C'est un peu ça le problème, tu projettes tout un tas de truc sur la relation de Val. Mais ce n'est pas parce que tu ne sais pas faire quelque chose que c'est impossible. Quand quelqu'un va mal, bien sur le premier réflexe c'est "qu'est ce que je peux faire pour t'aider". Et parfois, oui il y a des choses très concrètes à faire ponctuellement (tu peux héberger quelqu'un qui galère, l'aider à déménager, si ta meuf a la grippe, tu peux lui faire une soupe, etc). Mais sur le long terme, on n'aide pas quelqu'un en sacrifiant sa vie, en faisant tout à sa place (bon il y a quelques cas exceptionnels, mais on en est loin ici).Tu parles d'aider sans se transformer en larbin, désolé mais moi je sais pas faire.
Par contre tu peux être présent par des actions ponctuelles, de l'écoute active (il y a des tas de ressources là-dessus), l'aider à se changer les idées ou au contraire à réfléchir à des solutions qui sont propre à cette personne (et pas forcément celle que toi tu as en tête -- même si elles te paraissent bien meilleures

Le paradoxe c'est que juste se poser, être vraiment là et à l'écoute c'est souvent plus compliqué que de faire le larbin. Et c'est quelque chose qui est un peu contre-intuitif pour les profils rationnels (je m'inclus dans le tas), mais ça se travaille. Et c'est pas juste du blabla, je l'ai testé par moi même dans des situations très très galère (burnout, maladie grave, sans-papiers en situation désespérée, etc).
Justement, on n'en sait rien. Il a voulu bien faire et prendre les devants, mais on n'a pas d'autres éléments sur comment elle gérait la situation de son côté. Val, tu nous en dira plus si tu veux, je ne vais pas spammer ton journal au delà des quelques pistes évoquées ci-dessus.Le problème c'est qu'elle n'était pas capable d'assurer sa part,