J'écris ce deuxième post deux seconde après avoir posté le premier, mais il fallait que je fasse une petite intro avant de raconter mon premier FR qui date de quelques semaines. Je voulais le préciser pour éviter de passer pour in demeuré auprès de ceux qui auraient remarqué.
Alcohol ain't your friend:
M'étant complètement fais chier pendant des années dans ma home town, je décide de bouger en FRANCE pour faire mes études. je choisis alors rennes étant donné que c'est une petite ville ou la vie est peu chère mais ou sa bouge quand même assez.
Je rencontre pas mal de monde a la fac, des gens sympas et me fais de nouveaux potes. Pour moi c'est une vrai révolution, je me suis intégré vraiment très vite et sans efforts. Je réalise alors pleinement la profondeur des changements qui se sont opérés sur ma personne.
Deux potes de la facs se proposent alors de me faire découvrir la tradition bretonne et le trésor de la ville de rennes. Non je ne parle pas du parlement de Bretagne (très beau monument) mais de la rue de la soif. Lieu de la débauche estudiantine, complètement délirant pour un jeune puceau originaire d'un pays de tradition mahométane.
On se fait alors un before chez moi avec les deux potes en question que nous appellerons Mus et Key, plus une "pote" , Annie (je reviendrai plu tard sur les guillemets).
lorsqu'on sors de chez moi les 3 sont déjà relativement éméchés mais pas moi, je suis à peine plus joyeux que d'habitude. Malgré le fait que je boive rarement, je tiens plus que la moyenne des gens. j'ai alors l'idée généralissime de boire encore plus pour rattraper mon retard.
On arrive donc en ville, Annie rentre chez elle car elle ne se sent pas bien, on se retrouve donc entre couilles. On décide alors d'approcher des filles.
1rst aproach:
Deux HB 7 et 8. L'opener est des plus originaux: Mus crie "je vais gerber". Elles crient NON. On dis qu'on déconne blablabla. Elles sont plus âgées que nous et se montrent donc un peu bitchy.
J'arrive quand même a les faire rire et a arracher quelques IOI. Mais l'alcool est en train de monter et je n'arrive plus a trop me concentrer. Je perd immédiatement toute ma Verve et je suis lent a la détente.
A un moment elle veulent fumer, je leur prête mon briquet, et la sorti de nul part l'une d'elles nous sort:
HB7: vous savez ce qu'on dis, homme a feu homme a queue.
Mon cerveau est juste trop engourdi pour pouvoir sortir une réponse décente. SHIT
Les potes quelles attendaient arrivent peu de temps après et elles se barrent sans même un au revoir.
On continu a approcher quelques groupes même mixtes et a faire connaissance avec plein de gens. L’alcool a grandement réduit ma peur de l’approche mais aussi complètement court-circuité mes capacités cérébrales.
A un moment je me retrouve tout seul a parler avec une fille complémentent folle. Dans le bon sens du terme. C'est une HB6 extrêmement naturelle. Mes potes parlent avec les siens on est donc legerement isolés. Mais même pas 3 minutes plus-tard mes potes se ramènent et c'est mort.
Je rentre chez moi totalement épuisé et très déçu. Je retiens donc une seule morale a cette histoire, l'alcool n'est pas ton ami. j'ai lu plein de FR ou des gens vivaient des histoires hallucinantes étant bourré, well that just doesn' work for me.
Le probleme Annie:
Depuis le début de l'année on se lance des sourires, des regards assez intenses. Début Octobre on commence a se parler de plus en plus et mon attirance pour elle dégringole significativement. Je la trouve toujours trés belle et très feminine, mais elle a de sérieux problèmes émotionnels auxquels je ne suis pas pret a me frotter.
Je prend donc une décision que je n'aurai jamais cru prendre un jours, d'habitude ça se fais contre mon gré: je met cette fille en friend zone.
On s'est fait un domac il y a quelques jours et on a parlé de ses problems avec son ex. Je trouve sa vraiment trés enrichissant de parler de truc personnels avec une fille. J'en ai rarement eu l'occasion au cours de ma vie, d'habitude je me contente de déblatérer une quantité incommensurable de conneries , c'est vraiment la première fois que je parle sérieusement avec une fille.