J'ai mis mon égo de côté pour me réconcilier avec l'une de mes grandes amies à qui j'avais un peu mal parlé. Un grand moment de joie et d'amour. Elle me montre de vieilles photos de moi et de ma LTR, je me prends la tête entre les mains, j'ai plus les mots, c'est une fille en or. Je ferais ce qu'il y a à faire pour régler nos différents en lui laissant le temps de souffler, si ça ne marche pas tant pis je n'aurais pas de regrets à porter adviendra que pourra.
J'ai aussi envie de me réconcilier avec la petite copine de mon meilleur ami. Je sais qu'elle ne m'en veut pas, elle rigole à toute mes blagues et m'écoute attentivement quand je parle. Elle essai de le cacher tant bien que mal mais je le vois. J'ai juste pas envie que mon meilleur ami croit que je drague sa copine ou je ne sais quoi encore. Il est très excessif dans sa relation, il est très très jaloux et je ne sais pas comment il le prendrait. (Ouais bizarre pour un meilleur ami)
Je suis aussi venu vous faire part d'une petite histoire d'un close vite fait au lycée cette après-midi et qui pourrait vous intéresser.
Embrasse-moi !
Comme tout mes rapports ces temps-ci, ça a commencé pendant que j'essayais de bosser. Je n'ai pas cours l'après-midi mais je vais quand même au lycée, je suis sûr de me faire chier chez moi ou de ne pas bosser. A 16h, je prends mon sac et je cherche une classe vide où je pourrais bosser tranquillement. Je croise une connaissance. Cette fille fait dans les 1m75 ou plus, joue du volley-ball au niveau national et son Papa est le prof' de ma soeur à l'université (rien que ça). Elle a aussi et surtout un cul magnifique. Je lui demande de venir me rejoindre après, me propose qu'on reste dehors, je refuse, elle accepte de me rejoindre et je vais chercher ma classe vide.
Je rentre dans la classe, y a des femmes de ménages qui font leurs pauses et une fille plus jeune qui papote avec eux. Je salue tout le monde, je prends une table et je sors mes livres.
La fille de tout à l'heure vient comme promis, j'admire ses fesses et sa poitrine plus que satisfaisante puis elle se place de l'autre côté de la table après avoir saluer les femmes de ménages qu'elle connaît et que je connais.
J'essais de résumer mes cours, on papote avec les femmes de ménages de différents sujets, qui vous l'imaginez, ne nécessitaient pas une grande culture.
Ce que je dois préciser avant de continuer c'est que j'ai une histoire avec cette fille : C'est une grosse allumeuse qui aime séduire les mecs, elle sait qu'elle est canon, elle en use. Elle me tient la main des fois, me drague un peu mais un jour j'avais essayé de l'embrasser et elle a refusé, je l'ai classée dans la case "Attention whore" mais j'avais juste envie de jouer moi.
On commence à parler de ses championnats, du BAC et tout. Elle prendre ma jambe contre les siennes, me fait du pied, la caresse. Je connais son jeu donc je reste insensible. Elle se tortille, montre ses seins, les plaque, continue à me faire du pied pendant qu'on parle de tout et de rien et que j'écris mes résumés.
De temps à autre je lui touche le bout des seins avec mon stylo, je sais qu'elle kiffe le push n' pull et qu'elle attendra que je m'avance trop pour m'arrêter. Donc je lui touche le bout des seins avec mon stylo puis je continue à rédiger, elle continue à s'humecter les lèvres, à se tortiller et à se toucher les seins "accidentellement". (Oui oui dans une classe avec des femmes de ménages derrière)
Donc je lisais mon cours, elle continuait à me faire du pied et de temps en temps je mettais mon stylo dans sa bouche, elle le lèche. Elle se remet à caresser ma jambe, je rejoue avec mon stylo mais cette fois-ci elle me le prend des mains et le pose. Les règles du jeu sont clairs, jouons !
J'attends qu'elle réessaie de me faire du pied pour éloigner ma chaise, 1-1. Ca fait son effet, elle me prend la main et me fait :
"Quand on va se marier tout les deux, tu m'achèteras quoi ?
- Qui te dit qu'on se mariera déjà ? T'es plutôt confiante toi.
- Bah je suis belle et canon, tu trouveras pas mieux.
- J'ai déjà vu mieux crois moi..."
Elle cherche à ce que je valide sa silhouette avec ses "Mais avoue que j'ai de belles formes hein ?" etc, je ne réponds pas.
Je vous avoue qu'après 20 minutes, ça commencait à monter dans mon caleçon. Elle écartait mes jambes avec les siennes sous la table, mettait son doigt dans sa bouche, je mettais le mien entre ses seins et les retiraient pour continuer à écrire le plus simplement du monde. Quand tout d'un coup, en comprenant que j'étais insensible à son manège elle me fait :
"Tu sais que tu me plaîs ? Tu es mignon, cultivé et tu respecte les femmes.
- Comment tu sais que je suis cultivé ?
- Je vois ta façon de parler, de répondre aux gens, c'est impressionant.
- T'es pas sincère, tu dis ça à tout les mecs, c'est décevant."
Je lui répondais en continuant de gribouiller sur mon cahier. A un moment, j'ai senti que j'avais forcé sur le push, elle me fait :
"Tu sais que tu es un gros frimeur toi !
- Ah bon ? Viens je te dis un secret !"
Elle approche son visage, bisou sur la joue et je continue de gribouiller. Elle est étonnée, continue à me faire du pied et à me parler de sa vie. Quand soudain, elle me sort un truc complétement out of the blue :
"Dis moi, je t'excite pas ?
- Comment ça ?
- Bah quoi, je t'excite pas là ?
- Rajoute à ta liste après "mignion, cultivé et respectueux" le fait que je sois un peu spécial et qu'il en faut plus pour m'exciter.
- Décidément, tu es un gros frimeur."
Je lui caresse l'entre-jambe avec mon genou, elle prend ma main et commence à l'embrasser, j'en peux plus, il est temps de me vider les cojones !
Après quelques minutes, les femmes de ménages sortent et je me lève pour vérifier que personne n'est dans les couloirs. Je vais derrière elle, je l'embrasse sur le cou, mordille le lobe des oreilles dans les règles de l'art et reprend ma place pour feindre le travail qui aurait dû être fait.
Elle est choquée, ne comprend plus rien. Elle rapproche son visage du mien, croyant que j'ai envie de l'embrasser, me demande pourquoi tout à l'heure je lui avais fais un bisou comme "celui-là" - en essayant de m'embrasser sur la joue -, j'éloigne mon visage et lui dis que je suis en couple et fidèle.
Deux secondes après, j'approche mon visage du sien, elle fait de même, nos bouches sont à quelques centimètres l'une de l'autre puis elle me dit :
"On se la pète tout les deux à ce que je vois."
On se roule des pelles puis j'arrête pour continuer mon résumé, elle comprend pas, ça l'excitait grave je crois. Elle rapproche son visage et me fait :
"J'ai envie que tu m'embrasse une deuxième fois."
Je lui explique que mes baisers ne se font pas à froid et que sinon ils sont vite oubliés, elle me traite de frimeur et fait semblant de se casser, je ne lève pas la tête, elle a juste checké qu'il n y avait personne dans les couloirs.
Je me lève, la prend par la taille et commence à l'embrasser bien comme il faut. J'arrête de l'embrasser, lui demande de se retourner et lui met une tape au fesses et je reviens re-re-reprendre ma place. Elle re-feint de partir cherchant à ce que je vienne la reprendre, elle revient vers moi, je m'en fous, elle le voit, me refait du pied, feint de partir, reviens s'asseoir, la meuf est décidément tombée dans le filet.
Je lui dis que j'y vais aussi, elle passe devant moi et j'admire son beau cul dont je n'avais pas assez profité, je la reprend par la taille avant qu'elle ne sorte de la classe, plaquage contre le mur et roulages de pelles, tripottages divers avec le putain de stress qu'un surveillant, un professeur ou autre passe par là ce qui était très très probable vu la porte qui était ouverte et si c'était le cas, exclusion directe et après c'est mort pour les grandes écoles. C'est les risques du métier et ça rend le close plus bandant mais la prochaine fois : NO ZOB IN JOB sauf cas de force majeur ou HB de ouf. On finit nos ébats, je lui demande si je l'avais pas supprimée de ma liste d'amis Facebook, elle me dit que non, qu'elle est trop canon pour que je la supprime, je ne réponds pas.
Pendant que je vous écris tout ça, je reçois un : "Tu vois, je savais très bien que tu ne pouvais pas me supprimer.

"
Petite anecdote sympa : En descendant des escaliers avec la fille en question qui me devancaient, une amie à moi (lectrice d'FTS) vient me voir et me fait : "FIELD REPORT, NOW". Je lui dis "Quoi ? Tu dis quoi là ?", elle sourie et regarde mon pantalon, je bandais encore, fuck..