Fin de ltr
Je ne vois pas trop l'interet de ce topic. La rupture, ca fait mal, ok. On a deja ecris ce qui aide pour s'en sortir.
On lock?
On lock?
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- [0] +1 par Mister Z
- [0] Bienvenue par gregoss
Oui nos deux dernier messages ont devié donc on a continué en MP.Je trouve que le sujet part en vrille légèrement... ce dont vous parlez, lier le conscient à l'inconscient, c'est de la PNL, reformulation, gestion des émotions-états internes,...
Ba ué tant mieux pour toi si tu es bien néil y a 2 façons de voir les choses, une optimiste et une pessimiste. C'est ce qui distingue les gens et malheureusement les winners des autres.

Donc ton salue dans les moments difficile passera par la prise de conscience de ton handicap, et ensuite de trouver les moyens pour lutter contre...sinon ba t'es mort.
Dans le Coran (il me semble) il y a une phrase genre "on ne peut condamner ceux dont le jugement a été pervertie et la vision égaré"Soit, vous vous servez des évènements tristes pour en faire une force et rebondir, soit vous vous laissez détruire par ces évènements.
Ce que tu dis es juste, mais parce que tu a la condition mentale pour le "tenir", le comprendre.
Tu serais en oneitis, je ne suis pas sur que ces mots suffirait a te remettre sur pied.
3615 my lifeAres a écrit : Ba ué tant mieux pour toi si tu es bien néMais si par exemple (exemple extrême, mais courant) tu a été dévalorisé par tes parents durant toute ta petite enfance, et bien cela va s'ancrer dans ta personnalité, et donc te conditionner a réagir en tant que looser, tes ruptures seront plus difficile etc....
Euhh Ares, mon père était un gars très violent, autant physiquement que verbalement. Prison et tout le tralala. Ma mère est morte quand jje venais de me faire quitter par une ex. (Ca fait relativiser)
Pourtant, j’ai toujours trouvé la force de m’en sortir. A l'âge de 3 ans en me dressant devant mon père et en ne baissant jamais les yeux. Quand ma mère est morte, en me battant pour sa fierté.
Comment expliques-tu qu’à 3 ans, je faisais front ? En positivant. En me créant des objectifs, une vision à long terme...
PS : autant te dire que maintenant, il faut se lever tôt pour m’en faire chier. Et pourtant, je reste sensible au malheur des autres et je pense que je suis un gars bien (moins "bien"

Quel handicap ? Déjà, il faut comprendre que notre handicap, c’est nous qui nous le créons dans notre cerveau. Ailleurs que dans notre esprit, il n’existe pas.Ares a écrit : Donc ton salue dans les moments difficile passera par la prise de conscience de ton handicap, et ensuite de trouver les moyens pour lutter contre...sinon ba t'es mort.
Ben si en fait. Je me suis toujours dit que pendant que je me plaignais, j’étais peut-être en train de louper le meilleur moment de ma vie, une femme magnifique, une expérience de fou,…Ares a écrit : Tu serais en oneitis, je ne suis pas sur que ces mots suffirait a te remettre sur pied.
Je ne dis pas qu’il ne faut jamais être triste mais la vie vaut la peine d’être vécue et pas subie
Amicalement

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- [+1] Encore par gregoss
[Message supprimé par l'auteur : Ces propos ne reflètent pas, ou plus ma pensée actuelle. J'ai beaucoup évolué dans mon approche de la séduction et des rapports hommes / femmes et je ne souhaite pas que des anciens messages puissent être lus aujourd'hui, par crainte qu'ils soient décontextualisés où qu'ils ne me ressemblent pas.]
J'ai lu il y a quelque mois le résumé qu'un psy faisait des relations amoureuses.
En gros :
Couple = 3 "entités" (il, elle, nous)
Si on représentait le "il" et le "elle" par des cercles, le "nous" serait constitué par l'intersection des deux. Selon les couples, la durée de la relation, les circonstances, cette "zone" est plus ou moins importante (ex : on peut considérer pour les couples ultra fusionnels les deux cercles sont quasiment confondus et la partie commune maximale).
Cette zone est en constante évolution, dépend des deux individus du couple, et c'est ce qui fait qu'une relation est enrichissante et que chaque LTR est "unique".
Je ne pense pas qu'on puisse sortir d'une LTR en étant strictement indentique à celui ou celle que nous étions avant cette même LTR.
La rupture est une remise en question parce qu'on se retrouve confronté à cette part de nous-même qu'on a investi dans la relation, cette part qui s'est trouvée modelée et partagée avec l'autre... Et alors on se demande si cette partie appartient réellement à notre identité ou bien s'il s'agit d'un reste de la relation qu'il convient de jeter à la poubelle au plus vite.
Pourquoi beaucoup se disent qu'ils "ne sont plus rien sans l'autre" ? Parce qu'ils ont trop mis en commun, parce qu'ils considérent que cette part d'eux-mêmes qu'ils ont partagée ne leur appartient plus ou a été falcifiée, ils se retrouvent donc diminués dans leur identité. D'autres oublient tout simplement que quelque chose subsiste, que quelque chose n'a pas été partagé et leur appartient toujours telle qu'elle.
Si c'est si dur de passer à autre chose, c'est parce que l'autre laisse sa marque, et qu'il faut un peu de temps pour que celle-ci s'atténue... une fois que le déplaisir de la rupture est digéré, il reste certains souvenirs, les leçons qu'on a pu en tirer, les quelques petites choses qu'on a appris sur soi-même, quelques changements aussi qui résultent de la relation.
Se remettre d'une relation, c'est retrouver l'intégralité de son identité et en accepter les petites altérations éventuelles, c'est se considérer à nouveau comme le "il" (ou le "elle" dans mon cas
) et ne plus se voir comme un "nous" fantôme (ce qui, on est d'accord, est nocif même durant la relation).
C'est aussi pour cela qu'une relation "pour remplacer son ex" est généralement vouée à l'échec (difficile de s'en sortir entre le "il", le "nous" ancien encore trop présent et le "nous" nouveau).
Pour redémarrer après une LTR, il faut commencer par prendre conscience que notre identité nous appartient, qu'il n'y a pas eu "perte" d'un morceau de notre être au profit de l'autre lors de la rupture.
Sortir entre amis, faire la fête, pratiquer avec plus d'assiduité les activités qu'on avait peut-être un peu délaissées lors de la relation... ce ne sont pas des conseils anodins. Il s'agit de "reconquérir" la zone partagée ("nous") en stimulant un maximum le "il".
(Finalement il s'agit d'un cycle. Durant l'enfance, on forme une ébauche de "il", et à partir de l'adolescence on oscille entre les schémas "il-nous-elle" et les "il" réunifié. Les relations précédentes influe sur le "il", le "il" influe sur les relations à venir.)
J'estime que souffrir n'est pas un crime, que c'est même souvent nécessaire et inévitable. Par contre il est nécessaire de s'interroger sur les raisons de nos souffrances. C'est le seul moyen qu'on a de se redresser et de s'avancer, plus forts de nos erreurs et de nos découvertes.
Mon conseil donc, scorpio : ne souffre pas pour rien, passivement, en espérant que ça passe. Ne caches pas ton malaise vis à vis de la rupture dans un coin de ton esprit (au risque que ça te retombe dessus un beau jour ou que ça te tracasse par périodes encore longtemps), affronte-le pour de bon, réfléchis, apprend, et surtout reconstruit-toi (avant de penser à entamer une autre relation).
En gros :
Couple = 3 "entités" (il, elle, nous)
Si on représentait le "il" et le "elle" par des cercles, le "nous" serait constitué par l'intersection des deux. Selon les couples, la durée de la relation, les circonstances, cette "zone" est plus ou moins importante (ex : on peut considérer pour les couples ultra fusionnels les deux cercles sont quasiment confondus et la partie commune maximale).
Cette zone est en constante évolution, dépend des deux individus du couple, et c'est ce qui fait qu'une relation est enrichissante et que chaque LTR est "unique".
Je ne pense pas qu'on puisse sortir d'une LTR en étant strictement indentique à celui ou celle que nous étions avant cette même LTR.
La rupture est une remise en question parce qu'on se retrouve confronté à cette part de nous-même qu'on a investi dans la relation, cette part qui s'est trouvée modelée et partagée avec l'autre... Et alors on se demande si cette partie appartient réellement à notre identité ou bien s'il s'agit d'un reste de la relation qu'il convient de jeter à la poubelle au plus vite.
Pourquoi beaucoup se disent qu'ils "ne sont plus rien sans l'autre" ? Parce qu'ils ont trop mis en commun, parce qu'ils considérent que cette part d'eux-mêmes qu'ils ont partagée ne leur appartient plus ou a été falcifiée, ils se retrouvent donc diminués dans leur identité. D'autres oublient tout simplement que quelque chose subsiste, que quelque chose n'a pas été partagé et leur appartient toujours telle qu'elle.
Si c'est si dur de passer à autre chose, c'est parce que l'autre laisse sa marque, et qu'il faut un peu de temps pour que celle-ci s'atténue... une fois que le déplaisir de la rupture est digéré, il reste certains souvenirs, les leçons qu'on a pu en tirer, les quelques petites choses qu'on a appris sur soi-même, quelques changements aussi qui résultent de la relation.
Se remettre d'une relation, c'est retrouver l'intégralité de son identité et en accepter les petites altérations éventuelles, c'est se considérer à nouveau comme le "il" (ou le "elle" dans mon cas

C'est aussi pour cela qu'une relation "pour remplacer son ex" est généralement vouée à l'échec (difficile de s'en sortir entre le "il", le "nous" ancien encore trop présent et le "nous" nouveau).
Pour redémarrer après une LTR, il faut commencer par prendre conscience que notre identité nous appartient, qu'il n'y a pas eu "perte" d'un morceau de notre être au profit de l'autre lors de la rupture.
Sortir entre amis, faire la fête, pratiquer avec plus d'assiduité les activités qu'on avait peut-être un peu délaissées lors de la relation... ce ne sont pas des conseils anodins. Il s'agit de "reconquérir" la zone partagée ("nous") en stimulant un maximum le "il".
(Finalement il s'agit d'un cycle. Durant l'enfance, on forme une ébauche de "il", et à partir de l'adolescence on oscille entre les schémas "il-nous-elle" et les "il" réunifié. Les relations précédentes influe sur le "il", le "il" influe sur les relations à venir.)
J'estime que souffrir n'est pas un crime, que c'est même souvent nécessaire et inévitable. Par contre il est nécessaire de s'interroger sur les raisons de nos souffrances. C'est le seul moyen qu'on a de se redresser et de s'avancer, plus forts de nos erreurs et de nos découvertes.
Mon conseil donc, scorpio : ne souffre pas pour rien, passivement, en espérant que ça passe. Ne caches pas ton malaise vis à vis de la rupture dans un coin de ton esprit (au risque que ça te retombe dessus un beau jour ou que ça te tracasse par périodes encore longtemps), affronte-le pour de bon, réfléchis, apprend, et surtout reconstruit-toi (avant de penser à entamer une autre relation).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Instructif par Boubou
- [+1] Intéressant par Varga
- [+1] Post responsable par nolive
- [+1] Merci ! :) le 18.11.13, 01h56 par RedFish
Varga:
Je sais pas comment s'appelle se phénomène mais bon c'est un truc assez courant chez beaucoup de personne :/ (on dresse les chien comme ça par exemple)
J'essayai de décrire un mécanisme pour chasser les idées noire et les peurs qui peuvent hanter un esprit. Je parlais de l'importance de ne pas les garder en tête a tout prix, car cela tue la personne a petit feu.
Toi, en te disant que la vie vaut la peine toussa, tu fais la même chose! Mais tu a déjà l'espoir et l'envie qui te permettent d'y croire.
Moi je m'adressais plus aux gens "vides", qui n'ont plus envie de rien. La, ma mécanique peut peut-être aider deux secondes.
Ceci dit c'est un "trick mental" qu'on fais de longue par la suite, sans y réfléchir, et dans l'instant.
Owen:
Je pense que souffrir ça fait parti de la vie, on y a été ou y sera tous confronté.
C'est pas vraiment un problème tant qu'on ne fait pas QUE souffrir.
Pour faire vite je pense que plus on en chie plus tôt, plus on prend conscience de beaucoup de chose. C'est un peut grandir trop vite quelque part, mais bon tout le monde a eu son Vietnam et on peut tourner ça comme un avantage dans un sens ;)
Je sais pas. Je pense que c'est l'instinct de survie qui s'exprime la. Quand t'y réfléchie, dans la petite enfance, quand tu prends des coups, t'a pas vraiment mal. Quand ça deviens vraiment violent, tu pense plus a te protéger, non pas parce que t'a peur de souffrir, mais parce que si tu morflais vraiment trop ça pourrait être mauvais pour ton futur!Comment expliques-tu qu’à 3 ans, je faisais front ? En positivant. En me créant des objectifs, une vision à long terme...
Non bien sur. Mais il y a tu sais, cette mémoire > j'ai vécu une situation qui m'a marqué (en bien ou en mal) > quand le même type de situation se présente a moi, je reproduit inconscient ce qui s'est passé la première fois.Quel handicap ? Déjà, il faut comprendre que notre handicap, c’est nous qui nous le créons dans notre cerveau. Ailleurs que dans notre esprit, il n’existe pas.
Je sais pas comment s'appelle se phénomène mais bon c'est un truc assez courant chez beaucoup de personne :/ (on dresse les chien comme ça par exemple)
Tu va te dire que je cherche toujours a avoir le dernier mots, tu aura sans doute raisons. Mais si tu fais la synthèse de mon premier post, c'est un peu la même chose!Ben si en fait. Je me suis toujours dit que pendant que je me plaignais, j’étais peut-être en train de louper le meilleur moment de ma vie, une femme magnifique, une expérience de fou,…
Je ne dis pas qu’il ne faut jamais être triste mais la vie vaut la peine d’être vécue et pas subie
J'essayai de décrire un mécanisme pour chasser les idées noire et les peurs qui peuvent hanter un esprit. Je parlais de l'importance de ne pas les garder en tête a tout prix, car cela tue la personne a petit feu.
Toi, en te disant que la vie vaut la peine toussa, tu fais la même chose! Mais tu a déjà l'espoir et l'envie qui te permettent d'y croire.
Moi je m'adressais plus aux gens "vides", qui n'ont plus envie de rien. La, ma mécanique peut peut-être aider deux secondes.
Ceci dit c'est un "trick mental" qu'on fais de longue par la suite, sans y réfléchir, et dans l'instant.
Owen:
Je pense que quelqu'un d'à peu prêt équilibré aura souffert et connu des moments de bonheur intense.Vrai ! Je connais des mecs qui en ont chié et qui se laissent pas abattre, d'autre qui en ont chié et qui se laissent abattre, d'autres qui n'en ont pas chié et qui se laissent abattre, et d'autres qui n'en ont pas chié et qui ne se laissent pas abattre...
Pourquoi? Euh... bonne question.
J'ai quand même l'impression que ceux qui en ont chié se laissent moins facilement abattre que ceux qui ont une vie pépère... relativisme? résistance?
Je pense que souffrir ça fait parti de la vie, on y a été ou y sera tous confronté.
C'est pas vraiment un problème tant qu'on ne fait pas QUE souffrir.
Pour faire vite je pense que plus on en chie plus tôt, plus on prend conscience de beaucoup de chose. C'est un peut grandir trop vite quelque part, mais bon tout le monde a eu son Vietnam et on peut tourner ça comme un avantage dans un sens ;)
Bon, j'ai un peu l'impression d'être chez Delarue mais passons...
Ares, on a pas mal de vision communes, à part 2-3.
Quand il se prend un coup de pied dans le ventre et qu'il tombe dans l'escalier sur sa mère déjà en sang, il a mal...
Je ne voulais pas reproduire le schéma violent, du coup j'étais trop gentil une fois en couple.
Ce système de croyances, c'est ce qui nous pousse parfois à l'inaction ou qui nous fait réaliser de grandes choses.
Un exemple : le vécu de l'échec. On n'apprend pas à échouer dans nos sociétés car tout échec est vécu comme un cataclysme.
Or, ce n'est pas l'échec qui est mauvais, c'est la vision qu'on en fait.
Thomas Edison, lorsqu'il a inventé l'ampoule électrique a échoué 1000 fois avant d'y arriver. Lorsqu'on lui posait la question "N'avez-vous pas peur d'un 1001ème échec?" Il a répondu "Je n'ai jamais échoué. J'ai simplement trouvé 1000 façons de ne pas inventer l'ampoule.
En agissant sur cette représentation et en la modifiant, on peut arriver à des grandes choses en effet.
Pour revenir à ce que tu dis, il y a une citation que j'apprécie et qui dit que "Les grands arbres sont ceux qui ont su résister aux vents violents". Toutefois, ce n'est pas non plus nécessaire de passer par là. On peut très bien vivre sans soucis, sans problèmes et être heureux. C'est ce que j'appelle l'innocente inconscience.
Ares, on a pas mal de vision communes, à part 2-3.
Ca dépend oui. Quand un gosse tombe ou qu'il se prend une petite tape parcequ'il a fait une bêtise, il pleure sans réellement avoir mal.Ares a écrit :
Je sais pas. Je pense que c'est l'instinct de survie qui s'exprime la. Quand t'y réfléchie, dans la petite enfance, quand tu prends des coups, t'a pas vraiment mal. Quand ça deviens vraiment violent, tu pense plus a te protéger, non pas parce que t'a peur de souffrir, mais parce que si tu morflais vraiment trop ça pourrait être mauvais pour ton futur!
Quand il se prend un coup de pied dans le ventre et qu'il tombe dans l'escalier sur sa mère déjà en sang, il a mal...
C'est notre système de croyance, ce sur lequel je me suis toujours battu depuis petit et qui m'avait fait être trop gentil avec mes copines.Ares a écrit :
Mais il y a tu sais, cette mémoire > j'ai vécu une situation qui m'a marqué (en bien ou en mal) > quand le même type de situation se présente a moi, je reproduit inconscient ce qui s'est passé la première fois.
Je sais pas comment s'appelle se phénomène mais bon c'est un truc assez courant chez beaucoup de personne :/ (on dresse les chien comme ça par exemple)
Je ne voulais pas reproduire le schéma violent, du coup j'étais trop gentil une fois en couple.
Ce système de croyances, c'est ce qui nous pousse parfois à l'inaction ou qui nous fait réaliser de grandes choses.
Un exemple : le vécu de l'échec. On n'apprend pas à échouer dans nos sociétés car tout échec est vécu comme un cataclysme.
Or, ce n'est pas l'échec qui est mauvais, c'est la vision qu'on en fait.
Thomas Edison, lorsqu'il a inventé l'ampoule électrique a échoué 1000 fois avant d'y arriver. Lorsqu'on lui posait la question "N'avez-vous pas peur d'un 1001ème échec?" Il a répondu "Je n'ai jamais échoué. J'ai simplement trouvé 1000 façons de ne pas inventer l'ampoule.
Jouer sur sa représentation des choses. C'est là qu'est la clef. C'est l'ensemble de nos représentations internes, croyances limitantes et visions déformées qui peuvent pousser à se cloitrer dans une situation d'échec.Ares a écrit :
J'essayai de décrire un mécanisme pour chasser les idées noire et les peurs qui peuvent hanter un esprit. Je parlais de l'importance de ne pas les garder en tête a tout prix, car cela tue la personne a petit feu.
Toi, en te disant que la vie vaut la peine toussa, tu fais la même chose! Mais tu a déjà l'espoir et l'envie qui te permettent d'y croire.
En agissant sur cette représentation et en la modifiant, on peut arriver à des grandes choses en effet.
Tout à fait mais pour ne pas faire QUE souffrir, il faut déjà apprécier les petites choses et ne pas se laisser dévaster par d'autres.Ares a écrit :
Je pense que quelqu'un d'à peu prêt équilibré aura souffert et connu des moments de bonheur intense.
Je pense que souffrir ça fait parti de la vie, on y a été ou y sera tous confronté.
C'est pas vraiment un problème tant qu'on ne fait pas QUE souffrir.
Pour revenir à ce que tu dis, il y a une citation que j'apprécie et qui dit que "Les grands arbres sont ceux qui ont su résister aux vents violents". Toutefois, ce n'est pas non plus nécessaire de passer par là. On peut très bien vivre sans soucis, sans problèmes et être heureux. C'est ce que j'appelle l'innocente inconscience.