Bouddhisme et sarge ?
Voilà bien 2 ans je crois que j'ai commencé le game. Et quelques mois que je m'entrainais à fond, dans des sorties en soirée où je développais mon social skill à tout bout de champ...
Et je dois avouer que j'y arrivais de mieux en mieux. J'ai même impressionné mes collègues de boulot par ma facilité à accoster des jolies inconnues dans un bar, de manière non intrusive et simple. J'utilisais l'opener copine jalouse de Mystery et Style : "dites-moi, j'ai besoin d'un avis féminin sur la question, j'ai un ami, dont la copine est très jalouse..." et ça m'a donné confiance en moi car les sets s'openaient correctement. Même si je m'éjectais assez rapidement avant de manquer de conversation.
Toutefois, ça m'a permis la chose suivante : j'ai développé un social skill de bon niveau, une confiance en moi certaine, mais je n'arrivais pas à « verser le jus » pour reprendre la citation d'un gamer bien connu.
De site de rencontres (badoo) en sorties nocturnes, j'avais chopé pas mal de numéros. Et j'entretenais des rapports très "close" des filles que j'appelais... mais rien de concret. Pas de CLOSE justement, ni kiss, ni autre chose. Que du vent, du num close et un peu d'intimité vite fait (genre des projets de rencontre, de voyages, de sorties) avec certaines filles plus ou moins loin.
Pendant ce temps, à la recherche d'une stabilité dans ma vie, après avoir comblé les « besoins » qu'un homme normal et bien constitué doit avoir : à savoir une situation, un appartement, un bon job dans lequel je m'épanouis, un sport pour après le travail et tout le tralala, il manquait un pilier... le pilier spirituel. Je me suis à pratiquer le bouddhisme.
Il y avait une incohérence entre ce que je lisais sur FTS et la pratique du bouddhisme. Dans le bouddhisme on apprend à se respecter soi-même, à s'écouter, à se faire confiance et surtout à faire attention aux autres, et surtout à les respecter (c'est le problème).
Ce que je trouvais ici et là sur FTS, avec un peu de recul, c'est qu'il est bien de se valoriser ce que j'appelle exagérément en mettant en avant l'emballage de sa marchandise bien en avant. Par exemple : avoir un body language solide (tête haute, démarche assurée, une voix de mâle), ce que les gens, si on s'y prend assez mal peuvent prendre pour de la prétention. Et dans le bouddhisme, on y apprend à être humble, que malgré nos succès, il vaut mieux respecter le « non-succès » des autres. Ne pas refléter exagérément de confiance en soi, car la présomption, ça attise la méfiance, voire la jalousie avec tous les problèmes qui s'en suivent (et je ne parle même pas de karma négatif !).
C'est comme le terme AMOG qui consiste à éliminer un prétendant à sa future conquête... Où est le respect de l'autre dans ce principe-là ?
De plus, je pense que nombre d'entre vous se reconnaissent dans le terme « nexter », qui ne l'a pas fait ? Si la fille n'est pas assez bien pour soi, ce qui est déjà en soi vachement prétentieux, on la nexte ! Et j'avais tendance à le faire un peu avec mes amis que je trouvais un peu boulet... ceux qui faisaient échouer mes ouvertures systématiquement par exemple, ceux qui ne pouvaient pas être de bons wings.
Et j'ai eu extrêmement tort de faire ceci car j'ai failli perdre des amitiés très importantes pour moi après réflexion ! Au nom de la sarge... Là encore, le bouddhisme m'a remis sur le droit chemin. J'étais devenu trop individualiste !
Ce qui s'est passé ensuite, c'est que cette fille, V, une copine de longue date avec qui j'entretenais des relations amicales très sincères et qui, même si elle est très bien physiquement, n'était pas à mon goût. Et en plus, il y avait énormément d'obstacles entre elle et moi : 2 de ses meilleures copines étaient mes ex. Et toutes les 2 étaient énormément jalouses.
V est pratiquante bouddhiste également. Ceci nous a rapproché doucement au début. Puis, je me suis rendu compte petit à petit, au fur à mesure de mes échecs sentimentaux (toutes les filles avec qui j'avais des envies n'étaient pas dispo, et toutes les filles « closables » que j'avais gamé ne me plaisaient vraiment pas), que elle, V, réunissait tous les critères de féminité, de force de caractère, de volonté dans la vie... que je recherchais partout.
Et je me suis mis à la gamer également...
Attitude alpha, je me suis valorisé subtilement en l'invitant chez moi, en lui faisant la cuisine, en l'initiant aux jeux vidéos (oui je sais comme ça, ça fait looser, mais la wii ça fait des miracles...), je lui ai fait vivre mon univers. Je lui ai fait imaginer ce qu'était le quotidien avec moi. Je la mettais à l'aise, je lui racontais des trucs marrants, je lui racontais ma vie, écoutait la sienne, je n'hésitais pas à lui toucher, le bras, l'épaule, la main, la taille... J'ai commencé à l'appeler le soir pour philosopher ensemble et refaire le monde à 2 pendant 1 heure. En bref, j'ai allumé tous ses switches pour ce que Mystery appelle la pré-sélection féminine.
Et ce week-end, lors d'une soirée d'anniversaire...
Un pote à moi que je considère comme mon « wing », mais qui a beaucoup plus de succès que moi, mais qui ne sarge qu'au feeling sans connaître les théories développées sur ce forum, la gamait devant moi. Un vrai combat de coqs qui m'a mis la rage (dans le bon sens du terme).
Puis il s'est lassé. J'ai eu alors champ libre pour aller jusqu'au close concret.
C'est là que je veux mettre bien en avant la chose suivante : pour ceux qui ne sont pas bons, comme moi, il y a une technique simple. C'est de rester soi-même. Certes, on a des techniques, des openers, des routines, mais elles ne valent rien si on n'est pas soi-même. Il faut prendre son temps. Chercher la proximité de la fille qui nous plait sans lui insinuer qu'elle nous plait, mais en se mettant en avant, en étant réconfortant, même si on met un pied dans la BFZ... ce n'est pas si mal après tout. Car elle aura eu le temps de s'imaginer des trucs. Et après, quand on passe réellement à l'attaque, il suffit de se baisser pour la ramasser.
En boite, l'important c'est de ne pas oublier de s'amuser en premier lieu. N'oubliez pas que les filles aiment s'amuser en boite, donnez-leur l'impression de vous amuser. Et amusez-vous sincèrement, c'est même mieux ! Ce soir-là, j'ai eu du social proof, tous mes amis étaient là, les filles du groupe avaient les yeux braqués sur moi, ça m'a aidé. Et plus que tout, j'avais confiance en moi, je le démontrais en me montrant amusant mais MEC dans ma façon de bouger (bougez les épaules l'une après l'autre, fixez les yeux de la fille avec un regard sérieux mais une esquisse de sourire et ne bougez que peu le bassin, approchez-vous, prenez-lui la taille, approchez le visage en regardant le sol, mettez-la à l'aise...).
Et ensuite, en dansant avec V, j'ai rapproché mon visage, j'ai collé ma bouche contre son nez, on a dansé ainsi pendant de longues chansons (rien à voir, mais pour info, les chansons étaient de l'électro house, donc pas la peine d'attendre les zouks pour danser collés...) puis je l'ai isolé dans un coin. On a parlé joue contre joue, très près, je lui ai fait imaginer une relation avec moi et elle a même fini par sortir :
« J'ai l'impression d'être avec mon petit ami »
C'était gagné, je l'ai amené chez moi après ça et on s'est kiss closé dans mon lit. Sans aller au-delà. Elle s'est endormie dans mes bras...
Des feedbacks ?
Et je dois avouer que j'y arrivais de mieux en mieux. J'ai même impressionné mes collègues de boulot par ma facilité à accoster des jolies inconnues dans un bar, de manière non intrusive et simple. J'utilisais l'opener copine jalouse de Mystery et Style : "dites-moi, j'ai besoin d'un avis féminin sur la question, j'ai un ami, dont la copine est très jalouse..." et ça m'a donné confiance en moi car les sets s'openaient correctement. Même si je m'éjectais assez rapidement avant de manquer de conversation.
Toutefois, ça m'a permis la chose suivante : j'ai développé un social skill de bon niveau, une confiance en moi certaine, mais je n'arrivais pas à « verser le jus » pour reprendre la citation d'un gamer bien connu.
De site de rencontres (badoo) en sorties nocturnes, j'avais chopé pas mal de numéros. Et j'entretenais des rapports très "close" des filles que j'appelais... mais rien de concret. Pas de CLOSE justement, ni kiss, ni autre chose. Que du vent, du num close et un peu d'intimité vite fait (genre des projets de rencontre, de voyages, de sorties) avec certaines filles plus ou moins loin.
Pendant ce temps, à la recherche d'une stabilité dans ma vie, après avoir comblé les « besoins » qu'un homme normal et bien constitué doit avoir : à savoir une situation, un appartement, un bon job dans lequel je m'épanouis, un sport pour après le travail et tout le tralala, il manquait un pilier... le pilier spirituel. Je me suis à pratiquer le bouddhisme.
Il y avait une incohérence entre ce que je lisais sur FTS et la pratique du bouddhisme. Dans le bouddhisme on apprend à se respecter soi-même, à s'écouter, à se faire confiance et surtout à faire attention aux autres, et surtout à les respecter (c'est le problème).
Ce que je trouvais ici et là sur FTS, avec un peu de recul, c'est qu'il est bien de se valoriser ce que j'appelle exagérément en mettant en avant l'emballage de sa marchandise bien en avant. Par exemple : avoir un body language solide (tête haute, démarche assurée, une voix de mâle), ce que les gens, si on s'y prend assez mal peuvent prendre pour de la prétention. Et dans le bouddhisme, on y apprend à être humble, que malgré nos succès, il vaut mieux respecter le « non-succès » des autres. Ne pas refléter exagérément de confiance en soi, car la présomption, ça attise la méfiance, voire la jalousie avec tous les problèmes qui s'en suivent (et je ne parle même pas de karma négatif !).
C'est comme le terme AMOG qui consiste à éliminer un prétendant à sa future conquête... Où est le respect de l'autre dans ce principe-là ?
De plus, je pense que nombre d'entre vous se reconnaissent dans le terme « nexter », qui ne l'a pas fait ? Si la fille n'est pas assez bien pour soi, ce qui est déjà en soi vachement prétentieux, on la nexte ! Et j'avais tendance à le faire un peu avec mes amis que je trouvais un peu boulet... ceux qui faisaient échouer mes ouvertures systématiquement par exemple, ceux qui ne pouvaient pas être de bons wings.
Et j'ai eu extrêmement tort de faire ceci car j'ai failli perdre des amitiés très importantes pour moi après réflexion ! Au nom de la sarge... Là encore, le bouddhisme m'a remis sur le droit chemin. J'étais devenu trop individualiste !
Ce qui s'est passé ensuite, c'est que cette fille, V, une copine de longue date avec qui j'entretenais des relations amicales très sincères et qui, même si elle est très bien physiquement, n'était pas à mon goût. Et en plus, il y avait énormément d'obstacles entre elle et moi : 2 de ses meilleures copines étaient mes ex. Et toutes les 2 étaient énormément jalouses.
V est pratiquante bouddhiste également. Ceci nous a rapproché doucement au début. Puis, je me suis rendu compte petit à petit, au fur à mesure de mes échecs sentimentaux (toutes les filles avec qui j'avais des envies n'étaient pas dispo, et toutes les filles « closables » que j'avais gamé ne me plaisaient vraiment pas), que elle, V, réunissait tous les critères de féminité, de force de caractère, de volonté dans la vie... que je recherchais partout.
Et je me suis mis à la gamer également...
Attitude alpha, je me suis valorisé subtilement en l'invitant chez moi, en lui faisant la cuisine, en l'initiant aux jeux vidéos (oui je sais comme ça, ça fait looser, mais la wii ça fait des miracles...), je lui ai fait vivre mon univers. Je lui ai fait imaginer ce qu'était le quotidien avec moi. Je la mettais à l'aise, je lui racontais des trucs marrants, je lui racontais ma vie, écoutait la sienne, je n'hésitais pas à lui toucher, le bras, l'épaule, la main, la taille... J'ai commencé à l'appeler le soir pour philosopher ensemble et refaire le monde à 2 pendant 1 heure. En bref, j'ai allumé tous ses switches pour ce que Mystery appelle la pré-sélection féminine.
Et ce week-end, lors d'une soirée d'anniversaire...
Un pote à moi que je considère comme mon « wing », mais qui a beaucoup plus de succès que moi, mais qui ne sarge qu'au feeling sans connaître les théories développées sur ce forum, la gamait devant moi. Un vrai combat de coqs qui m'a mis la rage (dans le bon sens du terme).
Puis il s'est lassé. J'ai eu alors champ libre pour aller jusqu'au close concret.
C'est là que je veux mettre bien en avant la chose suivante : pour ceux qui ne sont pas bons, comme moi, il y a une technique simple. C'est de rester soi-même. Certes, on a des techniques, des openers, des routines, mais elles ne valent rien si on n'est pas soi-même. Il faut prendre son temps. Chercher la proximité de la fille qui nous plait sans lui insinuer qu'elle nous plait, mais en se mettant en avant, en étant réconfortant, même si on met un pied dans la BFZ... ce n'est pas si mal après tout. Car elle aura eu le temps de s'imaginer des trucs. Et après, quand on passe réellement à l'attaque, il suffit de se baisser pour la ramasser.
En boite, l'important c'est de ne pas oublier de s'amuser en premier lieu. N'oubliez pas que les filles aiment s'amuser en boite, donnez-leur l'impression de vous amuser. Et amusez-vous sincèrement, c'est même mieux ! Ce soir-là, j'ai eu du social proof, tous mes amis étaient là, les filles du groupe avaient les yeux braqués sur moi, ça m'a aidé. Et plus que tout, j'avais confiance en moi, je le démontrais en me montrant amusant mais MEC dans ma façon de bouger (bougez les épaules l'une après l'autre, fixez les yeux de la fille avec un regard sérieux mais une esquisse de sourire et ne bougez que peu le bassin, approchez-vous, prenez-lui la taille, approchez le visage en regardant le sol, mettez-la à l'aise...).
Et ensuite, en dansant avec V, j'ai rapproché mon visage, j'ai collé ma bouche contre son nez, on a dansé ainsi pendant de longues chansons (rien à voir, mais pour info, les chansons étaient de l'électro house, donc pas la peine d'attendre les zouks pour danser collés...) puis je l'ai isolé dans un coin. On a parlé joue contre joue, très près, je lui ai fait imaginer une relation avec moi et elle a même fini par sortir :
« J'ai l'impression d'être avec mon petit ami »
C'était gagné, je l'ai amené chez moi après ça et on s'est kiss closé dans mon lit. Sans aller au-delà. Elle s'est endormie dans mes bras...
Des feedbacks ?
Désolé de ressortir ce sujet de sa tombe mais en tant que pratiquant bouddhiste et pratiquant Sargeur je tenais à réagir sur ce post ^^
Ceci est une réponse d'un pratiquant du "petit véhicule"
Avoir un bon BL ne contrarie donc pas le bouddhisme!
Nexter n'est pas un mal en soi: Si tu t'aperçois que la fille n'est pas bonne pour toi il faut vite la dégager! Plus tu perds du temps plus tu risques de faire des dégats....
Là aussi je ne vois pas en quoi c'est mal dans la religion...
Le bouddhisme et la séduction ne sont pas contradictoires car il y a plusieurs niveaux de pratique:
- Celui d'y appliquer que quelques préceptes évidents ( ne pas tuer, ne pas convoiter la femme de son prochain, ne pas consommer l'alcool dans l'excès etc.) et de surtout profiter de ta vie(se marier, avoir des enfants, gagner de l'argent etc.). Tu peux donc sarger comme bon te semble à partir du moment ou tu es heureux et que tu ne blesses personne.
- Si tu désires être un VRAI bouddhiste il faudrait te faire moine, donc pas de contacte avec le sexe opposé, pas le droit d'avoir de possession, vivre de la quête tous les matins...
Dans touts les cas il ne faut rien faire dans l'excès même ce que l'on t'apprend dans le bouddhisme.
Ceci est une réponse d'un pratiquant du "petit véhicule"
Justement avoir un bon BL ça ne veut pas dire en avoir un mauvais donc on ne devrait pas te prendre pour un prétentieux mais comme un homme sur de toi, qui inspire le respect et la confiance. En d'autres termes avoir un bon BL n'est pas forcément de se la péter mais donner un bonne impression grâce à son attitude, avec ou sans tête haute!Par exemple : avoir un body language solide (tête haute, démarche assurée, une voix de mâle), ce que les gens, si on s'y prend assez mal peuvent prendre pour de la prétention. Et dans le bouddhisme, on y apprend à être humble, que malgré nos succès, il vaut mieux respecter le « non-succès » des autres. Ne pas refléter exagérément de confiance en soi, car la présomption, ça attise la méfiance, voire la jalousie avec tous les problèmes qui s'en suivent (et je ne parle même pas de karma négatif !).
Avoir un bon BL ne contrarie donc pas le bouddhisme!
Nexter n'est pas un mal en soi: Si tu t'aperçois que la fille n'est pas bonne pour toi il faut vite la dégager! Plus tu perds du temps plus tu risques de faire des dégats....
Là aussi je ne vois pas en quoi c'est mal dans la religion...
Le bouddhisme et la séduction ne sont pas contradictoires car il y a plusieurs niveaux de pratique:
- Celui d'y appliquer que quelques préceptes évidents ( ne pas tuer, ne pas convoiter la femme de son prochain, ne pas consommer l'alcool dans l'excès etc.) et de surtout profiter de ta vie(se marier, avoir des enfants, gagner de l'argent etc.). Tu peux donc sarger comme bon te semble à partir du moment ou tu es heureux et que tu ne blesses personne.
- Si tu désires être un VRAI bouddhiste il faudrait te faire moine, donc pas de contacte avec le sexe opposé, pas le droit d'avoir de possession, vivre de la quête tous les matins...
Dans touts les cas il ne faut rien faire dans l'excès même ce que l'on t'apprend dans le bouddhisme.
Bon je continuerai plus tard ^^"Si tu ne tends pas assez la corde de ta guitare, elle ne sonne pas bien, si tu la tends trop elle casse"
Hello Parisack,
j'ai beaucoup apprécié ton message et ta philosophie du bouddhisme révèle que tu as compris beaucoup de choses.
Cela dit, j'ai depuis arrêté la pratique du bouddhisme (pour cette fameuse Virginie) mais je reconnais que ton message est fort approprié. Je resterai dans le droit chemin grâce à toi...
On reste en contact j'espère !
j'ai beaucoup apprécié ton message et ta philosophie du bouddhisme révèle que tu as compris beaucoup de choses.
Cela dit, j'ai depuis arrêté la pratique du bouddhisme (pour cette fameuse Virginie) mais je reconnais que ton message est fort approprié. Je resterai dans le droit chemin grâce à toi...
On reste en contact j'espère !
Je ne suis pas Boudhiste, je ne connais pas la religion ni rien, mais d'aprés ce que tu décrit, il faut Rester Humble, respecter les autres qui ont moins de réussite que toi etc...
Je trouve que ce sont de bon principes, mais respecter les autres et rester Humble ne veut pas dire s'abaisser, se tenir courbé pour imiter les plus pauvres qui ne réussissent pas.
A part si le respect bouddhiste est de faire comme ceux qui ne réussissent pas, dans ce cas, je trouve cette religion affreuse.
Je trouve que ce sont de bon principes, mais respecter les autres et rester Humble ne veut pas dire s'abaisser, se tenir courbé pour imiter les plus pauvres qui ne réussissent pas.
A part si le respect bouddhiste est de faire comme ceux qui ne réussissent pas, dans ce cas, je trouve cette religion affreuse.
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que dire de plus..... +1ChikiChiki a écrit :Je ne suis pas Boudhiste, je ne connais pas la religion ni rien, mais d'aprés ce que tu décrit, il faut Rester Humble, respecter les autres qui ont moins de réussite que toi etc...
Je trouve que ce sont de bon principes, mais respecter les autres et rester Humble ne veut pas dire s'abaisser, se tenir courbé pour imiter les plus pauvres qui ne réussissent pas.
A part si le respect bouddhiste est de faire comme ceux qui ne réussissent pas, dans ce cas, je trouve cette religion affreuse.
Je ne suis pas bouddhiste non plus mais je pense que celui qui a raison est Parisack. Le bouddhisme ne contredit à aucun moment les principes de la séduction.
Par contre je me demande s'il est sain d'abandonner ses convictions juste pour une fille ? Ça commence comme ça, puis on fini par faire tout ce qu'elle veut. Et on sait comment ça se termine...
Par contre je me demande s'il est sain d'abandonner ses convictions juste pour une fille ? Ça commence comme ça, puis on fini par faire tout ce qu'elle veut. Et on sait comment ça se termine...
Je ne suis pas bouddhiste mais j'étudie pas mal le zen. Je voulais revenir là-dessus :
Respect de soi, respect d'autrui... Cette dichotomie nous amène à la dignité, le combat fait partie de la vie, et la nature nous le montre bien.
Le bouddhisme est une voie de l'acceptation totale, accepter que l'on aie des préférences, et que l'on préfère vaincre qu'être vaincu n'est pas incorrect. Accepter la victoire de l'autre, et notre défaite, fait partie de la voie. Vaincre également, et accepter de jouir de la victoire aussi...
Ce jeu naturel, nous pouvons le dépasser, et c'est là un but plus élevé. Mais nous ne pouvons le faire tant que nous ne l'avons pas joué à fond. La sarge nous aide à saisir que si nous ne jouons pas à fond, nous ne jouons pas du tout. Dans ce sens ça peut-être une voie du zen, pourquoi pas ?
Et où est le respect de soi que de se laisser amoger ?cowa a écrit :C'est comme le terme AMOG qui consiste à éliminer un prétendant à sa future conquête... Où est le respect de l'autre dans ce principe-là ?
Respect de soi, respect d'autrui... Cette dichotomie nous amène à la dignité, le combat fait partie de la vie, et la nature nous le montre bien.
Le bouddhisme est une voie de l'acceptation totale, accepter que l'on aie des préférences, et que l'on préfère vaincre qu'être vaincu n'est pas incorrect. Accepter la victoire de l'autre, et notre défaite, fait partie de la voie. Vaincre également, et accepter de jouir de la victoire aussi...
Ce jeu naturel, nous pouvons le dépasser, et c'est là un but plus élevé. Mais nous ne pouvons le faire tant que nous ne l'avons pas joué à fond. La sarge nous aide à saisir que si nous ne jouons pas à fond, nous ne jouons pas du tout. Dans ce sens ça peut-être une voie du zen, pourquoi pas ?
je ne suis pas réellement bouddhiste a proprement parlé puisque je ne pratique pas mais j'en ai étudié les principes et fait la prise de refuge(bouddhisme tibétain) et je rejoins pas mal ce qui a eté dit dans les différents messages.
Je pense que la sarge n'est pas du tout en désaccord avec les principes du bouddhisme qu'on peut mettre en pratique dans son quotidien,bien au contraire, le tout étant de voir ca dans une optique d'un développement personnel visant à se rendre meilleur, mais en restant dans le juste milieu comme le préconise la philosophie bouddhiste(la corde qui ni trop tendue ni pas assez)
Se rendre plus séduisant, gagner de la confiance en sois, sociabiliser, attirer l'attention, tout ca cadre tout a fait avec les principes du bouddhisme
maintenant, celui qui voit ça comme de la manipulation, abuser des personnes pour arriver a ses fins,agrandir son tableau de chasse ou devenir alpha en écrasant les autres prend la mauvaise direction a mon sens...
avoir de la repartie pour gérer les amogs et les remettre a leur place c'est tout a fait envisageable sans aller a l'encontre de ses convictions, on ne vit pas non plus dans un monde de bisounours
voila ma petite contribution ;)
Je pense que la sarge n'est pas du tout en désaccord avec les principes du bouddhisme qu'on peut mettre en pratique dans son quotidien,bien au contraire, le tout étant de voir ca dans une optique d'un développement personnel visant à se rendre meilleur, mais en restant dans le juste milieu comme le préconise la philosophie bouddhiste(la corde qui ni trop tendue ni pas assez)
Se rendre plus séduisant, gagner de la confiance en sois, sociabiliser, attirer l'attention, tout ca cadre tout a fait avec les principes du bouddhisme
maintenant, celui qui voit ça comme de la manipulation, abuser des personnes pour arriver a ses fins,agrandir son tableau de chasse ou devenir alpha en écrasant les autres prend la mauvaise direction a mon sens...
avoir de la repartie pour gérer les amogs et les remettre a leur place c'est tout a fait envisageable sans aller a l'encontre de ses convictions, on ne vit pas non plus dans un monde de bisounours
voila ma petite contribution ;)
Tout dépend de ce que l'on entend par "être bouddhiste". Se définir comme bouddhiste, c'est déjà une erreur, d'un point de vue "bouddhiste", puisque c'est une conception mentale, or le dharma (nom donné à l'enseignement du Bouddha) vise à se libérer des conceptions mentales. Le bouddhisme est un moyen d'arriver à une fin. Un ensemble de pratiques et d'attitudes mentales permettant d'arriver à l'"Eveil", c'est à dire la réalisation de la nature véritable des phénomènes et de leurs manifestations, une sorte de prise de "conscience" ultime - bien que l'éveil soit encore au delà de la conscience ou de la non conscience - qui a pour conséquence de nous libérer définitivement de la souffrance, car il ne s'agit que de cela dans l'enseignement du Bouddha Gautama : comprendre la souffrance (ou insatisfaction) et s'en libérer. La cause primordiale de la souffrance est l'ignorance. L'ignorance engendre nombre d'illusions dont la plus nocives est l'égo. L'égo est une illusion. Qu'est ce que l'égo, c'est la sensation erronée que nous avons une existence propre, c'est à dire un "moi intrasèque", auquel nous nous identifions, alors qu'en réalité notre nature n'est que vacuité (vide), c'est à dire que tout ce que nous sommes (aussi bien physiquement, émotionnellement et psychologiquement) n'existe qu'en interrelation avec une multitude d'autres phénomènes, et est soumis à l'impermanence, au changement. Aucune chose, aucun être n'existe en lui même et par lui-même. Mais une simple compréhension intellectuelle de cette vérité n'est pas suffisante pour atteindre la réalisation. Il va falloir parvenir à "vivre" un état d'existence denué de "vues fausses", c'est à dire vivre, au moins pendant un instant, la réalité telle qu'elle est, et non plus telle que notre mental l'interprète.
Pour parvenir à cette réalisation, il va falloir, entre autres, s'efforcer à purifier notre "appréhension" de l'existence afin de se libérer de l'attachement (tout étant vide d'existence et impermanent, s'attacher, à qui ou quoi que ce soit, ne peut être que source, à plus ou moins long terme, de souffrance) et ne pas créer de karma négatif (karma : lois de cause à effet : tout ce que je fait, dis ou pense aura une conséquence, positive si elle est génératrice pour moi ou les autres de bonheur, négative si elle est génératrice de souffrance). Et c'est là qu'un pratiquant bouddhiste peut se retrouver confronté à un dilemme lorsqu'il aborde le développement personnel et la séduction.
Le développement personnel, améliorer sa condition sociale, sa qualité de communication, la "valeur" que l'on renvoi aux autres etc... n'a rien en soi d'incompatible avec une pratique bouddhiste, mais il peut avoir pour effet pervers de renforcer l'attachement à son égo (conforter l'idée fausse que nous avons une existence intrasèque). Bouddha prône l'équanimité, c'est à dire le détachement (pas l'indifférence). En clair il s'agit d'essayer d'avoir une image de soi dépourvue de jugement de valeur (ne pas s'enorgueillir, ni se mépriser). Améliorer sa condition dans le but de s'épargner des désagréments et de pouvoir améliorer sa qualité de vie et celle des autres est en phase avec la "voie du milieu". Gonfler son orgueil et se fabriquer une image à laquelle on va s'attacher, assurément pas.
En ce qui concerne la séduction, cela va dépendre de quelle manière vous l'utilisez. Enchainer les conquêtes au mépris des sentiments parfois très négatif qu'elle peut entraîner (one-itis, dépressions, couples brisés etc...), bref, générer de la souffrance, à plus forte raison si vous le faîtes en connaissance de cause ou par indifférence vis à vis des sentiments de la "cible", ce ne sera pas conforme à l'"éthique" bouddhiste.
Mais il ne faut pas se voiler la face : la sarge n'est pas ce qu'il y a de plus indiqué pour progresser spirituellement, d'un point de vue bouddhiste en tout cas. Notre ignorance fondamentale entraîne notre attachement, nos désirs, qui entraînent notre souffrance. Pour se détacher de nos désirs, il convient de s'éloigner de leurs sources. On ne guérit pas un boulimique en l'asseyant à un buffet remplis de nourriture.
Lorsque l'on a réalisé la vraie nature de toute chose, et que par conséquent l'on a plus aucune raison de s'y attacher, il n'en résulte pas un état de conscience fait d'indifférence et d'ennui, mais au contraire un sentiment de félicite, de joie et de compassion permanent envers tous les êtres sensibles, et les événements négatifs ne nous affectent plus. C'est ce que disent les maîtres bouddhistes en tout cas. On peut même avoir des pouvoirs psychiques (qu'on aurait tous à l'état latent) et quand on meurt, on cesse de se réincarner sans cesse et de revivre les mêmes tracas indéfiniment : on entre en "parinirvâna" (nirvana complet et éternel). Si ça vaut pas toutes les HB de la Terre ça...
Pour parvenir à cette réalisation, il va falloir, entre autres, s'efforcer à purifier notre "appréhension" de l'existence afin de se libérer de l'attachement (tout étant vide d'existence et impermanent, s'attacher, à qui ou quoi que ce soit, ne peut être que source, à plus ou moins long terme, de souffrance) et ne pas créer de karma négatif (karma : lois de cause à effet : tout ce que je fait, dis ou pense aura une conséquence, positive si elle est génératrice pour moi ou les autres de bonheur, négative si elle est génératrice de souffrance). Et c'est là qu'un pratiquant bouddhiste peut se retrouver confronté à un dilemme lorsqu'il aborde le développement personnel et la séduction.
Le développement personnel, améliorer sa condition sociale, sa qualité de communication, la "valeur" que l'on renvoi aux autres etc... n'a rien en soi d'incompatible avec une pratique bouddhiste, mais il peut avoir pour effet pervers de renforcer l'attachement à son égo (conforter l'idée fausse que nous avons une existence intrasèque). Bouddha prône l'équanimité, c'est à dire le détachement (pas l'indifférence). En clair il s'agit d'essayer d'avoir une image de soi dépourvue de jugement de valeur (ne pas s'enorgueillir, ni se mépriser). Améliorer sa condition dans le but de s'épargner des désagréments et de pouvoir améliorer sa qualité de vie et celle des autres est en phase avec la "voie du milieu". Gonfler son orgueil et se fabriquer une image à laquelle on va s'attacher, assurément pas.
En ce qui concerne la séduction, cela va dépendre de quelle manière vous l'utilisez. Enchainer les conquêtes au mépris des sentiments parfois très négatif qu'elle peut entraîner (one-itis, dépressions, couples brisés etc...), bref, générer de la souffrance, à plus forte raison si vous le faîtes en connaissance de cause ou par indifférence vis à vis des sentiments de la "cible", ce ne sera pas conforme à l'"éthique" bouddhiste.
Mais il ne faut pas se voiler la face : la sarge n'est pas ce qu'il y a de plus indiqué pour progresser spirituellement, d'un point de vue bouddhiste en tout cas. Notre ignorance fondamentale entraîne notre attachement, nos désirs, qui entraînent notre souffrance. Pour se détacher de nos désirs, il convient de s'éloigner de leurs sources. On ne guérit pas un boulimique en l'asseyant à un buffet remplis de nourriture.
Lorsque l'on a réalisé la vraie nature de toute chose, et que par conséquent l'on a plus aucune raison de s'y attacher, il n'en résulte pas un état de conscience fait d'indifférence et d'ennui, mais au contraire un sentiment de félicite, de joie et de compassion permanent envers tous les êtres sensibles, et les événements négatifs ne nous affectent plus. C'est ce que disent les maîtres bouddhistes en tout cas. On peut même avoir des pouvoirs psychiques (qu'on aurait tous à l'état latent) et quand on meurt, on cesse de se réincarner sans cesse et de revivre les mêmes tracas indéfiniment : on entre en "parinirvâna" (nirvana complet et éternel). Si ça vaut pas toutes les HB de la Terre ça...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 le 02.10.11, 13h16 par Damon S
Merci pour ses explications je t'aurai mis +1 si j'avais pu.
Il y a un point qui me chiffonne :
Bref a part âgé quand on ne bande plus on ne peut pas être détaché du monde dans le quel on vie (il est quand même bien).
Et puis si on perd ses envies on est dans la merde crois moi...
Bref sinon tout le reste est très intéressant, cela prouve une fois de plus ce qui me plait dans le Bouddhisme, il (a mes yeux) s'agit plus d'une philosophie que d'une religion, et elle respecte assez la nature humaine.
Un épisode des Simpson en parle assez bien dans les grandes lignes pour ceux qui jugerait trop vite le Bouddhisme en mal "Sans foi ni toit (Saison 13 - Episode 6)"
Oui c'etait mon post le plus intéressant de la journée (et pis les Simpsons c'est accessible) ^_^
Il y a un point qui me chiffonne :
C'est ce qu'on appelle la sagesse. Sauf que nous on est des êtres humains avec des envie (baiser par exemple).Notre ignorance fondamentale entraîne notre attachement, nos désirs, qui entraînent notre souffrance. Pour se détacher de nos désirs, il convient de s'éloigner de leurs sources. On ne guérit pas un boulimique en l'asseyant à un buffet remplis de nourriture.
Bref a part âgé quand on ne bande plus on ne peut pas être détaché du monde dans le quel on vie (il est quand même bien).
Et puis si on perd ses envies on est dans la merde crois moi...
Bref sinon tout le reste est très intéressant, cela prouve une fois de plus ce qui me plait dans le Bouddhisme, il (a mes yeux) s'agit plus d'une philosophie que d'une religion, et elle respecte assez la nature humaine.
Un épisode des Simpson en parle assez bien dans les grandes lignes pour ceux qui jugerait trop vite le Bouddhisme en mal "Sans foi ni toit (Saison 13 - Episode 6)"
Oui c'etait mon post le plus intéressant de la journée (et pis les Simpsons c'est accessible) ^_^