Retour d'expérience perso :
Un peu d'alcool, je rationalise moins, j'ai moins d'anxiété à aborder, je suis plus créatif dans les discussions.
Trop d'alcool, je calibre mal, sexualise trop et trop vulgairement.
Récemment, j'été tout fière d'avoir numclosé avant de me rendre compte le lendemain avec la gueule de bois qui me manquait chiffre au numéro (écran tactile et alcool).
Le bonheur dans le juste milieu?
Encore que depuis quelques soirées, j'ai plus l'impression que c'est l'état d'esprit qui est primordial.
Faut que je fasse un test avec un placebo (soirée je fête mon annif avec du champomy).
Alcool et Game.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Lol le 14.09.12, 23h03 par Marshall Ombre
Quand j'étais au lycée, j'avais une bonne descente, j'avais lors des soirées, des concerts, etc un grain de folie attractif grâce à ça... et j'attirais des alter ego. J'étais assez mal dans ma peau à cette époque pour apprécier que des quasi-poivrots s'intéressent à moi.
Puis il y a eu la prépa et son rythme qui m'a déshabituée de l'alcool brutalement. Revenue à la vie normale étudiante, à l'université, j'ai voulu reprendre le pli de mes jeunes années mais je ne supportais plus. J'étais assez hystérique bourrée et je n'attirais plus personne. Pire j'entreprenais des gars ... comment dire... assez maladroitement.
Enfin, j'ai décidé que je pourrais me passer d'ivresse (mais pas d'un ou deux verres à l'occasion) pour passer des soirées cools. Et à partir du moment où j'ai changé, je n'ai plus supporté que des gars entamés me draguent. Tout m'exaspérait : l'haleine, la transpiration qui colle les mèches sur le front, le regard goguenard, la diction caricaturale du défoncé, leur façon de se mouvoir, l'angoisse du vomi qui éclabousse ma robe, l'angoisse des mains baladeuses, la conversation pauvre et/ou gênante... Je ne voyais dans le gars qui drague lorsqu'il a bu, qu'un pauvre type qui n'a pas le cran de parler aux filles à jeûn doublé un ado attardé qui n'avait pas la maturité pour passer un bon moment sans chichon ou alcool. Bref, autant dire que mon opinion était moins positive qu'à l'époque où j'étais moi-même dans ce délire. A l'inverse, une fois je me suis pris un râteau car je ne buvais et ne fumais pas assez par rapport à ma cible...
Moralité : être sobre (ce qui n'empêche en rien de communiquer des ondes positives) quand on cible quelqu'un de sobre, être plus ou moins imbibé quand on cible quelqu'un d'imbibé.
Puis il y a eu la prépa et son rythme qui m'a déshabituée de l'alcool brutalement. Revenue à la vie normale étudiante, à l'université, j'ai voulu reprendre le pli de mes jeunes années mais je ne supportais plus. J'étais assez hystérique bourrée et je n'attirais plus personne. Pire j'entreprenais des gars ... comment dire... assez maladroitement.
Enfin, j'ai décidé que je pourrais me passer d'ivresse (mais pas d'un ou deux verres à l'occasion) pour passer des soirées cools. Et à partir du moment où j'ai changé, je n'ai plus supporté que des gars entamés me draguent. Tout m'exaspérait : l'haleine, la transpiration qui colle les mèches sur le front, le regard goguenard, la diction caricaturale du défoncé, leur façon de se mouvoir, l'angoisse du vomi qui éclabousse ma robe, l'angoisse des mains baladeuses, la conversation pauvre et/ou gênante... Je ne voyais dans le gars qui drague lorsqu'il a bu, qu'un pauvre type qui n'a pas le cran de parler aux filles à jeûn doublé un ado attardé qui n'avait pas la maturité pour passer un bon moment sans chichon ou alcool. Bref, autant dire que mon opinion était moins positive qu'à l'époque où j'étais moi-même dans ce délire. A l'inverse, une fois je me suis pris un râteau car je ne buvais et ne fumais pas assez par rapport à ma cible...
Moralité : être sobre (ce qui n'empêche en rien de communiquer des ondes positives) quand on cible quelqu'un de sobre, être plus ou moins imbibé quand on cible quelqu'un d'imbibé.