[Dossier] Masculinité
Pour clore :
Je veux m'adresser en particulier à ceux qui découvrent le site, et qui se posent beaucoup de questions sur la masculinité. C'est un passage obligé que de définir sa masculinité, surtout quand pour des raisons diverses et variées, on a pas eu l'influence paternelle. Cependant, ne tombez pas dans l'excès... Conservez votre sens critique, restez réalistes et ne vous laissez pas emporter par votre désarroi ou votre aigreur.
Enfin, ne réduisez pas pour autant les femmes à des êtres passifs, contemplatifs, sans buts ni passions, incapables de dire la vérité sur ce qu'elles aiment chez les hommes, et qui n'ont qu'à se contenter d'être belles et passives pour séduire les hommes...
Je veux m'adresser en particulier à ceux qui découvrent le site, et qui se posent beaucoup de questions sur la masculinité. C'est un passage obligé que de définir sa masculinité, surtout quand pour des raisons diverses et variées, on a pas eu l'influence paternelle. Cependant, ne tombez pas dans l'excès... Conservez votre sens critique, restez réalistes et ne vous laissez pas emporter par votre désarroi ou votre aigreur.
Enfin, ne réduisez pas pour autant les femmes à des êtres passifs, contemplatifs, sans buts ni passions, incapables de dire la vérité sur ce qu'elles aiment chez les hommes, et qui n'ont qu'à se contenter d'être belles et passives pour séduire les hommes...
Lu dans Men's Health :
Les hommes doivent garder leur part de masculinité. C'est ce qui fait l'homme, le reste n'est qu'accessoire.
Bon j'en reviens a mon truc mais c'est quoi la masculinite. C'est une notion fourre tout et non explicite que tout le monde utilise. Un peu comme une vieille rengaine de cafe du commerce. C'est le truc le plus imprecis possible. Un peu comme si je faisais un article
"Soyez seduisants". ou "Soyez sexy", ca fait bien sur le papier, on peut reflechir dessus mais moins concret tu meurs. Donc tout le monde est d'accord, il faut etre masculin, on peut discuter des heures dessus sans arriver a une reponse. La vraie question est: quels sont les facteurs associes a ca, quelles sont les perceptions de la masculinite, comment agir dessus. La on entre dans un vrai debat et on sort du PMU
"Soyez seduisants". ou "Soyez sexy", ca fait bien sur le papier, on peut reflechir dessus mais moins concret tu meurs. Donc tout le monde est d'accord, il faut etre masculin, on peut discuter des heures dessus sans arriver a une reponse. La vraie question est: quels sont les facteurs associes a ca, quelles sont les perceptions de la masculinite, comment agir dessus. La on entre dans un vrai debat et on sort du PMU
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] +1 par Krishna
En partant du principe que la définition de la masculinité reste relative à chacun... il faudrait trouver des facteurs pour chacun...SoCal a écrit :Bon j'en reviens a mon truc mais c'est quoi la masculinite. C'est une notion fourre tout et non explicite que tout le monde utilise. Un peu comme une vieille rengaine de cafe du commerce. C'est le truc le plus imprecis possible. Un peu comme si je faisais un article
"Soyez seduisants". ou "Soyez sexy", ca fait bien sur le papier, on peut reflechir dessus mais moins concret tu meurs. Donc tout le monde est d'accord, il faut etre masculin, on peut discuter des heures dessus sans arriver a une reponse. La vraie question est: quels sont les facteurs associes a ca, quelles sont les perceptions de la masculinite, comment agir dessus. La on entre dans un vrai debat et on sort du PMU
Ce qui revient à une question sans fin.
On ne peut pas se passer d'une définition théorique, car toute ce qu'on fera en pratique se basera sur des principes donnés par cette base.
Néanmoins, il faut également que la théorie ne soit pas quelque chose de fumeux, mais qu'elle soit claire et applicable dans notre vie.
Aussi, je vais tenter dans les prochains jours de définir une idée d'un homme en 2008, et de montrer les conséquences pratiques des concepts définis.
Je pose comme principe de base que tout aspect qui constitue l'identité d'une personne est acquis et non inné. L'identité sexuelle n'échappe pas à cette règle. J'évacue donc toute différence intrinsèque autre que physiologique entre hommes et femmes. Je rejette toute explication génétique ou psychanalytique qui cherche à prouver ces différences intrinsèques (Ex : Un homme a plus le sens de l'orientation parce qu'à la préhistoire il chassait ; La femme réduit le politique au psychologique à cause d'un Oedipe différent [A. Soral]...).
Par conséquent, un débat d'idées sur ce sujet est justifié. Le but de la construction d'une (ou plusieurs) identité masculine n'est pas de déterminer qu'est-ce qu'un vrai homme, mais plutôt de nous permettre d'être bien dans notre peau en tant qu'homme (et par extension pour permettre des relations satisfaisantes entre les sexes).
La question à laquelle il faut répondre est donc : "Comment être un homme accompli et bien dans sa peau ?"
Néanmoins, il faut également que la théorie ne soit pas quelque chose de fumeux, mais qu'elle soit claire et applicable dans notre vie.
Aussi, je vais tenter dans les prochains jours de définir une idée d'un homme en 2008, et de montrer les conséquences pratiques des concepts définis.
Je pose comme principe de base que tout aspect qui constitue l'identité d'une personne est acquis et non inné. L'identité sexuelle n'échappe pas à cette règle. J'évacue donc toute différence intrinsèque autre que physiologique entre hommes et femmes. Je rejette toute explication génétique ou psychanalytique qui cherche à prouver ces différences intrinsèques (Ex : Un homme a plus le sens de l'orientation parce qu'à la préhistoire il chassait ; La femme réduit le politique au psychologique à cause d'un Oedipe différent [A. Soral]...).
Par conséquent, un débat d'idées sur ce sujet est justifié. Le but de la construction d'une (ou plusieurs) identité masculine n'est pas de déterminer qu'est-ce qu'un vrai homme, mais plutôt de nous permettre d'être bien dans notre peau en tant qu'homme (et par extension pour permettre des relations satisfaisantes entre les sexes).
La question à laquelle il faut répondre est donc : "Comment être un homme accompli et bien dans sa peau ?"
Ok c'est ton droit le plus strict, je ne suis pas d'accord mais au moins je vois en quoi nos visions sont trés différentes.Electrik a écrit :Je rejette toute explication génétique ou psychanalytique qui cherche à prouver ces différences intrinsèques
Je suis entièrement d'accord avec cette question, donc je vais te lire avec un intérêt accru, en espérant que nos définitions apportent des éclairages complémentaires.Electrik a écrit :La question à laquelle il faut répondre est donc : "Comment être un homme accompli et bien dans sa peau ?"
Mais je ne pense pas que tu vas passer par la seule physiologie ? En tout cas n'hésite pas à préciser, je suis trés intéressé par cette discussion comme tu as pu le voir.
Ne sois pas trop pressé, car ça va prendre du temps ^^.
J'ai juste posé quelques bases qui guideront ma réflexion. Je choisis d'ignorer tout déterminisme lié à une nature masculine ou féminine préexistante car il n'y a pas d'affirmation qui ne trouve de contre-exemple.
Tant que rien ne prouve formellement l'existence de déterminismes de constitution qui détermineraient les comportements, on a une option. Même si ces déterminismes existaient, je pense ne pas prendre de risques en disant qu'ils seraient négligeables face aux déterminismes de l'environnement (culture, médias, famille, histoire personnelle...). En conséquence de cela, on a plus de libertés quand à la définition d'un homme et d'une femme, puisqu'elles ne sont pas données au départ (à part bien sûr les caractères physiologiques).
J'ai juste posé quelques bases qui guideront ma réflexion. Je choisis d'ignorer tout déterminisme lié à une nature masculine ou féminine préexistante car il n'y a pas d'affirmation qui ne trouve de contre-exemple.
Tant que rien ne prouve formellement l'existence de déterminismes de constitution qui détermineraient les comportements, on a une option. Même si ces déterminismes existaient, je pense ne pas prendre de risques en disant qu'ils seraient négligeables face aux déterminismes de l'environnement (culture, médias, famille, histoire personnelle...). En conséquence de cela, on a plus de libertés quand à la définition d'un homme et d'une femme, puisqu'elles ne sont pas données au départ (à part bien sûr les caractères physiologiques).
Je suis patient !
Pour ma part si déterminisme il y a, je considère qu'il ne peut être qu'historique, culturel, psychologique, ethnologique, anthropologique...
Donc relatif certes, mais la culture donne forme à l'esprit comme le démontrent les sciences cognitives.
Bref, il y a de quoi faire ^^

Pour ma part si déterminisme il y a, je considère qu'il ne peut être qu'historique, culturel, psychologique, ethnologique, anthropologique...
Donc relatif certes, mais la culture donne forme à l'esprit comme le démontrent les sciences cognitives.
Bref, il y a de quoi faire ^^
Une définition possible de l’homme, selon Electrik
Comme promis, voici venir un essai de définition de l’homme de ma part.
Je pose comme principe de départ que toute identité est acquise et non pas innée. Ceci a pour conséquence qu’il existe autant de définition de l’homme que d’individus masculins. Ce qui suit est donc totalement subjectif et peut (et doit) être débattu, au même titre que n’importe quelle position philosophique.
La question à laquelle je vais répondre est : « Comment être homme, et bien dans sa peau en tant que tel ? »
NB : Homme = genre humain, homme = individu de sexe masculin
Depuis que l’Homme existe, il se pose des questions sur son origine et le pourquoi de son existence. Diverses réponses ont été apportées, mais il en est une qui semble communément partagée : « l’Homme a pour rôle d’ordonner le monde et d’en être le gardien ». Cette vision est partagée par les religions monothéistes, mais également de manière laïque avec la place grandissante accordée ces dernières années à la protection des espèces et de l’environnement.
Toute société humaine est construite en vue de ce but : l’ordonnancement du Monde.
En Occident, il se trouve que des rôles spécifiques ont été distribués aux hommes et aux femmes. Je n’en discuterai pas le bien ou le mal fondé, je me borne à constater ces rôles distribués culturellement et qui nous imprègnent depuis plusieurs millénaires. En gros, l’homme représente l’extraversion, l’action, le rationnel, la confrontation, le Soleil, alors que la femme représente l’introversion, la contemplation, l’émotionnel, la conciliation, la Lune. De ces conceptions découlent des rôles dévolus aux hommes et aux femmes, en vue de réaliser l’objectif de l’Homme : ordonner le monde. Ces rôles n’impliquent pas la supériorité d’un sexe sur l’autre, mais une complémentarité.
L’après-guerre a vu la remise en question de ces modèles traditionnels, et cette remise en cause aboutit concrètement lors du droit de vote donné aux femmes, ou encore en Mai 68. Néanmoins, de nouveaux rôles ne sont pas définis, on se contente juste de remettre en cause et anciens et de s’opposer au modèle traditionnel. Du coup, hommes et femmes ont de plus en plus de mal à se construire leur identité, car ils ne savent plus ce qu’ils doivent être. C’est là que le principe que toute identité est acquise est intéressant, car cela permet à chacun de déterminer ce qu’il doit être.
Pour ma part, je ne tourne pas le dos à tout mon héritage greco-romain et judéo-chrétien. J’estime que l’homme est actif. Lorsqu’il y a un effort important à fournir pour construire, ou pour conquérir, c’est en priorité à lui de fournir cet effort. Néanmoins, rien n’empêche une femme qui le souhaite de mettre en œuvre les caractères traditionnellement masculins. Les rôles ne sont pas innés mais acquis, donc on peut les changer.
Concrètement, lors de la rencontre amoureuse, si le processus est bloqué, c’est à l’homme d’oser conquérir. C’est à lui de prendre les risques. Toutefois, une femme qui se montrerait entreprenante n’a pas à être mal vue ! Il faut bien avoir à l’esprit cependant que ces cas sont rares.
Puisque l’homme doit ordonner le monde et en être gardien, il doit utiliser son énergie de manière constructive seulement. Ainsi, l’agressivité n’est pas une valeur masculine. Elle n’est ni féminine d’ailleurs, ce n’est pas une valeur car la violence sous toutes ces formes nous rabaisse à l’état animal. La violence ne devrait être utilisée qu’en cas de danger réel.
Pourtant, dans notre monde moderne, la violence et la provocation sont omniprésentes. Nous avons tous été confrontés au moins une fois dans la rue à un groupe de racailles qui nous insultent, nous mettent des soufflets, nous lancent des petits cailloux, etc… Sortir les poings pour leur défoncer la tête pourrait passer pour viril. Néanmoins, la vengeance n’est pas une valeur noble, et c’est de l’énergie perdue car dépensée de manière destructrice. Sortir les poings ne doit avoir lieu que s’ils tentent de vous en mettre, mettant votre intégrité physique en péril.
Une autre caractéristique d’un homme est sa capacité à adopter une conduite rationnelle. Ainsi, si nous prenons l’exemple du groupe de racaille, est-ce que la Raison justifie la distribution de coups de poings à la moindre provocation ? Assurément non, car si nous gagnons la bataille, il est possible que les adversaires s’engagent dans une spirale de la violence. Provoquer un conflit provoque le danger, et un homme doit être capable de se mettre en sécurité lui et les Siens. De plus, ils ne deviendront pas plus respectueux parce qu’ils se seront pris une rouste. Laissons-les à leur médiocrité. Ce ne sont pas des hommes car ils détruisent au lieu de construire. Vous vous êtes un homme.
Enfin, un Homme (homme et femme donc ;)) doit avoir des principes et se conduire de manière droite et juste. Les principes rendent possible la vie en société. Se conduire de manière tordue, sans aucun principe a pour conséquence de vous exclure de la société. Quand on est exclu de la société, on ne peut pas construire, puisque pour construire, il faut collaborer avec les autres individus.
Etre un homme pour moi c’est donc :
- Construire
- Assurer la sécurité
- Conquérir (qui ne signifie pas dominer !)
- Etre droit et juste
Comme promis, voici venir un essai de définition de l’homme de ma part.
Je pose comme principe de départ que toute identité est acquise et non pas innée. Ceci a pour conséquence qu’il existe autant de définition de l’homme que d’individus masculins. Ce qui suit est donc totalement subjectif et peut (et doit) être débattu, au même titre que n’importe quelle position philosophique.
La question à laquelle je vais répondre est : « Comment être homme, et bien dans sa peau en tant que tel ? »
NB : Homme = genre humain, homme = individu de sexe masculin
Depuis que l’Homme existe, il se pose des questions sur son origine et le pourquoi de son existence. Diverses réponses ont été apportées, mais il en est une qui semble communément partagée : « l’Homme a pour rôle d’ordonner le monde et d’en être le gardien ». Cette vision est partagée par les religions monothéistes, mais également de manière laïque avec la place grandissante accordée ces dernières années à la protection des espèces et de l’environnement.
Toute société humaine est construite en vue de ce but : l’ordonnancement du Monde.
En Occident, il se trouve que des rôles spécifiques ont été distribués aux hommes et aux femmes. Je n’en discuterai pas le bien ou le mal fondé, je me borne à constater ces rôles distribués culturellement et qui nous imprègnent depuis plusieurs millénaires. En gros, l’homme représente l’extraversion, l’action, le rationnel, la confrontation, le Soleil, alors que la femme représente l’introversion, la contemplation, l’émotionnel, la conciliation, la Lune. De ces conceptions découlent des rôles dévolus aux hommes et aux femmes, en vue de réaliser l’objectif de l’Homme : ordonner le monde. Ces rôles n’impliquent pas la supériorité d’un sexe sur l’autre, mais une complémentarité.
L’après-guerre a vu la remise en question de ces modèles traditionnels, et cette remise en cause aboutit concrètement lors du droit de vote donné aux femmes, ou encore en Mai 68. Néanmoins, de nouveaux rôles ne sont pas définis, on se contente juste de remettre en cause et anciens et de s’opposer au modèle traditionnel. Du coup, hommes et femmes ont de plus en plus de mal à se construire leur identité, car ils ne savent plus ce qu’ils doivent être. C’est là que le principe que toute identité est acquise est intéressant, car cela permet à chacun de déterminer ce qu’il doit être.
Pour ma part, je ne tourne pas le dos à tout mon héritage greco-romain et judéo-chrétien. J’estime que l’homme est actif. Lorsqu’il y a un effort important à fournir pour construire, ou pour conquérir, c’est en priorité à lui de fournir cet effort. Néanmoins, rien n’empêche une femme qui le souhaite de mettre en œuvre les caractères traditionnellement masculins. Les rôles ne sont pas innés mais acquis, donc on peut les changer.
Concrètement, lors de la rencontre amoureuse, si le processus est bloqué, c’est à l’homme d’oser conquérir. C’est à lui de prendre les risques. Toutefois, une femme qui se montrerait entreprenante n’a pas à être mal vue ! Il faut bien avoir à l’esprit cependant que ces cas sont rares.
Puisque l’homme doit ordonner le monde et en être gardien, il doit utiliser son énergie de manière constructive seulement. Ainsi, l’agressivité n’est pas une valeur masculine. Elle n’est ni féminine d’ailleurs, ce n’est pas une valeur car la violence sous toutes ces formes nous rabaisse à l’état animal. La violence ne devrait être utilisée qu’en cas de danger réel.
Pourtant, dans notre monde moderne, la violence et la provocation sont omniprésentes. Nous avons tous été confrontés au moins une fois dans la rue à un groupe de racailles qui nous insultent, nous mettent des soufflets, nous lancent des petits cailloux, etc… Sortir les poings pour leur défoncer la tête pourrait passer pour viril. Néanmoins, la vengeance n’est pas une valeur noble, et c’est de l’énergie perdue car dépensée de manière destructrice. Sortir les poings ne doit avoir lieu que s’ils tentent de vous en mettre, mettant votre intégrité physique en péril.
Une autre caractéristique d’un homme est sa capacité à adopter une conduite rationnelle. Ainsi, si nous prenons l’exemple du groupe de racaille, est-ce que la Raison justifie la distribution de coups de poings à la moindre provocation ? Assurément non, car si nous gagnons la bataille, il est possible que les adversaires s’engagent dans une spirale de la violence. Provoquer un conflit provoque le danger, et un homme doit être capable de se mettre en sécurité lui et les Siens. De plus, ils ne deviendront pas plus respectueux parce qu’ils se seront pris une rouste. Laissons-les à leur médiocrité. Ce ne sont pas des hommes car ils détruisent au lieu de construire. Vous vous êtes un homme.
Enfin, un Homme (homme et femme donc ;)) doit avoir des principes et se conduire de manière droite et juste. Les principes rendent possible la vie en société. Se conduire de manière tordue, sans aucun principe a pour conséquence de vous exclure de la société. Quand on est exclu de la société, on ne peut pas construire, puisque pour construire, il faut collaborer avec les autres individus.
Etre un homme pour moi c’est donc :
- Construire
- Assurer la sécurité
- Conquérir (qui ne signifie pas dominer !)
- Etre droit et juste
[Message supprimé par l'auteur : Ces propos ne reflètent pas, ou plus ma pensée actuelle. J'ai beaucoup évolué dans mon approche de la séduction et des rapports hommes / femmes et je ne souhaite pas que des anciens messages puissent être lus aujourd'hui, par crainte qu'ils soient décontextualisés où qu'ils ne me ressemblent pas.]