t'a raison, je demande une solution mais au fond c'est pas ce que je veux. Plutôt des axes de réflexions et un œil extérieur. Parce qu'effectivement, si j'applique une solution toute faite, j'en apprendrais rien.
En ce qui concerne la profondeur et la gravité de mon problème de Dépendance affective, c'est particulier parce que c'est à la fois très profond et loin d’être désespéré.
Très profond parce que durant ma période collège ou "4ans en enfer", j'ai été bien trop désespéré et touché à propos de ma situation. Et tout mes "problèmes relationnels" viennent de là. Quand, à 13 ans, on se sent tellement impuissant que c'est seulement une fois la corde de jardinage passée autour du cou, qu'on se rend compte que de toute façon on mourra un jour, et qu'il reste des choses à faire, on est quand même au fond du trou.
Heureusement des fois c'est en touchant le fond qu'on rebondis.
Loin d'être désespéré parce qu'après ça, j'ai eu une grosse prise de conscience qui a fait qu'en entrant au lycée, j'étais déja conscient que j'avais ancré une blessure et j'essayais d'y remédier. J'étais pas encore capable de placer les mots "dépendance affective" dessus, mais c'était un début de prise de confiance.
Il faudrait que j'essaye de me souvenir des sensations que j'avais durant cette période collège, en ce qui concerne les filles.
Parce qu'en seconde, début de ma reconstruction, j'avais une quantité énorme d'amies filles, tout le temps friendzoné

j'étais lourd avec, ayant tout le temps peur de les perdre, des que je me prenais un vent par sms etc. Il a fallu que j'exprime toute cette lourdeur, ce coté needy, que je perde une partie de ces amies, pour qu'enfin je me libère de cette peur de perdre des amis (filles comme garçon), de me sentir rejeté.
Niveau relations amicales ce problème est résolu, mais apparemment lorsque la relation dépasse l'amitié, il y a des restes.