[L] Best of AFC !
Chuck ton poste fait une routine enorme ...
Alala le roman! Le pauvre. Toutefois il s'aperçoit qu'il y a quelque chose qui ne va pas: que c'est un gentil garçon et que c'est à cause de ça que ca cloche. Je pense qu'il est sur la bonne voie: c'est quand j'ai commencé à comprendre ça que ma vie à changer. Si un jour sur internet il tape "techniques de drague", sa vie changera aussi
Mon meilleur pote qui était AFC (maintenant c'est mon wing il a beaucoup changé depuis que je lui ai fait connaitre FTS),ne peut pas passer une seule année sans connaitre une de ces crises (5 one-itis),le pire c'est que quand il se dit je veut tomber amoureux de cette fille il le devient,sa dernière one-itis n'a même pas voulu sortir avec lui,il tomba dans son one-itis dans deux jour après qu'il l'a reconnu.A cause d'elle il a redoublé l'an,eu des problèmes avec beaucoup d'AMOG,oublié ses amis... voilà une de ses discussions avec elle (y'en a pire lol!)
peu après elle n'appelle plus,et j'ai pu savoir qu'un ami qui a fait connaissance à elle grâce à moi la fuckclosé..!!!
Je suis sortais avec une nana un soir elle lançait des IOI à fond, j’était le parfait "Bob gentil garçon" après trois jour : je préfère qu'on reste amis"
Moi,l'été dernier une pendant des cours d'Université Espagnole chez notre fac au Maroc une Espagnole m'openait on se fait connaissance je lui propose d'aller à la plage elle accepte ,ce jour là j'étais un peu occupé alors j'ai pas pu venir le lendemain elle m'envoie un texto et propose une autre date ,j'accepte on est allé à la plage j'ai rien fait en plus que je parlait du tous les sujets merdieux du monde ,mon Espagnole était très faible,le lendemain je sort avec elle (même résultat).E : Un de mes ex je suis sorti avec lui deux mois, et deux mois je ne voulait plus le voir.
M: Moi je veux que tu sort avec moi un seul mois, ça me suffit
E: quoi, un mois mais t'est fou ou quoi !
M:pourquoi, à ce point là je suis dégoûtant pour toi
E: tu accepte que je sors avec toi de 2h vers 4h
M:oui!
peu après elle n'appelle plus,et j'ai pu savoir qu'un ami qui a fait connaissance à elle grâce à moi la fuckclosé..!!!
Je suis sortais avec une nana un soir elle lançait des IOI à fond, j’était le parfait "Bob gentil garçon" après trois jour : je préfère qu'on reste amis"
Avec autant d'anecdotes savoureuses, faudrait se réunir autour d'un feu de camp une fois par été, chacun amène deux meufs et les bosquets tiendraient lieu de baisodrômes
Pour contribuer au topic, voici mon plan kclose du 26 août 2003 (17 ans, Angel dit Le Blaireau) :
Avec un pote et une meuf plus jeunes que moi, par un lever de soleil frisquet. La fille va s'étendre dans l'herbe 30 mètres plus loin.
Pote : Allez, c'est ta chance. Va lui parler.
M : Ouin... euh ok.
M: (voix tremblotante) ... C'est beau hein ? (le ciel)
E: ...
M: ...
E: (eject)
M: ... (tabarnak!)
C'est léger, donc voici une histoire plus consistente (tirée de mon blog
allez voir) :
Même été :
Première rencontre, MPB et une amie, Kim passent à un pub de jeunes lors d'une soirée d'impro, j'y étais déjà par hobby. Un mec se la joue (A1 et A2 pathétiques) et les emmène à l'extérieur. Elles reviennent seules 3 minutes plus tard "il est con et pue de la gueule". Je parle surtout avec Kim (je la connaissait avant).
Deuxième rencontre avec mes potes au hasard dans la rue, MPB et amies. Je parle avec MPB "t'avais pas des lunettes toi ?" (je le pensais vraiment) On rigole un peu puis on quitte chacun de notre côté.
Troisième rencontre, mon pote organise un party à notre appart, une bonne vingtaine de personnes. MPB vient avec Kim, s'assied à côté de moi. On fluff. Peu après mes potes veulent fumer de l'herbe donc je sors dehors (j'aime pas ça). Quatre ou cinq potes viennent dehors aussi ainsi que MPB et Kim. Je déconne surtout avec les mecs. MPB et Kim retournent à l'intérieur, je les surprend à discuter de moi (j'entendais rien mais c'était facile à deviner au vu des gestes et expresisons faciales). Peu après, MPB revient et me lance des défis amusants. On rigole, elle m'invite chez elle demain. Numclose.
Après qu'elles aient quitté la soirée, je suis sur-excité. Je clame à mes potes : Putain, elle me veut cette fille ! C'est l'enfer !
Le lendemain, avec un ami déjà casé, on se perd 30 bonnes minutes dans le quartier avant de trouver la maison de MPB. Elle est avec son petit frère et une copine, on joue au foot. Puis MPB m'isole et me plaque au sol en me chatouillant. Je la chatouille aussi et elle me dit "arrête sinon je te french
". Elle est au-dessus de moi, le visage à 20 centimètres. En bon puceau, j'arrête et ne dit rien, ne tente pas de l'embrasser. Rien de plus par la suite (quand j'y repense je me dis : pauv coooooon !!!)
Au fil des jours qui suivent, elle me dit d'aller la voir à la maison d'une dame pendant qu'elle garde ses gosses. Elle est avec la même amie. Elle m'enlace au début (j'immite mais j'ajoute pas) puis on fluff pendant la soirée (mais je ne dis que des trucs cons, sans une seule once d'attraction ou quoique ce soit d'autre). Elle me colle et me prend la taille quelques fois, mais [le con] je ne fais rien. À la fin de la soirée dans la voiture de sa mère elle me tend la main, je la prend (elle est assise sur le siège passager et moi à l'arrière :p).
Un autre jour, je retourne chez elle. Elle m'amène dans sa chambre et me montre ses talents de chanteuse. Je soupe deux fois chez elle, dont une fois avec les parents (sympas du genre "t'es le 329ème mec que notre fille ramène alors on est habitués. Elle te larguera sous peu", papa sosie de l'agent Mulder). On se tient par la main dans la rue (chose qu'elle a initié), on se loue un film (son idée). Une fois lors du coucher de soleil, on regarde son frère et un copain jouer, assis en se tenant la main. Je lui colle un bisou sur le front puis je dis "what the fuck". Deux minutes plus tard elle répond "pourquoi t'as dit ça ?" et j'ai pas répondu (en fait j'avais eu en tête une image de famille marié avec enfants avant de l'embrasser, ce que j'ai par la suite trouvé con... d'où le "wtf"). (tout cela à cause de l'éducation amoureuse de merde que m'a prodiguée ma mère depuis l'enfance)
L'été tire à sa fin. Elle call un de mes potes plutôt alpha pour lui demander comment rompre avec un mec sans lui faire de peine [moi]. Je stresse. Une heure plus tard, je lui téléphone pour lui dire que j'ai envie de la voir. Je part à pied (40 minutes de marche), il se met à pleuvoir averse. J'arrive chez elle tout trempé, elle pouffe de rire à cette image de moi ridicule. Elle me donne un peignoir et fait sécher mes vêtements (j'étais déjà assez mal à l'aise au départ, maintenant elle voyait mon corps chétif, blême et mes poils qui poussent partout). On se fait une partie de Stunt Race FX, puis je lui dis que j'ai entendu sa conversation avec mon pote au téléphone... que ça me stressait. Elle est découragée, démotivée car je ne suis pas déniaisé, et je donne l'impression que je n'aime pas embrasser. Je réplique que maintenant que je sais cela, j'ai vraiment envie de l'embrasser mais en même temps, je respecte son choix si elle veut mettre fin à notre relation. Elle me dit qu'elle m'aimait avant et une connerie frustrante : "tu portes tes pantalons au nombril !" (:P) En bon blaireau je lui dis que je veux qu'elle soit heureuse et que si c'est pas avec moi, ça va. On s'enlace jusqu'à la fin de la soirée puis elle en a marre et me dit que je dois partir. Je quitte en la regardant une dernière fois comme dans ces films de trous duc. Je retourne chez moi sans pleurer, mais avec une sacrée grosse boule dans la gorge. Dialogue intérieur rationnel : "c'est pas si terrible une peine d'amour..." Les jours suivants j'ai le moral à plat, je repense sans cesse à cette journée, à nous deux enlacés, à son sourire, ses yeux, etc.
Un mois plus tard lors d'une soirée où je suis DJ, je la call pour l'inviter "si elle veut". Elle vient me voir à la soirée et s'attend probablement à ce que je veuille reprendre mais je ne fais rien. Je considère l'histoire terminée. On se dit quelques mots mais je me tais ensuite. Elle drague un copain, je m'en fous. Elle quitte assez tôt dans la soirée et je ne la revois plus jamais.
Bilan : C'est à ce moment que je suis devenu AFC. Oui, devenu, car avant cela j'étais pire : je ne pigeais rien aux relations amoureuses. En bon AFC maintenant, ce que j'ai interprété de cette histoire fut : je dois exprimer davantage mon amour, dire je t'aime rapidement, être plus gentil et attentionné, avoir pour but premier d'embrasser rapidement et ça devrait alors fonctionner (bref, j'étais encore loin de me casser vraiment la gueule et de découvrir FTS...)
Pour contribuer au topic, voici mon plan kclose du 26 août 2003 (17 ans, Angel dit Le Blaireau) :
Avec un pote et une meuf plus jeunes que moi, par un lever de soleil frisquet. La fille va s'étendre dans l'herbe 30 mètres plus loin.
Pote : Allez, c'est ta chance. Va lui parler.
M : Ouin... euh ok.
M: (voix tremblotante) ... C'est beau hein ? (le ciel)
E: ...
M: ...
E: (eject)
M: ... (tabarnak!)
C'est léger, donc voici une histoire plus consistente (tirée de mon blog
Même été :
Première rencontre, MPB et une amie, Kim passent à un pub de jeunes lors d'une soirée d'impro, j'y étais déjà par hobby. Un mec se la joue (A1 et A2 pathétiques) et les emmène à l'extérieur. Elles reviennent seules 3 minutes plus tard "il est con et pue de la gueule". Je parle surtout avec Kim (je la connaissait avant).
Deuxième rencontre avec mes potes au hasard dans la rue, MPB et amies. Je parle avec MPB "t'avais pas des lunettes toi ?" (je le pensais vraiment) On rigole un peu puis on quitte chacun de notre côté.
Troisième rencontre, mon pote organise un party à notre appart, une bonne vingtaine de personnes. MPB vient avec Kim, s'assied à côté de moi. On fluff. Peu après mes potes veulent fumer de l'herbe donc je sors dehors (j'aime pas ça). Quatre ou cinq potes viennent dehors aussi ainsi que MPB et Kim. Je déconne surtout avec les mecs. MPB et Kim retournent à l'intérieur, je les surprend à discuter de moi (j'entendais rien mais c'était facile à deviner au vu des gestes et expresisons faciales). Peu après, MPB revient et me lance des défis amusants. On rigole, elle m'invite chez elle demain. Numclose.
Après qu'elles aient quitté la soirée, je suis sur-excité. Je clame à mes potes : Putain, elle me veut cette fille ! C'est l'enfer !
Le lendemain, avec un ami déjà casé, on se perd 30 bonnes minutes dans le quartier avant de trouver la maison de MPB. Elle est avec son petit frère et une copine, on joue au foot. Puis MPB m'isole et me plaque au sol en me chatouillant. Je la chatouille aussi et elle me dit "arrête sinon je te french
Au fil des jours qui suivent, elle me dit d'aller la voir à la maison d'une dame pendant qu'elle garde ses gosses. Elle est avec la même amie. Elle m'enlace au début (j'immite mais j'ajoute pas) puis on fluff pendant la soirée (mais je ne dis que des trucs cons, sans une seule once d'attraction ou quoique ce soit d'autre). Elle me colle et me prend la taille quelques fois, mais [le con] je ne fais rien. À la fin de la soirée dans la voiture de sa mère elle me tend la main, je la prend (elle est assise sur le siège passager et moi à l'arrière :p).
Un autre jour, je retourne chez elle. Elle m'amène dans sa chambre et me montre ses talents de chanteuse. Je soupe deux fois chez elle, dont une fois avec les parents (sympas du genre "t'es le 329ème mec que notre fille ramène alors on est habitués. Elle te larguera sous peu", papa sosie de l'agent Mulder). On se tient par la main dans la rue (chose qu'elle a initié), on se loue un film (son idée). Une fois lors du coucher de soleil, on regarde son frère et un copain jouer, assis en se tenant la main. Je lui colle un bisou sur le front puis je dis "what the fuck". Deux minutes plus tard elle répond "pourquoi t'as dit ça ?" et j'ai pas répondu (en fait j'avais eu en tête une image de famille marié avec enfants avant de l'embrasser, ce que j'ai par la suite trouvé con... d'où le "wtf"). (tout cela à cause de l'éducation amoureuse de merde que m'a prodiguée ma mère depuis l'enfance)
L'été tire à sa fin. Elle call un de mes potes plutôt alpha pour lui demander comment rompre avec un mec sans lui faire de peine [moi]. Je stresse. Une heure plus tard, je lui téléphone pour lui dire que j'ai envie de la voir. Je part à pied (40 minutes de marche), il se met à pleuvoir averse. J'arrive chez elle tout trempé, elle pouffe de rire à cette image de moi ridicule. Elle me donne un peignoir et fait sécher mes vêtements (j'étais déjà assez mal à l'aise au départ, maintenant elle voyait mon corps chétif, blême et mes poils qui poussent partout). On se fait une partie de Stunt Race FX, puis je lui dis que j'ai entendu sa conversation avec mon pote au téléphone... que ça me stressait. Elle est découragée, démotivée car je ne suis pas déniaisé, et je donne l'impression que je n'aime pas embrasser. Je réplique que maintenant que je sais cela, j'ai vraiment envie de l'embrasser mais en même temps, je respecte son choix si elle veut mettre fin à notre relation. Elle me dit qu'elle m'aimait avant et une connerie frustrante : "tu portes tes pantalons au nombril !" (:P) En bon blaireau je lui dis que je veux qu'elle soit heureuse et que si c'est pas avec moi, ça va. On s'enlace jusqu'à la fin de la soirée puis elle en a marre et me dit que je dois partir. Je quitte en la regardant une dernière fois comme dans ces films de trous duc. Je retourne chez moi sans pleurer, mais avec une sacrée grosse boule dans la gorge. Dialogue intérieur rationnel : "c'est pas si terrible une peine d'amour..." Les jours suivants j'ai le moral à plat, je repense sans cesse à cette journée, à nous deux enlacés, à son sourire, ses yeux, etc.
Un mois plus tard lors d'une soirée où je suis DJ, je la call pour l'inviter "si elle veut". Elle vient me voir à la soirée et s'attend probablement à ce que je veuille reprendre mais je ne fais rien. Je considère l'histoire terminée. On se dit quelques mots mais je me tais ensuite. Elle drague un copain, je m'en fous. Elle quitte assez tôt dans la soirée et je ne la revois plus jamais.
Bilan : C'est à ce moment que je suis devenu AFC. Oui, devenu, car avant cela j'étais pire : je ne pigeais rien aux relations amoureuses. En bon AFC maintenant, ce que j'ai interprété de cette histoire fut : je dois exprimer davantage mon amour, dire je t'aime rapidement, être plus gentil et attentionné, avoir pour but premier d'embrasser rapidement et ça devrait alors fonctionner (bref, j'étais encore loin de me casser vraiment la gueule et de découvrir FTS...)
Quelques petites perles d'AFcisme made in djer!
Ya 2 ou 3 ans, un pote me branche avec une nana sur msn, qui, pour reprendre ses termes est "super bonne" .
Je rentre donc en contact avec elle, on fait connaissance et rapidement il est convenu d'une date!
Je tiens a préciser que je ne l'ai jamais vu (meme pas en photo), elle en revanche a déjà vu ma bouille. Elle me trouve plutot à son gout, ce qui a tendance à m'inquiéter! Ouais parce que pour que la nana s'interesse à moi c'est qu'elle doit pas être si terrible que ça! (a l'epoque j'ai une estime de moi qui frole le zéro)...
Jour J :
Rdv devant le cinéma, elle m'envoi un sms pour me dire qu'elle est déjà arrivée et qu'elle m'attend. J'arrive à mon tour et j'apercois une fille toute seule qui à l'air d'attendre quelqu'un, ça doit être elle.
Et la gros frisson! Mon pote c'etait vraiment pas foutu de moi, elle est vraiment trop B****... Je dirais facilement HB8 voir 9!
Je vais donc a sa rencontre, elle me voit, me reconnait et m'accueille avec un gros sourir. On se fait donc la bise et voilà que je sens que ça se bouscule dans mon slip
! Elle sent trop bon, ce qui à tendance a m'exiter, je m'imagine direct des trucs!
Tout de suite, elle me donne l'impression de s'être vraiment appreter pour notre rdv, je fais vraiment tache a coté, ce qui m'angoisse encore plus.
Maintenant que le décor est planté, je rentre dans le vif du sujet qui va être pour moi le début d'un vrai cauchemard et probablement pour elle aussi. LET'S GO!
On rentre dans le cinema et on se place dans la file d'attente. Je ne sais absolument pas quoi lui raconter, j'ai l'impression que tous les regards sont sur nous et que les gens se disent (qu'est ce qu'une fille comme ça fou avec lui?!). A ce moment j'aimerai être dans les pompes de quelqu'un d'autre!
J'arrive à la caisse pour acheter ma place, en bon afc je paye aussi la sienne!
Pendant le film je tente maladroitement de lui effleurer la main, mais aucune réaction de sa part. Je lache l'affaire.
Le film est fini, on sort du ciné s'en suit un léger fluff a propos du film (elle n'a rien compris)
On commence a rouler, je met les essuies glaces et la je vois que quelqu'un a accroché un p'tit bonhome en plastique sur un de mes essuies glaces! Ca fait un bruit pas possible sur le pare brise mais je continue quand meme a rouler avec sur au moin 3km, jusqu' a ce que je décide de m'arreter pour le retirer.
A un moment elle me dit de tourner a droite au dernier moment, j'suis pas sur la bonne file je tourne quand meme en coupant la route a tout le monde sans prévenir, j'me fais klaxonner comme c'est pas permis et suis a 2 doigts de me faire rentrer dedans! Coup de flippe énorme, j'ai des sueurs froide partout!
Finalement je suis bien content d'être enfin chez moi, je suis conscient d'avoir foiré le rdv mais j'me la pète quand meme! J'me la raconte au près des copains (AFC eux aussi) et les rend vert de jalousie pour avoir eu une date avec une fille aussi canon!
Contre toute attente dans la soirée je reçois un sms de la fille qui me dit qu'elle a appréciée la journée avec moi et qu'elle aimerait me revoir! J'me sens pas pret de revivre un second rdv pareil avec elle! Elle est trop belle pour moi j'me sens pas les épaules pour assurer.
Je l'ai jamais revue.
PS : J'apprendrai quelques jours plus tard que le p'tit bonhome en plastique, c'est des pote a moi qui l'on accroché en ayant reconnu ma voiture sur le parking du ciné! Bande d'enfoirés
Ya 2 ou 3 ans, un pote me branche avec une nana sur msn, qui, pour reprendre ses termes est "super bonne" .
Je rentre donc en contact avec elle, on fait connaissance et rapidement il est convenu d'une date!
Je tiens a préciser que je ne l'ai jamais vu (meme pas en photo), elle en revanche a déjà vu ma bouille. Elle me trouve plutot à son gout, ce qui a tendance à m'inquiéter! Ouais parce que pour que la nana s'interesse à moi c'est qu'elle doit pas être si terrible que ça! (a l'epoque j'ai une estime de moi qui frole le zéro)...
Jour J :
Rdv devant le cinéma, elle m'envoi un sms pour me dire qu'elle est déjà arrivée et qu'elle m'attend. J'arrive à mon tour et j'apercois une fille toute seule qui à l'air d'attendre quelqu'un, ça doit être elle.
Et la gros frisson! Mon pote c'etait vraiment pas foutu de moi, elle est vraiment trop B****... Je dirais facilement HB8 voir 9!
Je vais donc a sa rencontre, elle me voit, me reconnait et m'accueille avec un gros sourir. On se fait donc la bise et voilà que je sens que ça se bouscule dans mon slip
Tout de suite, elle me donne l'impression de s'être vraiment appreter pour notre rdv, je fais vraiment tache a coté, ce qui m'angoisse encore plus.
Maintenant que le décor est planté, je rentre dans le vif du sujet qui va être pour moi le début d'un vrai cauchemard et probablement pour elle aussi. LET'S GO!
On rentre dans le cinema et on se place dans la file d'attente. Je ne sais absolument pas quoi lui raconter, j'ai l'impression que tous les regards sont sur nous et que les gens se disent (qu'est ce qu'une fille comme ça fou avec lui?!). A ce moment j'aimerai être dans les pompes de quelqu'un d'autre!
J'arrive à la caisse pour acheter ma place, en bon afc je paye aussi la sienne!
A ce moment je suis rouge écarlate, j'en ai la pointe des oreilles qui me chauffent. Après ça s'en suis encore un blanc jusqu'a ce qu'on s'installe dans nos sièges.E : Merci pour la place, c'est rare que les mecs ils payent!
M : Heu....de rien c'est normal
E : T'es pas très bavard
M : Ah bon! Pourquoi tu dis ça?
E : Bah tu parles pas
M : Toi non plus
E : C'est aux mecs de faire la conversations
M : .........![]()
Le film commence enfin, au moin j'aurai pas besoin de parler pendant ce temps là et ça me laisse meme du temps pour réfléchir a ce que je pourrai lui dire après!M : Alors ça fais longtemps que t'es celibataire?
E : Tu m'as déjà posé la question sur msn!
M : Ah oui c'est vrai pardon!![]()
(encore un blanc)
M : Et sinon pourquoi ça a casser avec ton copain?
E : Ca faisait 6 mois qu'on était ensemble et il voulait qu'on couche ensemble! Trop un pervers!
M : Ah oué c'est clair! (en faite j'me dis que j'suis vraiment pas pret de me la faire et j'ai encore la naiveté de croire que j'ai mes chances apres tout ça)
(encore un blanc)
M : Et sinon tu me trouve comment? T'es pas trop déçu par rapport au photo que ta vu?
E : Nan ça va t'es pas mal
M : Merci! En tout cas j'espere que le film il va être bien!
E : J'men fou c'est pas moi qu'a payé
M :.......
Pendant le film je tente maladroitement de lui effleurer la main, mais aucune réaction de sa part. Je lache l'affaire.
Le film est fini, on sort du ciné s'en suit un léger fluff a propos du film (elle n'a rien compris)
Direction ma voiture, je la previens que c'est une p'tite caisse pas super superE : Tu veux qu'on fasse quoi maintenant?
M : Euh ...bah j'allai rentrer chez moi!
E : Ta une voiture?
M : Oué
E : Tu voudrais pas me ramener chez moi, il pleut et ça me fait chier de prendre le bus?
M : Ok pas de problème
Ca fais pas longtemps que j'ai mon permis, et donc pas encore trop d'assurance au volant.Tout ce que j'espere, c'est que j'vais pas faire de conneries devant elle sur la route!M : V'la mon bolide (j'espere la faire rire)
E : ....
M : J'tavais prévenu c'est pas une Roylce![]()
E : C'est clair (sur un ton blazé)
On commence a rouler, je met les essuies glaces et la je vois que quelqu'un a accroché un p'tit bonhome en plastique sur un de mes essuies glaces! Ca fait un bruit pas possible sur le pare brise mais je continue quand meme a rouler avec sur au moin 3km, jusqu' a ce que je décide de m'arreter pour le retirer.
Après ça on se dit plus rien, je me contente de suivre ses instructions pour que que je la ramène chez elle! J'suis entrain de me demandé comment j'vai faire pour rentrer chez moi j'suis complètement pomé!M : Ya un p'tit malin qu'a voulu me faire une blague on dirait!
E : Ah c'est pas toi, qui avait accroché ça là?
M : Bah non c'est trop con! Ca m'a fais des rayure sur le pare brise en plus!
E : Mdrrrrrrrr (se paye ma gueule) j'étais entrain de me dire que t'étais un gros psychopathe avec ton bonhomme accroché! C'est trop laiiiiiid!
M : Non non j'te rassure!![]()
A un moment elle me dit de tourner a droite au dernier moment, j'suis pas sur la bonne file je tourne quand meme en coupant la route a tout le monde sans prévenir, j'me fais klaxonner comme c'est pas permis et suis a 2 doigts de me faire rentrer dedans! Coup de flippe énorme, j'ai des sueurs froide partout!
On arrive enfin devant chez elle! Elle me fait la bise me dit a bientot et qu'elle a passé une bonne journée! J'acquièce et rentre chez moi! Sur le retour je suis complèment perdu, c'est que des sens interdit et des priorité a droite, je sais pas ou je vais mais j'y vais! Je fini tant bien que mal a me repérer et a rentré chez moi.E : La Fooooooooooooolllllle!!!!
M :![]()
Finalement je suis bien content d'être enfin chez moi, je suis conscient d'avoir foiré le rdv mais j'me la pète quand meme! J'me la raconte au près des copains (AFC eux aussi) et les rend vert de jalousie pour avoir eu une date avec une fille aussi canon!
Contre toute attente dans la soirée je reçois un sms de la fille qui me dit qu'elle a appréciée la journée avec moi et qu'elle aimerait me revoir! J'me sens pas pret de revivre un second rdv pareil avec elle! Elle est trop belle pour moi j'me sens pas les épaules pour assurer.
Je l'ai jamais revue.
PS : J'apprendrai quelques jours plus tard que le p'tit bonhome en plastique, c'est des pote a moi qui l'on accroché en ayant reconnu ma voiture sur le parking du ciné! Bande d'enfoirés
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un nouveau ! pas trop hard mais bien drole :
Bonjour à tous! Me voilà de retour avec un solide rateau dans la besace.
Tout commence par une nuit sordide ou il tombait des hallebardes. J’étais en route vers une soirée à bord de mon fringant break quand l’intensité des phares commence à baisser. Le temps de chercher un endroit où m’arrêter, le témoin de batterie s’allume. La soirée commence très bien.
La poulie d’alternateur venait de me claquer dans les mains, je raccourcis la courroie, shunte le passage d’alternateur et continue à m’enfoncer dans les chemins déserts sans phares et avec le sourire, s’il vous plait. Quand une illumination me parvient : la voiture a beau être diesel, elle est en injection électronique, donc sans électricité, a va pas le faire. Paf le moteur stoppe.
Me voilà donc paumé à 1h du matin dans un chemin de centre Bretagne où l’on plus de chance de croiser un korrigan ou la sainte vierge qu’une voiture de passage et le tout à 40 bornes de ma destination.
Une seule chose à faire, appeler l’assistance dépannage de mon assurance et prévenir que je risque d’être en retard pour la soirée. Le destin est en marche.
-Machin assistance bonsoir (très jolie voix)
-Oui bonsoir, je vous appelle parce que je suis un petit peu en panne dans un coin un peu paumé grâce à la technologie peugeot un peu foireuse.
-Ah vous auriez un peu besoin d’un dépannage alors ?
-ben voui, un peu en fait.
Elle demande ce qu’il y a exactement, je la renseigne, elle demande plus de détail : tudieu ! Une jeune femme qui connaît la mécanique !
Elle me demande l’endroit où je suis paumé, envoie la dépanneuse et rappelle pour avertir que le tracteur arrive dans une heure à un mérou près. Puis me demande comment je vais faire, propose le taxi aux frais de l’assurance, la voiture de loc et le sujet part sur mon lieu de résidence qu’elle semble apprécier. La discussion s’engage (il n’y a pas dix mille guignols en panne à 1h du mat) et je finis par lui proposer mes services de guide au cas où elle viendrait dans le patelin en lui disant que de toutes façons elle a mon numéro.
La dépanneuse finit par arriver, soirée, retour et j’oublie un peu l’affaire.
Et puis quelques semaines plus tard, dring, coup de fil, numéro inconnu. Beuh ? Eh oui, c’était la nénette en question qui passait dans ma bonne ville. Manque de pot, je n’y étais pas mais on reste un moment au téléphone en convenant de se voir la semaine suivante où elle repasserait. En attendant j’ai récupéré son msn et on y passe un peu de temps.
Puis vient la fin de la semaine. Pour être honnête, aucune arrière pensée, juste celle de passer une aprèm avec une nénette qui a l’air super sympa. Mais elle arrive à la gare, coup de fil pour se repérer. Et là… Et là… Mes aïeux !
Un petit bout de femme, haute comme une merguez debout mais jolie comme un troupeau d’anges en plein meeting aérien. Des yeux clairs immenses, où l’on cherche désespérément un plongeoir pour y nager, un sourire à émouvoir un inspecteur du fisc… Raah, mais qu’est-ce qu’elle fichait derrière un téléphone ?
Du coup on passe l’aprèm ensembles, restau avant tout (il était midi) où ma carte bleue refuse délibérément de passer, m’obligeant à laisser la demoiselle en otage au cupide restaurateur, le temps de retirer au guichet d’en face. Puis erreur stratégique, je passe par la rue des bars où tous les taverniers me saluent respectueusement en souvenirs de mes notes en béton armées qui ont redressé l’économie locale. Changeant de tactique, je propose un salon de thé pour prendre le café, sachant que là au moins personne ne me connaît. Mais la poisse me colle aux basques et je tombe sur des collègues ayant visiblement abusé de l’apéro et qui, en plus, commencent à évoquer les joyeuses soirées passées ensembles.
Courage, fuyons. Après une brûlure au 3e degré de la langue suite à l’absorption trop rapide du café, nous nous réfugions sur les remparts. Nous faisons un bon tour de ville, avec comme promis, toutes les légendes et réalités romancées. Puis on se pose un peu sur l’herbe, on papote un peu d’elle, de moi et elle veut connaître mes aventures de marin. Je les lui sers en paquet cadeau édition limitée et apparemment le mythe est toujours vivace, la jeune femme a l’air sous le charme (pas l’arbre, hein) (pardon). Le soir, rebelote, petit restau puis elle doit rentrer, direction la gare et les adieux sur le quai. Elle me dit qu’elle aimerait bien repasser puis attend un instant en me regardant mi-timide, mi-audacieuse. Pendant ce temps là, je ne percute rien. Moi je fais du crawl dans ses yeux.
Et c’est juste une fois que le train s’en va que je me dirige vers le poteau le plus proche pour m’y cogner la tête, enfin réveillé. Mais où avais-je la tête ?
Je dois rembarquer dans la semaine mais on garde contact et trois semaines plus tard, débarquement et crédié, ça fait plaisir de la voir m’attendre à l’aéroport. On passe peu de temps sur Paris, elle doit rentrer et moi aussi mais le temps d’un restau et d’une ballade dans la ville on se rapproche et on finit par se balader gentiment la main dans la main, comme des collégiens.
Semaine suivante, elle se pointe dans les remparts mais tique un peu parce que j’ai hérité d’une balafre en travers du visage en donnant un coup de main à un ami engagé dans une discussion manuelle. C’est le début de la série noire.
Déjà, la tringle de pédale de débrayage me claque dans les mains. Plus de voiture, la balade en voilier (docké à 20 bornes) que j’avais prévue tombe à l’eau. Ensuite la miss s’était mise en uniforme de sortie mais n’avait pas calculé que les talons fins et les pavés ne font pas bon ménage. Allez, un talon en moins et me voilà remorquant le schtroumpf bancal et pas super jouasse, du coup. Je pars avec elle lui offrir une nouvelle paire histoire d'éviter de trainer la tour de Pise et la mauvaise humeur. Eh ben, j’ai appris un truc : si vous pensez aux braquage de banque, y’a plus simple, faites chausseur.
On arrive finalement à se poser adossés à la statue d’un amiral sabre au clair et les choses progressent gentiment, la belle finit dans les bras de la bête qui en est ravi. Ca papote, ça papouille mais tout va doucement. Puis la nuit tombe et on va dans un petit bar sympatoche, où je retrouve des amis. La soirée s’annonce gentiment quand je vois rentrer une ex puis une deuxième.
Alors déjà, en mâle solitaire je préfère chasser le mammouth laineux avec les dents que d’affronter deux ex réunies mais quand on est en couple, la seule issue possible est le hara-kiri. Et encore, ça suffit à peine.
Ce qui devait arriver arriva, le temps de m’éclipser jusqu’au bar pour renouveler les consommations, quand je reviens les trois étaient en pleine discussion. Aïe ma mère… Y’a quand même des jours où on se dit que c’est Landru qui avait la bonne technique avec les ex. L’atmosphère s’était sensiblement refroidie et même après départ des deux charmantes demoiselles, pas moyen de la réchauffer. La soirée s’achève, je raccompagne la jeune femme chez moi, toujours aussi chaleureuse qu’une porte de frigo.
La nuit se passe avec elle de son coté et moi du mien, s’il y avait des briques chez moi elle aurait reconstruit le mur de Berlin au milieu du plumard. Au petit matin, tentative pour établir la communication et savoir ce qu’elle me reproche mais je me fracasse contre le mur de Berlin. Ensuite elle change son billet pour prendre le premier train. Sur le quai de gare, je tente le tout pour le tout en essayant de lui prendre les mains pour discuter et elle me balance une mandale avec un « t’es vraiment un salaud » tonitruant dans le hall. Depuis, plus de nouvelles sauf que je n’ose plus remettre les pieds à la gare sauf déguisé.
En fait j’ai eu l’explication par la suite, comme j’ai toujours gardé de très bonnes relations avec mes ex, elles ont un peu tendance à me regarder comme propriété privée. Et comme je reste rarement longtemps, je préviens avant. Et c’est ce que les demoiselles ont demandé : si je l’avais prévenu, elle aussi, que ça ne durerait pas parce que je ne m’attache jamais et si elle savait que je m’en irai dans la semaine.
Mais je n’avais pas prévenu cette fois et pour cause : pour une fois j’étais sérieux…
Moralité : évitez les pavés, les peugeots et les bars et les ex, ça vaut mieux. Mais bon, y'a pas à se plaindre: j’ai passé des moments sympas, c’est tout ce qui compte.
Bonjour à tous! Me voilà de retour avec un solide rateau dans la besace.
Tout commence par une nuit sordide ou il tombait des hallebardes. J’étais en route vers une soirée à bord de mon fringant break quand l’intensité des phares commence à baisser. Le temps de chercher un endroit où m’arrêter, le témoin de batterie s’allume. La soirée commence très bien.
La poulie d’alternateur venait de me claquer dans les mains, je raccourcis la courroie, shunte le passage d’alternateur et continue à m’enfoncer dans les chemins déserts sans phares et avec le sourire, s’il vous plait. Quand une illumination me parvient : la voiture a beau être diesel, elle est en injection électronique, donc sans électricité, a va pas le faire. Paf le moteur stoppe.
Me voilà donc paumé à 1h du matin dans un chemin de centre Bretagne où l’on plus de chance de croiser un korrigan ou la sainte vierge qu’une voiture de passage et le tout à 40 bornes de ma destination.
Une seule chose à faire, appeler l’assistance dépannage de mon assurance et prévenir que je risque d’être en retard pour la soirée. Le destin est en marche.
-Machin assistance bonsoir (très jolie voix)
-Oui bonsoir, je vous appelle parce que je suis un petit peu en panne dans un coin un peu paumé grâce à la technologie peugeot un peu foireuse.
-Ah vous auriez un peu besoin d’un dépannage alors ?
-ben voui, un peu en fait.
Elle demande ce qu’il y a exactement, je la renseigne, elle demande plus de détail : tudieu ! Une jeune femme qui connaît la mécanique !
Elle me demande l’endroit où je suis paumé, envoie la dépanneuse et rappelle pour avertir que le tracteur arrive dans une heure à un mérou près. Puis me demande comment je vais faire, propose le taxi aux frais de l’assurance, la voiture de loc et le sujet part sur mon lieu de résidence qu’elle semble apprécier. La discussion s’engage (il n’y a pas dix mille guignols en panne à 1h du mat) et je finis par lui proposer mes services de guide au cas où elle viendrait dans le patelin en lui disant que de toutes façons elle a mon numéro.
La dépanneuse finit par arriver, soirée, retour et j’oublie un peu l’affaire.
Et puis quelques semaines plus tard, dring, coup de fil, numéro inconnu. Beuh ? Eh oui, c’était la nénette en question qui passait dans ma bonne ville. Manque de pot, je n’y étais pas mais on reste un moment au téléphone en convenant de se voir la semaine suivante où elle repasserait. En attendant j’ai récupéré son msn et on y passe un peu de temps.
Puis vient la fin de la semaine. Pour être honnête, aucune arrière pensée, juste celle de passer une aprèm avec une nénette qui a l’air super sympa. Mais elle arrive à la gare, coup de fil pour se repérer. Et là… Et là… Mes aïeux !
Un petit bout de femme, haute comme une merguez debout mais jolie comme un troupeau d’anges en plein meeting aérien. Des yeux clairs immenses, où l’on cherche désespérément un plongeoir pour y nager, un sourire à émouvoir un inspecteur du fisc… Raah, mais qu’est-ce qu’elle fichait derrière un téléphone ?
Du coup on passe l’aprèm ensembles, restau avant tout (il était midi) où ma carte bleue refuse délibérément de passer, m’obligeant à laisser la demoiselle en otage au cupide restaurateur, le temps de retirer au guichet d’en face. Puis erreur stratégique, je passe par la rue des bars où tous les taverniers me saluent respectueusement en souvenirs de mes notes en béton armées qui ont redressé l’économie locale. Changeant de tactique, je propose un salon de thé pour prendre le café, sachant que là au moins personne ne me connaît. Mais la poisse me colle aux basques et je tombe sur des collègues ayant visiblement abusé de l’apéro et qui, en plus, commencent à évoquer les joyeuses soirées passées ensembles.
Courage, fuyons. Après une brûlure au 3e degré de la langue suite à l’absorption trop rapide du café, nous nous réfugions sur les remparts. Nous faisons un bon tour de ville, avec comme promis, toutes les légendes et réalités romancées. Puis on se pose un peu sur l’herbe, on papote un peu d’elle, de moi et elle veut connaître mes aventures de marin. Je les lui sers en paquet cadeau édition limitée et apparemment le mythe est toujours vivace, la jeune femme a l’air sous le charme (pas l’arbre, hein) (pardon). Le soir, rebelote, petit restau puis elle doit rentrer, direction la gare et les adieux sur le quai. Elle me dit qu’elle aimerait bien repasser puis attend un instant en me regardant mi-timide, mi-audacieuse. Pendant ce temps là, je ne percute rien. Moi je fais du crawl dans ses yeux.
Et c’est juste une fois que le train s’en va que je me dirige vers le poteau le plus proche pour m’y cogner la tête, enfin réveillé. Mais où avais-je la tête ?
Je dois rembarquer dans la semaine mais on garde contact et trois semaines plus tard, débarquement et crédié, ça fait plaisir de la voir m’attendre à l’aéroport. On passe peu de temps sur Paris, elle doit rentrer et moi aussi mais le temps d’un restau et d’une ballade dans la ville on se rapproche et on finit par se balader gentiment la main dans la main, comme des collégiens.
Semaine suivante, elle se pointe dans les remparts mais tique un peu parce que j’ai hérité d’une balafre en travers du visage en donnant un coup de main à un ami engagé dans une discussion manuelle. C’est le début de la série noire.
Déjà, la tringle de pédale de débrayage me claque dans les mains. Plus de voiture, la balade en voilier (docké à 20 bornes) que j’avais prévue tombe à l’eau. Ensuite la miss s’était mise en uniforme de sortie mais n’avait pas calculé que les talons fins et les pavés ne font pas bon ménage. Allez, un talon en moins et me voilà remorquant le schtroumpf bancal et pas super jouasse, du coup. Je pars avec elle lui offrir une nouvelle paire histoire d'éviter de trainer la tour de Pise et la mauvaise humeur. Eh ben, j’ai appris un truc : si vous pensez aux braquage de banque, y’a plus simple, faites chausseur.
On arrive finalement à se poser adossés à la statue d’un amiral sabre au clair et les choses progressent gentiment, la belle finit dans les bras de la bête qui en est ravi. Ca papote, ça papouille mais tout va doucement. Puis la nuit tombe et on va dans un petit bar sympatoche, où je retrouve des amis. La soirée s’annonce gentiment quand je vois rentrer une ex puis une deuxième.
Alors déjà, en mâle solitaire je préfère chasser le mammouth laineux avec les dents que d’affronter deux ex réunies mais quand on est en couple, la seule issue possible est le hara-kiri. Et encore, ça suffit à peine.
Ce qui devait arriver arriva, le temps de m’éclipser jusqu’au bar pour renouveler les consommations, quand je reviens les trois étaient en pleine discussion. Aïe ma mère… Y’a quand même des jours où on se dit que c’est Landru qui avait la bonne technique avec les ex. L’atmosphère s’était sensiblement refroidie et même après départ des deux charmantes demoiselles, pas moyen de la réchauffer. La soirée s’achève, je raccompagne la jeune femme chez moi, toujours aussi chaleureuse qu’une porte de frigo.
La nuit se passe avec elle de son coté et moi du mien, s’il y avait des briques chez moi elle aurait reconstruit le mur de Berlin au milieu du plumard. Au petit matin, tentative pour établir la communication et savoir ce qu’elle me reproche mais je me fracasse contre le mur de Berlin. Ensuite elle change son billet pour prendre le premier train. Sur le quai de gare, je tente le tout pour le tout en essayant de lui prendre les mains pour discuter et elle me balance une mandale avec un « t’es vraiment un salaud » tonitruant dans le hall. Depuis, plus de nouvelles sauf que je n’ose plus remettre les pieds à la gare sauf déguisé.
En fait j’ai eu l’explication par la suite, comme j’ai toujours gardé de très bonnes relations avec mes ex, elles ont un peu tendance à me regarder comme propriété privée. Et comme je reste rarement longtemps, je préviens avant. Et c’est ce que les demoiselles ont demandé : si je l’avais prévenu, elle aussi, que ça ne durerait pas parce que je ne m’attache jamais et si elle savait que je m’en irai dans la semaine.
Mais je n’avais pas prévenu cette fois et pour cause : pour une fois j’étais sérieux…
Moralité : évitez les pavés, les peugeots et les bars et les ex, ça vaut mieux. Mais bon, y'a pas à se plaindre: j’ai passé des moments sympas, c’est tout ce qui compte.
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Fais gaffe,chuck,tu vas finir par choper de mauvais reflexes. 
Bon, j'ai lu à peu pres toutes ces histoires et j'aimerais partager avec vous la mienne (c'est mon premier post en passant, je préfere lire plutot que de raconter de la merde).
Petite explication avant:
J'avais organisé une petite sortie entres amis un peu à l'arrache (chose assez rare pour moi n'ayant que tres peu l'esprit d'initiative à l'époque et préférant rester à la maison a regarder des divx sans grand interet) j'avais invité une connaissance qui à son tour en avait invité une autre: une 6, un peu goth sur les bords, avec du charme, des jolies fesses et un putain de sourir, je tombe sous le charme...
Plus j'écris, et plus je me rend compte qu'avec le recul je n'étais qu'un AFC "partiel"
Bref, je savais, comme d'hab, que je ne devais pas monter le moindre interet pour elle, sinon j'étais fichu, je l'ai salué rapidement sans meme la regarder et je menais le groupe vers notre direction tout en sortant deux ou trois blagues assez drole (DHV???) arrivé a bon port (un bar nul à chier remplis de goths/visualeux/kikouloleux/djeuns-de-mon-age) je m'installe sans me préoccuper de la belle. On se parle, je la neg comme a mon habitude (reflex chez moi des que je tombe en one-itis temporaire) elle rie, on rie, tout va bien, je fais le "dur" et le mec qui s'en fou. Elle multiplie kino, je me laisse faire, mais je ne réponds pas. Fin de soirée, tout va bien! Elle me raconte qu'elle travaille dans un resto sur Paris, blablabla http://www.ma-vie.jp .... et elle me parle de son mec (K-say/HOUNAID, Uno, on change de sens, ne passez pas par la case départ, ne touchez pas 20 000 francs)
Quelques jours plus tard, j'organise de nouveau une sortie entre potes (je sais pas ce que j'avais à l'époque, organiser des trucs bouger mon cul comme ça et SORTIR, fin bref) journée cours de salsa gratos (ct un bon plan) + concert gratos (avec le SUPERBE GROUPE DE LA MORT QUI TUE: AQME) elle se joint au rdv, tout se passe bien, on rigole, blablabla, on se taquine, bref, et puis la demoiselle devait travailler, je la raccompagne mais sa pote s'incruste aussi (zuperrr!!) arrivé à destination, elle me dit qu'elle aimerait bien me revoir un de ces quatre et m'invite donc à passer a son resto durant ses heures de pauses (ioi?) je me dis: pourquoi pas? elle me dit de passer samedi vers blablabla... J'avais la flm, donc, finalement, je passe à l'improviste un mardi.
Tout se passe parfaitement bien meme si à la base je flippais de ne pas avoir de conversation, je savais pas quoi "foutre" d'elle, que dire, etc (c'est a ce moment la que l'afc en moi se reveille: des que les choses se présente favorablement, un mauvais reflex)
On se voit, et tout se passe comme sur des roulettes! On se découvre des tas de points communs! La tension est au maximum, aucun blanc, tout se passait bien, trop bien, elle kinote à donf, s'assoie sur moi, etc, du jamais vu! mais moi, comme un con, je tente rien, je ne fais rien, je "subis" je souris comme un con!
*auto-analyse*
je pense que le gros truc qui m'a poussé a ne rien faire, c'était le fait qu'elle ai un mec et c'est en meme temps grace à ça si mon afc ne s'est pas reveillié des le debut...
On fini par se revoir souvent, je m'amuse à l'ignorer, à la neg, en montrant malgré moi du DHV (exemple: mon ex de l'epoque qui me harcelait au tel, une chance pour moi! je restais "bizarrement" au tel à l'écouter me hurler dessus sachant que ma cible etait a coté de moi depuis bientot 20 min en se demandant quand j'allais enfin lacher ce p*tain telephone)
Et puis tout bascule....
Le reste, et l'ensemble de cette histoire est résumé dans un mail que jlui ai envoyé a 3h du mat par manque de sommeil (c'est dans ses environs la que l'afc attitude se montre en forme)
/!\ ATTENTION! C'EST DU LOURD! /!\
Voici le mail (legerement modifié):
"Séance de vomis, j’aurais voulu t’épargner ça, mais j’en ai trop lourd sur le cœur. Puisque ça ne veut pas sortir par les voies naturelles je préfère te vomir dans ce mail tout ce qui se passe dans à peu près toutes les parties de mon corps (ma tête, mon cœur, et autres parties sensibles à ta personne). Il sera donc question de scatologie et autres délires que t’apprécieras je pense.
Par quoi commencer ?
Peut-être par le début il me semble.
La première fois que je t’ai vu, j’ai craqué, mais j’ai essayé de ne pas trop m’attarder sur toi, tu me parlais déjà de « copain » etc…J’ai compris de suite qu’il n’y avait rien à tenter. Je suis donc resté moi-même, et malgré ce que tu pourrais croire, j’ai pas essayé de te draguer (je sais pas draguer, tu le sais), il était clair pour moi que tout ce qui s’était passé entre toi et moi n’était qu’un jeu dans lequel je perdais déjà d’avance…
Et puis on s’est revu pour la salsa/concert d’Aqme (aucun commentaires! il était gratuit ce concert! en fait, on m´a forcé a y aller! jvous jure! ne faites pas une demande de ban :snif: ). Encore une fois on s’est bien entendus, j’appréciais ta compagnie et je pense que c’était réciproque. Ce jour là, j’avais décidé de te raccompagner, va savoir pourquoi…J’ai appris que tu travaillais comme serveuse au ********, j’avais proposé de venir te voir « un de ces quatre » sans grande conviction (me connaissant, j’avais déjà la flemme) et puis sans trop savoir, j’ai réussis a bouger mon cul jusqu´au *********, je savais pas trop ce qu’on allait faire, ce qu’on allait pouvoir se dire, et je me demandais déjà pourquoi t’avais accepté de me voir, fin bref. On avait passé une très bonne journée, et puis on se voyait régulièrement…
Ce que je viens de raconter ne sert a rien, passons aux choses majeures !
Un jour, tout a changé. Le jour ou tu as commencé à me serrer dans tes bras etc… Bien sur j’ai apprécié ça, mais j’ai relativisé en me disant que tu devais être comme ça de nature, j’ai relativisé en me répétant que t’avais déjà un petit ami, j’ai relativisé en me disant que…blabla, pipo, chocolat, et autre bergerie !
Tout était encore normal, j’avais réussi à ne pas péter de plombs, j’avais réussis a ne pas être collant, mais j’arrivais pas à profiter de ces moments avec toi pleinement.
Si c’était de que l’amitié, je n’en avais pas confirmation, si c’était plus, j’en savais rien, j’avais pour seul certitude mon pessimisme habituel qui me conduisait a me convaincre qu’il n’y avait rien de plus.
Le jour du Concert de ********* notre « relation physique» à encore évolué, tu m’as pris la main…
T’es surement en train de te dire : « Woooow ! Je lui ai pris la main et il s’enflamme ! »
Euh, ouai, lOl, je sais pas pour toi, mais ça représente beaucoup de chose, je dois être vieux jeu, je sais pas, mais c’est énorme ! Surtout pour un type qui n’aime pas se jeter à l’eau. Ce jour là il pleuvait, donc, ça allait…(j’essaie d’être drôle encore)
Le reste de la soirée c’était du grand nimp en ce qui me concerne…
Danser avec toi, etc, te serrer dans mes bras etc, toi, assise sur moi, moi te caressant le ventre, te faisant des baisers sur l’épaule, le cou…
Et tu te dis : « Woooow ! il m’a fait des bisous dans le cou, il se s’en plus… »
Euh, re Ouai, mais euh, je sais pas pour toi, mais c’est vachement « intime » enfin, après ça, je commencais a avoir des doutes, a m’imaginer des trucs space du genre : « embrasse la, embrasse la, embrasse la, embrasse la, dis moi, je t’ai déjà conseillé de l’embrasser ? »
J’étais content de cette soirée, je sentais une grande complicité entre nous, peut être trop grande a mon goût pour une « nouvelle relation amicale qui venait a peine de naître »
Après cette soirée, j’ai commencé à comater réellement, à essayer de voir les choses qui pourraient me conduire sur la piste de ce que je ressentais pour toi, mais surtout sur ce que tu ressentais pour moi !
On en a jamais parlé, ça n’a jamais été clair ! ON s’est jamais dis : copain, copain.
Et après tout ces échanges physiques, j’étais en droit de me poser des questions…
Et puis samedi, grosse désillusion, la débande totale…
Je t’attendais comme d’habitude, et je t’ai vu avec ton cuistot, main dans la main, et je me suis dis : merde, owned, headshot, impressive, elle est comme ça avec tout le monde…
J’avais pensé a cette possibilité, mais en tant que dernière possibilité, en me disant que si c’était le cas j’avais réellement pas de chance avec les nanas…
Sur ce coup là, on peut pas me reprocher d’avoir fait le lourd, ou d’avoir interprété un simple bonjour en un « tu me plais, baise moi » mais j’étais profondément dégoûté, t’as du le voir…
Et puis on s’est posé au quick, et pour la première fois on parlait de nos relations avec le sexe opposé (enfin, surtout en ce qui me concerne hihi lol) je te décrivais les nanas qui m’énervaient, les nanas sur lesquelles je ne voulais plus tomber :
-les nanas ambiguës.
-les nanas qui ont déjà des mecs et qui sont ambiguës
-les nanas gentilles avec tout le monde qui entretiennent une certaine ambiguité
-les nanas qui ont des problèmes avec leurs ex et qui entretiennent une certaine ambiguités…
Ne voyant pas de réaction de ta part, je me suis donc convaincu que…j’avais pas de chance! lOl ! Et ouai, et ouai, t’es « ouverte » avec tout le monde, j’avais une certaine déception et une petite montée de colère (à peine a vrai dire) ça nous a pas empêché de continuer la journée pour finir sur une bonne dose de câlin que j’aime tant…
Tu peux croire que je suis un lourd, mais si tu ne ressens rien de plus pour moi que de l’amitié, pense que les gens autour de toi ne sont pas aussi ouvert « tactilement » je me demande si tu te pose la question parfois…C’est très déstabilisant ! J’ai beau me dire que je suis un gros boulet en ce qui concerne les nanas, mais sur ce coup là...je pense pas m’être fait des films tout seul.
Mais lol ! Je crois que je suis tombé sur tous les cas possibles ! C’est pas méchant, mais c’est juste qu’après ça, le level de selfconfidence et autre barre d’ego en prennent un sacré coup…
Je prends sur moi en me disant que je vois direct plus que de l’amitié avec une nana que tu connais à peine avec qui tu t’entends plutôt bien et avec qui tu échange des contacts physiques intenses…
Et puis, euh, bon, comment dire, à chaque fois que tu me touche, des réactions chimiques s’opèrent en moi provocant….une érection ! Voila, quand je suis avec toi, je retombe en enfance, tu me plait tellement, tu m’attire tellement que j’en arrive à ces états qui m’énerve. Je ne pense à rien de sexuel (pas tout le temps en tout cas) ça m’oblige parfois à prendre de la distance physique voir plus pour éviter ça…
Ose me dire que tu n’as pas remarqué ça ! (manquerait plus que tu me dise que j’ai un micro pénis et jme tue !)
Bref, j’en ai pas fini avec toi !
On continue.
Si tu pouvais m’éclairer, et me dire : oui, jte considère comme un pote, j’en serais content, il n’est pas encore trop tard pour moi pour faire machine arrière et tuer cette espèce de cancer généralisée, faudrait surtout pas qu’il se transforme en amour solitaire ou pire… en passion /obsession qui me pousserait à te spammer, à te harceler au téléphone ou à grimper par la fenêtre de chez toi et qui m’obligerait à renifler tes strings en me masturbant… Ok, je suis un type effrayant, pardon.
En fait, voila, j’aimerais pas passer à coté de toi en tant qu’ami, et j’aimerais pas passer à coté de toi en tant que petit ami (le tien est un boulet en passant, désolé, mais euh, se barrer pendant deux semaines sans donner de news c’est de l’indifférence en barre !) peut-être qu’à sa place j’aurais été pire…Fin bref, de toute manière, je voudrais pas être à sa place mine de rien, te voir comme tu es avec moi « amicalement » me foutrais les boules, j’en ai déjà connu des nanas comme ça (en fait, une seule) et j’ai pas supporté : « mais non, c’est pas ce que tu crois, je smack aussi mes AMIES »
Tu m’étonne qu’après ça le pauvre type que je suis en finisse par ne plus s’ouvrir et à croire qu´il n´a pas de chance!
Même si une nana avait mon sexe entre les mains me disait je t’aime, je ne la croirais pas en me disant : « arf, elle veut seulement de l’amitié, tu te fais des films pour rien »
Enfin, bref, t’as raison, ça fait du bien d’écrire, je pense pas que j’aurais pu te dire ça en face, je pense que j’aurais sûrement fermé ma bouche comme un gentil soumis en me disant : « merde, elle a la peau douce, je lui ferais bien un cunni… »
Au final, je me demande si les sentiments des autres t’indifferent, si finalement tu ne serais pas égoïste. Tu t’es jamais demandé si pour moi tout ça était anormal ?. J’aurais en avoir rien à foutre, j’aurais pu être un salopard en profitant de toi physiquement. Si te caresser ne te faisait rien, si tu n’étais pas choqué par mes baiser sur ton cou (qui sent très bon au passage) j’aurais pu tenter la main sur le sein, sur ta cuisse, entre tes jambes, j’aurais pu tenter d’embrasser tes levres fines qui donnent envie…(j´ai pensé a ça plusieurs fois) j’aurais pu ne pas me poser de questions. Le truc c’est que j’ai des sentiments, et que je veux pas devenir une pourriture. Je veux pas devenir un pauvre mec. J’ai faillis le faire je m’en cache pas, mais à la réflexion non, je suis pas comme ça, et je me sentirais trop mal. Au fond, c’est peut-être ce que t’aurais voulu que je sois un salaud.
Ou sinon, peut-être que j’ai rien compris, peut-être que tout ça c’était des signes de ta part, ta façon de me dire que je te plaisais, que je te laissais pas indifférent.. Mais dans ce cas, c’est très mal fait, c’est même pas honnête (t’es ouverte, t’as un mec, comment aurais je pu savoir dans ce cas ?) . Il y a des choses que tu as dites, des choses que tu as faites qui n’auraient pas dû être. Peut-être que tu me considérera comme coincé parce que j’accepte pas qu’on se frotte à moi sans raison, ben alors ouais, je suis coincé, j’aime pas n’être qu’un jouet. A la limite, si tu m’avais dis dès le départ ce qu’il en était, comment tu étais avec les autres, ben j’aurais été prévenu et j’aurais eu à m’en prendre qu’à moi (oui, effectivement, t´as seulement dis que tu rotais devant les gens avec qui t´étais à l´aise, ça me fait une belle jambe, classe! mais pour le reste...)
Pour finir, que ça soit en amitié ou en « amour » (mon Dieu, que je déteste ça) je voudrais pas te rater, je voulais seulement être honnête avec toi, si c’était que de l’amitié, je pense pas que ça te ferait plaisir de savoir que ton « pote » en face est en érection des que tu le touche! Si déjà cette relation entre nous pouvait être clair, je pense que j’arriverais à vivre pleinement notre amitié…(quand je dis amitié, je dis bien « on se revoit comme avant » et non pas « ouai, on est potes : plus de news PWNED ») Encore une fois, je veux pas te perdre (je dis ça parce que ça me ferait chier de perdre ma chanteuse, dans le cas contraire j’aurais fait un ultimatum du genre : c’est tout ou rien)
Voila mon vomis, a présent tu nettoie ^^"
Je respecte ceux qui ont lu mon pavé (pouvais pas faire mieux pour un premier post)
suite et fin de l'histoire:
j'ai essayé de trouver des gens pr lui hack son pc (estimant que finalement ce mail n'était qu'une abérration de la nature que je devais supprimer puisqu'il etait parfumé de ce coté en moi que je supportais pas: l'afc)
je lui ai dis de ne pas lire le mail pcq il contenait un virus et elle m'a juré par la suite qu'elle ne l'avait pas lu et qu'elle ne le ferait pas....
Quelques jours plus tard: "j'ai lu ton mail"
HOUNAID + corde + tabouret + poutre = headshot
Elle a m'a sorti un coup du genre: "tu m'as déçu, j'étais choqué meme si je comprenais en meme temps, je ne sais pas quoi te dire...."
Et puis on est devenu officiellement amis....
Depuis, on a formé un groupe de musique et finalement je suis plus du tout attiré par elle sachant que c'est une nana à jerk, immature et p-e LSE... (ça explique tout)
Elle m'a avoué y a pas longtps que je donnais l'air (à l'époque) d'etre sur de moi et froid...
Autre anecdote sympas:
je devais avoir 15 ans, j'étais chez la meuf d'un pote, pendant que lui la sautait dans sa chambre, moi,j'étais dans le salon a faire la chandelle avec.... 5 nanas.
Ok, rien de tres palpitant jusqu'a ce qu'elles mettent un film de cul et qu'elles me chauffent...
Biensur, en bon afc puceau, bin, je prends la fuite...
Autre histoires drole:
je suis resté en one-itis pendant trois ans au lycée sur une fille plutot banale en fait...
1) je l'ai demandé en mariage chez elle, en pleurant comme une merde.
2) je lui ai déclaré ma flamme comme un looser à la récré (tjr en pleurant)
3) je lui ai promis qu'en 2010 je reviendrais (L-O-L)
4) avec le temps, on est devenu hyper complice, et jcommencais à lacher l'affaire (en fait, jsuis resté en one-itis 3 ans mais ça m'a pas empéché d'aller voir ailleurs, j'ai pas trop foutu en l'air ma vie amoureuse durant le lycée, chose assez étonnante, je sortais souvent avec des filles que je negais 24/24 en les cassant totalement et sans pitié puis en jouant la carte du garçon gentil au fond, c'était meme pas fait expres, dtfaçon, jprennais ski passait...) bref, un jour, apres avoir passé la semaine a lui parler de cul, à la chauffer, à montrer (soit disant) que je savais ce qu'une nana avait réellement besoin (le reveil du padawan?) bref, en montrant que j'étais sexué pr la premiere fois depuis 3 ans, elle m'invita chez elle pour... passer à l'acte....
Je suis quelqu'un d'assez... enfin, tres "explosif" sur les sentiments, pourquoi je vous dis ça? pour la simple raison que le simple fait de m'imaginer coucher avec elle le lendemain m'a empéché de dormir et je suis tombé malade (L-O-L) jvous jure! j'étais dans un etat pas possible!
fin bref, on est qd mm allé chez elle.... blablabla qui a fini en massage suspect (pr moi, hein, evidement) j'étais sur elle, et elle etait allongé sur le ventre, je lui massais les épaules, tout en bandant sur son postérieur qui, de profil, faisait Pi/2 (carrément) qu'est ce qu'elle etait bien gaulé n'empeche... fin bref, j'ai rien fais, elle m'a massé par la suite, j'ai rien fais... on a rien fait...
Bref, je dois surement en avoir d'autres des commes ça, mais bon, vu l'heure, je crois que je vais pioncer.
Voila, Rob l'éponge, le rAFC.
ps: la prochaine fois, je ferais plus court, promis ^^
Petite explication avant:
J'avais organisé une petite sortie entres amis un peu à l'arrache (chose assez rare pour moi n'ayant que tres peu l'esprit d'initiative à l'époque et préférant rester à la maison a regarder des divx sans grand interet) j'avais invité une connaissance qui à son tour en avait invité une autre: une 6, un peu goth sur les bords, avec du charme, des jolies fesses et un putain de sourir, je tombe sous le charme...
Plus j'écris, et plus je me rend compte qu'avec le recul je n'étais qu'un AFC "partiel"
Bref, je savais, comme d'hab, que je ne devais pas monter le moindre interet pour elle, sinon j'étais fichu, je l'ai salué rapidement sans meme la regarder et je menais le groupe vers notre direction tout en sortant deux ou trois blagues assez drole (DHV???) arrivé a bon port (un bar nul à chier remplis de goths/visualeux/kikouloleux/djeuns-de-mon-age) je m'installe sans me préoccuper de la belle. On se parle, je la neg comme a mon habitude (reflex chez moi des que je tombe en one-itis temporaire) elle rie, on rie, tout va bien, je fais le "dur" et le mec qui s'en fou. Elle multiplie kino, je me laisse faire, mais je ne réponds pas. Fin de soirée, tout va bien! Elle me raconte qu'elle travaille dans un resto sur Paris, blablabla http://www.ma-vie.jp .... et elle me parle de son mec (K-say/HOUNAID, Uno, on change de sens, ne passez pas par la case départ, ne touchez pas 20 000 francs)
Quelques jours plus tard, j'organise de nouveau une sortie entre potes (je sais pas ce que j'avais à l'époque, organiser des trucs bouger mon cul comme ça et SORTIR, fin bref) journée cours de salsa gratos (ct un bon plan) + concert gratos (avec le SUPERBE GROUPE DE LA MORT QUI TUE: AQME) elle se joint au rdv, tout se passe bien, on rigole, blablabla, on se taquine, bref, et puis la demoiselle devait travailler, je la raccompagne mais sa pote s'incruste aussi (zuperrr!!) arrivé à destination, elle me dit qu'elle aimerait bien me revoir un de ces quatre et m'invite donc à passer a son resto durant ses heures de pauses (ioi?) je me dis: pourquoi pas? elle me dit de passer samedi vers blablabla... J'avais la flm, donc, finalement, je passe à l'improviste un mardi.
Tout se passe parfaitement bien meme si à la base je flippais de ne pas avoir de conversation, je savais pas quoi "foutre" d'elle, que dire, etc (c'est a ce moment la que l'afc en moi se reveille: des que les choses se présente favorablement, un mauvais reflex)
On se voit, et tout se passe comme sur des roulettes! On se découvre des tas de points communs! La tension est au maximum, aucun blanc, tout se passait bien, trop bien, elle kinote à donf, s'assoie sur moi, etc, du jamais vu! mais moi, comme un con, je tente rien, je ne fais rien, je "subis" je souris comme un con!
*auto-analyse*
je pense que le gros truc qui m'a poussé a ne rien faire, c'était le fait qu'elle ai un mec et c'est en meme temps grace à ça si mon afc ne s'est pas reveillié des le debut...
On fini par se revoir souvent, je m'amuse à l'ignorer, à la neg, en montrant malgré moi du DHV (exemple: mon ex de l'epoque qui me harcelait au tel, une chance pour moi! je restais "bizarrement" au tel à l'écouter me hurler dessus sachant que ma cible etait a coté de moi depuis bientot 20 min en se demandant quand j'allais enfin lacher ce p*tain telephone)
Et puis tout bascule....
Le reste, et l'ensemble de cette histoire est résumé dans un mail que jlui ai envoyé a 3h du mat par manque de sommeil (c'est dans ses environs la que l'afc attitude se montre en forme)
/!\ ATTENTION! C'EST DU LOURD! /!\
Voici le mail (legerement modifié):
"Séance de vomis, j’aurais voulu t’épargner ça, mais j’en ai trop lourd sur le cœur. Puisque ça ne veut pas sortir par les voies naturelles je préfère te vomir dans ce mail tout ce qui se passe dans à peu près toutes les parties de mon corps (ma tête, mon cœur, et autres parties sensibles à ta personne). Il sera donc question de scatologie et autres délires que t’apprécieras je pense.
Par quoi commencer ?
Peut-être par le début il me semble.
La première fois que je t’ai vu, j’ai craqué, mais j’ai essayé de ne pas trop m’attarder sur toi, tu me parlais déjà de « copain » etc…J’ai compris de suite qu’il n’y avait rien à tenter. Je suis donc resté moi-même, et malgré ce que tu pourrais croire, j’ai pas essayé de te draguer (je sais pas draguer, tu le sais), il était clair pour moi que tout ce qui s’était passé entre toi et moi n’était qu’un jeu dans lequel je perdais déjà d’avance…
Et puis on s’est revu pour la salsa/concert d’Aqme (aucun commentaires! il était gratuit ce concert! en fait, on m´a forcé a y aller! jvous jure! ne faites pas une demande de ban :snif: ). Encore une fois on s’est bien entendus, j’appréciais ta compagnie et je pense que c’était réciproque. Ce jour là, j’avais décidé de te raccompagner, va savoir pourquoi…J’ai appris que tu travaillais comme serveuse au ********, j’avais proposé de venir te voir « un de ces quatre » sans grande conviction (me connaissant, j’avais déjà la flemme) et puis sans trop savoir, j’ai réussis a bouger mon cul jusqu´au *********, je savais pas trop ce qu’on allait faire, ce qu’on allait pouvoir se dire, et je me demandais déjà pourquoi t’avais accepté de me voir, fin bref. On avait passé une très bonne journée, et puis on se voyait régulièrement…
Ce que je viens de raconter ne sert a rien, passons aux choses majeures !
Un jour, tout a changé. Le jour ou tu as commencé à me serrer dans tes bras etc… Bien sur j’ai apprécié ça, mais j’ai relativisé en me disant que tu devais être comme ça de nature, j’ai relativisé en me répétant que t’avais déjà un petit ami, j’ai relativisé en me disant que…blabla, pipo, chocolat, et autre bergerie !
Tout était encore normal, j’avais réussi à ne pas péter de plombs, j’avais réussis a ne pas être collant, mais j’arrivais pas à profiter de ces moments avec toi pleinement.
Si c’était de que l’amitié, je n’en avais pas confirmation, si c’était plus, j’en savais rien, j’avais pour seul certitude mon pessimisme habituel qui me conduisait a me convaincre qu’il n’y avait rien de plus.
Le jour du Concert de ********* notre « relation physique» à encore évolué, tu m’as pris la main…
T’es surement en train de te dire : « Woooow ! Je lui ai pris la main et il s’enflamme ! »
Euh, ouai, lOl, je sais pas pour toi, mais ça représente beaucoup de chose, je dois être vieux jeu, je sais pas, mais c’est énorme ! Surtout pour un type qui n’aime pas se jeter à l’eau. Ce jour là il pleuvait, donc, ça allait…(j’essaie d’être drôle encore)
Le reste de la soirée c’était du grand nimp en ce qui me concerne…
Danser avec toi, etc, te serrer dans mes bras etc, toi, assise sur moi, moi te caressant le ventre, te faisant des baisers sur l’épaule, le cou…
Et tu te dis : « Woooow ! il m’a fait des bisous dans le cou, il se s’en plus… »
Euh, re Ouai, mais euh, je sais pas pour toi, mais c’est vachement « intime » enfin, après ça, je commencais a avoir des doutes, a m’imaginer des trucs space du genre : « embrasse la, embrasse la, embrasse la, embrasse la, dis moi, je t’ai déjà conseillé de l’embrasser ? »
J’étais content de cette soirée, je sentais une grande complicité entre nous, peut être trop grande a mon goût pour une « nouvelle relation amicale qui venait a peine de naître »
Après cette soirée, j’ai commencé à comater réellement, à essayer de voir les choses qui pourraient me conduire sur la piste de ce que je ressentais pour toi, mais surtout sur ce que tu ressentais pour moi !
On en a jamais parlé, ça n’a jamais été clair ! ON s’est jamais dis : copain, copain.
Et après tout ces échanges physiques, j’étais en droit de me poser des questions…
Et puis samedi, grosse désillusion, la débande totale…
Je t’attendais comme d’habitude, et je t’ai vu avec ton cuistot, main dans la main, et je me suis dis : merde, owned, headshot, impressive, elle est comme ça avec tout le monde…
J’avais pensé a cette possibilité, mais en tant que dernière possibilité, en me disant que si c’était le cas j’avais réellement pas de chance avec les nanas…
Sur ce coup là, on peut pas me reprocher d’avoir fait le lourd, ou d’avoir interprété un simple bonjour en un « tu me plais, baise moi » mais j’étais profondément dégoûté, t’as du le voir…
Et puis on s’est posé au quick, et pour la première fois on parlait de nos relations avec le sexe opposé (enfin, surtout en ce qui me concerne hihi lol) je te décrivais les nanas qui m’énervaient, les nanas sur lesquelles je ne voulais plus tomber :
-les nanas ambiguës.
-les nanas qui ont déjà des mecs et qui sont ambiguës
-les nanas gentilles avec tout le monde qui entretiennent une certaine ambiguité
-les nanas qui ont des problèmes avec leurs ex et qui entretiennent une certaine ambiguités…
Ne voyant pas de réaction de ta part, je me suis donc convaincu que…j’avais pas de chance! lOl ! Et ouai, et ouai, t’es « ouverte » avec tout le monde, j’avais une certaine déception et une petite montée de colère (à peine a vrai dire) ça nous a pas empêché de continuer la journée pour finir sur une bonne dose de câlin que j’aime tant…
Tu peux croire que je suis un lourd, mais si tu ne ressens rien de plus pour moi que de l’amitié, pense que les gens autour de toi ne sont pas aussi ouvert « tactilement » je me demande si tu te pose la question parfois…C’est très déstabilisant ! J’ai beau me dire que je suis un gros boulet en ce qui concerne les nanas, mais sur ce coup là...je pense pas m’être fait des films tout seul.
Mais lol ! Je crois que je suis tombé sur tous les cas possibles ! C’est pas méchant, mais c’est juste qu’après ça, le level de selfconfidence et autre barre d’ego en prennent un sacré coup…
Je prends sur moi en me disant que je vois direct plus que de l’amitié avec une nana que tu connais à peine avec qui tu t’entends plutôt bien et avec qui tu échange des contacts physiques intenses…
Et puis, euh, bon, comment dire, à chaque fois que tu me touche, des réactions chimiques s’opèrent en moi provocant….une érection ! Voila, quand je suis avec toi, je retombe en enfance, tu me plait tellement, tu m’attire tellement que j’en arrive à ces états qui m’énerve. Je ne pense à rien de sexuel (pas tout le temps en tout cas) ça m’oblige parfois à prendre de la distance physique voir plus pour éviter ça…
Ose me dire que tu n’as pas remarqué ça ! (manquerait plus que tu me dise que j’ai un micro pénis et jme tue !)
Bref, j’en ai pas fini avec toi !
On continue.
Si tu pouvais m’éclairer, et me dire : oui, jte considère comme un pote, j’en serais content, il n’est pas encore trop tard pour moi pour faire machine arrière et tuer cette espèce de cancer généralisée, faudrait surtout pas qu’il se transforme en amour solitaire ou pire… en passion /obsession qui me pousserait à te spammer, à te harceler au téléphone ou à grimper par la fenêtre de chez toi et qui m’obligerait à renifler tes strings en me masturbant… Ok, je suis un type effrayant, pardon.
En fait, voila, j’aimerais pas passer à coté de toi en tant qu’ami, et j’aimerais pas passer à coté de toi en tant que petit ami (le tien est un boulet en passant, désolé, mais euh, se barrer pendant deux semaines sans donner de news c’est de l’indifférence en barre !) peut-être qu’à sa place j’aurais été pire…Fin bref, de toute manière, je voudrais pas être à sa place mine de rien, te voir comme tu es avec moi « amicalement » me foutrais les boules, j’en ai déjà connu des nanas comme ça (en fait, une seule) et j’ai pas supporté : « mais non, c’est pas ce que tu crois, je smack aussi mes AMIES »
Tu m’étonne qu’après ça le pauvre type que je suis en finisse par ne plus s’ouvrir et à croire qu´il n´a pas de chance!
Même si une nana avait mon sexe entre les mains me disait je t’aime, je ne la croirais pas en me disant : « arf, elle veut seulement de l’amitié, tu te fais des films pour rien »
Enfin, bref, t’as raison, ça fait du bien d’écrire, je pense pas que j’aurais pu te dire ça en face, je pense que j’aurais sûrement fermé ma bouche comme un gentil soumis en me disant : « merde, elle a la peau douce, je lui ferais bien un cunni… »
Au final, je me demande si les sentiments des autres t’indifferent, si finalement tu ne serais pas égoïste. Tu t’es jamais demandé si pour moi tout ça était anormal ?. J’aurais en avoir rien à foutre, j’aurais pu être un salopard en profitant de toi physiquement. Si te caresser ne te faisait rien, si tu n’étais pas choqué par mes baiser sur ton cou (qui sent très bon au passage) j’aurais pu tenter la main sur le sein, sur ta cuisse, entre tes jambes, j’aurais pu tenter d’embrasser tes levres fines qui donnent envie…(j´ai pensé a ça plusieurs fois) j’aurais pu ne pas me poser de questions. Le truc c’est que j’ai des sentiments, et que je veux pas devenir une pourriture. Je veux pas devenir un pauvre mec. J’ai faillis le faire je m’en cache pas, mais à la réflexion non, je suis pas comme ça, et je me sentirais trop mal. Au fond, c’est peut-être ce que t’aurais voulu que je sois un salaud.
Ou sinon, peut-être que j’ai rien compris, peut-être que tout ça c’était des signes de ta part, ta façon de me dire que je te plaisais, que je te laissais pas indifférent.. Mais dans ce cas, c’est très mal fait, c’est même pas honnête (t’es ouverte, t’as un mec, comment aurais je pu savoir dans ce cas ?) . Il y a des choses que tu as dites, des choses que tu as faites qui n’auraient pas dû être. Peut-être que tu me considérera comme coincé parce que j’accepte pas qu’on se frotte à moi sans raison, ben alors ouais, je suis coincé, j’aime pas n’être qu’un jouet. A la limite, si tu m’avais dis dès le départ ce qu’il en était, comment tu étais avec les autres, ben j’aurais été prévenu et j’aurais eu à m’en prendre qu’à moi (oui, effectivement, t´as seulement dis que tu rotais devant les gens avec qui t´étais à l´aise, ça me fait une belle jambe, classe! mais pour le reste...)
Pour finir, que ça soit en amitié ou en « amour » (mon Dieu, que je déteste ça) je voudrais pas te rater, je voulais seulement être honnête avec toi, si c’était que de l’amitié, je pense pas que ça te ferait plaisir de savoir que ton « pote » en face est en érection des que tu le touche! Si déjà cette relation entre nous pouvait être clair, je pense que j’arriverais à vivre pleinement notre amitié…(quand je dis amitié, je dis bien « on se revoit comme avant » et non pas « ouai, on est potes : plus de news PWNED ») Encore une fois, je veux pas te perdre (je dis ça parce que ça me ferait chier de perdre ma chanteuse, dans le cas contraire j’aurais fait un ultimatum du genre : c’est tout ou rien)
Voila mon vomis, a présent tu nettoie ^^"
Je respecte ceux qui ont lu mon pavé (pouvais pas faire mieux pour un premier post)
suite et fin de l'histoire:
j'ai essayé de trouver des gens pr lui hack son pc (estimant que finalement ce mail n'était qu'une abérration de la nature que je devais supprimer puisqu'il etait parfumé de ce coté en moi que je supportais pas: l'afc)
je lui ai dis de ne pas lire le mail pcq il contenait un virus et elle m'a juré par la suite qu'elle ne l'avait pas lu et qu'elle ne le ferait pas....
Quelques jours plus tard: "j'ai lu ton mail"
HOUNAID + corde + tabouret + poutre = headshot
Elle a m'a sorti un coup du genre: "tu m'as déçu, j'étais choqué meme si je comprenais en meme temps, je ne sais pas quoi te dire...."
Et puis on est devenu officiellement amis....
Depuis, on a formé un groupe de musique et finalement je suis plus du tout attiré par elle sachant que c'est une nana à jerk, immature et p-e LSE... (ça explique tout)
Elle m'a avoué y a pas longtps que je donnais l'air (à l'époque) d'etre sur de moi et froid...
Autre anecdote sympas:
je devais avoir 15 ans, j'étais chez la meuf d'un pote, pendant que lui la sautait dans sa chambre, moi,j'étais dans le salon a faire la chandelle avec.... 5 nanas.
Ok, rien de tres palpitant jusqu'a ce qu'elles mettent un film de cul et qu'elles me chauffent...
Biensur, en bon afc puceau, bin, je prends la fuite...
Autre histoires drole:
je suis resté en one-itis pendant trois ans au lycée sur une fille plutot banale en fait...
1) je l'ai demandé en mariage chez elle, en pleurant comme une merde.
2) je lui ai déclaré ma flamme comme un looser à la récré (tjr en pleurant)
3) je lui ai promis qu'en 2010 je reviendrais (L-O-L)
4) avec le temps, on est devenu hyper complice, et jcommencais à lacher l'affaire (en fait, jsuis resté en one-itis 3 ans mais ça m'a pas empéché d'aller voir ailleurs, j'ai pas trop foutu en l'air ma vie amoureuse durant le lycée, chose assez étonnante, je sortais souvent avec des filles que je negais 24/24 en les cassant totalement et sans pitié puis en jouant la carte du garçon gentil au fond, c'était meme pas fait expres, dtfaçon, jprennais ski passait...) bref, un jour, apres avoir passé la semaine a lui parler de cul, à la chauffer, à montrer (soit disant) que je savais ce qu'une nana avait réellement besoin (le reveil du padawan?) bref, en montrant que j'étais sexué pr la premiere fois depuis 3 ans, elle m'invita chez elle pour... passer à l'acte....
Je suis quelqu'un d'assez... enfin, tres "explosif" sur les sentiments, pourquoi je vous dis ça? pour la simple raison que le simple fait de m'imaginer coucher avec elle le lendemain m'a empéché de dormir et je suis tombé malade (L-O-L) jvous jure! j'étais dans un etat pas possible!
fin bref, on est qd mm allé chez elle.... blablabla qui a fini en massage suspect (pr moi, hein, evidement) j'étais sur elle, et elle etait allongé sur le ventre, je lui massais les épaules, tout en bandant sur son postérieur qui, de profil, faisait Pi/2 (carrément) qu'est ce qu'elle etait bien gaulé n'empeche... fin bref, j'ai rien fais, elle m'a massé par la suite, j'ai rien fais... on a rien fait...
Bref, je dois surement en avoir d'autres des commes ça, mais bon, vu l'heure, je crois que je vais pioncer.
Voila, Rob l'éponge, le rAFC.
ps: la prochaine fois, je ferais plus court, promis ^^
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Rob l'éponge pas mal !!! (j'ai tous lu)
mdrr le mail de fou.
C'est bien toutes c'est histoire ! Ca fait progresser
allé une autre
Bonjour à tous !
Voilà, comme promis, me voici donc dans cette rubrique du forum afin de raconter mon principal râteau, qui reste à ce jour le plus violent et surtout le plus douloureux.
Tout d’abord, désolé pour les paragraphes qui vont vous sembler un peu « hors sujet » (le râteau en lui même commençant réellement au chapitre III) mais c’est pour que vous puissiez mieux vous imprégner de l’histoire.
Plantons sans plus attendre le décor.
Date : Ce râteau s’étale sur 2 ans, lors des années universitaires 2004-2005 et 2005-2006.
Lieu : L’université que j’ai fréquenté pendant ces 2 années.
Principaux protagonistes :
Moi : Jeune homme de 20 ans (au début de l’histoire), je suis loin d’être un « beau gosse » mais je ne suis pas un monstre non plus. Séduire une fille est donc pour moi assez complexe mais tout à fait réalisable (enfin je pense). Mon principal défaut ? Sans aucune hésitation la timidité, eh oui, là aussi je suis pas vraiment aidé, même si ça tend vraiment à s’améliorer ces derniers temps. Maintenir une discussion constructive avec une fille sans perdre mes moyens n’est donc pas chose aisée (surtout à l’époque).
Elle : Appelons la Claire (oui j’ai toujours trouvé qu’elle a une tête à s’appeler Claire ^^ ). Jeune fille de 2 ans ma cadette, blonde, les yeux bleus, un regard ravageur, et, ne le cachons pas, une poitrine tout à fait appréciable. Toutes ces particularités n’auraient pas plus éveillé mon intérêt si elle n’était pas également d’une extrême gentillesse.
Elie : Un ami de la promo, également amoureux de Claire.
Yann : Un autre gars de la promo…
Introduction : Les premiers jours à l’université.
Je sors de deux années post-bac assez chaotiques plutôt passées le nez dans les cartes que dans mes cours ; autrement dit : deux années blanches. Soucieux d’enfin avancer dans mes études, je m’oriente donc dans une formation en 2 ans, l’ambiance sera assez proche du lycée : promo de 40 étudiants divisée en 2 groupes de TD, environ 35 heures de cours par semaine, un bon suivi de la part des profs qui devrait m’empêcher de retomber dans mes travers (comprenez la belote ^^ ). Je suis donc prêt à passer le plus clair de mon temps avec ces 39 autres personnes pendant les 2 prochaines années .
Le jour de la rentrée arrive, premier constat, je suis l’un des plus vieux, puisque les autres étudiants de la promo sont fraîchement bacheliers. Malgré mon extrême timidité, je garde mes vieux réflexes de célibataire endurci et j’épie discrètement l’ensemble des représentantes de la gente féminine présentes dans la salle. Premier constat : Il y en a pas beaucoup ! Je me dis que la grande love story, ce sera sûrement pas encore pour ces deux années, 75% de mecs pour 25% de filles, l’affaire semble très mal engagée, en effet, je me vois mal tirer mon épingle du jeu au milieu de tous ces mâles qui pour la plupart devaient avoir la même idée derrière la tête.
Parmi les filles dans la salle, il y avait donc Claire, pleine de fraîcheur, pétillante, ravissante, … (je vous épargne la suite). Je me prends tout de suite à rêver d’une histoire avec elle… Rêver c’est bien le mot ! Après quelques secondes, je reprends mes esprits : il est évident qu’une fille comme ça ne s’intéressera pas à moi ; ça ne sert à rien de me faire du mal tout seul, je laisse donc tomber cette idée saugrenue.
Nous prenons ensuite connaissance des groupes de TD… et je me retrouve dans le groupe de Claire, je vais donc passer au moins la première année avec elle. A ce moment là, même l’idée de vouloir lui parler ne m’a pas encore traversé l’esprit.
Chapitre I : Premier semestre de la première année
Nous commençons donc l’année universitaire : Premier constat, je m’intègre très bien au reste du groupe malgré mes 2 années de plus, c’est d’ailleurs étonnant vu la timidité qui me caractérise ; je me lie d’amitié avec plusieurs gars, et globalement je m’entends bien avec tout le monde, Claire y compris ; même si tout cela reste extrêmement lointain (« Bonjour », « Au revoir », et quelques conversations collectives au sein de la classe). Toutefois, à ce moment là, je précise que je n’avais pas encore de vue sur elle ; mon « rêve » lors du jour de la rentrée n’était qu’un fantasme de quelques secondes.
Autre élément important, Claire semble très proche d’un certain Maxence, tellement proche que l’ensemble de la promo pense qu’il se passe quelque chose entre eux.
Les mois passent et je me lie d’amitié avec Elie, un gars très sympa avec lequel je partage quelques centres d’intérêt. Au fur et à mesure du semestre, on passe de plus en plus de temps ensemble. Elie est déjà beaucoup plus proche de Claire que je ne le suis, d’ailleurs, il mange quelques fois avec elle, Maxence et un autre ami à elle.
C’est le moment de dévoiler mon deuxième défaut : la curiosité. Elle me pousse donc à demander pas mal de choses sur Claire. Elie m’avoue donc que Claire et Maxence ne sont pas ensemble… Mais que Claire aimerait bien. Leur histoire s’inscrit dans la longue lignée des histoires d’ « amour amitié » ambiguës à souhait. Maxence a déjà une copine mais pense avoir des sentiments pour Claire, il sait pas trop, blablabla… (vous voyez le genre).
Puis il (Elie) m’avoue une autre chose : il commence lui aussi à avoir des sentiments pour Claire.
Elie aime Claire qui préfère Maxence qui ne sait pas trop ce qu’il veut, que va t’il se passer ? tin tin tin.(Et dire que je n’ai même pas encore mis mon grain de sel dans cette histoire)
Chapitre II : Second semestre de la première année
(Je vais essayer d’écourter l’histoire entre Claire et Maxence puisque c’est pas ce qui nous intéresse ici). Leur « relation » tumultueuse se dégrade un peu après un baiser lors d’une soirée, regretté le lendemain, ils ne savent plus trop où ils en sont.
Pendant cette période, Claire confie ses problèmes à Elie qui devient peu à peu son confident… Manque de bol pour lui, il est maintenant amoureux d’elle et doit l’écouter parler de son « amour » pour Maxence, Elie n’ose pas lui avouer ses sentiments : il déprime !
Petit résumé de la situation (je conçois que celle-ci doit être assez dure à suivre).
-Maxence souffre parce qu’il aime sa copine et il a quand même des sentiments pour Claire.
-Claire souffre parce qu’elle aime Maxence mais c’est impossible entre eux.
-Elie souffre parce qu’il aime Claire, et il doit l’écouter parler de Maxence.
Eh bien, que de souffrances ! Et moi dans toute cette histoire me direz vous ? Ne vous inquiétez pas, j’interviens dès maintenant et jamais plus par la suite je ne parviendrai à me défaire de cette situation délicate.
Elie déprime donc, et comme tout bon dépressif qui se respecte, il lui faut un confident-psy-punching-ball, en l’occurrence … MOI !
Il me demande de le conseiller sur sa relation avec Claire, et moi, bonne poire, je fais de mon mieux pour l’aider. A partir de ce moment, on passe nos journées ensemble, je le soutiens, etc… Comme de son côté Claire continue de se confier à Elie, je passe de plus en plus de temps avec elle en cours et au resto universitaire. Je commence à la connaître de mieux en mieux, ce qui, à la base était une bonne chose pour conseiller Elie. Nous finissons par former un trio. Maxence entre temps, se grille complètement avec Claire, elle lui fait la gueule et jamais plus ils n’auront la même relation. Ouf ! Il ne reste donc plus que Claire, Elie et moi qui devenons au fur et à mesure les meilleurs amis du monde.
Le seul problème est qu’Elie veut toujours séduire Claire. Maxence hors course, je lui dis donc de tenter sa chance, ce qu’il fait enfin. Verdict mitigé, Claire est flattée mais encore sous le coup de sa relation mitigée avec Maxence. Ils se rapprochent encore et commencent à s’échanger quelques gestes affectifs ; c’était presque gagné.
A ce moment précis, la logique aurait voulu que je sois content pour les deux tourtereaux mais il n’en était rien… Bien au contraire, je sentais monter en moi un sentiment bien désagréable qui ressemblait énormément à de la jalousie.
Je devais me rendre à l’évidence, j’étais bel et bien tombé amoureux de Claire ; tout le temps que j’avais passé avec elle avait fini par me jouer des tours… Si on résume la situation, j’avais donc passé 6 mois à pousser un mec dans les bras de la fille dont j’étais finalement amoureux. C’est tout moi ça !
Claire et Elie continuaient donc leur relation sans pour autant réellement sortir ensemble. Le fait est qu’Elie avait un très mauvais caractère et à cause de ça, les clashs se multipliaient… De mon côté, la frustration se faisait de plus en plus présente, même si je m’entendais toujours aussi bien avec elle.
Jusqu’à la fin de l’année, leur relation a continué « en dents de scie » comme on dit, de mon côté, je tombais de plus en plus amoureux et donc j’étais de plus en plus malheureux.
Et puis vinrent les grandes vacances, Claire devait partir pendant 2 mois à l’étranger, elle nous invita donc Elie et moi au ciné avant son départ… Au moment de se quitter sur le parking, je lui fais les 4 bises, puis c’est au tour d’Elie… sauf que lui l’embrasse goulûment sur la bouche (c’était la première fois), je vous laisse imaginer le coup de poignard en plein cœur que j’ai pris, je me rendais compte dans quelle situation horrible j’étais, coincé entre eux 2 qui ne connaissaient absolument rien de mes sentiments envers Claire. Je passe des grandes vacances de m**** en appréhendant la rentrée où je me retrouverais face à eux.
Chapitre III : Premier semestre de la seconde année
Pendant les vacances, j’évitais soigneusement le sujet « Claire » avec Elie le peu de fois où je le croisais sur MSN, en plus une fois sa situation arrangée, il se confiait déjà beaucoup moins. Il avait l’air de déprimer un peu, je commençais à me demander s’il était encore avec Claire ou si comme souvent, la distance avait fait son œuvre. J’aurais de toute façon ma réponse à la rentrée.
Et vint la rentrée ! Je marche dans le couloir en direction des listes, presque tremblant… Je les vois à 2… aie ! Je m’approche encore et constate qu’ils ne semblent pas se tenir la main ou laisser paraître un quelconque signe d’affection l’un pour l’autre. J’apprends par la suite que le mauvais caractère d’Elie lui a encore joué des tours et que c’est bel et bien fini entre eux, même si ce dernier est encore amoureux.
C’est peut-être un peu dégueulasse de la part d’un ami, mais j’ai été soulagé de ne pas devoir commencer l’année comme j’avais fini la précédente, c’est à dire entre eux 2.
Deuxième bonne nouvelle, je suis encore dans le même groupe de TD que Claire… Et Elie est dans l’autre ! Il est bon de préciser qu’à partir de ce moment et jusqu’à la fin de l’année, le comportement d’Elie va empirer (agressivité, jalousie excessive, ...) jusqu’à se faire haïr de Claire elle même.
Je me retrouve donc seul avec Claire dans le groupe ; et passe donc tout mon temps avec elle, je suis un petit nuage, jamais une fille ne m’a accordé tant d’intérêt ; une grande découverte pour moi. Et surtout, je suis totalement libéré avec elle, j’aborde tous les sujets sans tabou, je crois qu’à ce moment, j’ai vraiment touché le Bonheur avec un grand B. Je suis plus amoureux que jamais. Vers le milieu du semestre, je cherche désespérément le moment propice pour lui déclarer ma flamme mais le courage me manque, et je reste quand même un grand timide devant l’éternel, et puis j’ai peur de perdre son amitié qui m’apporte déjà tant.
Ce n’est un secret pour personne, l’amour rend aveugle, tellement aveugle que je n’ai pas vu venir Yann…Qui est Yann ?
Yann est un étudiant appartenant à l’autre groupe de TD, il était depuis devenu le nouveau confident d’Elie et par la force des choses, il commençait également à connaître Claire et à la côtoyer de façon anecdotique… du moins je le pensais.
Lorsque Claire voulait encore bien parler à Elie, Yann était là, il occupait un peu le rôle que je jouais l’année d’avant, un rôle de médiateur entre les 2… Et de la même façon que moi, il commençait à s’attacher à elle. Tout comme moi, Elie ne se rendait pas compte que Claire et Yann se rapprochaient dangereusement, grave erreur !
La vérité éclatait à mes yeux à la fin du premier semestre lorsque Claire et Yann s’échangeaient SMS sur SMS, je n’en pouvais plus, je ne voulais pas la perdre, il fallait que je tente quelque chose. Et c’est pendant une pause que je me jette à l’eau… dans les toilettes de l’université (la grande classe quand j’y repense =/ ). A noter que c’était la première fois que je faisais une réelle déclaration (aussi nulle soit elle) les yeux dans les yeux.
Moi : « Euh Claire, faut que je te dise quelque chose… »
Claire : « Oui ? »
Moi : « Tu sais que je t’adore et tout… »
Claire : « … »
Moi : « bah jme suis encore plus attaché à toi, et je crois que je suis amoureux, voilà… » (comme si j’en étais pas sûr)
S’ensuit un long silence…
Claire : « Ecoute, je t’adore aussi, mais pas comme toi, toi jte vois plutôt comme mon meilleur ami tu comprends »
Voilà et bim ! « on reste ami », la phrase ultime était lâchée ! Un bon gros râteau dans les dents sous fond de « l’amitié c’est mieux que tout et blabla », le genre de phrase « bateau » qui console pas un brin sur le coup. Intérieurement j’étais détruit, je l’écoutais mais je ne comprenais même plus ce qu’elle disait, je venais de prendre le râteau de ma vie, ou en tout cas, celui qui me tenait le plus à cœur.
Ah si ! je me souviens aussi de la phrase qui a terminé de me faire sombrer dans la déprime totale : « Toi jte vois bien comme le témoin de mon mariage ! ». Ah bah ça ! Effectivement c’est une attention touchante de sa part mais sur le coup, j’ai bizarrement eu du mal à le prendre d’un point de vue positif.
Nous sommes donc restés amis, l’histoire aurait pu se terminer comme ça mais ça aurait été trop simple et pas assez douloureux pour moi.
Chapitre IV : Second semestre de la seconde année
Je tentais donc de garder la tête haute… Je ne pouvais pas lui en vouloir, après tout, cette fille m’apportait tellement au quotidien, son amitié était déjà beaucoup, même si je peinais à sortir de la déprime.
Voici donc le coup de grâce : Après quelques mois d’approches plus ou moins fructueuses, Yann parvenait enfin à ses fins. Claire était soucieuse de ne pas me faire souffrir (tu parles, pour le coup, c’était raté) ; elle refusait poliment les avances de Yann. C’était terrible pour moi, j’étais le boulet qui l’empêchait de vivre sa vie amoureuse. Je finis par lui dire d’accepter, ça ne servait à rien d’être malheureux tous les 2 . Elle accepta donc de sortir avec Yann et je vécu les pires mois de ma vie, en les voyant chaque jour enlacés dans les couloirs, je croisais également Elie dans le même état que moi, et le pire c’est que je continuais à être proche d’elle : d’un côté ça me consolait un peu mais d’un autre j’étais aux premières loges pour suivre l’idylle… En un mot : frustrant !
Conclusion :
J’ai réussi à terminer l’année tant bien que mal et à avoir mon diplôme, j’ai mis ensuite un bon mois à m’en remettre mais aujourd’hui tout va bien ! De toute façon, je me dis que j’aurais bien du mal à connaître pareille situation dans le futur et que mes prochaines déceptions sentimentales seront sûrement moins violentes..
Avec le recul, je me dis que je suis le principal fautif, j’aurais dû passer outre ma timidité et tenter ma chance dès le début de la seconde année, mais bon, on ne se refait pas ^^.
mdrr le mail de fou.
C'est bien toutes c'est histoire ! Ca fait progresser
allé une autre
Bonjour à tous !
Voilà, comme promis, me voici donc dans cette rubrique du forum afin de raconter mon principal râteau, qui reste à ce jour le plus violent et surtout le plus douloureux.
Tout d’abord, désolé pour les paragraphes qui vont vous sembler un peu « hors sujet » (le râteau en lui même commençant réellement au chapitre III) mais c’est pour que vous puissiez mieux vous imprégner de l’histoire.
Plantons sans plus attendre le décor.
Date : Ce râteau s’étale sur 2 ans, lors des années universitaires 2004-2005 et 2005-2006.
Lieu : L’université que j’ai fréquenté pendant ces 2 années.
Principaux protagonistes :
Moi : Jeune homme de 20 ans (au début de l’histoire), je suis loin d’être un « beau gosse » mais je ne suis pas un monstre non plus. Séduire une fille est donc pour moi assez complexe mais tout à fait réalisable (enfin je pense). Mon principal défaut ? Sans aucune hésitation la timidité, eh oui, là aussi je suis pas vraiment aidé, même si ça tend vraiment à s’améliorer ces derniers temps. Maintenir une discussion constructive avec une fille sans perdre mes moyens n’est donc pas chose aisée (surtout à l’époque).
Elle : Appelons la Claire (oui j’ai toujours trouvé qu’elle a une tête à s’appeler Claire ^^ ). Jeune fille de 2 ans ma cadette, blonde, les yeux bleus, un regard ravageur, et, ne le cachons pas, une poitrine tout à fait appréciable. Toutes ces particularités n’auraient pas plus éveillé mon intérêt si elle n’était pas également d’une extrême gentillesse.
Elie : Un ami de la promo, également amoureux de Claire.
Yann : Un autre gars de la promo…
Introduction : Les premiers jours à l’université.
Je sors de deux années post-bac assez chaotiques plutôt passées le nez dans les cartes que dans mes cours ; autrement dit : deux années blanches. Soucieux d’enfin avancer dans mes études, je m’oriente donc dans une formation en 2 ans, l’ambiance sera assez proche du lycée : promo de 40 étudiants divisée en 2 groupes de TD, environ 35 heures de cours par semaine, un bon suivi de la part des profs qui devrait m’empêcher de retomber dans mes travers (comprenez la belote ^^ ). Je suis donc prêt à passer le plus clair de mon temps avec ces 39 autres personnes pendant les 2 prochaines années .
Le jour de la rentrée arrive, premier constat, je suis l’un des plus vieux, puisque les autres étudiants de la promo sont fraîchement bacheliers. Malgré mon extrême timidité, je garde mes vieux réflexes de célibataire endurci et j’épie discrètement l’ensemble des représentantes de la gente féminine présentes dans la salle. Premier constat : Il y en a pas beaucoup ! Je me dis que la grande love story, ce sera sûrement pas encore pour ces deux années, 75% de mecs pour 25% de filles, l’affaire semble très mal engagée, en effet, je me vois mal tirer mon épingle du jeu au milieu de tous ces mâles qui pour la plupart devaient avoir la même idée derrière la tête.
Parmi les filles dans la salle, il y avait donc Claire, pleine de fraîcheur, pétillante, ravissante, … (je vous épargne la suite). Je me prends tout de suite à rêver d’une histoire avec elle… Rêver c’est bien le mot ! Après quelques secondes, je reprends mes esprits : il est évident qu’une fille comme ça ne s’intéressera pas à moi ; ça ne sert à rien de me faire du mal tout seul, je laisse donc tomber cette idée saugrenue.
Nous prenons ensuite connaissance des groupes de TD… et je me retrouve dans le groupe de Claire, je vais donc passer au moins la première année avec elle. A ce moment là, même l’idée de vouloir lui parler ne m’a pas encore traversé l’esprit.
Chapitre I : Premier semestre de la première année
Nous commençons donc l’année universitaire : Premier constat, je m’intègre très bien au reste du groupe malgré mes 2 années de plus, c’est d’ailleurs étonnant vu la timidité qui me caractérise ; je me lie d’amitié avec plusieurs gars, et globalement je m’entends bien avec tout le monde, Claire y compris ; même si tout cela reste extrêmement lointain (« Bonjour », « Au revoir », et quelques conversations collectives au sein de la classe). Toutefois, à ce moment là, je précise que je n’avais pas encore de vue sur elle ; mon « rêve » lors du jour de la rentrée n’était qu’un fantasme de quelques secondes.
Autre élément important, Claire semble très proche d’un certain Maxence, tellement proche que l’ensemble de la promo pense qu’il se passe quelque chose entre eux.
Les mois passent et je me lie d’amitié avec Elie, un gars très sympa avec lequel je partage quelques centres d’intérêt. Au fur et à mesure du semestre, on passe de plus en plus de temps ensemble. Elie est déjà beaucoup plus proche de Claire que je ne le suis, d’ailleurs, il mange quelques fois avec elle, Maxence et un autre ami à elle.
C’est le moment de dévoiler mon deuxième défaut : la curiosité. Elle me pousse donc à demander pas mal de choses sur Claire. Elie m’avoue donc que Claire et Maxence ne sont pas ensemble… Mais que Claire aimerait bien. Leur histoire s’inscrit dans la longue lignée des histoires d’ « amour amitié » ambiguës à souhait. Maxence a déjà une copine mais pense avoir des sentiments pour Claire, il sait pas trop, blablabla… (vous voyez le genre).
Puis il (Elie) m’avoue une autre chose : il commence lui aussi à avoir des sentiments pour Claire.
Elie aime Claire qui préfère Maxence qui ne sait pas trop ce qu’il veut, que va t’il se passer ? tin tin tin.(Et dire que je n’ai même pas encore mis mon grain de sel dans cette histoire)
Chapitre II : Second semestre de la première année
(Je vais essayer d’écourter l’histoire entre Claire et Maxence puisque c’est pas ce qui nous intéresse ici). Leur « relation » tumultueuse se dégrade un peu après un baiser lors d’une soirée, regretté le lendemain, ils ne savent plus trop où ils en sont.
Pendant cette période, Claire confie ses problèmes à Elie qui devient peu à peu son confident… Manque de bol pour lui, il est maintenant amoureux d’elle et doit l’écouter parler de son « amour » pour Maxence, Elie n’ose pas lui avouer ses sentiments : il déprime !
Petit résumé de la situation (je conçois que celle-ci doit être assez dure à suivre).
-Maxence souffre parce qu’il aime sa copine et il a quand même des sentiments pour Claire.
-Claire souffre parce qu’elle aime Maxence mais c’est impossible entre eux.
-Elie souffre parce qu’il aime Claire, et il doit l’écouter parler de Maxence.
Eh bien, que de souffrances ! Et moi dans toute cette histoire me direz vous ? Ne vous inquiétez pas, j’interviens dès maintenant et jamais plus par la suite je ne parviendrai à me défaire de cette situation délicate.
Elie déprime donc, et comme tout bon dépressif qui se respecte, il lui faut un confident-psy-punching-ball, en l’occurrence … MOI !
Il me demande de le conseiller sur sa relation avec Claire, et moi, bonne poire, je fais de mon mieux pour l’aider. A partir de ce moment, on passe nos journées ensemble, je le soutiens, etc… Comme de son côté Claire continue de se confier à Elie, je passe de plus en plus de temps avec elle en cours et au resto universitaire. Je commence à la connaître de mieux en mieux, ce qui, à la base était une bonne chose pour conseiller Elie. Nous finissons par former un trio. Maxence entre temps, se grille complètement avec Claire, elle lui fait la gueule et jamais plus ils n’auront la même relation. Ouf ! Il ne reste donc plus que Claire, Elie et moi qui devenons au fur et à mesure les meilleurs amis du monde.
Le seul problème est qu’Elie veut toujours séduire Claire. Maxence hors course, je lui dis donc de tenter sa chance, ce qu’il fait enfin. Verdict mitigé, Claire est flattée mais encore sous le coup de sa relation mitigée avec Maxence. Ils se rapprochent encore et commencent à s’échanger quelques gestes affectifs ; c’était presque gagné.
A ce moment précis, la logique aurait voulu que je sois content pour les deux tourtereaux mais il n’en était rien… Bien au contraire, je sentais monter en moi un sentiment bien désagréable qui ressemblait énormément à de la jalousie.
Je devais me rendre à l’évidence, j’étais bel et bien tombé amoureux de Claire ; tout le temps que j’avais passé avec elle avait fini par me jouer des tours… Si on résume la situation, j’avais donc passé 6 mois à pousser un mec dans les bras de la fille dont j’étais finalement amoureux. C’est tout moi ça !
Claire et Elie continuaient donc leur relation sans pour autant réellement sortir ensemble. Le fait est qu’Elie avait un très mauvais caractère et à cause de ça, les clashs se multipliaient… De mon côté, la frustration se faisait de plus en plus présente, même si je m’entendais toujours aussi bien avec elle.
Jusqu’à la fin de l’année, leur relation a continué « en dents de scie » comme on dit, de mon côté, je tombais de plus en plus amoureux et donc j’étais de plus en plus malheureux.
Et puis vinrent les grandes vacances, Claire devait partir pendant 2 mois à l’étranger, elle nous invita donc Elie et moi au ciné avant son départ… Au moment de se quitter sur le parking, je lui fais les 4 bises, puis c’est au tour d’Elie… sauf que lui l’embrasse goulûment sur la bouche (c’était la première fois), je vous laisse imaginer le coup de poignard en plein cœur que j’ai pris, je me rendais compte dans quelle situation horrible j’étais, coincé entre eux 2 qui ne connaissaient absolument rien de mes sentiments envers Claire. Je passe des grandes vacances de m**** en appréhendant la rentrée où je me retrouverais face à eux.
Chapitre III : Premier semestre de la seconde année
Pendant les vacances, j’évitais soigneusement le sujet « Claire » avec Elie le peu de fois où je le croisais sur MSN, en plus une fois sa situation arrangée, il se confiait déjà beaucoup moins. Il avait l’air de déprimer un peu, je commençais à me demander s’il était encore avec Claire ou si comme souvent, la distance avait fait son œuvre. J’aurais de toute façon ma réponse à la rentrée.
Et vint la rentrée ! Je marche dans le couloir en direction des listes, presque tremblant… Je les vois à 2… aie ! Je m’approche encore et constate qu’ils ne semblent pas se tenir la main ou laisser paraître un quelconque signe d’affection l’un pour l’autre. J’apprends par la suite que le mauvais caractère d’Elie lui a encore joué des tours et que c’est bel et bien fini entre eux, même si ce dernier est encore amoureux.
C’est peut-être un peu dégueulasse de la part d’un ami, mais j’ai été soulagé de ne pas devoir commencer l’année comme j’avais fini la précédente, c’est à dire entre eux 2.
Deuxième bonne nouvelle, je suis encore dans le même groupe de TD que Claire… Et Elie est dans l’autre ! Il est bon de préciser qu’à partir de ce moment et jusqu’à la fin de l’année, le comportement d’Elie va empirer (agressivité, jalousie excessive, ...) jusqu’à se faire haïr de Claire elle même.
Je me retrouve donc seul avec Claire dans le groupe ; et passe donc tout mon temps avec elle, je suis un petit nuage, jamais une fille ne m’a accordé tant d’intérêt ; une grande découverte pour moi. Et surtout, je suis totalement libéré avec elle, j’aborde tous les sujets sans tabou, je crois qu’à ce moment, j’ai vraiment touché le Bonheur avec un grand B. Je suis plus amoureux que jamais. Vers le milieu du semestre, je cherche désespérément le moment propice pour lui déclarer ma flamme mais le courage me manque, et je reste quand même un grand timide devant l’éternel, et puis j’ai peur de perdre son amitié qui m’apporte déjà tant.
Ce n’est un secret pour personne, l’amour rend aveugle, tellement aveugle que je n’ai pas vu venir Yann…Qui est Yann ?
Yann est un étudiant appartenant à l’autre groupe de TD, il était depuis devenu le nouveau confident d’Elie et par la force des choses, il commençait également à connaître Claire et à la côtoyer de façon anecdotique… du moins je le pensais.
Lorsque Claire voulait encore bien parler à Elie, Yann était là, il occupait un peu le rôle que je jouais l’année d’avant, un rôle de médiateur entre les 2… Et de la même façon que moi, il commençait à s’attacher à elle. Tout comme moi, Elie ne se rendait pas compte que Claire et Yann se rapprochaient dangereusement, grave erreur !
La vérité éclatait à mes yeux à la fin du premier semestre lorsque Claire et Yann s’échangeaient SMS sur SMS, je n’en pouvais plus, je ne voulais pas la perdre, il fallait que je tente quelque chose. Et c’est pendant une pause que je me jette à l’eau… dans les toilettes de l’université (la grande classe quand j’y repense =/ ). A noter que c’était la première fois que je faisais une réelle déclaration (aussi nulle soit elle) les yeux dans les yeux.
Moi : « Euh Claire, faut que je te dise quelque chose… »
Claire : « Oui ? »
Moi : « Tu sais que je t’adore et tout… »
Claire : « … »
Moi : « bah jme suis encore plus attaché à toi, et je crois que je suis amoureux, voilà… » (comme si j’en étais pas sûr)
S’ensuit un long silence…
Claire : « Ecoute, je t’adore aussi, mais pas comme toi, toi jte vois plutôt comme mon meilleur ami tu comprends »
Voilà et bim ! « on reste ami », la phrase ultime était lâchée ! Un bon gros râteau dans les dents sous fond de « l’amitié c’est mieux que tout et blabla », le genre de phrase « bateau » qui console pas un brin sur le coup. Intérieurement j’étais détruit, je l’écoutais mais je ne comprenais même plus ce qu’elle disait, je venais de prendre le râteau de ma vie, ou en tout cas, celui qui me tenait le plus à cœur.
Ah si ! je me souviens aussi de la phrase qui a terminé de me faire sombrer dans la déprime totale : « Toi jte vois bien comme le témoin de mon mariage ! ». Ah bah ça ! Effectivement c’est une attention touchante de sa part mais sur le coup, j’ai bizarrement eu du mal à le prendre d’un point de vue positif.
Nous sommes donc restés amis, l’histoire aurait pu se terminer comme ça mais ça aurait été trop simple et pas assez douloureux pour moi.
Chapitre IV : Second semestre de la seconde année
Je tentais donc de garder la tête haute… Je ne pouvais pas lui en vouloir, après tout, cette fille m’apportait tellement au quotidien, son amitié était déjà beaucoup, même si je peinais à sortir de la déprime.
Voici donc le coup de grâce : Après quelques mois d’approches plus ou moins fructueuses, Yann parvenait enfin à ses fins. Claire était soucieuse de ne pas me faire souffrir (tu parles, pour le coup, c’était raté) ; elle refusait poliment les avances de Yann. C’était terrible pour moi, j’étais le boulet qui l’empêchait de vivre sa vie amoureuse. Je finis par lui dire d’accepter, ça ne servait à rien d’être malheureux tous les 2 . Elle accepta donc de sortir avec Yann et je vécu les pires mois de ma vie, en les voyant chaque jour enlacés dans les couloirs, je croisais également Elie dans le même état que moi, et le pire c’est que je continuais à être proche d’elle : d’un côté ça me consolait un peu mais d’un autre j’étais aux premières loges pour suivre l’idylle… En un mot : frustrant !
Conclusion :
J’ai réussi à terminer l’année tant bien que mal et à avoir mon diplôme, j’ai mis ensuite un bon mois à m’en remettre mais aujourd’hui tout va bien ! De toute façon, je me dis que j’aurais bien du mal à connaître pareille situation dans le futur et que mes prochaines déceptions sentimentales seront sûrement moins violentes..
Avec le recul, je me dis que je suis le principal fautif, j’aurais dû passer outre ma timidité et tenter ma chance dès le début de la seconde année, mais bon, on ne se refait pas ^^.
Pas si violent que ça le rateau, ça reste tres "faible" pour moi ^^