Bref, en 4 ans de fac ici, je n'ai JAMAIS kiffé comme je l'aurais voulu et comme on l'entends souvent, la vie étudiante et donc du coup les rencontres avec les jolies poupées qui vont avec tout ça.
Encore pire, mon réseau social à la fac est proche du néant! Et ce n'est pas peu dire! Une seule personne avec qui je m'entends correctement et encore je ne le fréquente pas en dehors des cours!
Alors cette été, assis sur le trône à réfléchir à ma vie, je me suis dit "Bon dieu, c'est pas l'année prochaine que tu vas en profiter pour devenir un vrai mec et un roi! Bouge toi le fion cette année sinon ce ne sera jamais le cas."
Je tiens à préciser que sans être un alpha, je ne suis pas non plus un AFC. Certes une majorité de rencontre avec des filles qui se font via le net, mais en général ça finit toujours bien, je suis dans 8 cas sur 10 assez détendu, à l'aise.
Mais une fois dans le cadre "professionnel" de la fac, ça bloque. C'est donc cette année que j'ai décidé de prendre les choses en main.
Pour ça, je suis pas allé me renseigner sur FTS, j'ai directement pensé au truc qui m'apporterait le plus de Social dans ma vie étudiante...
Je me suis branché auprès d'un type de la fac avec l'association qui organise les soirées étudiantes dans ma ville! Toutes les soirées transite par cette asso et donc c'est le meilleur moyen de s'améliorer dans mes relations sociales et surtout rencontrer un max de filles tout ça.
Du coup, j'ai laissé passer le temps de la première soirée avant de commencer le journal.
Découvertes, 1ères rencontres, organisation et 1ère soirée
Je suis donc entré dans le groupe facebook de l'asso il y a 1 mois environ. Il y a 1 semaine et demi, l'association s'est réunie pour organiser les derniers préparatifs de la soirée (j'étais pas présent encore au moment de la conception de la soirée).
On se retrouve donc chez un des mecs de l'association. Première impression assez chaotique pour moi. Sans en faire trop, tous les mecs présents là-dedans sont des types hyper à l'aise et qui de surcroit se connaisse tous depuis au moins un an.
Résultat, pas mal de trac pour moi, pas tant les filles qui m'impressionnaient que les mecs présents. Des alpha pour la plupart d'entre eux et leur réseau, ne me fait pas me tromper à ce sujet.
Pour l'anecdote, j'étais assis sur un pouf à écouter les gens organiser la soirée en ayant tenter vainement de balancer deux-trois conneries. A la fin un type vient me voir me dire :
"Parait que tu sais pas en quoi te déguiser à la soirée? Tu devrais venir en chaise."
Autant dire que j'ai saisis le propos et le sous-entendu et que j'aurais pas pu lui donner tord. J'étais paralysé, je suis presque parti en catimini...
Viens le soir de la soirée. Finalement déguisé en Jules César, j'étais affecté aux ventes de ticket donc à croiser pas mal de monde.
C'est assez bizarre parce que quand je suis dans une "mission" de ce genre, je sais être parfaitement calme et détendu. Une fois en "libre", je suis un peu déchet, pas capable d'alimenter une conversation.
Bon une catwoman pas méchante est venu faire un bisou à César, et un centurion est venu se mettre à genou. Mais à part ça, rien de bien folichon.

Des filles me faisaient des signes de l'autre côté d'une tente mais ayant interdiction de m'éloigner de la caisse, j'ai pas pu les rejoindre et coup, trace perdue.
Finalement affectée après à une autre mission, de faire entrer les étudiants dans des navettes direction boite de nuit. Là encore détendu avec les gens.
Un peu d'évolution, je me suis assis à côté d'une fille pas trop mal avec qui j'ai tapé la discute mais sans vraiment tenter de draguer.
J'ai retrouvé cette fille en boîte un peu plus tard, on a parlé autour d'un verre au bar. Je lui fait "je retourne danser, si on se croise sur la piste pour danser, je te file mon numéro". Pas de bol, pas recroisé.

Bref, j'ai passé le temps à divaguer un peu dans la boîte, les autres membres de l'association étant un peu dispersé voir bien occupé pour certain, j'ai pris la première navette de retour pour aller pioncer.
Au final, une première soirée un peu "foirée" malgré tout quelques légers points positifs, mais comme le dirait Grégoire Margoton : "Tout reste à faire ici!"