LA taille du sexe : La folie des grandeurs.

Ha le cliché selon lequel les femmes adorent la tendresse et detestent la bestialité.... Arrêtez de penser ça toute suite... Après vous les baisez mal et elles sont chiantes, c'est normal...

l'elfe a écrit :Ha le cliché selon lequel les femmes adorent la tendresse et detestent la bestialité.... Arrêtez de penser ça toute suite... Après vous les baisez mal et elles sont chiantes, c'est normal...

Je suis d'accord, mais j'ai envie de préciser la notion pour que les débutants ne se fassent pas les idées que je me suis faites en matant mes premiers films de chguenz' :

Selon mon expérience (grande mais avec une seule femme, au moment où j'écris ces lignes), ce n'est pas la bestialité brute qui fonctionne. Ou pas toute seule, pas en continu. Le truc à la Rocco "je t'attrape en te tirant les bouclettes, je te retourne, je te brise la rondelle jusqu'à ce que tu rougisse de l'ampoule, je balance la crème, je ressort, tu me suce puis je déflore ta copine", ce n'est pas un truc excitant pour une femme. Enfin, pas si elle est dans la moyenne.

Il faut remplacer le terme "bestialité" par "fougue", je pense. Pour reprendre et mixer certains conseils que l'on trouve sur ce site et d'autres, l'acte sexuel, c'est comme le PU, c'en est la suite logique :

Push-pull : On excite, on relache, on se rapproche, on s'éloigne. On caresse d'un doux effleurement le peau sous son cou, la main tremblante de se retenir d'appuyer plus, puis quand sa respiration s'accélère vraiment, on plonge fougueusement dans son décolleté.

Prendre du plaisir fait retomber sa tension sexuelle : Aussi, dès que l'on s'en aperçoit (voire même avant, quand on a l'habitude, calibration), on arrête tout et on recommence à effleurer une autre partie du corps, le lobe de l'oreille, le creux des reins, peu importe, tout est érogène sur une femme [1].

Et on recommence le cycle, mais le tout de plus en plus fort. En gros, Il faut retenir que les caresses, la suggestion verbale ou non, tout cela fait augmenter la tension sexuelle radicalement. quand elle atteint un certain niveau, pas trop haut pour ne pas tout casser (une sorte de buyer's remorse ?), on transforme cette énergie potentielle accumulée en plaisir en touchant explicitement et fougueusement les zones érogènes primaires (la chatte et les seins, quoi). Puis avant que la tension ne repasse sous un seuil trop bas, on recommence à accumuler de l'excitation en stimulant les zones érogènes secondaires.
Continuer le même genre d'actions en étant toujours plus chaud dans les phases montantes et descendantes. Ne jamais redescendre autant que l'on est monté. Escalation.
Ne pas oublier la parole, la PNL, qui sont de puissants outils.
Prévenez-là,

d'une voix lente,

en détachant les morceaux de phrases

et en continuant ce que

vous aviez commencé, que,

dans 5 secondes,

vous allez effleurer,

doucement,

son téton droit à l'aide de

votre langue humide.

Comptez cinq secondes (pourquoi pas à haute voix ), puis dirigez-vous doucement vers le téton droit, (ou pire le gauche ), et prenez le parti d'en faire le tour.

Elles aiment l'anticipation... Normalement, une femme commence déjà à jouir de ce que vous lui annoncez rien que de vous entendre en parler. Bien sûr, il ne faut pas la prévenir de tout, surtout pas, mais le faire une poignée de fois peut vous aider à vous faire une amie de plus.
Garder votre frame. GARDEZ VOTRE PUTAIN DE FRAME ! [2] Sur quelques centaines de coups, j'en ai foiré 80% car je l'ai écoutée ! N'écoutez pas votre partenaire, jamais. Enfin, PAS SA VOIX. Comme lors du PU, il faut juger la femme par les actes, pas par la parole. Ce sont donc son corps, sa respiration, ses mouvements qui vont vous donner les indices, vont vous aider à calibrer l'intensité de vos teasings. Par contre, ne laissez pas la femme décider de quoi faire [3]. Vous êtes en train de lui faire un truc qui fonctionne, elle veut que vous alliez plus vite ? FUME ! Gardez la même vitesse 5 secondes, puis ralentissez. Attendez 30 secondes, puis accelérez lentement jusqu'à pilonner le matelas de vos coups de rein. LA, oui, vous pouvez bourinner, mais avec fougue, pas brutalité ! Puis vous ralentissez, etc, etc. Ne fougueusez pas dès le début, il faut là aussi escalation.
Avec l'habitude et la confiance en vous, si elle est de nature entreprenante, il faut bien sur lui laisser l'initiative régulièrement, mais sans jamais la laisser prendre le contrôle de la frame. Sinon, elle va tout faire pour se faire chier. Comme lors d'un PU, la femme fera rarement en sorte, d'elle même, de faire réussir l'acte.
Enfin, donc, la fougue, pas la brutalité : Quand elle est bien excitée, que l'acte est entamé depuis une moment, oui, là, vous pouvez lui malaxer les nichebabes comme si vous vouliez faire de son corps le plus délicieux des gâteaux. Choisissez votre parfum, pour moi ça sera forêt noire, merci.

Ça sera même peut-être elle qui attrapera votre main pour vous faire comprendre qu'il y à un incendie mammaire à éteindre, allez-y, mais n'oubliez pas d'arrêter rapidement et de passez à une autre zone.

Le mouvement, la diversité d'action, c'est en sexe comme dans Quake III : Crucial. Na jamais rester statique. Être imprévisible, tout en cultivant l'anticipation.

Vous pouvez alors vous pencher sur elle, attraper ses cheveux sur sa nuque d'une ferme poignée et tirer doucement dessus mais fermement, comme pour faire semblant de lui arracher (j'ai bien dit SEMBLANT, allez pas l'abimer, merde, elle peut servir à un autre player, enfin !) dans un mouvement qui fait comme si vous vous serviez de la traction sur ses cheveux pour donner vos coups de rein. Je m'exprime peut-être mal, mais vous verrez, ça parle de soi une fois que l'on essaye.

Cela fonctionne aussi avec les épaules, les hanches. Faites-là bouger. Oh, et grognez, soufflez de temps en temps votre plaisir, à chaque coup de rein, quand elle le fait aussi. C'est peut-être une forme d'empathie, de "pacing and leading" ? Anyway, ça communie.

=> La Fougue, c'est une brutalité tendre et tranquille, mais pleine d'émotions positives et excitantes.
Je laisse à mes lecteurs, qui doivent avoir une belle demi-molle humide à cette heure, le soin de transposer les techniques habituelles de sarge à l'acte sexuel. Ça fonctionne, alors lâchez-vous.

Important :

Si une femme dit "arrête" quand alors que sa respiration saccadée trahit sa grande excitation, continuez. Si elle dit "accélère", ralentissez (puis voir plus haut). Ecoutez son corps, pas sa bouche (sauf quand elle hurle "c'est boooooooon !" )
Si une femme vous fait arrêter avec sa main, sa position, en gros son corps, ARRÊTEZ ! Vous n'êtes pas là pour la violer. Ne dites rien, Freeze-out. Allez vous servir un verre de coca. Ou cassez-vous si elle est vraiment sérieuse et que vous avez vraiment tenté de la violé, gros porc graisseux !

C'est le corps qui dit la vérité, pas nécessairement la voix.

Bon, voilà, une fois encore, je m'épanche, me répands, expulse ma semence littéraire sur l'écran LCD de vos yeux coquins, la prose me sue par tous les orifices. Moi, vous le connaissez ? Quand une remarque me démarre le moulin à penser, je phosphore comme une allumette suédoise (blonde à frotter) ! Alors, voilà, d'une simple remarque je fais un cours. Merde, mais entravez-moi

!

Notes :
Sur un homme aussi mais ça, il faut du temps pour l'apprendre, notre société nous le cache... C'est une pensée limitante de plus à faire tomber. Oui, nous finirons par jouir comme des femmes, oui, un homme peut aussi avoir des orgasmes cérébraux et trembler de toute sa carcasse rien qu'à évoquer l'acte, ressentir dans son propre corps les caresses qu'il prodigue à sa compagne.
Cela suppose d'en avoir une. Mais ce n'est pas si dur, pas besoin de faire des acrobaties pour faire jouir une femme, il faut juste se fixer un but simple et s'y tenir. "Aujourd'hui je lui induit un orgasme en missionnaire en tirant doucement les cheveux sur sa nuque". Et si elle tente de me faire dévier de cette route, je l'ignore. Comment apprendre une technique si on ne va pas au bout du test, si on change de direction dès que madame le décide ?
Pas au début, elle va trouver que vous manquez d'initiative, vous prendre pour une carpette et se faire chier au pieu. Voir [2].

J’ai trouvé le poste de San.A, assez vrai, cependant, je remarque qu’il manque aussi quelque chose d’assez important, c’est que la plupart du temps, on se mets des noueux au cerveau pour pas grand-chose…

En effet, il faut savoir écouter sa partenaire, prendre le temps que les sentiments montes.
Il y a rien de plus existante, de trouver une zone érogène, la travailler, aller en rechercher une autre, revenir en arrière, prendre son temps, et la plupart du temps, à un moment donner, elle ne pourra plus se retenir et c’est elle qui prendra les choses en mains, avec une grosse envie.

De plus, il est très très important d’écouter l’autre, non pas la voix, mais le corps, une main sur le ventre, permet de ressentir, les vibrations obtenu de la présence de l’excitation, découlé d’un cunnilingus.

Pour revenir, au histoire de taille et de diamètre.
D’une part si vous avez un petit complexe au niveau de la longueur, vous pouvez toujours vous rasez le pubis, cela donne une impression d’en avoir une plus longue.

Mais ce qui est le plus important c’est la largeur, cela donne toujours une impression (mais es ce que cela va rentrer).

D’un point de vu perso, et comme au début de mes relations je n’avais pas forcement confiance en moi, je demandais si mon sexe leur plaisais.
Bien sur elles auraient peu simplement dire oui pour être gentille, ou satisfaire mon ego, cependant aucune, n’a dit le contraire, sans forcement rentrer dans le sur qualificatif.
Simplement il me suffie amplement, tu n’as pas trop à te plaindre.
Et pourtant, il est dans la moyenne 12-13 cm.

Une autre chose aussi, c’est que des fois votre partenaire, à envie de faire l’amour, mais des fois ce bloque, il n’y a pas que les hommes qui peuvent avoir des pannes, alors faut simplement prendre le temps, les femmes avancent peut être doucement et on peur de se donner la première fois, mais quand elles sont excité, elles reviennent difficilement en arrière.

Entre les histoires de longueur ou de l’envie de donner du plaisirs, il ne faut pas prendre en compte la taille, dernièrement avec ma FF, j’ai remarqué que je prenais beaucoup plus de plaisirs et elle aussi sans une longue pénétration.

Une chose aussi qui est important, c’est que il ne faut pas chercher non plus à écouter que l’autre, (bien sur faut pas non plus être un burin, mais qui à envie qu’un acte qui procure du plaisirs se termine en deux ou trois mouvement de lapin) mais s’écouter sois et ses envies, à prendre du plaisir, cela est communicatif et cela est souvent partager.