Ta réputation c'est le baromètre de ton intelligence sociale. Il faut pas en être esclave, mais faut l'entretenir aussi car ça t'ouvre des portes et te facilite la vie d'une manière générale.
Refuser en bloc le regard des autres c'est se coincer dans une vie marginalisante, y'a pas grand chose à gagner là dedans sauf fierté bizarre.
La Réputation
Comme souvent y a plus d’intelligence a trouver dans les nuances que dans les grands principes…
FK a tout dit. Si tu choisis de vivre ta vie seul sans jamais avoir besoin des autres, tu peux t’en foutre.
Sinon ta réputation est globalement souvent un reflet de ton savoir être avec les autres, et ce manque de savoir être va impacter une bonne partie de tes futures relations sociales.
Bref la réputation c’est juste le thermomètre
FK a tout dit. Si tu choisis de vivre ta vie seul sans jamais avoir besoin des autres, tu peux t’en foutre.
Sinon ta réputation est globalement souvent un reflet de ton savoir être avec les autres, et ce manque de savoir être va impacter une bonne partie de tes futures relations sociales.
Bref la réputation c’est juste le thermomètre

Faut sans doute relativiser quand même.
À notre échelle, on est souvent que des anonymes.
Habitués d'un lieu ou pas, la vie urbaine est aujourd'hui telle que de réputation, il n'y a guère en dehors d'un cercle de connaissances sur lequel on a travaillé activement ou qui survient par contrainte (le typique huis-clos du travail). C'est à la fois un avantage et un inconvénient. Ça donne une liberté (on peut avoir des habitudes dans un endroit sans avoir une réputation avec tout ce que ça peut avoir de négatif), mais d'un autre côté ça ne bossera pas pour nous.
Dans un milieu professionnel, tout dépend des relations aux personnes clés et de l'impact des on dit sur eux. Quand tu connais ta chaîne de commandement et a de bonnes relations avec et que ce sont pas des pleutres, tu peux te permettre de pas avoir une réputation immaculée. Mais en dehors des cas extrêmes, je ne vois pas beaucoup de cas où ta réputation peut te freiner, c'est largement une question de degré (si tu as une réputation de sale con avec des clients ou des collègues ou d'incompétent, ça peut jouer, mais pour en arriver là faut souvent en faire).
Pour moi tout dépend de la sensibilité et de la nature des choses que l'on peut te prêter. Qui est d'ailleurs loin d'être forcément lié à ton attitude. Très souvent ta seule présence va déranger parce que tu n'as pas la bonne carte, les bonnes valeurs selon les personnes en place, la bonne formation, la bonne recommandation, etc. Ou parce que tu es vu comme un obstacle à des ambitions personnelles, ou quelqu'un qui va "prendre de l'espace".
Après c'est jamais bon d'être une girouette et de changer pour s'adapter à tout, mais ça reste bon de garder un oeil dans le rétroviseur pour ne pas se faire pousser sur le bas-côté. Faut juste ignorer ce qui ne mérite pas d'attention, et plutôt que de prêter de l'attention aux rumeurs mêmes, il est plus important de reporter son attention sur ceux qui les diffusent et leurs raisons.
(Et pour ce qui est du refus en bloc du regard des autres, ça peut quand même être une chose saine, être adapté à une société malade n'est pas un signe de bonne santé).
À notre échelle, on est souvent que des anonymes.
Habitués d'un lieu ou pas, la vie urbaine est aujourd'hui telle que de réputation, il n'y a guère en dehors d'un cercle de connaissances sur lequel on a travaillé activement ou qui survient par contrainte (le typique huis-clos du travail). C'est à la fois un avantage et un inconvénient. Ça donne une liberté (on peut avoir des habitudes dans un endroit sans avoir une réputation avec tout ce que ça peut avoir de négatif), mais d'un autre côté ça ne bossera pas pour nous.
Dans un milieu professionnel, tout dépend des relations aux personnes clés et de l'impact des on dit sur eux. Quand tu connais ta chaîne de commandement et a de bonnes relations avec et que ce sont pas des pleutres, tu peux te permettre de pas avoir une réputation immaculée. Mais en dehors des cas extrêmes, je ne vois pas beaucoup de cas où ta réputation peut te freiner, c'est largement une question de degré (si tu as une réputation de sale con avec des clients ou des collègues ou d'incompétent, ça peut jouer, mais pour en arriver là faut souvent en faire).
Pour moi tout dépend de la sensibilité et de la nature des choses que l'on peut te prêter. Qui est d'ailleurs loin d'être forcément lié à ton attitude. Très souvent ta seule présence va déranger parce que tu n'as pas la bonne carte, les bonnes valeurs selon les personnes en place, la bonne formation, la bonne recommandation, etc. Ou parce que tu es vu comme un obstacle à des ambitions personnelles, ou quelqu'un qui va "prendre de l'espace".
Après c'est jamais bon d'être une girouette et de changer pour s'adapter à tout, mais ça reste bon de garder un oeil dans le rétroviseur pour ne pas se faire pousser sur le bas-côté. Faut juste ignorer ce qui ne mérite pas d'attention, et plutôt que de prêter de l'attention aux rumeurs mêmes, il est plus important de reporter son attention sur ceux qui les diffusent et leurs raisons.
(Et pour ce qui est du refus en bloc du regard des autres, ça peut quand même être une chose saine, être adapté à une société malade n'est pas un signe de bonne santé).
Je dirais que c’est une question de dosage et de contexte.
Un comportement « trop » désinvolte vis à vis des autres sera rarement bien perçu. Et ça peut devenir une mauvaise habitude.
Un comportement « trop » désinvolte vis à vis des autres sera rarement bien perçu. Et ça peut devenir une mauvaise habitude.