[Q] Avoir de la conversation

Note : 25

le 22.09.2007 par Ag

18 réponses / Dernière par Basmoka le 17.02.2009, 20h36

Etat d'esprit / psychologie / dev perso / vie intérieure.
Un forum pour celles et ceux qui s'intéressent au dev perso, à l'équilibre intérieur, à la psychologie. Surmonter ses blocages, ses croyances limitantes, nourrir et développer ses forces, etc.
Il faut que tu t'entraines à parler tout simplement.

Quelques pistes

-ne pas se forcer à dire des nullités juste pour parler, mieux vaut ne rien dire.

-Parle de sujets qui t'interessent, tu peux par exemple mettre à l'épreuve les théories que tu trouves sur FTS, cela intéresse généralement bcp les gens, tu verras des opinions intéressantes et cela créera une connexion entre toi et l'interlocuteur.

-Apprends aussi dans la formulation à avoir des questions ouvertes, à pousser ton interlocuteur à continuer. Par exemple :
"penses tu que le fait d'avoir du succes avec plusieurs filles va attirer les autres filles ou sont elles indifférentes ?"
interlocuteur : blabla
après faut rebondir ce qu'il dit, mettre une objection, ou l'inciter à developper etc ... et pas se contenter de la réponse.

-Apprends aussi à dévelepper une conversation intéressante à partir de n'importe quel sujet peu intéressant. Typiquement quelqu'un te parle du temps qu'il fait (chiant)
toi : "que penses tu de la théorie qui dit qu'un battement d'aile à tokyo peut declencher un orage à Paris ? Tu vois ces petites choses qui dans la vie aboutissent à de grand changements etc ..."

-le plus important : fréquente des gens drôle et intéressant

Quelqu'un d'exercé peut rendre drôle ou passionnant n'importe quel sujet.
La formule qu'il vaut mieux ne rien dire que de dire des conneries ne s'adapte selon moi pas aux premières phases du PU, et certainement pas lorsqu'on essaie de travailler sa conversation.

En fait la formule d'après moi c'est :

Trucs émotionels/intéressants/amusants/DHV > conversations "normales" des mecs hors communeautés > conversation bateau > conversation de merde > rien

En réfléchissant sur mon comportement, et en l'observant chez mes wings à plusieurs reprises, j'ai remarqué que beaucoup avaient tendance à vouloir rester dans trucs trop intenses. C'est un problème lié à la prétension et l'arrogance de la communeauté en fait, on se sent cons quand on agit "comme les autres", parce que l'être humain lambda est vulgaire, AFC, DLV, blablabla... C'est un mindset reactif et c'est vraiment contreproductif.

Alors que du point de vue des filles c'est juste perçu comme une attitude normale d'avoir une conversation moins "intense", ça ne te "grille" pas totalement de chercher le rapport un poil trop vite, de poser quelques questions bateaux, c'est mieux d'éviter, mais c'est pas grave! C'est mieux que des silences ou tu cherches le prochain pur truc à dire!
C'est mieux que de faire comme tous les "weird community guys" et de chercher le rapport trop tard puis râler sur le fait qu'elle parte avec un "afc" qui lui a demandé ce qu'elle fait dans la vie et combien elle a des frères et soeurs..

Le truc classique c'est le mec de la communeauté qui déballe quelques routines ou quelques trucs bien intenses émotionnellement ou bien originaux, ou bien intéressants ou qui attirent l'attention, puis rien (blanc inconfortable ou il est perdu dans sa tête), puis encore, puis rien, comme un vieux moteur qui crachote.

Si tu veux progresser en conversation, BAISSE TES STANDARDs, et quand tu seras moins nerveux travaille ta façon de formuler les choses, tes sourires, tes mimiques faciales, ton rythme, tes silences, de façon à rendre tout intéressant, et à ne pas à subcommuniquer le "weird community guy".

En cas de blanc tu peux repartir sur : Voyages, Relations, Animaux, Sport, Evènements, Livres.

D'un point de vue peut être plus applicable directement (parce que là tu lis beaucoup d'idées de différents players et tu risques de te retrouver sur le field sans savoir quoi faire en pratique) :
- Garde ta bouche ouverte
- Essaie de rendre vivant ce que tu dis en évoquant les 5 sens.
- Attrappe toute occasion d'élargir la conversation, on ne maintient pas une conversation, ça ne veut rien dire, on l'élargit, on change de sujet... attrape des mots clés dans les réponses de l'autre et crée un nouveau sujet de conversation.
- Tu es quelqu'un de spécial, quelqu'un de bien et d'intéressant, quand tu interragis, tu donnes de la valeur, tout ce qui sort de ta bouche est un cadeau, même quand tu parles du beau temps "franchement, j'adore ce soleil, aujourd'hui j'ai souris toute la journée, juste parce je sentais le soleil sur ma peau, j'ai pu sortir les lunettes de soleil que ma soeur m'avait offertes là dernière fois que j'ai été manger un gratin de courgettes chez ma mère, mmmm... Ca a été ta journée ?"
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  • [+3] Yep par IceCold
  • [+2] par Nespresso
  • [+1] Ca va mieux en le disant par Vortex
  • [+2] Constructif par Ew
  • [+2] Post responsable par sexy lover
  • [+3] Intéressant par Michigan
  • [+3] 100% d'accord par madooms
Trucs émotionels/intéressants/amusants/DHV > conversations "normales" des mecs hors communeautés > conversation bateau > conversation de merde > rien
Contrairement à cette vision des choses, je crois qu'il y a des moments pour être dans l'émotionnel, des moments pour avoir des conversation "normales", et des moments où il ne faut surtout rien dire ...
Rien n'est au dessus de l'autre, tout dépend du contexte.
Exemple tu es chez toi sur ton lit avec une fille tu crois que c'est le moment de faire un opener pinguin plein d'energie et de fun ? Ou plutot de baisser la lumiere et de chuchoter doucement ?
C'est mieux que des silences ou tu cherches le prochain pur truc à dire!
On n'a pas besoin de dire des "purs trucs" pour séduire une fille. Le fait même de le croire, et sur le terrain de se comporter en cherchant des trucs spéciaux à dire DLV => tu n'es plus le prix tu cherches à l'avoir en la pseudo manipulant, en l'impressionnant.
Le truc classique c'est le mec de la communeauté qui déballe quelques routines ou quelques trucs bien intenses émotionnellement ou bien originaux, ou bien intéressants ou qui attirent l'attention, puis rien (blanc inconfortable ou il est perdu dans sa tête), puis encore, puis rien, comme un vieux moteur qui crachote.

Si tu veux progresser en conversation, BAISSE TES STANDARDs, et quand tu seras moins nerveux travaille ta façon de formuler les choses, tes sourires, tes mimiques faciales, ton rythme, tes silences, de façon à rendre tout intéressant, et à ne pas à subcommuniquer le "weird community guy".
Certains players rendent l'Open plus intéressant en insuflant beaucoup d'energie, on disant des trucs originaux etc. C'est un moyen d'attirer l'attention. Mais là le sujet c'est la conversation en général pas juste l'Opener.

Avoir de la conversation est quelque chose bien plus profond que raconter une routine...c'est un échange, pas un monologue.
C'est le problème de beaucoup de players de penser qu'il faut qu'ils doivent sans cesse déballer une tonne de trucs, enchainer les moments emotionnels ... Au final tu es d'avantage passé pour un super clown que son futur petit ami ...
"franchement, j'adore ce soleil, aujourd'hui j'ai souris toute la journée, juste parce je sentais le soleil sur ma peau, j'ai pu sortir les lunettes de soleil que ma soeur m'avait offertes là dernière fois que j'ai été manger un gratin de courgettes chez ma mère, mmmm... Ca a été ta journée ?"
Dsl mais je trouve ça vraiment naze...
Avec ce type se phrase tu montres que tu as un énorme besoin de te mettre en avant et d'impressionner. En plus tu subcommuniques que tu prends ton interlocuteur pour un con en croyant le manipuler avec un pattern a deux balles...
=>méfiance de la cible, baisse du niveau de confort ... l'open est passé, tu t'es fait remarqué, inutile de continuer à en faire des tonnes.
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  • [+1] Intéressant par IceCold
@Ag
Ce n'est pas un problème de timidité ou confiance en soi. Il m'est arrivé 36 fois de me retrouver à côté d'un mec ou d'une fille avec qui je m'entends bien, avec qui je ne demande qu'à parler, et pourtant, je ne vois jamais quoi dire.
Pas de problème de timidité? En es-tu bien sûr? Ne t'est-il jamais arrivé de te dire après une conversation "mais je suis trop bête, j'aurais dû dire ça"?
Je pense que mon cas est proche du tien : avec 99% des gens, je n'ai pour ainsi dire aucune conversation, et encore moins de répartie. Je dis bien 99% car j'ai un pote avec lequel il m'arrive de faire au retour du WE le trajet en train (1h15), l'attente du tram (25 minutes) et le trajet du tram (20 minutes)...pratiquement sans que la conversation s'arrête, et il ne me vole pas mon tour.
Pour moi, quand tu parles de ne "pas savoir quoi dire", c'est plutôt "je ne sais pas quoi dire d'intéressant", sachant que les 3/4 des pensées qui te viennent à l'esprit sont jugées inintéressantes et bloquées souvent même sans que tu en aies conscience.
Comme souvent, je n'ai pas de solution à proposer...
Spectrum a écrit : -ne pas se forcer à dire des nullités juste pour parler, mieux vaut ne rien dire.
Ce qu'il ne faut surtout pas faire dans ton cas. Les conseils du type "parler moins, parler mieux" ne sont bons à prendre que pour les types comme moi extrêmement bavard, qui n'arrêtent pas de dire des conneries à longueur de journée. Ag n'est pas considéré comme un bouffon/amuseur public/gros déconneur/vantard, il n'est pas considéré du tout. Absent des conversations et donc des esprits.

Le meilleur conseil reste celui d'Azro : commente ce qui se passe autour de toi. Sois curieux et pense à voix haute, sort tout ce qui te passe par la tête, réagit dès que tu en as envie, immisce toi dans les conversations.
-Parle de sujets qui t'interessent, tu peux par exemple mettre à l'épreuve les théories que tu trouves sur FTS,
Extrêmement dangereux. Présenter des thèses allant contre l'opinion communement admise risque de faire tourner court la conversation, et en prime tu vas peut-être chopper des étiquettes, ici de "matcho"/"dragueur". Quand bien même ta vision des choses est plus juste, elle peut très bien être tournée en ridicule et rejetée en bloc. La vérité n'émerge pas naturellement, même des conversations les plus courtoises et ouvertes.

En créant la polémique, on marche sur des oeufs. Il faut pleinement assumer ce que l'on dit, ne pas se retracter, mais surtout jouer la provoc tout en étant subtile. En gros, ne pas généaliser abusivement mais prendre des exemples concrets, savoir en changer s'il ne convainct pas. Ne jamais asséner sa pensée en fanatique ou donneur de leçons. N'ânonnez pas bêtement votre catéchèse jusqu'à fermer complétement votre auditoire. Si tui sens que cela ne prend pas, n'insiste pas : cela démonterait un besoin de validation et un trop grand sérieux.

Essaie de réellement dialoguer, comprend tes interlocuteurs, reprends leurs mots, et dégage ceux sur quoi vous est d'accord.

Les sujets minés demandent écoute active, connaissances du sujet, assurance, et répartie. Ce n'est pas avec cela qu'on apprend à communiquer, et encore moins par cela que l'on débute une intéraction lorsqu'on communique mal. Tu risques de créer une mauvaise première impression.

Les meilleurs délires portent sur trois fois rien. Et si tu veux vraiment pas "être superficiel", saches que de profondes connexions/compréhensions naissent de petites perches tendues innocemment choppées. Cernes les gens rapidement, demande leur avec le sourire s'ils sont ce que tu crois qu'ils sont ("samedi c'était soirée karaoké/pyjama, hein ? je suis sûr que tu es une grande fêtarde/inséparable de tes copines...") et laissent les démentir/confirmer puis se dévoiler. La lecture à froid couplée à de l'observation c'est surpuissant.
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  • [+1] +1 par Vortex
Bonjour,

J'ai un gros problème : je n'ai pas de conversation, je ne sais pas discuter. Je ne trouve jamais rien à dire. J'ai du mal à faire autre chose que des échanges purement fonctionnels.

Ce n'est pas un problème de timidité ou confiance en soi. Il m'est arrivé 36 fois de me retrouver à côté d'un mec ou d'une fille avec qui je m'entends bien, avec qui je ne demande qu'à parler, et pourtant, je ne vois jamais quoi dire. Au mieux ça se limite à des échanges rapides, mais à moins que ce soit un sujet sur lequel j'ai vraiment quelque chose à dire, la discussion tourne court.

Résultat, je parais un peu froid, distant, alors que je ne demande qu'à m'intégrer, et surtout il m'est impossible de me rapprocher vraiment des gens, pour les fillles n'en parlons pas.

Quelqu'un a-t-il été dans mon cas ? Est-ce que vous auriez des astuces pour corriger ça ?

D'après tes descriptions j'étais EXACTEMENT dans le même cas que toi parfois sa m'arrivais même avec mes meilleurs amis avec qui je m'entend super bien de ne rien avoir a dire et c'est super gênant mais maintenant sa va mieux même si il ya des fois ou sa revient.

L'inner game mon grand , je sais que a première vus sa n'a aucune relation mais en réalité c'est fortement lié a ton problème bosse la dessue et travaille ta confiance , lis les postes présent dans cette section c’est une vraie mine d’or ,les progrès viendront petit a petit sa ne viendra pas tout de suite certes mais sa viendra.

En ce qui concerne la timidité tu dis ne pas en avoir c'est bizarre parce que moi aussi c'est que je me dit et j'en suis assez convaincu mais sa c'est seulement avec les gens du même sexe , avec les filles c’est une tout autre histoire , je me reconnais plus . :shock: je suis super intimidé quand je suis en leur compagnie je ne sais plus quoi dire ni quoi faire si c'est ton cas . => La solution : SARGER en sargant tu vas être obliger de parler a tes cibles de leur faire la discussion tu te chiera dessue au début mais avec de la pratique Ce blocage vas disparaitre petit a petit et tu sera beaucoup plus alaise avec les filles.

Enfin pour avoir des histoires et des routines a raconter rien ne vaut mieux que de tenter de nouvelles expériences, sortir , voir des gens , voyager si possible , croyez moi avec ca tu auras toujours dans la tète quelque chose a sortir ou a raconter .
En même temps il dit lui même que ce n'est pas un problème de confiance. :p

J'ai la tchatche plutôt facile, même si y m'arrive parfois de sortir n'importe quoi juste pour parler.
En ce moment, vu que j'fais beaucoup de basket, on me pose des questions "Pourquoi t'es rouge ?" "Pourquoi t'as l'air triste ?" >> Si, si c'est vrai. :mrgreen:

Bon l'a après ça déroule tout seul t'arriveras forcément à quelque chose que tu connais : sport >> événement du moment >> rugby >> favorable ou pas >> pourquoi, tout ça.
là si c'est l'autre qui engage, suis la trame.

Après pour engagé une conver's discute du contexte comme dit plus haut & comme dit dans la drague pour ados ( :mrgreen: ) : le pion, le prof, la note, le CPE, la bouffe

Sinon cultive toi, t'auras plein de sujets & en te montrant subtil tu pourras paraître plus grand & là on te posera d'autres questions.
j'ai exactement le meme probleme que toi ... j'ai un enoooooorme manque de conversation ! je sais pas toi mais en general je parle souvent en questionnement ! et apres pareil, c'est souvent des echanges tres brefs...

quand je voit certains potes qui ont tout le temps un truc a raconter et qui en plus de sa developpe a mooooooooort leur sujet ! jme sent vraiment petit ...


et sa me bloque dans pas mal de truc c'est vraiment chiant !


j'essaye de me mettre au theatre et a m'interesser a un maximum de truc mais meme quand j'ai des journée bien chargés je galere a bien tout raconter ... apart avec les personnes qui elles sont tres tchatcheuses là sa vas bcp mieux ou alors pareil dans des sujets que je gere a la perfection ...
Ah ! Le manque de conversation...
Je crois que je commence à m'en défaire parce que je dédramatise. Je me dis "de toute façon la plupart des gens échangent des banalités dans ces circonstances". A partir de là, on est moins exigeant avec soi même, on raconte ce qui nous passe par la tête. Même si ça implique parfois de changer radicalement de sujet (c'est souvent maladroit, un peu "faux" au début et puis, à force d'entraînement, les choses se font plus en douceur).
Ce que j'ai remarqué aussi c'est que pour en venir à des discussions intéressantes il faut nécessairement passer par des discussions inintéressantes (vouloir sauter cette étape, c'est une erreur).
Tu ne connais pas la personne à qui tu as affaire, ses opinions, les éventuels points communs que vous pouvez avoir. C'est en tatonnant que tu pourras mettre le doigt sur un thème "mine d'or".
Tu peux parler de choses qui concernent tout le monde. Par exemple dans mon amphi beaucoup veulent se réorienter dans une autre filière... A partir de là on peut obtenir des infos intéressantes et plein de possibilités de rebonds ("Ah ? tu veux faire de l'économie finalement... ? Tiens justement j'ai une amie qui fait une licence d'éco. Tu comptes passer par la fac ou plutôt par une école ? blablabla").
Parler de soi dans une trop grande proportion dirige tout droit vers le blanc désagréable. Parle de l'autre, par contre, et il te questionnera tout naturellement sur ta vie, tes projets...

En fait je me rends compte que c'est la phase pour laquelle j'ai le plus de facilité :D (et pourtant je suis timide comme pas permi). Sûrement parce qu'elle n'implique rien. J'ai pas encore trouvé comment on en vient à transposer des "amitiés" étudiantes/professionnelles en amitiés "en dehors".

Ah oui, dernière chose :
Résultat, je parais un peu froid, distant
Si l'autre ne te parle pas, il est mal placé pour critiquer le fait que tu ne lui parles pas. Il ne faut pas perdre de vue qu'une discussion se fait à deux : s'il y a un silence, tu n'en es pas le seul responsable. Et en général soit l'autre s'en fiche, soit il est dans la même situation que toi.
Attention, je ne dis pas ça que tu dois renoncer à prendre la parole (je me rends compte que ça pourrait être interprêté comme ça) mais il est inutile que tu te mettes la pression tout seul.
Perso, j'ai fais de gros progrès en acceptant le fait de ne pas avoir toujours quelque chose à dire. J'ai laissé s'installer des silences pour bien me faire à l'idée que je n'ai pas à culpabiliser/stresser pour ça. C'est une étape importante. Une fois que tu as minimisé le silence et ses (non-)conséquences sur l'opinion d'autrui, les mots te viennent plus facilement... :)
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