Les hystériques bornées - Faire face.
Au moins un point positif : tu sauras repérer les cinglées et à quel point il est préférable de pas les fréquenter. Plein de gens ne savent même pas que ça existe, et ils se laissent pourrir la vie par de telles personnes, ne réalisant pas que ce sont des situations anormales...
Depuis que j'ai répondu pour la première fois à ce sujet, j'ai un peu étudié les troUbles dit du Narcissismes (pervers narcissiques, traits narcissiques voire psychopathies plus où moins poussées)
Ma réponse 'je ne dit pas LA réponse est la suivante: VOUS NE POUVEZ PAS GERER CES GENS
Même les pros de la psychiatrie n'y parviennent pas toujours.
Si vous les détectez, votre seul alterative est de vous isoler d'eux (les fuir) ou de les isoler de vous (faire en sorte que tout le monde soit au courant de leur comportement - et la rejette)
Ca à l'air cruel, mais en fait c'est - vraiment - nécessaire.
Vous ne pouvez pas être plus fort qu'une personne ayant un fonctionnement pervers.
Elle ne vit que pour mentir, manipuler, brutaliser (émotionellement). Elle n'a pas (ou peu) d'empathie. Elle n'assumera jamais la moindre responsabilité, culpabilité... mais elle dira volontier le contraire si ça l'arrange.
" Pourquoi fais-tu ça demande la grenouille au scorpion " Hein, c'est juste ma nature. Arrètes de m'agresser. Meurs gentiment"
Vous pouvez seulement arrèter d'être sa victime ou sa complice.
On a tendance à les laisser faire parce qu"elles nous dégouttent, nous chouchoutent, nous désensibilisent avec leur violence insidueuse, nous désarçonnent, nous font douter de nous même...
Mais elles tirent seulement leur force de l"apathie paradoxale qu'elles provoquent (ce sont des vampires émotionnels)
A partir du moment ou l'on signale à tous les concernés le comportement inadmissible du pervers(collègues, famille, hiérarchie) avec calme et discernement (au lieu de pèter un plomb dans son coin ou de tenter de discuter/raisonner la Bète) alors elle va perdre ce qui fait sa force.
Son sentiment de supériorité illusoire (basé sur le fait qu'elle trompe/manipule/harcèle son monde impunément). Face à elle même, sans son public, elle ne vaut rien (Elle n'a pas de valeur réelle à ses yeux, seulement un égo illusoire démesuré dépendant de l'image qu'on lui renvoit).
L'enfermer avec elle même est la pire punition que vous puissiez lui infliger.
Note: Même ses béni oui-oui sont 'retournables': il suffit de les prendre à part pour leur dire la vérité: " Tu sais quand même que ta grande amie te pourris dans ton dos. Pour elle, tu n'es pas différent de tous ceux qu'elle trashe.Renseigne toi donc un peu..."
Mais à vrai dire, restez en à la première suggestion si vous avez le choix. Evitez-les.
Ma réponse 'je ne dit pas LA réponse est la suivante: VOUS NE POUVEZ PAS GERER CES GENS
Même les pros de la psychiatrie n'y parviennent pas toujours.
Si vous les détectez, votre seul alterative est de vous isoler d'eux (les fuir) ou de les isoler de vous (faire en sorte que tout le monde soit au courant de leur comportement - et la rejette)
Ca à l'air cruel, mais en fait c'est - vraiment - nécessaire.
Vous ne pouvez pas être plus fort qu'une personne ayant un fonctionnement pervers.
Elle ne vit que pour mentir, manipuler, brutaliser (émotionellement). Elle n'a pas (ou peu) d'empathie. Elle n'assumera jamais la moindre responsabilité, culpabilité... mais elle dira volontier le contraire si ça l'arrange.
" Pourquoi fais-tu ça demande la grenouille au scorpion " Hein, c'est juste ma nature. Arrètes de m'agresser. Meurs gentiment"
Vous pouvez seulement arrèter d'être sa victime ou sa complice.
J'aurai tendance à être encore plus catégorique maintenant.Dommage qu'il n'y ai pas de "magic trick" pour forcer se genre de personnes à se taire et à s'écraser !
Aucun qui ne te foutrait pas plus encore dans la merde. Manifestement ,elle se vit comme une victime et n'existe que pour se plaindre et se réjouir de la déconfiture de ceux qui "l'agressent".
Le genre , si tu la gifle sans témoin, a porter plainte pour tentative de viol, par exemple.
Donc, non, tu l'évites. Tu expliques calmement à tous et à toutes qui sont ammené à la fréquenter (que vous fréquentez en commun) que c'est une ordure, et que donc tu ne veux pas lui parler ni entendre parler d'elle. Et que bien sûr ils sont libres de se faire leur propre opinion,..
Si (et seulement si) elle revient te faire chier, reste poli et dans les cas extrèmes recadre là fermement là en public.
- Alors puceau, t'es bizare aujourd'hui.
- (l'ignorer, discuter avec quelqu'un d'autre)
- Et en plus tu sens pas bon.
- ... (sourire) Pourquoi tu me parles à moi, t'as pas d'amis ? (souris à l'assistance puis ignores là)
- Oh, tu me parles pas comme ça connard !
- Ecoutes, TU ME FAIS CHiER ! VAs chercher la merde AILLEURS ! Une fois pour toute TU NE M'INTERESSE PAS !!! (la regarder dans les yeux, sourire, faire autre chose).
Bien sûr, elle va se trouver un bon con d'AFC où une copine moche pour te pourrir par derrière.
D'où l'impotance de l'éviter, mais aussi d'expliquer tranquilement à ceux que vous connaissez en commun
"Cette fille, c'est une vraie fouteuse de merde. Elle s'amuse à manipuler et à humilier les gens. Toi, tu fais ce que tu veux, mais moi je l'évite. "
Tu n'as pas besoin de te justifier plus avant. Laisse là à sa vie de merde, et ne lui donne pas accès à la tienne.
On a tendance à les laisser faire parce qu"elles nous dégouttent, nous chouchoutent, nous désensibilisent avec leur violence insidueuse, nous désarçonnent, nous font douter de nous même...
Mais elles tirent seulement leur force de l"apathie paradoxale qu'elles provoquent (ce sont des vampires émotionnels)
A partir du moment ou l'on signale à tous les concernés le comportement inadmissible du pervers(collègues, famille, hiérarchie) avec calme et discernement (au lieu de pèter un plomb dans son coin ou de tenter de discuter/raisonner la Bète) alors elle va perdre ce qui fait sa force.
Son sentiment de supériorité illusoire (basé sur le fait qu'elle trompe/manipule/harcèle son monde impunément). Face à elle même, sans son public, elle ne vaut rien (Elle n'a pas de valeur réelle à ses yeux, seulement un égo illusoire démesuré dépendant de l'image qu'on lui renvoit).
L'enfermer avec elle même est la pire punition que vous puissiez lui infliger.
Note: Même ses béni oui-oui sont 'retournables': il suffit de les prendre à part pour leur dire la vérité: " Tu sais quand même que ta grande amie te pourris dans ton dos. Pour elle, tu n'es pas différent de tous ceux qu'elle trashe.Renseigne toi donc un peu..."
Mais à vrai dire, restez en à la première suggestion si vous avez le choix. Evitez-les.