sur la piste rejoindre les filles et mon autre pote. Je discute avec la nana, je ne sais plus de quoi. A un moment, Jennifer vient nous rejoindre – on se tournait autour depuis pas loin d’un an. Nadine (ndlr : putain, je viens juste de retrouver son nom, ça fait 2 jours que le cherche. lol) et moi faisons comme si Jennifer n’existait pas, alors qu’elle essaie de rentrer dans la conversation (Jennifer m’avouera ensuite qu’elle avait été très jalouse). Puis Nadine et moi partons sur la piste au moment où le DJ commence à passer des slows. Ce fut Nadine qui m’invita, c’était un quart d’heure américain.
Nous voilà sur la piste. Je suis très gêner de danser avec elle. Elle me met une main au cul et me dit de me détendre. Tous mes potes sont à la table, les mecs sont amusés, les filles sont en plein conciliabule, autour de Jennifer qui nous mate, le regard noire. Les slows s’enchainent, j’ai une putain de gaule qui commence à monter. Au bout d’un moment, elle me met la main au paquet et me dit un truc du style « bien monté le jeune homme » puis je me colle à elle, mon sexe engorgé, prêt à exploser. Les slows se terminent, on continue à danser ensemble. Le moment est hot. Puis on quitte la piste et on va s’installer à la table de ses copines (elles étaient 5 ou 6, je ne sais plus). J’ai compris un peu plus tard qu’elle était venue m’exhiber comme un trophée. Je ne sais plus si on s’est embrassé sur la piste ou à la table, mais je me souviens avoir passé un bon quart d’heure à lui rouler des pelles à la table de ses cops. J’ai passé le reste de la soirée avec elle et ses copines.
A un moment, mes potes se sont barrés, les mecs sont venus me dire au revoir, pas les filles. J’ai fait la fermeture avec Nadine à danser et boire du champagne. En sortant, j’avais au moins deux grammes, je me suis rincé le gosier aux frais de mes nouvelles « amies » qui ont commandé au moins deux autres bouteilles de champ – je ne tiens pas très bien le champagne. Impossible de prendre ma bagnole, c’est donc Nadine qui a pris les clés. Je me suis endormi dans la voiture sur le chemin du retour. Elle m’a réveillé quand on est arrivé devant chez elle. Elle m’a demandé ou j’habitais, j’avais bien une borne à faire, m’a dit que dans mon état elle ne voulait pas que je prenne la route. On est donc monté chez elle. Je me suis endormi comme une merde.
Le lendemain, je me suis réveillé en sursaut ! Je ne savais plus où je me trouvais, et j’étais à poil ! Personne à côté de moi dans le lit. Je me lève, cherche mes fringues, les trouve, m’habille. Je sors de la chambre. Je commence à faire le tour du propriétaire, me souvenant que je suis dans l’appart de la nana. J’arrive dans la cuisine, Nadine est train de préparer de la bouffe. Je me sens con, je ne sais pas quoi dire, je n’ai qu’une envie, me casser en courant. Mais c’est la curiosité de savoir ce que je foutais à poil qui me retient, même si j’ai mon idée, mais plus aucun souvenir.
Nadine me propose de rester manger un truc, elle est levée depuis plusieurs heures, il est genre 18h30 ou 19h… Putain, pour dormir comme ça, j’ai dû prendre une sacrée caisse. Nous dinons donc ensemble. Ne tenant plus, je lui ai demandé ce que je foutais à poil dans son lit. Elle me répond que nous avons croqué la pomme. Je m’en doutais… Je lui dis que je ne me souviens de rien. Dans mon souvenir, elle n’avait pas l’air très étonné. On discute de ce qui s’est passé, je me rends compte dans ses propos que je n’ai pas été bon, j’avais bandé mou et je m’étais endormi pendant l’acte… L’excuse de l’alcool ? On dira que oui, je ne me souviens plus de toute façon de ce qu’on a fait.
On passera la soirée ensemble, je me souviens avoir regardé la télé avec elle. Moi à un bout du canap, et elle à l’autre. A un moment, je me suis rapproché. J’ai quoi à perdre ? On a couché ensemble et je ne m’en souviens plus. Autant retenter le coup ! J’ai donc retenté le coup. Et ça a marché.
Moralité 1 : Boire ou baiser, il faut choisir. C’est la dernière fois que je me suis bourré la gueule sachant que j’avais une chance d’allonger une nana.
Moralité 2 : Les femmes cherchent, en plus de s’amuser, à baiser. Ne soyons pas prude, nous pauvres hommes, beaucoup de femmes célibataires, si ce n’est toutes, veulent du cul ! La femme est un homme comme les autres.
Moralité 3 : Parfois tu as du bol, ce sont les femmes qui viennent t’aborder.
Les seules femmes que je connais qui abordent sont des Couguars ou des Pumas. La plus part de mes copines célibataires ont la trentaine, et elles sortent souvent entre elles pour chopper du petit jeune, et vous savez quoi ? Elles y arrivent ! Prenons mon ex-femme, le W-E dernier, nous sommes sorties en boite (vendredi et samedi), elle, une copine de mon ex, ma nouvelle « amoureuse » (comme dit ma fille 4 ans) et moi. Mon ex et sa cops ont choppé les deux soirs, des petits jeunes entre 20-23 ans… elles en ont 31 et 33… Certaines femmes savent ce qu’elles veulent, et font ce qu’il faut pour l’avoir, et ça ne passe pas par de la séduction !!! Les femmes ont cette chance, qu’elles n’ont pas besoin de nous séduire pendant une heure pour espérer coucher avec nous. Si la nana nous plait, 99% du travail est fait. Le reste c’est de la philo. Mais le phénomène Cougars ou Pumas (dans le cas de mes copines) reste anecdotique.
PARFOIS une femme t’aborde, mais c’est RARE ! Donc il est important de garder l’initiative. La grande majorité des femmes ne font pas le premier pas. C’est donc à nous de les séduire, et le processus peut parfois être très long, et une petite erreur peut tout faire foirer.
La Lionne des montagnes
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Like ! le 15.05.12, 11h09 par Nerva
- [+1] Intéressant le 15.05.12, 12h31 par NoMercyNoFear
- [+1] Intéressant le 15.05.12, 13h43 par FK
- [+1] Like ! le 15.05.12, 16h21 par Wolph
- [+1] Like ! le 15.05.12, 19h53 par Thruster
- [+1] Like ! le 16.05.12, 13h07 par Weeler
- [+1] Intéressant le 21.05.12, 00h05 par Innocent