L'amour et le sexe sont ils nécessaires au bonheur humain ?

Note : 2

le 26.01.2014 par SpaceOdyssey

13 réponses / Dernière par LuxLisbon le 02.02.2014, 18h24

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
SpaceOdyssey a écrit :je me demandais un truc l'autre jour, est il possible pour un humain de se passer de ça toute sa vie en étant heureux ?
Oui, mais.
Oui c'est possible, mais ce doit être soit par choix (par exemple un vœu de chasteté induit par une foi sincère), soit par manque d'intérêt (il existe des syndromes qui suppriment toute envie sexuelle et sentimentale). Dit autrement, il ne doit pas s'agit d'un renoncement ou d'une contrainte, ni même d'un choix par défaut ou par dépit. Autant te dire que ce sont des exceptions.
Du coup ça répond à tes autres questions : ces quelques cas n'impliquent pas de misère sentimentale ou sexuelle parce qu'ils n'en ressentent aucune. Et du coup, pas de refoulement non plus.

Dans le cas contraire ? Peut-on être heureux en refoulant ses désirs ? La réponse est dans la question non ?
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Vos réponses m'ont permis de cerner le truc , entre situation subie ou choisie , j'y vois un peu plu clair merci :P
Bien sûr. Je n'ai ni amour ni sexe et je vis fort bien.

Quand je m'ennuie, j'enflamme un SDF (ou j'égorge un chiot) et ça me suffit pour au moins une semaine.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Mdr !! le 29.03.14, 08h57 par wayl
Je crois, comme Marshall, qu'une forme de lien social est nécessaire à l'épanouissement, au bien-être. Ça peut être l'amitié, la famille (quand on s'entend bien avec, parce que sinon, ça peut être le lieu de la pire aliénation possible), l'amour-passion...

Après, dans l'absolu, on peut vivre sans être en couple, sans sexe, et être très heureux. Mais il ne faut pas que ce soit une frustration, il ne faut pas en avoir envie, désespérer, et décider de vivre sans car on n'y arrive pas. Si on a envie d'y goûter... il faut y goûter.
Je remarque que j'ai tristement plus d'énergie pour écrire quand je baise peu. C'est quelque chose d'un peu pervers parce que du coup, ça me rend triste de ne pas avoir le temps / l'énergie pour écrire quand ma vie sexuelle est planante, et à l'inverse quand j'écris beaucoup sur le plan personnel c'est pas génial.

A mon sens, il n'y a pas de norme. Il n'y a que des manières d'envisager sa propre existence et son rapport aux autres. Si on souffre, il faut y remédier. Si on ne souffre pas, il n'est pas utile de se forcer (je pense aux asexuels qui vivent des relations amoureuses qui les font souffrir). C'est aussi "simple" que ça.
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