Reprendre de zero... Changer sa vie

Note : 4

le 10.09.2017 par DunDeal

9 réponses / Dernière par DunDeal le 11.09.2017, 16h06

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
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Bonjour à tous, alors je vais essayer de faire court, en essayant de synthétiser un max.

Actuellement j'ai 23 ans, je vis sur la côte d'Azur, j'ai déménagé il y a 4 ans et demie et ce changement de ville à fait que j'ai eu un déclic dans ma vie, mais depuis ce déclic j'ai développé une forte anxiété.

Ma situation antérieure :

Depuis que je suis petit, j'ai toujours eu du mal à me faire des amis, j'ai été beaucoup sujet a des moqueries en tout genre, jusqu'à mes 19 ans je me suis réfugier dans les jeux chez moi je sortais jamais, je me souciais pas de ne pas avoir de copine d'être puceau, de sortie avec le peu d'amis que j'avais, j'esquivais les soirée de mes potes pour jouer.

Ma situation actuelle :

Après m'être installer dans ma nouvelle ville, j'ai eu ce fameux déclic je me suis rendu compte que j'ai gâcher ma vie, je n'ai aucun amis, jamais eu de copine, toujours puceaux, maintenant je veux sortir, rencontrer des filles, avoir des amis faire ce que j'aime. Bref une bonne chose vous allez me dire mais c'est la que les soucis ont commencer.

Voila pour résumer en quelques mots.

Plutôt que de me motiver et cherche des solutions pour changer et me sortir les doigts, j'ai commencer a avoir des pensé négatives du genre "regarde toi ta pas de potes pas de copine, tu vaut rien", la moindre situation qui dérange me fais déprimer pendant plusieurs jours. Par exemple deux mecs qui parlent de leur coup en soirée, je me rabaisse dans ma tête en me disant que moi je suis tjr Célibataire etc etc..

Cette anxiété me soule à un point ou j'ai souvent des période où je déprime c'est un peu le yoyo, je dors toujours mal. Je cogite sans arrêt et j'ai fabriquer un mécanisme efficace dès il s'agit d'esquiver mes problèmes, d'être pessimiste, de me rabaisse et j'arrive pas à m'en défaire, j’ai peur de rester le même toute ma vie.

J'ai intégré un BTS que j'ai obtenu, mais voilà j'étais un peu la tête de turc de la classe je les mal vécu, je suis ressortie avec un diplôme mais toujours pas de pote. Sa fais que je peux parler à personne de tout ses soucis qui me tracasse.

J'ai commencer à consulter une psychothérapeute, (j'ai débuter une thérapie) sa fais un mois, elle m'a dit que j'ai développé un trouble anxieux généralise, elle a visait juste mais par la suite elle m'a dit que des évidences comme par exemple "Il faut arrêter de tout mentaliser, de vouloir tout contrôler, oublier votre passé, essayer de sortir un maximum pour vous faire des amis...", j'étais en quête de solution me débarrasser de ses pense négative, je m'attendais à ce qu'elle me propose une méthode concrète pour me débarrasser de sa. Elle m’a dit en gros Des choses que je savais déjà limite.

Pourquoi Le titre rependre de zéro... changez sa vie ? Parce que je me déteste physiquement surtout, vraiment je dresse de moi un tableau noir. Je mesure 1m80 pour 55 kg, tout ce que j'ai entrepris pour grossir je les abandonné voyant que y avait pas de résultat. J'aimerais bien bosser sur sa. On dit qu'il faut s'aimer avant tout et j'aimerais tout faire avoir une meilleure image de moi. J’aimerais changer beaucoup de chose chez moi pour avoir une vie meilleure mais je sais pas par ou commencer, surtout que j’ai une obsession concernant les filles, genre si j’ai pas de copine sa veut dire que j’ai rater ma vie, à cause de la pressions sociale sûrement, j'ai le contact facile avec les gens mais dès qu’ils s'agis de draguer des filles je bloque, je les met sur un pied d'estale, et c’est la justement ou mes complexe de révèlent le plus.

J'aimerais avoir votre avis sur tout sa, tous vos conseils sont le bienvenu et me seront d'une grande aide.

Merci.

Ton message tombe à point.

Je m'apprêtais à refaire surface tôt ou tard.
Et ta situation ressemble à la mienne. Sur certains détails importants.

Alors, voilà une réponse à ton sujet :
[...] mais par la suite elle m'a dit que des évidences comme par exemple [...]

[...] j'étais en quête de solution me débarrasser de ses pense négative, je m'attendais à ce qu'elle me propose une méthode concrète pour me débarrasser de sa. Elle m’a dit en gros Des choses que je savais déjà limite.[...]
En fait, là est le piège:

Savoir n'est pas vivre.
N'est pas ressentir.

Tu le comprends avec les mots, mais pourtant ta situation est telle que tu es dans ce gouffre. Donc, tu le sais, mais tu ne le vis pas.

Pourquoi ?

Il y a une multitude de facteurs possibles et à prendre en compte.

Le point central qui relie tous ces facteurs : la responsabilisation.

Laisse-moi t'expliquer, en gros, ma situation avant de reprendre le point du dessus.

En octobre 2016, grosse crise d'anxiété (avec des symptômes bien hards, mais je ne savais pas que c'était l'anxiété à ce moment).

J'étais aussi parti à l'étranger pour me refaire une vie, mais c'est arrivé. Pourtant, j'avais déjà pas mal voyagé (mais j'ai senti des périodes bizarres, avec du recul).

De fil en aiguille, j'en suis arrivé à totalement m'isoler.

Littéralement des journées dans le lit, à ne rien faire. Mal aux muscles à refaire certains mouvements, tellement j'étais dans une léthargie. Perte de poids, entre autres. 181cm pour 57kg. Et des symptômes d'anxiété très gênant. Du genre vertiges, palpitations, jambes qui flageolent, l'impression que ma mort approche, me réveiller d'angoisses en pleine nuit, et des trucs bien plus terrifiants... je ne te dis pas certains jours.

Là, je commence à voir le bout du tunnel, depuis peu.

A force de m'être isolé, d'avoir subi physiquement et mentalement.
Je commence à comprendre.

Qu'est-ce qui change ?
Cette notion de responsabilisation.

Pour moi, c'est arrivé par petits morceaux. Des morceaux espacés dans le temps. Puis, se rapprochant.

Un jour, je me suis réveillé, et je me suis rendu à l'évidence :
rien ne changera si ça ne vient pas de moi. C'est à moi d'agir.

Bien sûr, il faut ensuite internaliser cette réalité. Alors c'était encore des jours à rester enfermé chez moi. Mais avec cette notion en plus, qui commençait à prendre plus de place.

J'ai commencé à reprendre des actions. Manger plus sainement (ça, crois-moi, ça va beaucoup t'aider). Reparler à des gens. D'abord sur internet. Puis quelques rendez-vous. A trouver des personnes avec une autre vision de la vie, plus profonde, authentique. A méditer. A prendre mon temps de réfléchir. Moins m'éparpiller. A reprendre du sport...

Et tu sais quoi ? Après une course à pied, j'ai replongé.

Grosse crise d'anxiété. Je n'étais plus habitué au sport étant resté enfermé si longtemps. A la limite du malaise, et l'angoisse qui m'a bouffé. Boom, un mois en plus dans ma gueule, à rester enfermé :p.

Mais j'ai retenté le coup. J'ai divisé la distance par 3.
Et c'était mieux...

Tu comprends.

Faut pas t'attendre à résoudre en un coup ta situation, d'un point A à Z.
C'est plutôt une courbe, que tu dois tester.

Tu es dans un état où tu attends que les choses viennent de l'extérieur. Que ta vie change par des circonstances presque magiques. Comme par exemple d'avoir espéré de ton thérapeute une solution.

Je vais te dire la vérité : ça n'arrivera pas.

T'es seul.
Et c'est comme ça.

Tu peux te faire aider, c'est très bien. Tu peux trouver un forum où partager tes expériences, c'est très bien. Tu peux trouver tout ce que tu veux, si ça t'aide un peu à tenir le coup, bien.

Mais, au final, t'es seul, face à tes démons.

Seul toi pourra reprendre le "contrôle" de ta vie.
Un contrôle sain, dans une acceptation et une ouverture.

T'auras beau pleurer sur ton sort, t'acharner mentalement... ta situation restera la même tant que tu ne prendras pas cette notion de responsabilité à cœur.

Et pour ça, il faut du temps. Vivre certaines expériences.
Parfois au point de couler, bien au fond du trou du cul de ton esprit.

C'est comme ça. Tu dois l'accepter.
Accepter que tu joues le rôle de ta vie.

Apprendre aussi à délier les besoins et envies.
Même, plus profond, d'apprendre à te satisfaire du rien actuel de ta vie.

Tu crois que c'est pas possible ?
Je t'assure que si.

J'étais tellement isolé, que par la force des choses j'ai réalisé que je pouvais aussi être bien avec moi-même. Et finalement... tu ne peux être bien qu'avec toi-même. A partir de là, tu pourras t'ouvrir au monde.

Pour apprendre à bien vivre, apprends à bien mourir.
il n'y a pas d'autre réponse.

Courage.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+3] Bravo ! le 11.09.17, 01h06 par Nonchalance
  • [+1] +1 le 11.09.17, 18h43 par Vinsy

Balzac a écrit :J'étais tellement isolé, que par la force des choses j'ai réalisé que je pouvais aussi être bien avec moi-même. Et finalement... tu ne peux être bien qu'avec toi-même. A partir de là, tu pourras t'ouvrir au monde.
C'est exactement ça. Je n'ai jamais eu de crise d'angoisse et je n'ai jamais été dans une situation aussi extrême que toi mais j'ai toujours été seul et j'ai été longtemps dépressif. Et c'est exactement comme ça que je suis sorti de ma dépression.

Ravi de voir que même au fond du trou, les gens peuvent tout de même se tirer vers le haut, bravo!

Balzac a écrit :Ton message tombe à point.

Je m'apprêtais à refaire surface tôt ou tard.
Et ta situation ressemble à la mienne. Sur certains détails importants.

Alors, voilà une réponse à ton sujet :
[...] mais par la suite elle m'a dit que des évidences comme par exemple [...]

[...] j'étais en quête de solution me débarrasser de ses pense négative, je m'attendais à ce qu'elle me propose une méthode concrète pour me débarrasser de sa. Elle m’a dit en gros Des choses que je savais déjà limite.[...]
En fait, là est le piège:

Savoir n'est pas vivre.
N'est pas ressentir.

Tu le comprends avec les mots, mais pourtant ta situation est telle que tu es dans ce gouffre. Donc, tu le sais, mais tu ne le vis pas.

Pourquoi ?

Il y a une multitude de facteurs possibles et à prendre en compte.

Le point central qui relie tous ces facteurs : la responsabilisation.

Laisse-moi t'expliquer, en gros, ma situation avant de reprendre le point du dessus.

En octobre 2016, grosse crise d'anxiété (avec des symptômes bien hards, mais je ne savais pas que c'était l'anxiété à ce moment).

J'étais aussi parti à l'étranger pour me refaire une vie, mais c'est arrivé. Pourtant, j'avais déjà pas mal voyagé (mais j'ai senti des périodes bizarres, avec du recul).

De fil en aiguille, j'en suis arrivé à totalement m'isoler.

Littéralement des journées dans le lit, à ne rien faire. Mal aux muscles à refaire certains mouvements, tellement j'étais dans une léthargie. Perte de poids, entre autres. 181cm pour 57kg. Et des symptômes d'anxiété très gênant. Du genre vertiges, palpitations, jambes qui flageolent, l'impression que ma mort approche, me réveiller d'angoisses en pleine nuit, et des trucs bien plus terrifiants... je ne te dis pas certains jours.

Là, je commence à voir le bout du tunnel, depuis peu.

A force de m'être isolé, d'avoir subi physiquement et mentalement.
Je commence à comprendre.

Qu'est-ce qui change ?
Cette notion de responsabilisation.

Pour moi, c'est arrivé par petits morceaux. Des morceaux espacés dans le temps. Puis, se rapprochant.

Un jour, je me suis réveillé, et je me suis rendu à l'évidence :
rien ne changera si ça ne vient pas de moi. C'est à moi d'agir.

Bien sûr, il faut ensuite internaliser cette réalité. Alors c'était encore des jours à rester enfermé chez moi. Mais avec cette notion en plus, qui commençait à prendre plus de place.

J'ai commencé à reprendre des actions. Manger plus sainement (ça, crois-moi, ça va beaucoup t'aider). Reparler à des gens. D'abord sur internet. Puis quelques rendez-vous. A trouver des personnes avec une autre vision de la vie, plus profonde, authentique. A méditer. A prendre mon temps de réfléchir. Moins m'éparpiller. A reprendre du sport...

Et tu sais quoi ? Après une course à pied, j'ai replongé.

Grosse crise d'anxiété. Je n'étais plus habitué au sport étant resté enfermé si longtemps. A la limite du malaise, et l'angoisse qui m'a bouffé. Boom, un mois en plus dans ma gueule, à rester enfermé :p.

Mais j'ai retenté le coup. J'ai divisé la distance par 3.
Et c'était mieux...

Tu comprends.

Faut pas t'attendre à résoudre en un coup ta situation, d'un point A à Z.
C'est plutôt une courbe, que tu dois tester.

Tu es dans un état où tu attends que les choses viennent de l'extérieur. Que ta vie change par des circonstances presque magiques. Comme par exemple d'avoir espéré de ton thérapeute une solution.

Je vais te dire la vérité : ça n'arrivera pas.

T'es seul.
Et c'est comme ça.

Tu peux te faire aider, c'est très bien. Tu peux trouver un forum où partager tes expériences, c'est très bien. Tu peux trouver tout ce que tu veux, si ça t'aide un peu à tenir le coup, bien.

Mais, au final, t'es seul, face à tes démons.

Seul toi pourra reprendre le "contrôle" de ta vie.
Un contrôle sain, dans une acceptation et une ouverture.

T'auras beau pleurer sur ton sort, t'acharner mentalement... ta situation restera la même tant que tu ne prendras pas cette notion de responsabilité à cœur.

Et pour ça, il faut du temps. Vivre certaines expériences.
Parfois au point de couler, bien au fond du trou du cul de ton esprit.

C'est comme ça. Tu dois l'accepter.
Accepter que tu joues le rôle de ta vie.

Apprendre aussi à délier les besoins et envies.
Même, plus profond, d'apprendre à te satisfaire du rien actuel de ta vie.

Tu crois que c'est pas possible ?
Je t'assure que si.

J'étais tellement isolé, que par la force des choses j'ai réalisé que je pouvais aussi être bien avec moi-même. Et finalement... tu ne peux être bien qu'avec toi-même. A partir de là, tu pourras t'ouvrir au monde.

Pour apprendre à bien vivre, apprends à bien mourir.
il n'y a pas d'autre réponse.

Courage.
Salut et merci pour ta réponse, ce qui est frustrant justement c'est comme tu l'as dit, c'est que je sais ce qui cloche que je connais les solutions on va dire, mais je végète quand mêmes.

Par exemple pour grossir je sais que mon problème c'est que je mange que 1 repas par jour, l'anxiété n'y est pas étrangère, ya des jours où il y a des soucis qui me préoccupe tellement que j'en perd l'appétit, la j'ai essayer de prendre au moins le petit déjeuner le matin je l'ai fais 3 jours et j'ai de nouveau laisser tomber. Je me lève le lendemain je me dit "tu la pas fais t'es con".

J'aimerais bien faire du beatmaking, j'ai même acheté le piano, et pourtant il a prends la poussière depuis 6 mois, parceque j'ai même pas l'envie parceque je cogite encore une fois ya des phrase du genre "Tu veux te mettre à la musique mais tu sors pas ta pas de potes pas de meuf c'est pas la priorité" , c'est quand même fou comme je cogite je mélange tout et sans le vouloir surtout j'arrive pas à parer sa je me laisse envahir.

Et le lendemain je me dit "T'es con tu t'es pas mis à la musique", c'est très frustrant.

Tu as raison je sais que les choses ne se feront pas en un jour, mais sa je le sais mais j'ai une impatience que je contrôle pas on dirais, j'arrive pas à "lâcher prise", je veut tout de suite avoir des muscles dessine une belle coupe de cheveux être bien fringues bref être bien dans sa peau.

Voilà, enfaite on veut changer mais l'anxiété s'amplifie quand on échoue car justement on veut régler sa au plus vite parcequ'on à marre, c'est un cercle vicieux c'est assez pervers enfaite je dirais.

Tu as sûrement raison sur la psychotropeute c'est vrai que je m'attendais à ce qu'elle me donne un plan d'action concret et j'avoue que je suis déçu, c'est vrai j'attend que sa vienne tout seul mais si j'ai posté ici c'est que j'en ai juste marre et il faut avouer que j'ai peur de l'avenir de rester le même.

Alors je veux te croire que c'est grâce à des expériences que j'aurais un déclic, mais lesquels ? Je n'ai pas vécu des expériences folle j'en ai pas eu l'occasion je m'en veut d'avoir rien foutu tout ce temps enfaite tu comprends.

Ton message est rassurant en tout je ne suis pas le seule , mon anxiété se passe que dans ma tête, j'ai pas de crise etc etc donc je vois que tu arrive à t'en sortir donc moi aussi je peux me faire merci pour tout.

Nonchalance a écrit :
Balzac a écrit :J'étais tellement isolé, que par la force des choses j'ai réalisé que je pouvais aussi être bien avec moi-même. Et finalement... tu ne peux être bien qu'avec toi-même. A partir de là, tu pourras t'ouvrir au monde.
C'est exactement ça. Je n'ai jamais eu de crise d'angoisse et je n'ai jamais été dans une situation aussi extrême que toi mais j'ai toujours été seul et j'ai été longtemps dépressif. Et c'est exactement comme ça que je suis sorti de ma dépression.

Ravi de voir que même au fond du trou, les gens peuvent tout de même se tirer vers le haut, bravo!
C'est drôle enfaite c'est en restant au fond du trou que tu sors de sa, Pourquoi nous on devrait attendre que sa vienne tout seul surtout que sa peut se débloquer dans quelque mois comme dans quelques années, il y a aucune certitude.

Sa veut que les psy pour nous, nous aide pas ? Que les thérapies ne servent à rien si nous même déjà on a pas un enclenchement qui vient de nous ?

Brako a écrit :Je pense que tout d'abord tu dois mettre un terme à ta pensée limitante "j'ai raté ma vie car j'ai pas decopine à 23 ans", oui je sais c'est facile à dire, mais du moins repenser à toi de manière objective. 23 ans c'est très jeune et laisse moi te dire d'experience que tu as encore de belles années devant toi pour évoluer dans le bon sens et enfin atteindre cette "normalité" à laquelle tu aspires.

Tu dois faire cela étape par étape.

Premièrement tu as obtenu ton BTS bravo, mais as tu un job où tu pourrais commencer à socialiser?
Salut et merci pour ton message, "repenser à toi de manière, objectif" bonne idée mais comment sa s'applique en pratique ? c'est une question bête pour toi je pense mais moi qui arrive à lutter contre ses pensées je suis un peu démunie.

23 ans c'est jeune, mais je pense que j'ai le temps, mais quand des personne me dise des phrase du genre "Les meilleur année lycée c'est les meilleure profite en" sa me met dans un sale état, sa m'influence facilement tu comprends, je regrette tellement d'avoir "rater" ma jeunesse que je veux me rattrape aussi vite que je peux.

Je pense que je devrais faire étape par étape, mais je sais pas par ou commencer, est ce que je doit commencer à changer l'image de moi, faire du sport avant de penser à une relation ?

Merci alors il faut savoir que paradoxalement au niveau de ma vie professionnelle je suis sur de ce que je veux faire, je persévère je lâche pas, après mon BTS j'ai bosser 1 an et demie, j'ai connu un gas de 21 ans, j'ai pris son numéro avant de quitter mon emploi, il m'a proposer que si je passais dans sa ville je l'appel et tout, ce que j'ai fais mais la il m'a sortie "je peux pas ce weekend j'aide un pote à déménager depuis lundi" , et sa souvent été sa je propose à des personnes et sa capote toujours à la fin. Je peux pas non plus insister...

Je reprends une licence pro demain, j'ai eu ma pre rentrée j'ai fais la connaissance de 2-3 gas que je trouve sympathique. Je suis capable de vite parler avec les gens, je suis pas timide complètement renfermé sur soi même, mais c'est l'étape supérieur qui me bloque, quand il faut proposer un truc aux gas la je flippe...

Voilà, enfaite on veut changer mais l'anxiété s'amplifie quand on échoue car justement on veut régler sa au plus vite parcequ'on à marre, c'est un cercle vicieux c'est assez pervers enfaite je dirais.
Se mettre à la musique c'est très bien, sauf que ça demande régularité, travail, motivation et beaucoup de temps. C'est propice au découragement.

Contente toi de petites victoires pour l'instant. Essaye de te surpasser en cuisine. Ca prends 2 heures tout au plus et tu peux être très fier de toi quand tu réussi un plat. Et puis ca te fera manger ! Plein de choses gratuites et faciles peuvent te faire gagner un peu en estime de soi. La cuisine et la balade en font parti. Tu peux commencer par-là.

DunDeal a écrit : [...]C'est que je sais ce qui cloche que je connais les solutions on va dire, mais je végète quand mêmes.[...]
Parce que tu fais ces choses dans un besoin.
Pour les autres. Ou du moins, pas pour toi-même.
Dans une attente.

Tu veux prendre du poids dans l'espoir de plaire.
Faire certaines activités dans cette même optique.

Pourquoi, à ton avis, tu es sûr de ce que tu veux faire professionnellement ?
Car tu le fais pour toi. Tu sais ce que tu veux à ce niveau.

C'est aussi simple que ça.

Délier besoins et envies.

Ça ne signifie pas que tu ne feras pas de sport pour reprendre du poids, par exemple.
Simplement, tu le feras pour les bonnes raisons.

DunDeal a écrit : Alors je veux te croire que c'est grâce à des expériences que j'aurais un déclic, mais lesquels ? Je n'ai pas vécu des expériences folle j'en ai pas eu l'occasion je m'en veut d'avoir rien foutu tout ce temps enfaite tu comprends.
L'expérience, c'est ta vie.

Et si tu crois qu'il ne se passe rien, tu te trompes.
Il se passe 10000000 choses en toi. Et c'est là que tu dois trouver ta source.

Te responsabiliser... Te centrer sur toi-même.
Lâcher prise, comme tu dis, envers toute cette merde externe, toxique pour l'instant.

Tu n'as pas besoin de vivre des expériences folles pour atteindre ce lâcher prise.
Encore une fois, cela ne viendra pas de l'extérieur.

Tu as juste besoin de développer ta conscience personnelle.
D'aller fouiller en toi afin de dénouer les nœuds.

Tu ne vas absolument rien rater. Ce que tu dois vivre, tu le vivras.
Mais tu peux décider comment le vivre. Et surtout, y réagir.

Balzac a écrit :
DunDeal a écrit : [...]C'est que je sais ce qui cloche que je connais les solutions on va dire, mais je végète quand mêmes.[...]
Parce que tu fais ces choses dans un besoin.
Pour les autres. Ou du moins, pas pour toi-même.
Dans une attente.

Tu veux prendre du poids dans l'espoir de plaire.
Faire certaines activités dans cette même optique.

Pourquoi, à ton avis, tu es sûr de ce que tu veux faire professionnellement ?
Car tu le fais pour toi. Tu sais ce que tu veux à ce niveau.

C'est aussi simple que ça.

Délier besoins et envies.

Ça ne signifie pas que tu ne feras pas de sport pour reprendre du poids, par exemple.
Simplement, tu le feras pour les bonnes raisons.

DunDeal a écrit : Alors je veux te croire que c'est grâce à des expériences que j'aurais un déclic, mais lesquels ? Je n'ai pas vécu des expériences folle j'en ai pas eu l'occasion je m'en veut d'avoir rien foutu tout ce temps enfaite tu comprends.
L'expérience, c'est ta vie.

Et si tu crois qu'il ne se passe rien, tu te trompes.
Il se passe 10000000 choses en toi. Et c'est là que tu dois trouver ta source.

Te responsabiliser... Te centrer sur toi-même.
Lâcher prise, comme tu dis, envers toute cette merde externe, toxique pour l'instant.

Tu n'as pas besoin de vivre des expériences folles pour atteindre ce lâcher prise.
Encore une fois, cela ne viendra pas de l'extérieur.

Tu as juste besoin de développer ta conscience personnelle.
D'aller fouiller en toi afin de dénouer les nœuds.

Tu ne vas absolument rien rater. Ce que tu dois vivre, tu le vivras.
Mais tu peux décider comment le vivre. Et surtout, y réagir.
Je veux aussi prendre du poids pour améliorer l'image que j'ai de moi même aussi, je devrais pas chercher à plaire aux autres je doit d'abord m'aimer tel que je suis et ce n'est pas le cas. Donc oui peut être que c'est pour plaire derrière tout sa mais c'est surtout pour améliorer mon estime de moi qui est très faible mais la je bloque vu que je n'arrive pas à manger correctement, même quand il s'agit de faire du sport, je me dit que déjà je mange pas bien pourquoi faire du sport ? Du coup je n'en fais pas non plus.

Professionnellement c'est que je sais ce que je veux et je suis déterminée à réussir. Mais au niveau de la vie privé j'ai sûrement du mal délier l'envie et mes besoin mais sa fais trop longtemps que en stagne alors j'ai du mal à faire le tri de mes envies et de mes besoins, définir mes priorités surtout.

Le lâcher prise, parlons en, je n'arrive pas à prendre le temps, d'avoir de ma réflexion, vu que j'ai une espèce de à préssion. Ya Plein de truc qui me font cogiter du coup j'arrive pas à lâcher prise, j'ai appris que mon cousin allez se marier j'étais fier de lui, mais sa ma miner, tu vois c'est plein de petit truc comme sa que sont capable de m'influencer, j'analyse tout mais j'arrive pas à faire le tri. Et c'est cette merde toxique que je garde le plus en moi.

Tu parle beaucoup de responsabilités, se centrer sur soi même ? Mais sa passe par quoi tout sa enfaite ?

valll a écrit :
Voilà, enfaite on veut changer mais l'anxiété s'amplifie quand on échoue car justement on veut régler sa au plus vite parcequ'on à marre, c'est un cercle vicieux c'est assez pervers enfaite je dirais.
Se mettre à la musique c'est très bien, sauf que ça demande régularité, travail, motivation et beaucoup de temps. C'est propice au découragement.

Contente toi de petites victoires pour l'instant. Essaye de te surpasser en cuisine. Ca prends 2 heures tout au plus et tu peux être très fier de toi quand tu réussi un plat. Et puis ca te fera manger ! Plein de choses gratuites et faciles peuvent te faire gagner un peu en estime de soi. La cuisine et la balade en font parti. Tu peux commencer par-là.
Tout à fais c'est un sacré défi mais je me suis demande si j'étais prêt pour sa.

J'avais penser à la cuisine pour faire des bons plat pour me donner de l'appétit, pourquoi pas tu as raison merci :)

J'ai du mal à rester seul maintenant, rien que pour une balade, la faire tout seul me rebute limite.

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