Je tiens toujours ce journal à des fins pédagogiques
Je ne suis toujours pas un Don Juan, malgré ce que peut croire l'entourage qui me connait peu, mais je continue d'AVANCER
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Amie d'amis...
Amis d'amis étrangers. Une des filles du groupe me plait. Je la titille. Elle est bien mon style. Je la titille elle et ses amis : je me moque de leur pays de manière vraiment drôle. Elle me dira par la suite que je suis trop drôle. C'était il y a quelques semaines... (Genre 15 min à la/les titiller en début de rencontre.)
Bref, dirction bar/club. Elles veulent danser. Moi pas, là, et je suis crevé. Je les laisse danser et s'amuser. Je suis détendu. Je garde, quitte à le forcer, le sourire.
J'utilise le prétexte d'une pause clope pour quasi-isoler : ma target et une de ses amies.
Retour à la piste de danse : je reprends ma place au bar (j'aime danser mais pas là), ma target se tient debout et me parle. On parle de son pays un peu plus sérieusement cette fois-ci, genre, de ce qu'elle aime.
Je lui dis d'aller fumer, nous ne sommes que deux.
Je lui plais depuis le début (après avoir dû lui expliquer une blague, je lui ai dit, comme une frame à respecter :
"ris juste à tout ce que je dis!", et elle obéit). Je domine. Je suis cool. Elle me plait.
Seul à seul... J'avais initié le kino par des touches au bras toutes simples (dès que je fais la bise, puis pour ponctuer ce que je dis) puis par analyse/observation de ses mains (ongles de ouf!...).
Bref, enfin seul à seul, dans le froid, pour une pause nicotine (je ne fume pas, sauf si on met paye la clope).
Je me mets dos à l'immeuble, de telle sorte que cela donne l'impression que c'est elle qui me game. (J'ai dû la travailler là-dessus... LoL... sinon nous étions tout le temps côte à côte.)
Je la prends par la taille vite fait, elle se laisse faire. C'est vieux tout cela... j'essaye de me rappeler. Quelques pistes fun :
- Différences culturelles? Je lui demande si elle a du Nutella dans son pays. Ce qui me permet d'enchaîner, peu après, sur le fait qu'elle a de la marge pour ce qui est d'en manger (elle est grande et mince sans être maigre) + kino hanche.
- Kino cheveux je sais plus sur quoi... Ce qui permet d'enchaîner sur kino visage.
- Je joue de la guitare et mes ongles ne poussent pas : kino mains pour comparer.
- Regard soutenu.
Des DHV sur le fait que j'ai plein d'activités... Amené naturellement quand je dis ne pas regarder la télé (ce qui fait que la DHV en est une : je dis qqch qui me met en valeur SANS que cela semble sur-ajouté, au contraire : c'est une explication fluide, naturelle qui permet de mieux me connaitre).
Je finis par la kinoter cheveux/visage. Je fais cela quelques fois. Je finis par le faire en me rapprochant pour l'embrasser, je ne la sens pas totalement prête tout en la sentant dispo à se faire embrasser : je m'approche, elle détourne le regard... Je l'embrasse dans la nuque, elle se laisse faire...
Je m'arrête. Reprends. Ele aime ça.
Je reprends et me rapproche de ses joues. Tout en prenant mon temps ET en étant sûr de moi (genre : j'en ai rien à foutre que tu veuilles ou non). Mes bisous arrivent sur ses lèvres.
Par la suite, je reprends et on attaque sur le FrenchKiss : je dois lui montrer ce que c'est! (Non mais, il faut bien que sa visite touristique soit complète!)
Reste de soirée à danser puis ressortir se chauffer. Je n'ai pas voulu forcer le fclose même si c'est évident qu'elle en avait envie.
Depuis, échanges par mail sans que je crève la dalle, tant est si bien que je suis censé lui rendre visite dans deux semaines. (Invité et hébergé à l'étranger.)
§
1 kclose tout simple
Dans un bar, où j'ai déjà kclose facilement... Après une soirée avec des amis d'amis, où je n'ose pas vraiment "attaquer" une fille qui me plaît beaucoup (et qui me plaît d'avant mes progrès en "game", ce qui fait qu'il y a comme un mauvais ancrage par rapport à elle... Avec elle, même si je lui plais, je suis un peu "l'ancien moi")... Bref, avec cette "amie d'amis", j'attends le bon moment, qui ne vient pas. Soirée de 5h environ avec elle/eux, et pas de kclose avec elle. Mes amis partent.
Je suis dég et en même temps je m'en fous : il y a tellement de filles!
J'attaque la piste de danse avec une assurance dont je ne disposais pas avant... Je veux kclose pour comme me rattrapper. Me prouver que je peux séduire.
Je croise une fille. Elle me sourit.
Je lui dis :
M: Non-non! Tu ne me souris pas comme ça! (en l'attrapant naturellement par le bras)
E: (elle se contente de sourire)
Je l'enchaîne sur sa soirée. Elle a un accent. Je l'enchaîne sur d'où elle est tout en la titillant avec des phrases de mon cru, que j'affectionne, du type "personne n'est parfait!", avec le sourire, Cocky-Funny.
Je m'adosse au bar comme je discute, ce qui donne l'impression que c'est elle qui me game. Un classique qui met à l'aise.
Prétextes-kinos : je dis un truc pas sympa avec le sourire, elle pourrait se vexer : je la prends dans les bras en disant que je plaisante.
J'apprends que l'on vient de la plaquer. Mais elle a le sourire. Elle me dit que tous ses amis sont là à la prendre en pitié (je lui avais demandé si elle était là seule, histoire de nourir mes pistes de conversations.)
M: Tu sais... Peut-être qu'il t'a plaqué parce que tu ne sais pas embrasser...! (avec un sourire moqueur)
Je la kinotais déjà à la prendre par la taille de temps à autre... Tout simplement parce que c'est devenu relativement naturel chez moi.
M (je continue) : let's see... (nous alternions entre l'anglais et le français pendant la conversation)
Je la rapproche de moi, par la taille, toujous avec le sourire, elle sourit aussi, kclose. En 5 min.
Bon, elle était mignonne. Mais pas non plus mon kiff total. Mais j'étais content de moi (
"+1!" dans ma tête en l'emballant... lol... c'est con à dire mais je me pique au jeu

).
On s'emballe quelques minutes... On discute un tout petit peu.
Elle me dit qu'elle doit aller voir ses amis, pour qu'ils ne s'inquiètent pas... Je lui dis que j'étais sur le départ (ce qui était vrai). Erreur de ma part : à prendre comme un shit-test cela. Si c'était à refaire : tu lui dis non, pas maintenant (avec le sourire) et tu conitnues à l'emballer et tu lui dis que ses amis sont grands et ne vont pas s'inquièter. (Elle devait revenir, je lui donnais moins de 10 min, je me suis barré. Peu importe, il y en a plein d'autres et je n'étais pas en total kiff. Bien fun ceci dit.)
J'aurais dû lui dire que son copain l'avait peut-être plaqué parce qu'elle ne sait pas sucer...

(Avec le sourire, CERTAIN que ça peut passer.)
§
Mon meilleur game
Je suis de bonne humeur. Samedi soir. Le métro. En chemin vers une fête où j'ai une target. Je suis avec un wing/ami.
Je suis de bonne humeur et j'ai un accessoire peacock dans la poche. J'ai aperçu deux filles qui m'intéressent, juste à côté de moi. Mon wing n'a pas le temps de m'inviter à y aller que je suis parti.
M: les filles, qu'est-ce que vous pensez de
accessoire peacock ? (dit avec un sourire de bonne humeur)
E1 (mon style de fille) :
pouce genre "c'est super", avec le sourire mais du sarcasme je trouve aussi
M: non mais! on se moque pas! Je sens du sarcasme dans ta réponse là! (dit toujours avec le sourire et faussement fâché)
E1 :
se rattrape
M :
j'en fais tomber mon accessoire en l'enlevant
E1 se moque de moi gentillement et je dis que c'est l'émotion.
Mon wing rejoint, est plutôt sympa et je continue à les titiller commes les occasions se présentent.
Petit fun sur ce que l'on fait ce soir et sur Paris et les Parisiennes. Juste du fun en fait, pendant genre 4-5 min. Je titille sur le fait que, lorsque le métro arrivera, on fera tous la gueule dans la rame, comme de vrais Parisiens -- sorte de trame pour une future private joke.
Le métro arrive. Dans la rame, je les ignore un peu. Elles font semblant de nous ignorer. Je ré-attaque. Je suis dans le fun/l'attract, mon wing est plus dans le confort, ce qui m'évite de passer pour un clown.
Morceaux choisis...
E1: (je sais plus ce qu'elle dit mais elle essaye de renverser les rôles. Je domine depuis le début et elle essaye de faire genre "c'est à vous de vous démener/nous séduire".
M:
Non mais j'ai besoin de rien! Regarde ce sourire! (en pointant mon index vers mon sourire énergétique, qui va d'une oreille à l'autre) Est-ce que j'ai l'air d'avoir besoin de qqch?
E1: (recadrée, souriante et calmée)
Note : ma réplique dit TOUTES les bonnes choses -- et ne fait que rappeler mon attitude en fait. Elle dit : "j'ai ce que je veux dans la vie (et donc, nécessairement, des FEMMES! car tous les mecs veulent des femmes)" et elle annihile sa tentative de prise de pouvoir. Rien que ça
A NOTER, pour l'EGO lol : elle dit à sa copine "dire que je voulais rester chez moi ce soir!". Ca fait troooop zizir
On délire sur des choses et d'autres. On les invite à nous suivre à notre soirée. Elles ont un truc de prévu. Elles descendent à la même station que nous (le destin facilite un peu les choses).
On discute sur le quai. On leur repropose de nous suivre. Elles hésitent mes déclinent.
Je tente le numclose de ma target. Elle ne dit pas non, mais elle ne dit pas oui. Je rediscute avec elle et sa copine, genre, on a le temps et sans insister. (Les détails m'échappent.)
Je retente le numclose genre, "laquelle je prends en premier?". Sa copine laisse sa place à ma target. Je lui donne mon téléphone. Elle se numclose.
J'ai droit à un shit-test bien mignon :
E1: mais c'est vrai votre soirée là? Cest pas plutôt juste une sortie entre potes pour aller draguer ça?? Avec votre accessoire peacock
M (qui ne perd pas le Nord) : ooohhhh!! Mais c'est trooop mignon! T'es déjà jalouse! Viens-là! En la prenant dans les bras et en la faisant tourner.
Elle est forcée de rire parce que cest vrai. Je serre sa main : elle serre en retour. Je suis opé pour l'emballer mais pas le feu.
Elles me demandent ce que je fais dans la vie (je suis le seul à avoir gardé le mystère). Je réponds en donnant ma carte de visite avec un petit mot d'explication et en rappelant que le samedi soir c'est fait pour s'amuser. (Note : j'ai l'impression que la carte de visite, pourvu qu'il y ait une raison de la donner, construit le confort, car la confiance, pour soi.)
Je prends enfin son numéro, en lui disant de l'écrire et en lui mettant mon tél dans les mains. Elle me dit de la bipper et le souligne ("tu vois!...").
Je sens qu'elle me plait vraiment. J'aurais pu l'appeler le lendemain mais j'imagine que j'ai voulu tester mon self-control.
Je l'appelle quelques jours plus tard. Même fun au téléphone. Elle dit que je suis trop drôle. Bon fun. Quelques délires un peu sexués, genre sur les infirmières (car je suis malade) et sur la nourriture (on se fait un pattern à deux, elle sait faire qq bons desserts!) et sur le fait que je veux que l'on me divertisse (pas totalement assumé de ma part... lol... mais qu'importe, c'est passé).
On se voit le lendemain.
J'avais quelques idées pour la date mais, surtout, j'étais, et suis, toujours malade. (La crève!)
LA DATE.
Simple. Meilleure date de ma life.
On se voit. Je suis à la bourre de 5 min. L'écoute d'affirmations en MP3 en chemin me donne le moral (bien que je sois malade et fatigué).
Elle est souriante et kinote (bras) d'entrée de jeu. Pas une montagne de sexe ces actes, mais de bons signes !
Je l'emmène.
Elle me suit.
L'idée de la date? On prend le bus (prétexte : "je connais déjà tous les bars de mon quartier").
Cela me permet de la prendre par la main en chemin vers l'arrêt de bus (
"donne-moi la main quand on traverse... même quand on traverse pas!" -- ça ne veut rien dire mais c'est drôle et permet de kinoter vraiment, en mode couple, direct!).
J'avoue que le fait qu'il y a un bon contact entre nous aide.
SIMILAIREMENT, le fait d'avoir débuté sur DU FUN dès l'opener permet de rester, à mon avis, PLUS FACILEMENT dans cette voie. L'idée, mise en application, qu'il est plus facile de rester dans un état donné que d'en changer.
On marche. On kinote. Car elle me retourne des prétextes kino (une fermeture de manteau un peu originale). Je la fais tourner sur elle-même (prétexte :
"mais tu t'es faite toute jolie!").
Moment sexué intéressant :
E : j'ai les mains froides.
M : tu sais ce que ça veut dire... ça veut dire que tu as une mauvaise circulation... Tu as les pieds froids aussi?
E : oui!
M : je DETESTE les pieds froids... Genre, quand t'es au lit, la fille te réveille au milieu de la nuit comme un glaçon!
E : quoi?! Tu t'imagines déjà au lit avec moi? (elle joue)
M : (je la recadre en disant que j'ai eu d'autres filles qui avaient les pieds froids + "chaque chose en son temps" ou similaire)
E : (se rattrape un peu)
C'est con mais c'est fun et ça permet de s'imaginer en situation

Et on est toujours pas dans le bus.
On marche un peu plus loin. Le bus arrive.
Je la mène par la main jusqu'au fond du bus (même si c'est casse-gueule, lol).
On se met à l'aise. C'est l'aventure. C'est fun.
Elle me demande où on descend. Je dis vers Opéra, là où j'aurai envie. Je n'hésite pas à la laisser, pour aller voir un plan plus loin dans le bus.
Je sens que je peux l'embrasser depuis le numclose. Puis lorsqu'on s'est vu. Puis à l'arrêt de bus. Puis là. Je n'ai toutefois pas envie totalement là, dans le bus. Kinotage de ses cheveux, de son visage. Tout cela passe. Et merci les collant filés pour un rapide kinotage de genou qui passe sans froncement de sourcils. Je n'ai pas envie d'attendre mais je n'ai pas envie de rusher non plus. Je me sens A LA HAUTEUR de maintenir ces bonnes sensations jusqu'à plus tard... A un moment j'ai bien envie tout de même, de l'embrasser, après un moment passé dans le bus (un côté stabilité/confort? je sais pas) mais notre arrêt arrive.
On descend.
On se balade. Au hasard.
On parle de ce que l'on voit et de ce que l'on aime. Beaucoup de délires. Pas très rationnels. De bons feelings en somme
On arrive dans un centre commercial.
J'évite la FNAC (tout le monde, ou presque, aime la FNAC... mais ça ne ferait mouiller sa culotte à personne je pense -- c'est froid).
Super! Je vois un Séphora!
M : J'adore Séphora. Viens, on y va!
E : OK!
On prend l'escalator qui y mène.
E : tu portes quoi comme parfum?!
M : devine.
E : (se penche pour me sentir le cou) (me fait même un petit bisou éclair je crois)
FRANCHEMENT, ça vaut de l'or

Testez et dites-moi. (Ce qui est bon dans tout cela est que ce n'était pas préparé. Dnc mettez-y du coeur et de la spontanéité.)
On se balade dans le magasin... Elle doit trouver mon parfum...
J'ai évidemment senti sa nuque aussi. (Sans chercher à deviner ceci dit.)
Je l'aide un peu à deviner le mien...
On se met en face...
Elle a senti un ou deux parfums...
Je ressens le sien... Dans son cou évidemment...
Je la regarde... L'embrasse. Naturellement.
OHH! Je dois ajouter que j'étais malade lol. Donc ça ne roulait pas des galoches comme des malades (enfin, je veux dire, comme des biens-portant) (surtout que nous étions juste dans ces mini-allées vite bondées que les clients de Séphora connaissent). Bref!...
Série de petits baisers rapides sur les lèvres... Un tout petit chouilla de langue...
Elle m'emmène me montrer son parfum...
Partant de là, je l'arrête pour l'embrasser quand on sort du Séphora. On teste une autre boutique fun. Je l'y embrasse aussi.
Oui on gène, et puis alors
Ensuite.
Café, on parle de tout et de rien. Baisers par dessus la table comme l'envie m'en prend.
Balade. On cherche un arrêt de bus que l'on ne trouvera pas.
Pauses baisers parmis tout cela.
Métro.
Quand je comprends qu'elle veut rentrer chez elle (perdu un peu de temps à chercher le bus et puis je suis malade de toute manière), je lui fais confirmer (car j'ai bien compris) et lui dis que c'est dommage car
"je t'aurais bien montré mon appart' vite fait", ce à quoi elle répond "la prochaine fois".
On se sépare dans le métro. Je descends à son changement pour une pause baisers bien méritée et du kino plus poussé.
On se quitte tout sourires.
Mojo de ouf.
ET. TROP CONTENT. Car j'ai enfin géré une "date" (qui n'a rien d'une date dans le sens classique du terme : nous ne nous sommes posés dans un café que UNE FOIS que j'avais kclose, ce qui évite le syndrôme du "café de la mort" -- tu es verrouillé à une chaise et il y a trop de distance entre toi et elle ; d'ailleurs, elle l'a reconnue sans que je lui demande quoi que ce soit, qu'il y avait trop de distance).
TROP CONTENT DONC. Car date nickelle avec une fille qui me plait vraiment et qui aurait pu, de ce simple fait, me déstabiliser.
Il faut vouloir PRENDRE (prendre un baiser, prendre de son intimité, prendre tout court) les filles qui nous plaisent vraiment. Oubliez le respect excessif.
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Ces 1 an et demi de game m'ont apporté pas mal à divers niveaux.
Récemment, ce qui me débloque :
- Prendre soin de moi : être en forme, me forger une vie que j'aime... Et les affirmations style hypnose, régulières (et/ou le "self-help") aident.
- M'autoriser à FORCER une fille à être de bonne humeur. Si je suis de bonne humeur : aller vers les autres et les forcer à me suivre dans ce délire joyeux. "Distributeur de bonne humeur" comme dirait l'autre.
- Ne PAS réfléchir mais, à la place, AGIR. Pour cela : laisser s'exprimer ce que le
game rend automatique => le kino, progressif, chaleureux, à base de préxtextes... De bouger à un autre endroit... De mener selon ses envies... D'user de prétextes pour fluidifier tout cela.
- Ne JAMAIS laisser la fille avoir le dessus. Toujours la recadrer pour lui faire comprendre cela et que tu ne te laisses pas dominer. Tu le fais pour jouir de ta propre liberté et du plaisir d'être un homme... Elle apprécie.
- Cercle vertueux ou vicieux selon le cas : RESSENTIR (pas juste voir ou savoir) qu'il y a beaucoup de filles dispos... Et qu'elles veulent s'amuser. A vrai dire, ce cercle est la cerise sur le gâteau.
L'impression que des pages se tournent...