
Ma théorie sur la peur d'approcher une inconnue !
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Une solution testé et approuvé :


chuck a écrit :Une solution testé et approuvé :
LOL je pense pas que ce soit la bonne solution, suffit de demander a mon wing Zelph, qui a un peu trop abuser de l'alcool samedi soir mdr:p on a du rentrer plus tot que prévu tellement quil etait en train de retapisser la ville :p
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Peut etre que chacun a ses propres raisons, en tous cas je me retrouve pas du tout dans ta théorie.
Pour ma part je manquais de confiance en moi et les (non)relations avec les fille n'étaient qu'un cas particulier de ma relation avec les autres : complexé, me trouvant moche, LSE, super sensible au jugement des autres, incapacité a parler fort, a retourner dans un magasin raler pour un service défectueux, etc... Bref, incapable de s'affirmer, je ne sortais jamais de chez moi.
Et puis a force de travail et d'auto bottage de cul, de mini exercices au quotidien, j'ai arreté ces conneries et j'ai commencé a m'affirmer, a montrer que j'existais et qu'il fallait faire avec, que ca plaise ou non. Et bizarement, au fur et a mesure que je me suis épanoui, ben je suis devenu de plus en plus a l'aise avec les filles... et les gens en général.
L'alcool c'est de la merde, c'est pas ca qui va développer ton innergame. Le jour ou tu devras te vendre aupres de 3 personnes pour un entretien d'embauche, c'est pas l'alcool qui t'aidera.
Pour ma part je manquais de confiance en moi et les (non)relations avec les fille n'étaient qu'un cas particulier de ma relation avec les autres : complexé, me trouvant moche, LSE, super sensible au jugement des autres, incapacité a parler fort, a retourner dans un magasin raler pour un service défectueux, etc... Bref, incapable de s'affirmer, je ne sortais jamais de chez moi.
Et puis a force de travail et d'auto bottage de cul, de mini exercices au quotidien, j'ai arreté ces conneries et j'ai commencé a m'affirmer, a montrer que j'existais et qu'il fallait faire avec, que ca plaise ou non. Et bizarement, au fur et a mesure que je me suis épanoui, ben je suis devenu de plus en plus a l'aise avec les filles... et les gens en général.
L'alcool c'est de la merde, c'est pas ca qui va développer ton innergame. Le jour ou tu devras te vendre aupres de 3 personnes pour un entretien d'embauche, c'est pas l'alcool qui t'aidera.
Bon, Je vais essayer de mettre fin à certaines légendes urbaines ici.
La peur d'approcher n'existe pas; elle n'existe pas, simplement parce'que, ce que la plupart des mecs appellent peur n'en est pas une.
Je m'explique, ou plutôt je l'explique; c'est bien connu que l'être humain n'aime pas l'inconnu, il le craint, il le plussoie car cela lui gâche sa monotonie plaisante. Pour cette raison lorsqu'il se trouve devant un fait inconnu, il essaie toujours de le rapporter à un fait connu, ça rassure.
Ainsi:
Toutefois, revenons à nos chèvres; si ce qui se passe lorsque le mec veut appocher, n'est pas de la peur, qu'est-ce donc. A mon avis, c'est plus une montée d'adrénaline; et cette montée d'adrénaline, le mec de base ne sait pas l'orienter positivement, alors il lâche l'affaire.
Apprendre à la gerer est le travail à accomplir:
- Soit vous allez sur le terrain( allez au PPC pour ça), et au bout de 2 sessions, vous commencerez à savoir gerez cette adrenaline
- Soit vous faites un atelier axe sur le developpement personnel.
Pour plus de complément:
- Frederic Nietschze, " Le crepuscule des idôles"
La peur d'approcher n'existe pas; elle n'existe pas, simplement parce'que, ce que la plupart des mecs appellent peur n'en est pas une.
Je m'explique, ou plutôt je l'explique; c'est bien connu que l'être humain n'aime pas l'inconnu, il le craint, il le plussoie car cela lui gâche sa monotonie plaisante. Pour cette raison lorsqu'il se trouve devant un fait inconnu, il essaie toujours de le rapporter à un fait connu, ça rassure.
Ainsi:
Le pauvre élabore alors des scénarios; c'est sûr que son mec est dans les parages, et puis elle est trop grande, trop mince, bon je lâche l'affaire, ouf(connu).mec devant hb: zut, qu'est ce qui m'arrive, je veux lui parler mais je ne le sens pas(inconnu)
Toutefois, revenons à nos chèvres; si ce qui se passe lorsque le mec veut appocher, n'est pas de la peur, qu'est-ce donc. A mon avis, c'est plus une montée d'adrénaline; et cette montée d'adrénaline, le mec de base ne sait pas l'orienter positivement, alors il lâche l'affaire.
Apprendre à la gerer est le travail à accomplir:
- Soit vous allez sur le terrain( allez au PPC pour ça), et au bout de 2 sessions, vous commencerez à savoir gerez cette adrenaline
- Soit vous faites un atelier axe sur le developpement personnel.
Pour plus de complément:
- Frederic Nietschze, " Le crepuscule des idôles"
Je ne suis pas complètement d'accord avec ton analyse, chewie...
Une montée d'adrénaline, je sais ce que c'est... J'en prend une à chaque fois que je monte sur une scène de théatre, à chaque fois que je fais un concert, et à chaque fois que je tente une descente en rappel...
Ce n'est que la manifestation biologique de la peur...
Ce qui fait que je le tourne à mon avantage et que je me sers de ce surcroît d'énergie pour -malgré tout- entrer dans la lumière, ou me jeter dans le vide, c'est que je sais ce qui va se passer... je le sais parceque je l'ai déjà vécu plein de fois...
Pour la sarge, ce n'est pas pareil... Pour surmonter cette peur, je me concentre sur les 2 seuls scénarios qui comptent vraiment au final... (ca supprime les inconnues)
-Je close...
-Je ne close pas...
Une montée d'adrénaline, je sais ce que c'est... J'en prend une à chaque fois que je monte sur une scène de théatre, à chaque fois que je fais un concert, et à chaque fois que je tente une descente en rappel...
Ce n'est que la manifestation biologique de la peur...
Ce qui fait que je le tourne à mon avantage et que je me sers de ce surcroît d'énergie pour -malgré tout- entrer dans la lumière, ou me jeter dans le vide, c'est que je sais ce qui va se passer... je le sais parceque je l'ai déjà vécu plein de fois...
Pour la sarge, ce n'est pas pareil... Pour surmonter cette peur, je me concentre sur les 2 seuls scénarios qui comptent vraiment au final... (ca supprime les inconnues)
-Je close...
-Je ne close pas...
Je vais à contre courant de la théorie de Chewie (dans la forme).
Oui la peur de l'accoste existe.Ce que tu décris comme n'étant pas une peur en est une.Qu'est ce qu'une peur ? Eh bien c'est un évênement qui déclenche une réaction dans notre conscient ou dans notre inconscient,paralysant de ce fait (partiellement ou totalement) notre physique.
Ce qui est appelé montée d'adrénaline n'est rien d'autre que la résultante d'un processus psychologique de défense.
Pourquoi n'aborde t'on pas quand on débute ? La raison est toute simple :Parce qu'on n'a pas ce réflexe.La première fois que vous devez jouer un match de haut niveau en sport,votre premier concert,votre premier examen,etc...Vous avez tous peur.Pourquoi ?Parce que vous avancez en terrain inconnu.
De ce fait,il faut donc,progressivement augmenter sa zone de confort.J'ai commencé en demandant des kleenexs aux filles dans la rue,aujourd'hui j'accoste qui me fait envie,même si le succès n'est pas toujours au bout.Pourquoi ?Parce que j'ai appris à le faire,je suis devenu aussi à l'aise devant une foule de personnes qu'en face à face.
La peur ne vous quittera Jamais!Parce que vous êtes des êtres humains,vous aurez toujours cette petite incertitude au moment de vous jetter dans l'eau,comme le parachutiste qui fait ton Xième saut.Mais,cette adrénaline la,au lieu de vous inhiber vous exitera.
RR
Oui la peur de l'accoste existe.Ce que tu décris comme n'étant pas une peur en est une.Qu'est ce qu'une peur ? Eh bien c'est un évênement qui déclenche une réaction dans notre conscient ou dans notre inconscient,paralysant de ce fait (partiellement ou totalement) notre physique.
Ce qui est appelé montée d'adrénaline n'est rien d'autre que la résultante d'un processus psychologique de défense.
Pourquoi n'aborde t'on pas quand on débute ? La raison est toute simple :Parce qu'on n'a pas ce réflexe.La première fois que vous devez jouer un match de haut niveau en sport,votre premier concert,votre premier examen,etc...Vous avez tous peur.Pourquoi ?Parce que vous avancez en terrain inconnu.
De ce fait,il faut donc,progressivement augmenter sa zone de confort.J'ai commencé en demandant des kleenexs aux filles dans la rue,aujourd'hui j'accoste qui me fait envie,même si le succès n'est pas toujours au bout.Pourquoi ?Parce que j'ai appris à le faire,je suis devenu aussi à l'aise devant une foule de personnes qu'en face à face.
La peur ne vous quittera Jamais!Parce que vous êtes des êtres humains,vous aurez toujours cette petite incertitude au moment de vous jetter dans l'eau,comme le parachutiste qui fait ton Xième saut.Mais,cette adrénaline la,au lieu de vous inhiber vous exitera.
RR
Pour ceux qui comprenent l'anglais, et qui veulent des infos sur la peur d'aborder : http://approachanxiety.com/narchivestest.php
L'alcool c'est de la merde, c'est pas ca qui va développer ton innergame. Le jour ou tu devras te vendre auprès de 3 personnes pour un entretien d'embauche, c'est pas l'alcool qui t'aidera.
....il faut donc,progressivement augmenter sa zone de confort.
[...]
La peur ne vous quittera Jamais ! ...cette adrénaline là, au lieu de vous inhiber vous excitera.
Voilà qui est rudement bien résumé
C'est ce genre de mentalités qui rend FTS si fréquentable.
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Je reconnais que la solution de l'alcool n'est pas idéal, en attendant c'est ce qui marche le mieux pour se sentir à l'aise.
Lors d'un repas d'affaire, il y a toujours un apéro, et du vin à boire pendant le repas. Et vous remarquerez que quasiement tous le monde bois (c'est mal vu de refuser). Ca détend l'atmosphére et ca permet aux différentes personnes de mieux dialoguer et de se sentir à l'aise.
Attention : je ne parle pas de se prendre une cuite.
Je ne recommande à personne d'avoir une fiolle de whisky sur lui, et boire dés qu'il a peur, mais en soirée (bar / boite) ou si l'occasion le permet (café, resto) ca peut être un atout.
En street pick up (à part la nuit) ce n'est pas une bonne solution.
Imaginez la scéne, tu vas open avec une haleine qui sent le whisky a 3 km
Lors d'un repas d'affaire, il y a toujours un apéro, et du vin à boire pendant le repas. Et vous remarquerez que quasiement tous le monde bois (c'est mal vu de refuser). Ca détend l'atmosphére et ca permet aux différentes personnes de mieux dialoguer et de se sentir à l'aise.
Attention : je ne parle pas de se prendre une cuite.
Je ne recommande à personne d'avoir une fiolle de whisky sur lui, et boire dés qu'il a peur, mais en soirée (bar / boite) ou si l'occasion le permet (café, resto) ca peut être un atout.
En street pick up (à part la nuit) ce n'est pas une bonne solution.
Imaginez la scéne, tu vas open avec une haleine qui sent le whisky a 3 km
La peur de l'inconnu... La peur de l'échec ou du succès... Ca peut sembler très vrai en rationalisant a priori, mais la pratique le contredit :
En 2006 j'ai abordé près de 1000 nanas. Je suppose qu'opener n'est plus quelque chose d'inconnu. Je sais aussi qu'à partir du moment où je dis "Bonjour !" ou "Salut", il n'y a aucune chance de me prendre un vent total, ou de me faire tabasser par un caveman sorti de nulle part qui s'avérerait être son mec. Je sais aussi que le résultat de l'interaction ne changera rien, ni à mon opinion de moi-même, ni à ma vie sociale, ni à mon état physiologique. Tout ça, par la force de l'habitude, c'est internalisé :
Cependant, la barrière physiologique, le rush d'adrénaline dans les toutes premières secondes suivant une PA, sont toujours là. Cette réaction biologique, elle n'est pas la conséquence d'un choix (conscient ou inconscient). Elle est imprimée ailleurs dans notre cerveau.
Vaincre l'appréhension de l'approche, ce n'est pas la même chose que vaincre la procrastination (qui elle est liée à la peur de l'inconnu, de l'échec, de la réussite, etc.) Si vous êtes un K-J, et que vous n'avez jamais ressenti la véritable appréhension de l'approche, vous procrastinez. Si vous avez ressenti cette sensation dans votre corps qui vous "empêche" d'aller parler à cette fille ou qui vous fait bégayer, alors le problème est ailleurs.
Vaincre l'appréhension de l'approche c'est se détacher d'une réaction biologique qu'on sait inappropriée. Pendant des années on a associé cette poussée d'hormones (adrénaline ou autres) au processus "danger". Mais dans ce cas précis, c'est faux. Plus on acquiert de contrôle sur soi, mieux on est à même de différencier réaction physiologique et processus psychologique. C'est par le même principe qu'on peut apprendre à "vaincre la douleur", ou à dissocier orgasme et éjaculation (je recommande cela aussi d'ailleurs).
La vraie question est : qui commande ma vie ? Moi, ou mes glandes surrénales ?
(ou, pour être plus pragmatique, ai-je davantage envie de faire plaisir à ces glandes ou à mon appareil génital ?)
SBN
En 2006 j'ai abordé près de 1000 nanas. Je suppose qu'opener n'est plus quelque chose d'inconnu. Je sais aussi qu'à partir du moment où je dis "Bonjour !" ou "Salut", il n'y a aucune chance de me prendre un vent total, ou de me faire tabasser par un caveman sorti de nulle part qui s'avérerait être son mec. Je sais aussi que le résultat de l'interaction ne changera rien, ni à mon opinion de moi-même, ni à ma vie sociale, ni à mon état physiologique. Tout ça, par la force de l'habitude, c'est internalisé :
- Open : je sais comment faire,
- Après : je sais aussi, j'ai l'habitude
- Au pire : rien ne se passe, et je suis content d'avoir opené,
- Dans tous les autres cas : une discussion intéressante et enrichissante,
- Au mieux : je close.
Cependant, la barrière physiologique, le rush d'adrénaline dans les toutes premières secondes suivant une PA, sont toujours là. Cette réaction biologique, elle n'est pas la conséquence d'un choix (conscient ou inconscient). Elle est imprimée ailleurs dans notre cerveau.
Vaincre l'appréhension de l'approche, ce n'est pas la même chose que vaincre la procrastination (qui elle est liée à la peur de l'inconnu, de l'échec, de la réussite, etc.) Si vous êtes un K-J, et que vous n'avez jamais ressenti la véritable appréhension de l'approche, vous procrastinez. Si vous avez ressenti cette sensation dans votre corps qui vous "empêche" d'aller parler à cette fille ou qui vous fait bégayer, alors le problème est ailleurs.
Vaincre l'appréhension de l'approche c'est se détacher d'une réaction biologique qu'on sait inappropriée. Pendant des années on a associé cette poussée d'hormones (adrénaline ou autres) au processus "danger". Mais dans ce cas précis, c'est faux. Plus on acquiert de contrôle sur soi, mieux on est à même de différencier réaction physiologique et processus psychologique. C'est par le même principe qu'on peut apprendre à "vaincre la douleur", ou à dissocier orgasme et éjaculation (je recommande cela aussi d'ailleurs).
La vraie question est : qui commande ma vie ? Moi, ou mes glandes surrénales ?
(ou, pour être plus pragmatique, ai-je davantage envie de faire plaisir à ces glandes ou à mon appareil génital ?)
SBN