[A] La porno-addiction
Ton discours est celui des gens qui condamnent également les jeux de flingue, de guerre, les films violents pretextant qu'on risque de confondre le fictif et le réel. Ce qui est le cas chez certains sujets dérangés. Mais le problème ne vient pas du produit, mais de l'éta du consommateur.
Ces gens addicts au porno, faut pas non plus leur montrer de films violents, leur faire jouer a des jeux trop trashs. Si ces mecs sont malades, faut les faire soigner. Tout simplement.
C'est pourtant VRAIMENT pas compliqué vous avez tant de mal que ça a piger le parallèle?
Ces gens addicts au porno, faut pas non plus leur montrer de films violents, leur faire jouer a des jeux trop trashs. Si ces mecs sont malades, faut les faire soigner. Tout simplement.
C'est pourtant VRAIMENT pas compliqué vous avez tant de mal que ça a piger le parallèle?
Non, ce n'est pas mon discours. Ou je me suis mal exprimé peut être.
Quand on arrive plus à jouir dans sa copine sans penser à la derniere scène de Briana Banks, c'est qu'il y a un problème oui.
Un problème dans la réalité et dans la manière d'aborder le sexe. Regarde mon post précedent, tu verras mon réel discours. Là, c'était adressé à tiamat en particulier.
Quand on arrive plus à jouir dans sa copine sans penser à la derniere scène de Briana Banks, c'est qu'il y a un problème oui.
Un problème dans la réalité et dans la manière d'aborder le sexe. Regarde mon post précedent, tu verras mon réel discours. Là, c'était adressé à tiamat en particulier.
Oui, en fait je veux surtout me détacher d'un univers fictif. Et également supprimer le reflexe pavlovien.trekk a écrit :Un psy peut aider à faire le point dans ce cas là.
L'arrêt du porno ne purifiera pas ta mémoire, mais supprimera l'aspect pavlovien de la chose. Le reste du travail est un travail long afin de changer la vision de la sexualité, comme quelque chose de non systématique.
La reconquête du Désir, et du sexe comme un cocktail d'émotions, c'est pas facile, il faut du courage. Et recoller un peu la réalité.
Dur, quand on a dans sa tête des tas d'images.
Mais ça se fait ;)
Tu as également raison quand tu dis qu'il y a un problème quand on ne peut plus jouir avec sa copine sans penser à une scène porno (d'autant que la fille n'y est pour rien).
Je refléchis pas mal au sujet en ce moment et suis tombé sur l'article suivant :
« DANGERS DE LA PORNOGRAPHIE »
Supplément au CPDH Actualités N° 48 – Mars 2005
Depuis le 03 mars 2005, soixante-six personnes sont jugées à Angers dans une vaste affaire de pédophilie et d'inceste. Les 39 hommes et les 27 femmes renvoyés devront répondre d'infractions criminelles ou correctionnelles concernant 45 enfants, âgés de 6 mois à 12 ans au moment des faits, prostitués et abusés parfois par leurs parents ou leurs grands-parents.
Dans ce contexte noir et sordide on peut se demander si l’impact de la pornographie toujours plus envahissante n’aggrave pas des situations déjà malsaines. A ce propos vous trouverez ci-dessous différentes enquêtes et articles mettant en évidence l’effet dévastateur de la pornographie.
Les jeunes et la pornographie
France - À la suite des différents rapports officiels qui ont mis en lumière l'impact négatif des programmes pornographiques sur les mineurs, le CSA a souhaité disposer de données scientifiques sur ce sujet sur lequel on ne disposait pas jusqu'alors de données épidémiologiques fiables. Une grande enquête a donc été lancée entre mars et mai 2003 auprès d'un échantillon représentatif de jeunes scolarisés de la sixième à la terminale de l'enseignement général, technique et professionnel de l'enseignement public et privé. Les élèves ont été sollicités pour remplir individuellement un questionnaire en présence d'un professionnel de santé ou d'un adulte référent. Jamais un échantillon aussi important de jeunes n'avait été réuni pour traiter de ces questions, au total, 16 833 élèves ont participé à l'enquête ESPAD 2003, mais seuls les élèves de la quatrième à la terminale (9 764 adolescents) ont été sollicités pour répondre aux questions sur la pornographie. Cette enquête apporte un certain nombre de réponses à plusieurs questions importantes :
Combien de garçons et de filles ont vu des images pornographiques durant les douze derniers mois ?
80 % des garçons entre 14 et 18 ans et 45 % des filles du même âge déclarent avoir vu au moins une fois un film X durant l'année passée. Si la majorité des jeunes ont vu quelquefois des films X, près d'un garçon sur quatre contre une fille sur cinquante en a vu fréquemment (au moins dix fois durant l'année).
Que pensent les garçons et les filles de ces images pornographiques ? L'opinion est bien différente selon qu'on interroge les garçons ou les filles. Les garçons expriment une opinion plutôt positive à l'égard de la pornographie (54 % disent que cela les amuse et les distrait, 34 % que cela leur plaît et 16 % que cela leur est utile), alors que les filles notifient leur aversion pour ce type d'images (56 % disent que cela les dégoûte, 28 % que cela les met mal à l'aise, 26 % que cela les choque).
Quelles sont les caractéristiques personnelles des jeunes qui regardent les films X ? Parmi les caractéristiques personnelles étudiées (consommation d'alcool, de tabac ou de drogues illicites, dépressivité, tentative de suicide, fugue), certaines s'avèrent plus importantes que d'autres. Chez les garçons, le fait de consommer régulièrement de l'alcool (avec comme critère de régularité, le fait de boire au moins dix fois dans le mois) et le fait d'avoir fait une tentative de suicide sont les caractéristiques personnelles les plus associées. Les garçons qui boivent régulièrement de l'alcool sont plus nombreux à être des spectateurs assidus que les autres (34 % versus 22 % regardent des films X au moins dix fois par mois, tout comme les garçons qui ont fait une tentative de suicide (43 % versus 23 % des " non-suicidants " regardent des films X au moins dix fois par mois. Chez les filles, le fait de fumer quotidiennement et d'avoir fait une tentative de suicide sont les caractéristiques personnelles les plus associées (attention, ici encore, ne pas conclure à une relation de cause à effet). Ainsi, les filles qui fument quotidiennement sont plus nombreuses à regarder des films X (35 % versus 21 % ont regardé plusieurs fois des films X, tout comme les filles qui ont fait une tentative de suicide (42 % versus 23 % des " non-suicidantes " ont regardé des films X plus d'une fois.
Y a-t-il un risque spécifique lié au fait de regarder des films X ? (On considère comme "spectateurs assidus", pour les garçons, le fait d'avoir regardé un film pornographique au moins dix fois dans l'année, pour les filles, le fait d'avoir regardé un film pornographique au moins deux fois dans l'année.) Pour les filles, le fait de regarder souvent des films X augmente très sensiblement le risque de faire une tentative de suicide ou de fumer quotidiennement et ce, quel que soit le niveau de vulnérabilité sociale, scolaire ou familiale et augmente aussi sensiblement le risque d'autres conduites (être violent, consommer de l'alcool, consommer du cannabis, faire une fugue). Pour les garçons, le fait de regarder souvent des films X augmente très sensiblement le risque de certaines conduites : par ordre d'importance, le fait d'être souvent ivre, de fumer régulièrement du cannabis, de faire une fugue, d'avoir des conduites violentes ou d'être souvent absent de l'école. Source La Lettre du CSA n° 178 - Novembre 2004
Les effets de la pornographie sur le cerveau sont comparables à ceux de l'héroïne
Etats-Unis - Des experts sur les effets de la pornographie dans la chimie du cerveau ont récemment témoigné lors d'une audition au Sénat américain. Le point central de la discussion a été de définir si la pornographie était protégée par le Premier Amendement [1] ou si elle devait être rendue illégale en tant que forme d'expression occasionnant une dépendance. Le psychiatre Jeffrey Satinover a décrit combien la pornographie ressemblait à la cigarette, notant qu'elle était un système élaboré pour provoquer un afflux d'opioïdes endogènes à l'intérieur du cerveau. Et d’ajouter « il est temps de cesser de considérer ces choses comme une simple forme d'expression. La science moderne nous permet de comprendre que la nature d'une dépendance à la pornographie est chimiquement similaire à une dépendance à l'héroïne ». Le docteur Mary Anne Layden du centre de thérapie cognitive de l'Université de Pennsylvanie a expliqué comment une image à caractère pornographique était comme pyrogravée dans la conscience : « S'il s'agissait seulement d'une substance occasionnant une dépendance, vous pourriez vous en débarrasser à n'importe quel moment de votre vie. Mais ce type d'images reste pour toujours dans votre cerveau. » Le docteur Judith Reisman, présidente de l'Institute for Media Education a lancé un appel au Sénat afin qu'il renforce la loi contre la pornographie et rassemble les informations pour connaître son rôle dans le passage à l'acte des criminels ». Selon Daniel Weiss, analyste des médias pour Focus on the Family, « les preuves présentées par les experts ont démontré de façon accablante les dangers de la pornographie ».Sources : Focus on the Family/ Top chrétien
Message d'un condamné à mort
Voici les déclarations d'un condamné à mort aux États-Unis, recueillies quelques heures avant son exécution (le 24 janvier 1989) par le Dr James DOBSON, Président de Focus on the Family.
Cet homme, nommé Ted BUNDY, avait agressé sexuellement et assassiné au moins 28 femmes. Il a reconnu que c'était la pornographie qui avait déclenché sa folie sexuelle meurtrière. L'idée généralement admise est que ces individus ou sont anormaux de naissance, ou le sont devenus à la suite d'une enfance malheureuse. Or, Ted BUNDY a expliqué, dans son interview, comme il avait « grandi dans un foyer merveilleux avec deux parents chrétiens attentionnés et aimants ». « Nous allions régulièrement à l'église, a-t-il ajouté, et il n'y avait à la maison ni jeu, ni tabac, ni alcool, ni bagarres ». Pour lui, le tournant a eu lieu lorsque, vers 12 ou 13 ans, il a par hasard rencontré la pornographie douce sur les rayons d'un magasin et, de temps en temps, grâce à des livres trouvés dans des poubelles, une pornographie plus dure (hard), plus pernicieuse, celle qui implique la violence sexuelle. Le processus une fois enclenché, c'est par étapes, graduellement qu'il en est arrivé à un comportement criminel. Ted BUNDY analyse très bien cette escalade : « une fois accroché à la pornographie – et je considère cela comme une sorte d'esclavage – je recherchais des sortes de matériels toujours plus violents, plus explicites, plus descriptifs. Comme pour la drogue, vous conservez une excitation insatiable jusqu'à ce que vous atteigniez le point ou la pornographie ne peut aller plus loin. Vous atteignez ce point ou l'on saute le pas quand vous vous demandez si le fait de passer à l'acte à ce moment-là vous apportera plus que le seul fait de lire et de regarder » .Après des années de lutte contre cette pulsion criminelle, s'appuyant sur des barrières établies dès l'enfance par son éducation, il a eu soudain l'impression que quelque chose s'était cassé net qu'il ne pouvait se contrôler plus longtemps. Ted insiste sur le fait qu'il était, au fond, une personne normale et menait une vie normale, qu'il n'était pas une brute ni un pilier de bars : « les personnes de mon genre ne sont pas des espèces de monstres-nés. Nous sommes vos fils, vos maris, et nous avons grandi dans des familles classiques. La pornographie peut atteindre et saisir brusquement un gosse de n'importe quelle famille aujourd'hui ... aussi attentifs que soient ses parents ». Il ajoute que c'est le cas de presque tous les hommes qu'il a rencontrés en prison, poussés comme lui à commettre des violences, et qu'une étude faite par le FBI lui-même sur les homicides en série fait ressortir un point commun à ces meurtriers à répétition : la pornographie. Enfin, tout en avouant qu'il avait mérité son châtiment, il ne peut cacher son amertume de voir cette société qui le punit tolérer cependant que les rayons des magasins soient pleins de ces choses mêmes qui envoient de jeunes gosses sur la voie qui l'a mené à cette dépravation, à ces crimes et finalement à la chaise électrique. « Ce qui me fait peur, et même m'épouvante, c'est ce que je vois à la télé. Les saletés qui entrent dans les foyers aujourd'hui n'auraient pas été montrées dans les spectacles pour adultes classés X, il y a vingt ans ». Archives de LLV
Notre avis
Alors que les informations recueillies dans ces enquêtes indiquent clairement que l'accès à la pornographie, est non seulement souvent associé à d'autres facteurs de trouble de la conduite, mais représente à lui seul un risque important pour l’équilibre psychologique, on peut s’étonner que l’appel, en octobre 2002, du président du CSA, Dominique Baudis n’ait pas été entendu. Il avait en effet demandé au Gouvernement de transcrire dans la loi française la directive européenne Télévisions sans frontières interdisant aux chaînes de diffuser des programmes « susceptibles de nuire gravement aux mineurs », en particulier lorsqu'ils comportent « des scènes de pornographie ou de violence gratuite ». L'examen d'une proposition de loi visant à imposer le double verrouillage des programmes violents et pornographiques à la télévision avait tourné court en décembre 2002 sans être soumise au vote des députés. Toutefois aux vues de la récente autorisation par le CSA du lancement de Pink TV (le 25 octobre 2004), la première chaîne homosexuelle française (diffusée sur le câble, le satellite et l'ADSL, avec des films gays et pornographiques), on est en droit de douter du fondement de la préoccupation du CSA pour le jeune public. Il serait peut être temps que le Conseil supérieur de l’audiovisuel qui se présente comme « le garant de la protection de l'enfance et de l'adolescence » (voir la délibération relative à la protection de l'enfance et de l'adolescence à l'antenne des services de radiodiffusion sonore. Assemblée plénière du 10 février 2004 et l’article « le CSA et la protection des mineurs disponibles par simple demande au CPDH) aide à la mise en place de réelles protections et garde fous pour le jeune public. Il nous parait urgent de passer d’une signalétique indicative à des mesures inviolables et sûres. De plus, le résultat de cette enquête nous conforte dans l'opération " Enfance et pornographie : osons dire la vérité ! " que nous avions menée avec "l'Alliance pour les Droits de la Vie" et "Famille Médias" et nous incite à continuer avec l'Observatoire "Enfance, violence et pornographie" mis en place depuis.
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ça ressemble beaucoup au débat sur les jeux vidéos violents...
les gens ne sont pas capables de prendre leurs responsabilités alors ils ont besoin de trouver un coupable.
qui était avant: la poule ou l'oeuf ? on peut tourner en rond longtemps, par contre, on peut trouver des moyens de mieux vivre le fait d'être ces "héroïnomanes"
Cependant :
* j'ai le même problème que toi tiamat, j'accorde trop d'importance dans ma vie à cette chose, et ça m'a "empoisonné"... donc je cherche un moyen de minorer la consommation de ces films...
* bien évidemment, c'est clair que ce n'est pas bon de laisser surfer sur internet des petits de 10 ans seuls, qui pourraient tomber sur ce genre d'images et se faire une fausse idée de la sexualité...
Mais je suis sûr que l'on peut prendre pour "parole d'évangile" ce que raconte un condamné à mort auquel il doit manquer une case ou un scientifique qui cherche à se faire mousser... (bref je pense que tu as capté que je suis super sceptique là dessus)
les gens ne sont pas capables de prendre leurs responsabilités alors ils ont besoin de trouver un coupable.
qui était avant: la poule ou l'oeuf ? on peut tourner en rond longtemps, par contre, on peut trouver des moyens de mieux vivre le fait d'être ces "héroïnomanes"

Cependant :
* j'ai le même problème que toi tiamat, j'accorde trop d'importance dans ma vie à cette chose, et ça m'a "empoisonné"... donc je cherche un moyen de minorer la consommation de ces films...
* bien évidemment, c'est clair que ce n'est pas bon de laisser surfer sur internet des petits de 10 ans seuls, qui pourraient tomber sur ce genre d'images et se faire une fausse idée de la sexualité...
Mais je suis sûr que l'on peut prendre pour "parole d'évangile" ce que raconte un condamné à mort auquel il doit manquer une case ou un scientifique qui cherche à se faire mousser... (bref je pense que tu as capté que je suis super sceptique là dessus)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] par Cyd07
Je trouve cet article aussi inutile que culpabilisant. Ces statistiques ne servent à rien, on peut trouver une corrélation entre le nombre des filles qui fument et celles qui regardent des films porno et autres trucs mais quand bien même ce serait mathématiquement significatif, ça ne prouverait rien du tout, sinon que certains parents serrent plus la vis que d'autres... Les effets sur le cerveau sont comparables à ceux de l'héroine? Comme énormément de choses, toute drogue libère de la dopamine dans le cerveau, et faire l'amour aussi... Ted Bundy est un malade mental mort il y a plusieurs décennies, et cité par de nombreuses féministes en mal d'arguments comme si son addiction à la pornographie avait une quelconque importance pour lier comportements psychopathes et pornographie. Si ça avait la moindre valeur scientifique, ils auraient trouvé au moins un autre exemple que Ted Bundy, depuis le temps...
Le seul problème avec l'addiction à la pornographie c'est que c'est une addiction. Toute addiction est destructrice c'est évident. Que ce soit à l'herbe, à la pornographie, au tabac, aux jeux d'argent, aux jeux vidéos... Je crois que montrer du doigt l'objet d'une addiction en le diabolisant est complètement stupide. Il vaudrait mieux se préoccuper de savoir pourquoi et comment certains deviennent addict et pas d'autres et comment ils peuvent s'en sortir.
Les informations recueillies ne prouvent quedalle. On ne peut rien démontrer manipulant quelques chiffres douteux et en interrogant un serial killer complètement taré. Avec quelques informations totalement partielles et partiales sur les drogues, c'est le pompon. En effet ca fait beaucoup penser aux articles contre les jeux videos et à la croisade des anti donjon et dragon.Alors que les informations recueillies dans ces enquêtes indiquent clairement que l'accès à la pornographie, est non seulement souvent associé à d'autres facteurs de trouble de la conduite, mais représente à lui seul un risque important pour l’équilibre psychologique,
Le seul problème avec l'addiction à la pornographie c'est que c'est une addiction. Toute addiction est destructrice c'est évident. Que ce soit à l'herbe, à la pornographie, au tabac, aux jeux d'argent, aux jeux vidéos... Je crois que montrer du doigt l'objet d'une addiction en le diabolisant est complètement stupide. Il vaudrait mieux se préoccuper de savoir pourquoi et comment certains deviennent addict et pas d'autres et comment ils peuvent s'en sortir.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] 100% d'accord par Tirpse
- [0] Quelle patience par Coluche
- [+1] 100% d'accord par ironik
Oui, depuis que j'ai arrêté le porn je ne tousse plus le matin et je ne fais plus d'asthme...l'elfe a écrit : Le seul problème avec l'addiction à la pornographie c'est que c'est une addiction. Toute addiction est destructrice c'est évident. Que ce soit à l'herbe, à la pornographie, au tabac, aux jeux d'argent, aux jeux vidéos... Je crois que montrer du doigt l'objet d'une addiction en le diabolisant est complètement stupide. Il vaudrait mieux se préoccuper de savoir pourquoi et comment certains deviennent addict et pas d'autres et comment ils peuvent s'en sortir.
----> La clope c'est la clope, le porn c'est le porn, certes, UN des problèmes est d'ETRE ADDICT, car c'est une preuve d'un manque, l'AUTRE, c'est les EFFETS de cette addiction.
Je vous en prie, ne mettez pas tout dans le même panier...
L'addiction au porn A des effets que l'héroîne n'A PAS... On parle de ça ici, de ces effets et je comprends pas ce qui empêche certains d'entre vous d'accepter que NOUS ayons cette discussion...
C'est vrai quoi...
Quelle idéologie, quelle utopie ratée vous fait peur quand on évoque le fait que le porn soit un problème ?
Est-ce que si on arrête le porn votre vie ira moins bien ?
Et imaginons que si vous argumentiez autant c'est par altruisme; est-ce que si on arrête le porn NOS vies iront moins bien ?
Pu****, mais pourquoi vous refusez ça ?
Peut-être que... culpabilité ?
Allez.... vous êtes grands, ne vous mentez pas, vous savez bien pourquoi, ça vous dérange qu'on joue avec votre merde, parce qu'au fond, elle vous appartiens un peu aussi, non ?
Dans l'espoir de ne pas trop troller,
toujours fidèle au franc parlé....
Pyrrho ;-)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Du grand n'importe quoi par l'elfe
Mais pasque les effets ne sont pas démontrés. La clope, on SAIT précisément ce que ça fait, physiquement, on connait les effets précis.
Pour le porno, on sait strictement rien du tout, y'a deux trois mecs au qui ont inventé a l'arrache une ptite théorie avec une vague démonstration qui vaut a peine un pet de lapin et puis voilà..
Perso je matte des films de cul depuis toujours, la j'ai "décidé d'arreter" pour tester comme ça.. Pffff, aucun problème, je me sens totalement pareil (sauf que c'est plus long ;-)
Coluche
Pour le porno, on sait strictement rien du tout, y'a deux trois mecs au qui ont inventé a l'arrache une ptite théorie avec une vague démonstration qui vaut a peine un pet de lapin et puis voilà..
Perso je matte des films de cul depuis toujours, la j'ai "décidé d'arreter" pour tester comme ça.. Pffff, aucun problème, je me sens totalement pareil (sauf que c'est plus long ;-)
Amicalement."Y'a pas de mal a se faire du bien"
Coluche
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 par ironik
Alors si tout le monde est de ton avis je crois que l'on va tomber d'accord :
Personne ne sait ce que fait le porn sur nos esprits, en revanche, nous croyons qu'il a des effets négatifs sur certains aspects de nos vies.
Peut-être que pour vous ces effets n'existent pas...!
Eh bien laissez donc tomber ce thread, ou lisez le avec le recul qui vous permettra de comprendre que nos problèmes ne sont pas les mêmes que les vôtres...
Lâchez-nous les bottes quoi...! ;-)
Pour le courant qui vise à dire que deux-trois mecs ont posé une théorie (il n'y a pas que Coluche), je vous propose de relire les six pages qui précèdent et d'y faire spécialement attention aux TéMOIGNAGES (dont le premier post du thread), qui sont la base de tout le débat.
Donc ceux qui ne sentent pas touchés, essayez de faire preuve d'humilité et... lâchez l'affaire !
Merci pour votre compréhension.
Personne ne sait ce que fait le porn sur nos esprits, en revanche, nous croyons qu'il a des effets négatifs sur certains aspects de nos vies.
Peut-être que pour vous ces effets n'existent pas...!
Eh bien laissez donc tomber ce thread, ou lisez le avec le recul qui vous permettra de comprendre que nos problèmes ne sont pas les mêmes que les vôtres...
Lâchez-nous les bottes quoi...! ;-)
Pour le courant qui vise à dire que deux-trois mecs ont posé une théorie (il n'y a pas que Coluche), je vous propose de relire les six pages qui précèdent et d'y faire spécialement attention aux TéMOIGNAGES (dont le premier post du thread), qui sont la base de tout le débat.
Donc ceux qui ne sentent pas touchés, essayez de faire preuve d'humilité et... lâchez l'affaire !
Merci pour votre compréhension.
Je n'ai aucun soucis avec le porno mais dire qu'il n'y a pas d'études sérieuses sur son effet sur nos esprits n'est pas vrai.
Comme je l'ai déjà expliqué un problème a été mis en évidence : lorsque le porno prend le pas sur notre activité fantasmatique. On perd alors en capacité d'imagination et de créativité, mais également en capacité relationnelle sur le plan sexuel. Accessoirement, en capacité de sexualisation et de connexion émotionnelle pour ce qui nous intéresse ici.
Où est le seuil ? Hé bien c'est trés variable d'un individu à un autre.
Maintenant entre ceux qui n'ont pas ce soucis, ceux qui l'ont et le savent, ceux qui l'ont et ne veulent pas (ou ne peuvent pas) le voir... je vous laisse débattre.
La question que je me pose tout de même c'est qu'apporte le porno en fin de compte ? Mais c'est un autre débat !
Comme je l'ai déjà expliqué un problème a été mis en évidence : lorsque le porno prend le pas sur notre activité fantasmatique. On perd alors en capacité d'imagination et de créativité, mais également en capacité relationnelle sur le plan sexuel. Accessoirement, en capacité de sexualisation et de connexion émotionnelle pour ce qui nous intéresse ici.
Où est le seuil ? Hé bien c'est trés variable d'un individu à un autre.
Maintenant entre ceux qui n'ont pas ce soucis, ceux qui l'ont et le savent, ceux qui l'ont et ne veulent pas (ou ne peuvent pas) le voir... je vous laisse débattre.
La question que je me pose tout de même c'est qu'apporte le porno en fin de compte ? Mais c'est un autre débat !
Je ne connais aucune étude sérieuse (et ça m'intéresserait d'en connaitre), mais est-ce bien le porno en lui-même qui a un effet néfaste, ou l'addiction?okapi a écrit :Je n'ai aucun soucis avec le porno mais dire qu'il n'y a pas d'études sérieuses sur son effet sur nos esprits n'est pas vrai.
Qu'est-ce qui fait que certains sont accro et pas d'autres? les raisons d'une addiction au porno sont-elles en partie ou en totalité les mêmes que celles d'une addiction, par exemple, au cannabis, ou pas du tout? car même si on dit couramment que la quantité fait le poison, je me demande si certaines personnes ne pourraient pas regarder continuellement du porno sans avoir le moindre effet néfaste, tandis que d'autres ont rapidement un problème. peut-être que la culpabilité liée au sexe intervient dans ce mécanisme, entre autres.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant par Krishna