Réflexions sur la MM
Trooper,
A mon humble avis ce n'est pas ça le problème.
Il semble souhaitable:
1°) de VRAIMENT chercher à comprendre le sens de la méthode débattue
2°) de ne faire de procès d'intention ou d' "AFC-sorcellerie" à personne
Amicalement...
PS: cela dit je te rejoins sur le marketing professionnel américain
A mon humble avis ce n'est pas ça le problème.
Il semble souhaitable:
1°) de VRAIMENT chercher à comprendre le sens de la méthode débattue
2°) de ne faire de procès d'intention ou d' "AFC-sorcellerie" à personne
Amicalement...
PS: cela dit je te rejoins sur le marketing professionnel américain
Pour répondre à de La Vega,
J'ai essayé sa méthode, mais cela ne m'a amener à rien. J'ai accordé plus d'importance aux techniques & méthodes qu'à moi-même, en croyant que ce sont elles qui créaient de l'attraction, alors que l'attraction vient de nous.
Sinon, pour ceux qui n'auraient pas encore lu The Venusian Arts HandBook ou qui ont du mal à le trouver, MPez moi.
Franchement, mec, j'en ai rien secouer. Mystery n'est ni le bon dieu, ni jésus ou bouddha c'est juste un mec comme vous et moi à la base, qui s'est investi et a testé plein de trucs pour améliorer sa vie sociale. Il est juste un exemple à suivre afin de devenir artiste de sa vie, mais ce n'est pas une icone ou un leader.de La Vega a écrit : Mystery est très clair là-dessus.
Je ne suis pas d'accord avec ce qui est en gras, car le mec qui sait correctement verser le JUS comme dit aRise, possède la confiance, le bon BL, une forte personnalité, et ce trouve ainsi dans le premier cas : j'assume l'attraction. Et puis merde, arrêtez de dire qu'il faut être beau gosse pour assumer l'attraction. Steven Tyler, Gainsbarre, eux sont moches pour un mec, mais pour une femme ils ont du charme, et c'est là toute la différence.aRise a écrit :- J'assume l'attraction : c'est le cas du beau gosse, de la rock star, de l' alpha male, ces gens n'ont pas besoin de crée d'ATTRACTION au DEPART, car ils attirent naturellement un grande majorité de femmes.
Leur secret, la Source, la confiance, le Body Language et le physique. L'alpha mal est le meilleur exemple de l'attraction assumée.
- Je crée de l'attraction : c'est le gars du gars qui n'a pas un physique extraordinnaire mais ce n'est pas une généralité ou le gars qui naturellement ne fait pas d'attraction pour X raisons, mais qui connaît parfaitement les points faibles des femmes et sait donc comment crée de l'attraction. Leur secret : L'art de verser le JUS.
J'ai essayé sa méthode, mais cela ne m'a amener à rien. J'ai accordé plus d'importance aux techniques & méthodes qu'à moi-même, en croyant que ce sont elles qui créaient de l'attraction, alors que l'attraction vient de nous.
Et, puis de La Vega, pour te répondre, je ne supprime ni A2,A3, je change juste de modèle pour un qui me sied mieux dans ma nouvelle facon de voir les choses.Technique & méthodes = canne à pêche
Moi, mon attraction = appât
et non l'inverse![]()
Le livre, Le Zen d'ans l'art chevaleresque du tir à l'arc synthétise bien ce que je veux montrer.1. Ouverture
2. Démonstration de valeur / Amplification de l'attraction en utilisant la stratégie Lead, Bait, Chase
3. Connection Emotionnelle
4. Connection Physique
C'est un livre qui montre la difficile progression d'Herrigel dans l'apprentissage du kyudo (tir à l'arc traditionnel japonais), puis l'aboutissement l'orsqu'il parvient à dire à propos de son expérience "Quelque chose tire à ma place".La Préface, Daisetz T. Suzuki a écrit :Dès que nous réfléchissons, délibérons, conceptualisons, l'inconscience originelle se perd et une pensée s'interpose (ici, celle d'atteindre la cible, ndlr). La flèche a quitté la corde, mais elle ne vole pas directement vers la cible, et la cible n'est plus où elle est. Le calcul, qui est faux-calcul s'en mêle. Tout le tir à l'arc en est faussé. La confusion qui s'est glissée dans l'esprit de l'archer se traduit dans tous les sens et dans tous les domaines.
L'homme est bien un roseau pensant, mais ses plus grandes oeuvres se font quand il ne pense ni ne calcule. Il nous faut redevenir " comme des enfants " par de longues années d'entraînement à l'art de l'oubli de soi (cet oubli de soi n'est pas, dans le zen, conditionné comme il l'est dans le judéo-christianisme par l'idée de s'oublier " au profit des autres ". Le profit par d'autres (ou par soi-même) d'une action effectuée sans intention est considéré simplement comme un effet secondaire et non comme un but. (ndlr). Quand cet oubli de soi est réalité, l'homme pense et pourtant il ne pense pas; il pense comme les ondées qui tombent du ciel; il pense comme les vagues qui déferlent sur l'océan; il pense comme les étoiles qui illuminent le ciel nocturne; il pense comme le vert feuillage qui bourgeonne dans la paix de la brise vernale. En vérité, il est les ondées, l'océan, les étoiles, le feuillage.
Lorsqu'un homme est parvenu à cet état de développement " spirituel ", il est un artiste Zen de la vie ".
Sinon, pour ceux qui n'auraient pas encore lu The Venusian Arts HandBook ou qui ont du mal à le trouver, MPez moi.
PS
Dans The Venusian Arts HandBook, dans la partie consacré au GAME en zappant donc les 2 premiers chapitres qui sont bien évidemment des truismes, on trouve la répartition suivante
Phase Attraction (A1,A2,A3) = 122 pages soit 72% du bouquin
Mid & End Game = 46 Pages soit 28 % du bouquin
Se pose (une fois encore) le paradoxe des "méthodes" : elles sont là, décrivent minutieusement chaque étape du game, et on pourrait croire que les suivre à la lettre, les réciter à voix haute mène direct au succès, mais il n'en est rien, évidemment, comme le constate Wilton.
Le but fondé de ces méthodes est de vous fournir UN PLAN et PAS un speech tout fait.
Quand on sarge comme on doit sarger, on ne pense PAS technique : ça vient comme ça vient, on suit son instinct.
On observe les réactions de la fille, et de l'entourage, et on opte inconsciemment pour la bonne direction, sans même y penser, parce que ça semble tellement naturel qu'on y pense même pas.
Et, occasionnellement, l'esprit rationnel remonte à la surface, on a un sursaut de conscience qui nous dit "tiens, elle s'intéresse à moi, son intérêt à mon égard est notable".
Alors, on passe à la suite, là encore, sans y penser, sans se dire 'je passe à la suite', mais tout simplement parce que le fait d'avoir remarqué son intérêt, cette nouveauté dans votre perception des choses modifie votre façon d'être et d'agir.
Le vrai PUA suivra ainsi SANS Y PENSER, tel l'artiste zen, la voie vers le close - qu'elle soit OU PAS celle décrite dans la MM.
Son expérience lui permet de le faire sans y penser : il "voit" parfaitement ce qui se cache derrière la description de chacune des étapes de ces méthodes, il le voit et il le sent, il a interiorisé cette méthode, et, mieux encore, il l'a adaptée à sa perception des choses : il l'a faite sienne, au lieu d'essayer de s'y conformer, LUI.
Essayer de se conformer à cette méthode, au lieu de l'expérimenter pour essayer de l'intérioriser et de se l'approprier, risque, à mon sens, de vous faire tourner en rond, et, à terme, de vous décourager, voire, de vous dégouter.
Selon moi, il faut donc EXPERIMENTER, sans se préoccuper de savoir "ce qu'on fait" sur le moment, PUIS d'analyser sa session pour essayer de savoir si ça colle (OU PAS) à ce que décrit la méthode, et voir si le résultat est satisfaisant. * Au bout d'un moment, la méthode est faite sienne : on a mis des mots sur ce qu'on FAIT déjà (mais sans savoir le nommer).
L'intérêt ? Ce que vous pouvez nommer, vous en avez une conscience plus aigue.
* Et pas l'inverse (se faire un plan calqué sur la méthode).
Un mec qui s'attache à suivre et à valider une succession d'étapes se prive de trop de choses, à commencer par le plaisir du naturel.
On peut alors peut être simplifier les choses en considérant que les méthodes ne sont pas des méthodes, mais des EXPLICATIONS : la grammaire de la sarge.
On peut savoir écrire, et avoir du style, sans pour autant savoir nommer les règles de grammaire que l'on emploie - mais il est plus difficile d'apprendre à écrire par la seule orchestration de ces mêmes règles : l'impulsion doit venir de soi, pas de la Technique.
Le but fondé de ces méthodes est de vous fournir UN PLAN et PAS un speech tout fait.
Quand on sarge comme on doit sarger, on ne pense PAS technique : ça vient comme ça vient, on suit son instinct.
On observe les réactions de la fille, et de l'entourage, et on opte inconsciemment pour la bonne direction, sans même y penser, parce que ça semble tellement naturel qu'on y pense même pas.
Et, occasionnellement, l'esprit rationnel remonte à la surface, on a un sursaut de conscience qui nous dit "tiens, elle s'intéresse à moi, son intérêt à mon égard est notable".
Alors, on passe à la suite, là encore, sans y penser, sans se dire 'je passe à la suite', mais tout simplement parce que le fait d'avoir remarqué son intérêt, cette nouveauté dans votre perception des choses modifie votre façon d'être et d'agir.
Le vrai PUA suivra ainsi SANS Y PENSER, tel l'artiste zen, la voie vers le close - qu'elle soit OU PAS celle décrite dans la MM.
Son expérience lui permet de le faire sans y penser : il "voit" parfaitement ce qui se cache derrière la description de chacune des étapes de ces méthodes, il le voit et il le sent, il a interiorisé cette méthode, et, mieux encore, il l'a adaptée à sa perception des choses : il l'a faite sienne, au lieu d'essayer de s'y conformer, LUI.
Essayer de se conformer à cette méthode, au lieu de l'expérimenter pour essayer de l'intérioriser et de se l'approprier, risque, à mon sens, de vous faire tourner en rond, et, à terme, de vous décourager, voire, de vous dégouter.
Selon moi, il faut donc EXPERIMENTER, sans se préoccuper de savoir "ce qu'on fait" sur le moment, PUIS d'analyser sa session pour essayer de savoir si ça colle (OU PAS) à ce que décrit la méthode, et voir si le résultat est satisfaisant. * Au bout d'un moment, la méthode est faite sienne : on a mis des mots sur ce qu'on FAIT déjà (mais sans savoir le nommer).
L'intérêt ? Ce que vous pouvez nommer, vous en avez une conscience plus aigue.
* Et pas l'inverse (se faire un plan calqué sur la méthode).
Un mec qui s'attache à suivre et à valider une succession d'étapes se prive de trop de choses, à commencer par le plaisir du naturel.
On peut alors peut être simplifier les choses en considérant que les méthodes ne sont pas des méthodes, mais des EXPLICATIONS : la grammaire de la sarge.
On peut savoir écrire, et avoir du style, sans pour autant savoir nommer les règles de grammaire que l'on emploie - mais il est plus difficile d'apprendre à écrire par la seule orchestration de ces mêmes règles : l'impulsion doit venir de soi, pas de la Technique.
Ce que ça voulait dire c'est que Mystery a été très clair sur la signification du A2 de sa propre méthode. Ensuite que tu le veuilles ou non (et nous aussi d'ailleurs) Mystery EST bien un leader. Maintenant si tu veux créer ta propre méthode personne n'y verra d'inconvénient mais alors ne parlons plus de la MM.Chris Wilton a écrit :Pour répondre à de La Vega,
Franchement, mec, j'en ai rien secouer [?!]. Mystery n'est ni le bon dieu, ni jésus ou bouddha c'est juste un mec comme vous et moi à la base, qui s'est investi et a testé plein de trucs pour améliorer sa vie sociale. Il est juste un exemple à suivre afin de devenir artiste de sa vie, mais ce n'est pas une icone ou un leader.de La Vega a écrit : Mystery est très clair là-dessus.
Et puis personne n'oblige personne à faire quoi que ce soit...
Pour le reste nous serons d'accord avec FK
La différence entre l'artiste et l'amateur, l'amateur trouve son inspiration dans les livres, l'artiste trouve son inspiration dans la Source.
La Source est ce qui éveille la vie et les sens, réveille la Source qui est en toi, c'est TON POUVOIR.
aRise, PWY
La Source est ce qui éveille la vie et les sens, réveille la Source qui est en toi, c'est TON POUVOIR.
aRise, PWY
skippy a écrit :...

2 écoles:
- l'Ecole américaine, celle des méthodes
- l'Ecole française (eftézienne), celle des ARTISTES
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