Vie personelle et professionelle
Coucou à tous
Je reviens après une longue absence avec ce petit post au titre raccoleur (le sujet a peut être déja été traité, mais je n'ai rien trouvé sur ce site). Il est question ici d'être heureux. Je vais commencer avec un petit 3615 ma life (désolé d'avance, mais ça me permet d'illustrer mon propos).
[Trip intimity ON]
Comme certains le savent peut être, j'étudie depuis près d'un an en Allemagne, où je fais des études d'histoire. C'est sympa, j'apprend pleins de trucs et principalement des langues (j'en parle trois assez courament et suis en train d'en apprendre deux autres), ce qui me permettra sans doute d'avoir un meilleur job dans l'avenir (et une vision plus globale du monde qui m'entoure).
Mais ce soir je ne picole pas avec mes ami(e)s, je suis comme un con devant mon PC à essayer de finir du boulot pour la fin du semestre.
Je suis bien parti pour réaliser mon rêve, devenir un bon journaliste (du moins je suis la voie pour celà), mais il me manque quelque chose. Je suis loin d'être un travailleur acharné, mais mes objectifs de "carrière" m'ont fait oublier que j'étais surtout ici pour être épanoui et heureux
[Trip intimity OFF]
Ce petit extrait qui ressemble au blog d'une adolescente en plein déreglement hormonal me permet de vous poser la question suivante : Comment faire pour conjuguer une vie professionelle et personelle épanouissante? Le marché du travail actuel est tel qu'il faut être un rasoir aiguisé pour parvenir à ses fins, chose qui n'est à mon avis que difficilement réalisable avec une vie de famille/ d'amis pleinement développée.
J'ai lu un jour dans un livre de PNL que la bonne image de soi ne doit non pas venir de nos réalisation mais du fait même d'exister (je crois que ça vient de l'ésprit de la magie). Mais nos ambitions nous poussent invariablement à penser de la manière inverse, simplement pour se pousser à réaliser un nombre d'objectifs toujours plus élevé.
Personnelemtn, j'en suis arrivé à un point où je me refuse de m'engager dans une LTR pour la simple et bonne raison que celà me prendrait trop de temps, et que ça me pousserait à certains sacrifices dans mes projets que je ne me sent pas prêt à concéder.
Qu'en est-il pour vous? Avez vous déjà eu les mêmes problèmes, et à quelles conclusions êtes vous parvenus?
Tschüss
Trip
Je reviens après une longue absence avec ce petit post au titre raccoleur (le sujet a peut être déja été traité, mais je n'ai rien trouvé sur ce site). Il est question ici d'être heureux. Je vais commencer avec un petit 3615 ma life (désolé d'avance, mais ça me permet d'illustrer mon propos).
[Trip intimity ON]
Comme certains le savent peut être, j'étudie depuis près d'un an en Allemagne, où je fais des études d'histoire. C'est sympa, j'apprend pleins de trucs et principalement des langues (j'en parle trois assez courament et suis en train d'en apprendre deux autres), ce qui me permettra sans doute d'avoir un meilleur job dans l'avenir (et une vision plus globale du monde qui m'entoure).
Mais ce soir je ne picole pas avec mes ami(e)s, je suis comme un con devant mon PC à essayer de finir du boulot pour la fin du semestre.
Je suis bien parti pour réaliser mon rêve, devenir un bon journaliste (du moins je suis la voie pour celà), mais il me manque quelque chose. Je suis loin d'être un travailleur acharné, mais mes objectifs de "carrière" m'ont fait oublier que j'étais surtout ici pour être épanoui et heureux
[Trip intimity OFF]
Ce petit extrait qui ressemble au blog d'une adolescente en plein déreglement hormonal me permet de vous poser la question suivante : Comment faire pour conjuguer une vie professionelle et personelle épanouissante? Le marché du travail actuel est tel qu'il faut être un rasoir aiguisé pour parvenir à ses fins, chose qui n'est à mon avis que difficilement réalisable avec une vie de famille/ d'amis pleinement développée.
J'ai lu un jour dans un livre de PNL que la bonne image de soi ne doit non pas venir de nos réalisation mais du fait même d'exister (je crois que ça vient de l'ésprit de la magie). Mais nos ambitions nous poussent invariablement à penser de la manière inverse, simplement pour se pousser à réaliser un nombre d'objectifs toujours plus élevé.
Personnelemtn, j'en suis arrivé à un point où je me refuse de m'engager dans une LTR pour la simple et bonne raison que celà me prendrait trop de temps, et que ça me pousserait à certains sacrifices dans mes projets que je ne me sent pas prêt à concéder.
Qu'en est-il pour vous? Avez vous déjà eu les mêmes problèmes, et à quelles conclusions êtes vous parvenus?
Tschüss
Trip
aller un petit peu de 36 15 my life aussi pour te répondre
pour faire cours, j'ai un bac+2 comme diplôme. après l'avoir eu, j'ai bossé 5 ans, dont deux ans en Angleterre. Aller à l'étranger m'a donné envie de continuer à voyager et de pouvoir travailler dans d'autres pays. J'en avait aussi marre de mon boulot, j'en voulais un plus intéressant, mieux payé, et avec plus de responsabilité. Mais pour ca, mon bac+2 n'était pas suffisant.
J'ai donc décidé de reprendre mes études d'ingénieur. Trois ans pendant lesquelles j'ai sacrifié une grosse partie de mes passions et de mes activités, car j'étais apprenti (un mois en entreprise, un mois à l'école, et j'alternais. École à 2 heure de l'entreprise)
Donc bien sur, impossible de s'inscrire à une activité comme un club de sport sachant que je serais absent un mois sur deux, plus le fait que je n'avais pas du tout le temps de sortir à cause des révisions.
je veux en venir au fait que parfois, pour pouvoir s'assurer un avenir meilleur qui nous permettra de mieux vivre et d'être plus épanoui, il faut passer par des périodes de sacrifices, qui nous permettront d'atteindre nos objectifs. Pour toi apparemment c'est tout simplement tes études.
mais il faut voir le coté positif des choses. Après une période difficile tu est plus à même d'apprécier les choses simples, et ta confiance en toi s'en trouveras augmentée.

pour faire cours, j'ai un bac+2 comme diplôme. après l'avoir eu, j'ai bossé 5 ans, dont deux ans en Angleterre. Aller à l'étranger m'a donné envie de continuer à voyager et de pouvoir travailler dans d'autres pays. J'en avait aussi marre de mon boulot, j'en voulais un plus intéressant, mieux payé, et avec plus de responsabilité. Mais pour ca, mon bac+2 n'était pas suffisant.
J'ai donc décidé de reprendre mes études d'ingénieur. Trois ans pendant lesquelles j'ai sacrifié une grosse partie de mes passions et de mes activités, car j'étais apprenti (un mois en entreprise, un mois à l'école, et j'alternais. École à 2 heure de l'entreprise)
Donc bien sur, impossible de s'inscrire à une activité comme un club de sport sachant que je serais absent un mois sur deux, plus le fait que je n'avais pas du tout le temps de sortir à cause des révisions.
je veux en venir au fait que parfois, pour pouvoir s'assurer un avenir meilleur qui nous permettra de mieux vivre et d'être plus épanoui, il faut passer par des périodes de sacrifices, qui nous permettront d'atteindre nos objectifs. Pour toi apparemment c'est tout simplement tes études.
mais il faut voir le coté positif des choses. Après une période difficile tu est plus à même d'apprécier les choses simples, et ta confiance en toi s'en trouveras augmentée.
Le bonheur n'est pas de réussir dans la vie, mais de réussir sa vie.J'ai lu un jour dans un livre de PNL que la bonne image de soi ne doit non pas venir de nos réalisation mais du fait même d'exister (je crois que ça vient de l'ésprit de la magie). Mais nos ambitions nous poussent invariablement à penser de la manière inverse, simplement pour se pousser à réaliser un nombre d'objectifs toujours plus élevé.
C'est donc en effet complexe et pousse a approfondir la connaissance de soi en essayant d'enlever tout les phénomènes sociaux qui pourraient influencer les critères de bonheur qu'on pourrait se fixer.
Une piste intéressante : essaie de faire le MBTI, un test de personnalité très connu qui est pratiqué par les boites de bilans de compétences notamment.
La réponse est dans la question. Il faut conjuguer les deux, c'est à dire faire en sorte que l'une n'empiète pas sur l'autre. C'est l'équilibre entre toutes les sphères de la vie qui induit une vie heureuse.Trip Fontain a écrit :Comment faire pour conjuguer une vie professionelle et personelle épanouissante?
Il vaut mieux avoir un boulot qui paye moyennement, et qui est moyennement intéressant, et du temps pour ses loisirs et sa vie perso, plutôt qu'un boulot qui paye beaucoup, et très intéressant, mais qui vampirise toutes les autres sphères de ta vie.
Et vice-versa (on est pas très heureux quand on est chômeur)
"Il vaut mieux avoir un boulot qui paye moyennement, et qui est moyennement intéressant, et du temps pour ses loisirs et sa vie perso, plutôt qu'un boulot qui paye beaucoup, et très intéressant, mais qui vampirise toutes les autres sphères de ta vie."
Je pense exactement le contraire ! Quel kiff d'être passionner par son boulot et d'être payé pour ça.. Pour moi c'est justement la définition de l'épanouissement : être reconnu pour ce qu'on aime.
Je pense exactement le contraire ! Quel kiff d'être passionner par son boulot et d'être payé pour ça.. Pour moi c'est justement la définition de l'épanouissement : être reconnu pour ce qu'on aime.
Tout d'abord, développer de bonnes méthode de travail. Pour info, je viens de terminer un deuxième master tout en travaillant à environ 70% à côté alors que le master est sensé être du 100%. Sans compter, que pendant tout ce temps, je suis sortir la plupart des week-ends. J'ai mis plus long que la durée normale (c'était possible pour ce genre d'étude) et utilisé des méthodes de travail qui me convenaient.Trip Fontain a écrit : Ce petit extrait qui ressemble au blog d'une adolescente en plein déreglement hormonal me permet de vous poser la question suivante : Comment faire pour conjuguer une vie professionelle et personelle épanouissante? Le marché du travail actuel est tel qu'il faut être un rasoir aiguisé pour parvenir à ses fins, chose qui n'est à mon avis que difficilement réalisable avec une vie de famille/ d'amis pleinement développée.
Ensuite, tu pars dans une position de faiblesse. Si tu es le meilleur dans ton domaine, ne crois-tu que:
1) les entreprises ne se battraient pas pour t'avoir
2) tu pourrais toujours rebondir tout seul
L'important n'est pas les papiers que tu as, mais ta capacité à te vendre. Si tu as des lacunes, elles semblent plutôt être là au vu de ton message, donc développes ces compétences.
Tout à fait ! Mais pour rester passionné par son boulot, il ne faut pas qu'il nous prenne du temps qu'on ne voulait pas lui accorder. D'où l'idée d'équilibre avec les autres sphères de sa vie.xannnnn a écrit :Je pense exactement le contraire ! Quel kiff d'être passionner par son boulot et d'être payé pour ça.
La plupart du temps, quand on parle d'épanouissement au travail, on s'imagine le boulot-passion auquel on va tous les jours avec joie, et qu'on est content de faire 100% du temps, comme si la vie professionnelle suffisait à elle seule à l'épanouissement d'un individu.
Or, ce n'est qu'une des composantes de la vie d'un individu, qui doit s'accorder avec les autres sphères pour que l'individu en question perçoive sa vie en général comme épanouissante.
Par exemple, voyager à travers le monde pour son boulot, c'est très intéressant en soi. Mais si cela empêche d'accorder à sa vie familiale le temps qu'on voulait lui accorder, on percevra ces déplacements comme des contraintes, et le boulot sera perçu comme pénible, alors qu'il serait épanouissant s'il s'accordait avec ses autres aspirations.
En plus, vu que la réussite professionnelle c'est 25% de compétences techniques et 75% de relationnel, le mec qui sacrifie sa vie perso en pensant réussir professionnellement se tire une balle dans le pied... Le relationnel, le charisme, la richesse de personnalité se développent en dehors des études/boulot...
Enfin bien sûr, après chacun son point de vue sur le sujet, mais tel est le mien

je suis dans le meme cas je vais reprendre mes études pour pouvoir évoluer,je pense qu'il faut quand meme une soupape de decharge,le boulot c'est bien,mais faut aussi s'aérer l'esprit,c'est à dire fait du sport et consacrer quelques sorties,pour ne pas être isoler,donc etudes, sports,et de temps en temps des sorties,c'est une question d'organisation,toutes les choses inutiles de la vie style jeux video,tele,etc..... zappe les.
De toute façon ca demande une organisation ou plutôt une discipline militaire,c'est mon point de vue.
De toute façon ca demande une organisation ou plutôt une discipline militaire,c'est mon point de vue.
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Je ne veux pas que tu fasses les erreurs que j'ai faites alors :Trip Fontain a écrit :Personnelemtn, j'en suis arrivé à un point où je me refuse de m'engager dans une LTR pour la simple et bonne raison que celà me prendrait trop de temps, et que ça me pousserait à certains sacrifices dans mes projets que je ne me sent pas prêt à concéder.
1/ continue à t'acharner à travailler pour accéder à ton job de rêve, tu y arriveras peut-être !

MAIS
2/ n'oublie pas que tu as le droit de vivre, que ta vie peut se terminer demain (je touche du bois pour toi), et donc n'oublie pas de vivre ! de sortir faire un foot de temps en temps, de te promener,... et aussi te préoccuper aussi de ta vie amoureuse !
Il faut juste trouver l'équilibre entre la vie pro et la vie perso. Ce qui n'est pas facile j'en conviens (j'ai encore du mal avec ça). Maisce n'est pas une "simple et bonne raison" comme tu le dis. C'est une pensée limitante. Si tu veux finir puceau à 25 ans comme je l'ai été, continue à penser comme ça !