Nb : C'est toujours moi avec mon pseudo originel.
De ce point de vue, tu as peut-être raison, Amaral. J'ai créé le topic ici.
Fugue au Japon
Récemment, il s'est passé quelque chose qui m'a fait dire que j'avais évolué. Cette fois-ci, il ne s'agit pas de technique ou de son application mais de ma façon de pensée. Je m'explique.
En 2007, fraichement débarqué à Osaka, je recontre le jour de mon arrivée Hitomi, 27 ans avec qui j'ai sympatisé sur Mixi, un site communautaire. Nous nous voyons, elle me fait un peu visiter, on s'amuse bien. Elle est mignonne et tiens, pourquoi pas ? Alors que nous nous voyons pour la seconde fois et qu'il est temps de rentrer, elle me racompagne jusque la gare. Avant de passer les composteurs, je me lance et après lui avoir dit au revoir, je lui fait un long baiser qu'elle me rend.
Là dessus, je rentre. Et c'est là que mon AFCisme, ainsi que celui de mes amis entre en jeu. Une amie me dit:"félicitation, t'es maqué !", un autre :"oui mais c'est dans la coutûme japonaise de demander de vive voix avant de l'être vraiment", arguments qui me montent à la tête. Sur ce, je lui téléphone et lui demande au détour de la conversation : "Au fait, est-ce qu'on sort ensemble ?". Et là, le drame pour l'AFC que je suis, elle me répond non. Je suis décontenancé et je lache tout de suite l'affaire pour me concentrer vers d'autres choses.
Trois ans passent. Entretemps, j'ai d'autres aventures, je mûris. Début décembre 2010, Je me demande ce qu'elle devient. Enfin, on n'a pas coupé les ponts car on communique toujours sur Mixi de manière sporadique. Je lui envoie ce message :"Tiens, tu es libre prochainement ? Ca fait longtemps qu'on ne s'est pas vu. On a beaucoup de chose à se dire ;)." On se fixe donc rendez-vous pour le jeudi midi qui vient (il y a deux semaines).
Voici le temps des retrouvailles. Elle est encore mieux qu'avant. Elle s'arrange mieux et elle s'est faite une teinture noire aux cheuveux qui lui va bien. Elle me plait et j'aimerai faire quelque chose avec. On se retrouve puis on se dirige quelque part pour manger. Lorsque l'on discute (sexualisation, kino, etc. cf techniques), on en arrive à nos situations actuelles respectives.
Elle me dit qu'elle gagne 60000 yens (1euro = 110 yen) par mois et qu'elle voudrait travailler plus pour gagner plus (lol).
Moi : - "
Mais !? 60000 yen, toute seule en appartement avec deux chiens !? C'est pas un peu juste juste !??? "C'est le cas de le dire. " Tu te fais aider par tes parents, actuellement !?"
Elle : - " Ah mais je suis mariée depuis un an. ".
Ma tête en cet instant
. Ca, je ne savais pas ! Je n'en démords pas et lui réponds : "Ah c'est pour ça que t'es aussi resplendissante ! "
Et on continue la conversation, sans que je ne change quoique ce soit à mon approche.
On a fini de déjeuner, on décide de bouger. Mon idée, c'est de l'isoler donc je propose un karaoké où nous ne serons que deux. Nous y allons. En plus j'aime bien ! Mêler l'utile à l'agréable. Arrivé au karaoké, on se lache, on se caline et on chante. Je la kclose et elle me rend mon baiser. De temps en temps, elle se lance d'elle-même. Alors que la tension monte et que je commence à tripoter, elle m'arrête en disant qu'il doit y avoir des caméras de surveillance. Je me dis qu'il y a peut-être (surement) un peu de mariage dans tout ça, mais je fais semblant de ne pas comprendre.
On sort du karaoké puis on se ballade dans la ville, la gallerie marchande. Il faut que je franchisse l'étape supérieure. Elle m'a dit ce midi qu'elle avait mal aux hanches et qu'elle voudrait bien se faire masser un de ces quatre. Je le lui rappelle et lui propose une session sur le champs. On entre dans un love hotel. Je la masse, je lui dis que c'est mieux sans rien entre mes mains et sa peau. Il faut se déshabiller, ce qu'elle fait petit à petit. Moi aussi (quoiiii, c'est pas nécessaire au massage ?!
). Au fur et à mesure du massage, on en arrive au fclose.
Quoiqu'il en soit, c'était sympa et sans prise de tête. J'aimerai bien m'en faire une FF. Elle me dit au moment de se quitter : "La prochaine fois, revoyons nous seulement autour d'un café."
Je lui ai répondu par l'affirmatif (faux pas ?) mais je n'en tiendrai bien-sûr pas compte si on se revoit.
En 2007, fraichement débarqué à Osaka, je recontre le jour de mon arrivée Hitomi, 27 ans avec qui j'ai sympatisé sur Mixi, un site communautaire. Nous nous voyons, elle me fait un peu visiter, on s'amuse bien. Elle est mignonne et tiens, pourquoi pas ? Alors que nous nous voyons pour la seconde fois et qu'il est temps de rentrer, elle me racompagne jusque la gare. Avant de passer les composteurs, je me lance et après lui avoir dit au revoir, je lui fait un long baiser qu'elle me rend.
Là dessus, je rentre. Et c'est là que mon AFCisme, ainsi que celui de mes amis entre en jeu. Une amie me dit:"félicitation, t'es maqué !", un autre :"oui mais c'est dans la coutûme japonaise de demander de vive voix avant de l'être vraiment", arguments qui me montent à la tête. Sur ce, je lui téléphone et lui demande au détour de la conversation : "Au fait, est-ce qu'on sort ensemble ?". Et là, le drame pour l'AFC que je suis, elle me répond non. Je suis décontenancé et je lache tout de suite l'affaire pour me concentrer vers d'autres choses.
Trois ans passent. Entretemps, j'ai d'autres aventures, je mûris. Début décembre 2010, Je me demande ce qu'elle devient. Enfin, on n'a pas coupé les ponts car on communique toujours sur Mixi de manière sporadique. Je lui envoie ce message :"Tiens, tu es libre prochainement ? Ca fait longtemps qu'on ne s'est pas vu. On a beaucoup de chose à se dire ;)." On se fixe donc rendez-vous pour le jeudi midi qui vient (il y a deux semaines).
Voici le temps des retrouvailles. Elle est encore mieux qu'avant. Elle s'arrange mieux et elle s'est faite une teinture noire aux cheuveux qui lui va bien. Elle me plait et j'aimerai faire quelque chose avec. On se retrouve puis on se dirige quelque part pour manger. Lorsque l'on discute (sexualisation, kino, etc. cf techniques), on en arrive à nos situations actuelles respectives.
Elle me dit qu'elle gagne 60000 yens (1euro = 110 yen) par mois et qu'elle voudrait travailler plus pour gagner plus (lol).
Moi : - "

Elle : - " Ah mais je suis mariée depuis un an. ".
Ma tête en cet instant



Et on continue la conversation, sans que je ne change quoique ce soit à mon approche.
On a fini de déjeuner, on décide de bouger. Mon idée, c'est de l'isoler donc je propose un karaoké où nous ne serons que deux. Nous y allons. En plus j'aime bien ! Mêler l'utile à l'agréable. Arrivé au karaoké, on se lache, on se caline et on chante. Je la kclose et elle me rend mon baiser. De temps en temps, elle se lance d'elle-même. Alors que la tension monte et que je commence à tripoter, elle m'arrête en disant qu'il doit y avoir des caméras de surveillance. Je me dis qu'il y a peut-être (surement) un peu de mariage dans tout ça, mais je fais semblant de ne pas comprendre.
On sort du karaoké puis on se ballade dans la ville, la gallerie marchande. Il faut que je franchisse l'étape supérieure. Elle m'a dit ce midi qu'elle avait mal aux hanches et qu'elle voudrait bien se faire masser un de ces quatre. Je le lui rappelle et lui propose une session sur le champs. On entre dans un love hotel. Je la masse, je lui dis que c'est mieux sans rien entre mes mains et sa peau. Il faut se déshabiller, ce qu'elle fait petit à petit. Moi aussi (quoiiii, c'est pas nécessaire au massage ?!

Quoiqu'il en soit, c'était sympa et sans prise de tête. J'aimerai bien m'en faire une FF. Elle me dit au moment de se quitter : "La prochaine fois, revoyons nous seulement autour d'un café."
Je lui ai répondu par l'affirmatif (faux pas ?) mais je n'en tiendrai bien-sûr pas compte si on se revoit.
Beaucoup de choses se sont passé depuis le temps.
Alors que je suis revenu en février en France dans l'optique de repartir au Japon en avril, un certain événement en mars a retardé mon retour à juillet. Il a fallu cravacher dur pour convaincre que je pouvais repartir, que c'est sans risque relatif, qu'il fallait que je me bouge d'ici. Bref... On a eu chaud aux fesses, c'était un rien crevant et stressant.
Je vais revenir en France d'ici décembre, je pense, le temps que mon visa de travail se fasse. Lors d'une conversation fusionnelle après un instant qui l'était tout autant, ma MTR m'a dit quelque chose d'intéressant. Le laps de temps que je suis en France, je peux faire tout ce que je veux. Le plus important, c'est qu'elle n'en sache rien et que je revienne sans saloperies à la maison. Feu vert en quelque sorte.
Ca va chauffer à Lille ? Héhé.
Alors que je suis revenu en février en France dans l'optique de repartir au Japon en avril, un certain événement en mars a retardé mon retour à juillet. Il a fallu cravacher dur pour convaincre que je pouvais repartir, que c'est sans risque relatif, qu'il fallait que je me bouge d'ici. Bref... On a eu chaud aux fesses, c'était un rien crevant et stressant.
Je vais revenir en France d'ici décembre, je pense, le temps que mon visa de travail se fasse. Lors d'une conversation fusionnelle après un instant qui l'était tout autant, ma MTR m'a dit quelque chose d'intéressant. Le laps de temps que je suis en France, je peux faire tout ce que je veux. Le plus important, c'est qu'elle n'en sache rien et que je revienne sans saloperies à la maison. Feu vert en quelque sorte.
Ca va chauffer à Lille ? Héhé.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Sympa :) le 28.09.11, 13h07 par Boubou
Resalut. Ca fait un bail.
Je continue mon bonhomme de chemin entre les deux contrées. Cela fait plus de deux ans que je suis avec mon amie et tout va bien.
Ce week-end, elle est à 235 km de chez nous pour une heureuse raison familiale. Comme on dit, me voilà seul avec ma bite et mon couteau. Je repense à cette sorte de pacte que l'on a passé il y a quelque temps. L'occasion pour moi de sortir en célibataire. En référence à ce pacte, je me dis "s'il se passe quelque chose, ce sera immédiat (ONS) ou rien. Pas de long terme".
Je sors donc samedi dans cette optique. Une soirée est organisée dans un bar-discothèque, dès 18h. J'y vais, je mets mes affaires (téléphone portable compris) dans un casier.
Le début de la soirée, c'est plutôt avec des "personnes propres et classiques", comme moi. Pas de punk, rock, hippy, ou costume cravate mais juste habillés en classique. Mon style est passe-partout : chemise, Tshirt, jeans et baskets.
Ça commence doucement, je papote, danse gentiment et sympathise avec différents groupes de mignonnes demoiselles. Comme j'estime être quelqu'un d'intéressant et qui a assez vécu, la conversation est intéressante et je peux la mener. Bien-sûr, ça tourne toujours autour de "de quel pays, pourquoi le Japon ? blabla" mais c'est ainsi et ça se lit sur mon visage. Pour leur faire plaisir, je papote même en anglais. Lors de ces différentes approches, on me demande plusieurs fois mon facebook et mon téléphone mais je prétexte ne pas être inscrit en réseau social et que je n'ai pas mon téléphone sur moi.
Mode complet je m'en fiche. Un Canadien discute avec deux demoiselles, je m'inclus dans la conversation. Nous somme tous les quatre debout mais à un mètre, deux tabourets sont adossés au mur. J’accapare de plus en plus la conversation avec la moins mignonne des deux. Je prétexte un peu de fatigue pour m'assoir sur un tabouret, elle me suit et nous continuons à discuter. Je laisse donc le Canadien discuter et faire plus amplement connaissance avec la plus mignonne, restée debout avec lui.
Au fur et à mesure que la soirée avance, la tension monte. La musique et la danse s'affirment. Je danse et m'amuse. Je remarque Chocolat sur la piste et décide de danser avec elle sans laisser en plan son amie. Nous alternons danse à deux puis à trois. Gentiment et au fur et à mesure collé serré à deux ou moi derrière son dos. Nous alternons danses et discussions.
Dans ce genre de jeu de push and pull, si la fille commence à push, c'est gagné. Enfin, c'est bien avancé. C'est ce que je ressens lorsque Chocolat passe derrière moi, m'entraine ses mains sur mes épaules au milieu de la piste qui est bondé et noir de monde.
Je sais comment une demoiselle peut se débarrasser subtilement d'une personne incongrue. Par exemple, elle peut faire l'entrainer, lâcher cette personne au milieu de la piste pleine de monde puis retourner là où elle était au début ou se rassoir sur un tabouret. En gros, le message, c'est "Dégage, tu ne m'intéresses pas. Je ne savais pas comment te le dire alors je te l'ai dit comme ça". Personnellement, si elle fait ça, je pense qu'il n'y a pas d'options pour revenir à charge plus tard auprès d'elle.
Mais là, rien de tout cela. Donc elle m'entraine au milieu de la piste, ses mains sur mes épaules puis on continue à danser. Elle s'amuse. Puis on repasse face à face et collé serré. Mes mains se baladent sur son dos et ses fesses (par dessus son jean, hein). Je dénude quelque peu son dos et passe mes mains à même la peau. Elle ne rechigne pas. Entretemps, je tente le kclose à plusieurs reprise, mais elle n'accepte que difficilement le bisou sur la joue (!) qu'elle me rend aussi.
La soirée s'avance. Chocolat et son amie doivent se rentrer, je les accompagnent jusque la sortie. Fidèle à ma résolution, je refuse l'échange de numéro mais j'aurai pu...
La soirée s'avance pour ne plus ressembler à un lieu d'échange mais juste à une discothèque lambda. Un nouveau genre de demoiselle arrive au fur et à mesure. En japonais, ce sont les "gaaru" (simplement girl). Elles ne sont plus habillées en classique mais mini-jupe, sexy, serré, tout ça. La plupart du temps, teinture châtain clair. Bref, le style est différent. Je ne change rien à mes approches mais la réception des nouvelles demoiselles est complétement différente. De l'ignorance à "danse gentiment mais ne t'approche pas de moi", je parle brièvement avec certaines demoiselles sans qu'elles s'intéressent ou peu. Et là, il n'y a plus rien de concret.
C'est assez intéressant comme expérience. La même nuit, je peux passer de quelqu'un d'intéressant à quelqu'un de transparent sans même rien changer à mon comportement. Peut-être dans un monde de la nuit basé à 80% sur l'apparence - je ne suis pas Japonais ni Blanc ni Noir, premières populations de choix-, je n'arrive que rarement à tirer mon épingle du jeu et donc arrive rarement à cet ONS. Je refuse de me catégoriser mais il semble que je suis plus doué pour nouer des relations stables que pour les relations "instantanées".
Je continue mon bonhomme de chemin entre les deux contrées. Cela fait plus de deux ans que je suis avec mon amie et tout va bien.
Ce week-end, elle est à 235 km de chez nous pour une heureuse raison familiale. Comme on dit, me voilà seul avec ma bite et mon couteau. Je repense à cette sorte de pacte que l'on a passé il y a quelque temps. L'occasion pour moi de sortir en célibataire. En référence à ce pacte, je me dis "s'il se passe quelque chose, ce sera immédiat (ONS) ou rien. Pas de long terme".
Je sors donc samedi dans cette optique. Une soirée est organisée dans un bar-discothèque, dès 18h. J'y vais, je mets mes affaires (téléphone portable compris) dans un casier.
Le début de la soirée, c'est plutôt avec des "personnes propres et classiques", comme moi. Pas de punk, rock, hippy, ou costume cravate mais juste habillés en classique. Mon style est passe-partout : chemise, Tshirt, jeans et baskets.
Ça commence doucement, je papote, danse gentiment et sympathise avec différents groupes de mignonnes demoiselles. Comme j'estime être quelqu'un d'intéressant et qui a assez vécu, la conversation est intéressante et je peux la mener. Bien-sûr, ça tourne toujours autour de "de quel pays, pourquoi le Japon ? blabla" mais c'est ainsi et ça se lit sur mon visage. Pour leur faire plaisir, je papote même en anglais. Lors de ces différentes approches, on me demande plusieurs fois mon facebook et mon téléphone mais je prétexte ne pas être inscrit en réseau social et que je n'ai pas mon téléphone sur moi.
Mode complet je m'en fiche. Un Canadien discute avec deux demoiselles, je m'inclus dans la conversation. Nous somme tous les quatre debout mais à un mètre, deux tabourets sont adossés au mur. J’accapare de plus en plus la conversation avec la moins mignonne des deux. Je prétexte un peu de fatigue pour m'assoir sur un tabouret, elle me suit et nous continuons à discuter. Je laisse donc le Canadien discuter et faire plus amplement connaissance avec la plus mignonne, restée debout avec lui.
Au fur et à mesure que la soirée avance, la tension monte. La musique et la danse s'affirment. Je danse et m'amuse. Je remarque Chocolat sur la piste et décide de danser avec elle sans laisser en plan son amie. Nous alternons danse à deux puis à trois. Gentiment et au fur et à mesure collé serré à deux ou moi derrière son dos. Nous alternons danses et discussions.
Dans ce genre de jeu de push and pull, si la fille commence à push, c'est gagné. Enfin, c'est bien avancé. C'est ce que je ressens lorsque Chocolat passe derrière moi, m'entraine ses mains sur mes épaules au milieu de la piste qui est bondé et noir de monde.
Je sais comment une demoiselle peut se débarrasser subtilement d'une personne incongrue. Par exemple, elle peut faire l'entrainer, lâcher cette personne au milieu de la piste pleine de monde puis retourner là où elle était au début ou se rassoir sur un tabouret. En gros, le message, c'est "Dégage, tu ne m'intéresses pas. Je ne savais pas comment te le dire alors je te l'ai dit comme ça". Personnellement, si elle fait ça, je pense qu'il n'y a pas d'options pour revenir à charge plus tard auprès d'elle.
Mais là, rien de tout cela. Donc elle m'entraine au milieu de la piste, ses mains sur mes épaules puis on continue à danser. Elle s'amuse. Puis on repasse face à face et collé serré. Mes mains se baladent sur son dos et ses fesses (par dessus son jean, hein). Je dénude quelque peu son dos et passe mes mains à même la peau. Elle ne rechigne pas. Entretemps, je tente le kclose à plusieurs reprise, mais elle n'accepte que difficilement le bisou sur la joue (!) qu'elle me rend aussi.
La soirée s'avance. Chocolat et son amie doivent se rentrer, je les accompagnent jusque la sortie. Fidèle à ma résolution, je refuse l'échange de numéro mais j'aurai pu...
La soirée s'avance pour ne plus ressembler à un lieu d'échange mais juste à une discothèque lambda. Un nouveau genre de demoiselle arrive au fur et à mesure. En japonais, ce sont les "gaaru" (simplement girl). Elles ne sont plus habillées en classique mais mini-jupe, sexy, serré, tout ça. La plupart du temps, teinture châtain clair. Bref, le style est différent. Je ne change rien à mes approches mais la réception des nouvelles demoiselles est complétement différente. De l'ignorance à "danse gentiment mais ne t'approche pas de moi", je parle brièvement avec certaines demoiselles sans qu'elles s'intéressent ou peu. Et là, il n'y a plus rien de concret.
C'est assez intéressant comme expérience. La même nuit, je peux passer de quelqu'un d'intéressant à quelqu'un de transparent sans même rien changer à mon comportement. Peut-être dans un monde de la nuit basé à 80% sur l'apparence - je ne suis pas Japonais ni Blanc ni Noir, premières populations de choix-, je n'arrive que rarement à tirer mon épingle du jeu et donc arrive rarement à cet ONS. Je refuse de me catégoriser mais il semble que je suis plus doué pour nouer des relations stables que pour les relations "instantanées".
Je suis à Lille et un peu de rue pour changer.
Ce milieu de semaine, je suis allé au cinéma avec un ami pour voir un documentaire japonais. Il est 10h du soir et nous sortons de la salle. Alors que nous marchons dans une rue piétonne, j'entends deux mignonnes demoiselles parler japonais derrière moi. Ni une ni deux, je les salue dans cette langue, nous discutons. On se présente puis je bascule en français pour ne pas laisser mon ami dans la panade.
Alors que nous arrivons à la fin de cette rue piétonne, je fais une erreur (pas assez rodé ?). Moi et mon ami, nous n'avons pas de plans et nous continuons tout droit tandis que les deux demoiselles disent qu'elles doivent tourner à gauche. Sans aucun plan, nous aurions pu continuer à discuter avec elles, leur proposer un café ou que sais-je mais nous avons continué machinalement notre route (rendu compte de mon idiotie quelques temps après).
Quoi qu'il en soit, j'ai eu le prénom de mademoiselle. Je cherche un peu sur facebook et comme le monde est petit, je la trouve. Je l'invite puis lui envoie un message.
"Salut M.
Salut, c'est Fugojapon. Nous avons bien discuté hier à Lille. Le monde est petit, alors je t'ai retrouvée sur facebook.
Nous sommes bien rentrés, moi et mon ami S. On ne s'est pas perdus.
Toi et ton amie, vous allez bien ? Pas trop eu peur en rentrant après nous avoir vus ? Encore heureux qu'on était rasés. Héhé.
A une prochaine fois !"
Ce à quoi elle me répond :
"Salut!!
merci pour l'ajout!
c'est vraiment sympa de faire ta connaissance dans la rue et sur facebook:)
et J'ai été surpris de trouver que nous avons des amis communs ... le monde est petit!
à la prochain [sic]!!"
J'aurais préféré un échange de messages sur téléphone portable. Facebook, c'est un peu trop public. Pour vivre heureux, vivons cachés.
Je vais voir comment cela évolue et comment aboutir à un rendez-vous, une sortie.
Ce milieu de semaine, je suis allé au cinéma avec un ami pour voir un documentaire japonais. Il est 10h du soir et nous sortons de la salle. Alors que nous marchons dans une rue piétonne, j'entends deux mignonnes demoiselles parler japonais derrière moi. Ni une ni deux, je les salue dans cette langue, nous discutons. On se présente puis je bascule en français pour ne pas laisser mon ami dans la panade.
Alors que nous arrivons à la fin de cette rue piétonne, je fais une erreur (pas assez rodé ?). Moi et mon ami, nous n'avons pas de plans et nous continuons tout droit tandis que les deux demoiselles disent qu'elles doivent tourner à gauche. Sans aucun plan, nous aurions pu continuer à discuter avec elles, leur proposer un café ou que sais-je mais nous avons continué machinalement notre route (rendu compte de mon idiotie quelques temps après).
Quoi qu'il en soit, j'ai eu le prénom de mademoiselle. Je cherche un peu sur facebook et comme le monde est petit, je la trouve. Je l'invite puis lui envoie un message.
"Salut M.
Salut, c'est Fugojapon. Nous avons bien discuté hier à Lille. Le monde est petit, alors je t'ai retrouvée sur facebook.
Nous sommes bien rentrés, moi et mon ami S. On ne s'est pas perdus.
Toi et ton amie, vous allez bien ? Pas trop eu peur en rentrant après nous avoir vus ? Encore heureux qu'on était rasés. Héhé.
A une prochaine fois !"
Ce à quoi elle me répond :
"Salut!!
merci pour l'ajout!
c'est vraiment sympa de faire ta connaissance dans la rue et sur facebook:)
et J'ai été surpris de trouver que nous avons des amis communs ... le monde est petit!
à la prochain [sic]!!"
J'aurais préféré un échange de messages sur téléphone portable. Facebook, c'est un peu trop public. Pour vivre heureux, vivons cachés.
Je vais voir comment cela évolue et comment aboutir à un rendez-vous, une sortie.