au service de ces dames
La différence entre une LTR et un plan cul se situe aussi dans le fait qu'avec un plan cul, tu ne partage pas les soucis quotidiens, tu ne le vois que quand tu as envie et donc, quand tu es en forme, un plan cul ne va pas, en principe, gueuler si tu refuse de le voir tel soir parce que tu es fatigué. En LTR, c'est totalement différent : tu subies la période des règles, la fatigue, les disputes, les aléas quotidiens... Du coup, oui, une personne peut être moins demandeuse en LTR qu'en plan cul.
Pour autant, il y a une différence énorme en moins demande et 4 fois par mois.
Elle était demandeuse au début? Et si oui, cette baisse de demande, elle a commencé quand? Parce qu'il y a peut-être un truc qui ne lui a pas plu à ce moment là ou qui s'est passé qui a fait que...
Pour autant, il y a une différence énorme en moins demande et 4 fois par mois.
Elle était demandeuse au début? Et si oui, cette baisse de demande, elle a commencé quand? Parce qu'il y a peut-être un truc qui ne lui a pas plu à ce moment là ou qui s'est passé qui a fait que...
bon j'avoue que de la manière dont je l'ai dit ca fait un peu extrémisteJe pars toujours du principe que si quelque chose ne fonctionne pas comme je veux c'est parce que j'ai mal fait quelque chose. Donc je serais toi je me remettrais en question.
Mec, t'as emprise de fou sur ta vie. A te lire, on pourrait croire que tout ce qui déconne dans ta vie ne peut venir que de toi. Je comprends qu'avec un point de vue pareil, tu aies souvent besoin de te remettre en question.

nuancons nuancons, bien sur quand je dit "quelque chose ne fonctionne pas" je parle de quelque chose d'important pour moi et de quelque chose sur lequel j'ai du pouvoir ou sur lequel je peux agir
Mais...je maintien qu'il faut toujours chercher une part de responsabilité quand quelque chose ne va pas (sans bien sur se remettre totalement en question, mais il y a une différence entre se remettre totalement en question et se demander si on a agit de la meilleure manière possible), car c'est facile de toujours accuser les autres, et chercher/trouver sa part de responsabilité permet aussi de corriger ses erreurs et de progresser
Je partage totalement le point de vu de Boubou
Si maintenant je la laisse faire sans prendre les reines.. elle attendra sans même essayer de me séduire et ronchonnera dans son coin que je suis un gros pantouflard.. c'est bel et bien cette attitude là que je dénonce et qui est le cas de beaucoup de ces dames en relation.. (heureusement il y aura toujours quelques perles rares)
en effet, il faut un juste milieu.. mais ne laisse pas les autres décider pour toi de ce qui est juste ou non ;)car c'est facile de toujours accuser les autres, et chercher/trouver sa part de responsabilité permet aussi de corriger ses erreurs et de progresser
MaryMorgane, on parle bien d'initiative de la part de ma MTR et non d'envi.. envi je dirais actuellement entre 4 et 8x semaine.. donc je vais pas m'en plaindre.Pour autant, il y a une différence énorme en moins demande et 4 fois par mois
Si maintenant je la laisse faire sans prendre les reines.. elle attendra sans même essayer de me séduire et ronchonnera dans son coin que je suis un gros pantouflard.. c'est bel et bien cette attitude là que je dénonce et qui est le cas de beaucoup de ces dames en relation.. (heureusement il y aura toujours quelques perles rares)
Alors c'est a toi de lui faire comprendre que cette situation te pèse et qu'elle aussi peut prendre les devants sans que tu ne la vois comme une perverse ;)
Et prépare un plateau repas coquin au cas ou elle te sortirait l'excuse qu'elle a faim ^^
Et prépare un plateau repas coquin au cas ou elle te sortirait l'excuse qu'elle a faim ^^
et de l'aspirine aussi 

Je pense qu'il faut, pour trouver une clé, qu'on sorte de la version binaire du rapport Homme/Femme dans cette question de l'initiative.
J'ai vécu la même chose en inversé au cours d'une LTR de quatre ans.
Et pourtant, je vous assure, je suis bien une femme!
A force de "foirrages réciproques" ( et je dis bien réciproques car en couple on est obligatoirement 2 à "ramer") et malgré mes sollicitations plus qu'explicites, il avait fini par me mettre sur dixit "un pied d'estale" enfermée dans l'image de "la mère de ses enfants" avec qui il se trouvait alors bien incapable d'avoir une bonne et simple partie de jambe en l'air décomplexée.
"Trop belle" "trop pure"... Alors que je ne cherchais que du fun, du jeu, du torride, de l'extase des sens et autres débauches de sexualité.
J'ai pourtant tenté, usé et abusé de tout les stratagèmes et autres artifices féminins pour essayer de le décoincer et de changer la situation.
Nous avions alors une vie sexuelle détestable de conventionnalisme, se limitant au "câlin dans le lit conjugal la lumière éteinte". Le désir était toujours là dans une moindre mesure, mais ne se manifestait que dans un cadre beaucoup trop lisse et fade à mon gout.
Mais il ne m'a pas pour autant rendu la tâche facile le jour ou, après maints et maints essais pour rétablir la barre, j'ai réellement décidé de le quitter.
Bon, je sais, je déborde un poil du sujet, mais pas tant que ça...
Ce qui se passe quand le sexe en couple est en panne va bien plus loin que la simple question de "qui à l'initiative" ...
C'est tout autant la question de "qu'est ce qui fait que le désir peut s'exprimer librement ou pas...?"
La question de l'image du sexe et de l'image de l'autre y est importante...
Le syndrome de la Madonne et de la putain. (J'y reviendrai un autre jour...)
Dans un couple ou les deux partenaires sont désirants et disponibles psychiquement pour le sexe une femme n'a aucun soucis pour prendre l'initiative...
J'ai vécu la même chose en inversé au cours d'une LTR de quatre ans.
Et pourtant, je vous assure, je suis bien une femme!

A force de "foirrages réciproques" ( et je dis bien réciproques car en couple on est obligatoirement 2 à "ramer") et malgré mes sollicitations plus qu'explicites, il avait fini par me mettre sur dixit "un pied d'estale" enfermée dans l'image de "la mère de ses enfants" avec qui il se trouvait alors bien incapable d'avoir une bonne et simple partie de jambe en l'air décomplexée.
"Trop belle" "trop pure"... Alors que je ne cherchais que du fun, du jeu, du torride, de l'extase des sens et autres débauches de sexualité.
J'ai pourtant tenté, usé et abusé de tout les stratagèmes et autres artifices féminins pour essayer de le décoincer et de changer la situation.
Nous avions alors une vie sexuelle détestable de conventionnalisme, se limitant au "câlin dans le lit conjugal la lumière éteinte". Le désir était toujours là dans une moindre mesure, mais ne se manifestait que dans un cadre beaucoup trop lisse et fade à mon gout.
Mais il ne m'a pas pour autant rendu la tâche facile le jour ou, après maints et maints essais pour rétablir la barre, j'ai réellement décidé de le quitter.
Bon, je sais, je déborde un poil du sujet, mais pas tant que ça...
Ce qui se passe quand le sexe en couple est en panne va bien plus loin que la simple question de "qui à l'initiative" ...
C'est tout autant la question de "qu'est ce qui fait que le désir peut s'exprimer librement ou pas...?"
La question de l'image du sexe et de l'image de l'autre y est importante...
Le syndrome de la Madonne et de la putain. (J'y reviendrai un autre jour...)
Dans un couple ou les deux partenaires sont désirants et disponibles psychiquement pour le sexe une femme n'a aucun soucis pour prendre l'initiative...

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] 100% d'accord le 10.05.10, 23h10 par MaryMorgane
- [+1] +1 le 17.05.10, 14h16 par BinBee
Tout à fait d'accord. Comment l'autre vont conçoit prend une importante place. Si vous êtes LA femme, LA mère de ses enfants et que ça, bah votre plaisir vous ne l'aurez qu'en lavant les layettes et pas pendant les levrettes !
Le sexe, c'est pas mal de psychisme...
Le sexe, c'est pas mal de psychisme...
Clairement : AFC LSE introverti..il avait fini par me mettre sur dixit "un pied d'estale" enfermée dans l'image de "la mère de ses enfants"
Ici tu te remets en question quant à l'unité du couple --> chacun sa part de responsabilité pour tous soucis dans le couple. Et c'est faire preuve de beaucoup de maturité que de penser ainsi bien que certaines fois il est plus qu'évident, lorsque l'on comprend certaines choses, qu'il est inutile d'espérer vouloir résoudre.A force de "foirrages réciproques" ( et je dis bien réciproques car en couple on est obligatoirement 2 à "ramer")
En effet, ton ex avait un grand problème de confiance en lui et pour ceci tu n'y pouvais pas grand chose.. à ce niveau je pense à de gros problèmes familiaux ou une enfance difficile (handicape ou autre).
Tu as choisi de le quitter certainement pas sans regret mais je pense que tu as bien fait.. car on ne peut se contenter, et ce malgré l'attachement qu'on a pour une personne, d'une vie remplie d'insatisfactions sexuelles.
LSE je ne pense vraiment pas...Damianrocks a écrit : Clairement : AFC LSE introverti..
(...)
En effet, ton ex avait un grand problème de confiance en lui et pour ceci tu n'y pouvais pas grand chose.. à ce niveau je pense à de gros problèmes familiaux ou une enfance difficile (handicape ou autre).
Un mec plutôt bien dans ses baskets ayant des passions, des amis, un boulot dans lequel il se plait. Jamais eu de problème de séduction notable, une LTR avant moi, quelques conquêtes d'un soir également...
Plutôt du genre "rentre dedans" et si je devais définir sa phrase préférée ce serai plus probablement "j't'emmerde!"

Quant au "handicap" une famille structurée, aimante sans être étouffante et mis à part peut-être une adolescence incomplète à l'époque (idéalisation de la mère, relation "moyenne" avec le père) rien de notable. En même temps à 22 ans, encore à moitié étudiant, on a encore un peu le temps...
Enfin bref, il me semble que c'est plus une question de représentation des deux sexes et de leur rôles dans le couple, en effet liée à la relation aux parents. Mais rien de franchement pathologique selon moi, si on a assez de recul pour analyser sa situation et pour essayer d'avancer.
De toutes façon je partageais cela uniquement à titre d'exemple pour relativiser un peu le débat.
