La peur de l'approche (ENCORE...)

Note : 1

le 09.05.2010 par Djulien

19 réponses / Dernière par Venusian le 18.06.2010, 11h49

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Absolument d'accord mais bon... Il y a quand même beaucoup de branlette mentale. Si tu parts du principe que ton but c'est l'envie de la connaître et plus si affinité et bien tu te prendras vachement moins la tête que si tu parts du but "comment ne plus avoir peur avant d'aller lui parler"...

Plus tu enlèves de faux problèmes moins, tu te prends la tête. Et y a pas besoin de tortiller du cul à 35° pour aller parler à une nana. Le tout c'est d'y aller.
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blam! a écrit :Plus tu enlèves de faux problèmes moins, tu te prends la tête. Et y a pas besoin de tortiller du cul à 35° pour aller parler à une nana.
Pour aller lui parler non, pour lui donner envie de parler avec toi, peut être... On aura beau dire ce qu'on voudra: approcher et parler en angle, en ayant l'air de ne pas s'attarder (body rocking), et avec le sourire fonctionnent juste mieux que brutalement de face ou par derière, en ayant l'air maussade et en emboitant le pas quand elle recule. C'est juste du bon sens, pas de l'arithmétique. Ne pas y penser pendant l'acte est une chose, mais en avoir conscience diminue les chances de répéter vingt fois de suite la même approche flippante à des inconnues...
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Del
J'ai un peu ce souci aussi: l'approche.

Aujourd'hui, je me suis dit: j'en aborde une qui me plait. En bien j'en ai abordé aucune car autant des nanas que l'on trouve mignonnes ou à qui on "trouve quelque chose", j'en ai croisé, autant des filles que j'avais vraiment envie d'aborder, j'en ai trouvé aucune, ou alors pas dans de "bonnes circonstances" (pour moi ou pour elle). Je me suis fait une "liste" de nana que je croise de temps en temps que je vais aborder, mais il faut reconnaître que sinon, il faut être vif et pas se poser de questions. J'ai peur d'aborder une fille qui ne plait pas assez, c'est un comble ! ;)
monkey a écrit :
blam! a écrit : c'est sur qu'il ne faut pas y aller en étant mou du gland. Mais, c'est le genre de truc qui est normal ça...
...Mais pas pour tout le monde. C'est pour ça que les gens s'échangent des conseils, des pistes, pour combler leur lacunes ou leur points faibles.
Plus tu en parles, plus tu en fais quelque chose qui prend de la place dans ta tête, alors que le but est justement et AU CONTRAIRE que ça prenne si peu de place dans ton esprit, que tu n'y penses mêmes pas.

=> Plus tu accordes de l'importance à un détail qui ne devrait pas en avoir, plus tu en fais une difficulté.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Pertinent le 29.08.11, 23h01 par Dean Valmont
Certains sont 'guéris' de leur peur de l'anxiété en 10 approches. D'autres en 200.

Certains ont même besoin de faire des exercices régulièrement, tous les jours. Toute leur vie.

La vie est injuste.

Moi qui suis un anxieux, j'ai besoin de régulièrement aborder pour me 'remettre en état' d'approcher les filled qui m'intéressent.

Alors, je fais des tournées. J'aborde des femmes qui ne m'intéressent pas, donc ne m'intimident pas. Boulangères, grand mères, postières ,étudiantes.... pour rien, demander un renseignement, puis un service, puis échanger une blague.

L'énergie monte, le Mojo aussi, et je retourne la galerie ensuite.

Car si tu ne peux nier l'anxiété, tu ne peux pas non plus nier la confiance quand elle est là !

Si tu veux pouvoir draguer régulièrement, fais monter ton niveau de confiance préalablement.

C'est aussi bète que ça.
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de mon coté la peur de l'approche est vraiment variable, et je ne penses pas qu'elle puisse disparaitre complètement.

Certains jours j'accoste sans même y penser, tellement naturellement que la discussion commence avant même que j'ai le tps de réaliser que je viens de l'open.

Certains jours y'a comme une barrière, je tourne en rond, j'ose pas et du coup quand je me décide enfin j'ai perdu tout mon naturel et me sens devenir aussi rouge et stressé que pour mon premier SPU.

Ça n'a rien à voir avec la cible, une bombe me fait pas plus stresser qu'une 6, ça dépends des jours, de la confiance, du mojo, de l'environnement, la fatigue..
Il faut aussi comprendre que quand tu as fait 'monté le Mojo' (voir article plus haut), et pas mal pratiqué, la peur de l'approche devient comparable au trac au moment de monter sur scène: quelque chose de délicieux !

Je ne blague pas. Bien sûr, ça prend du temps à se construire, mais c'est génial à vivre. Ton coeur bat, tu es plei nd'énergie, tes élancements te font vibrer... C'es tvraiment une chose à connaitre ;-)
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Tiens en repassant et après avoir relu la question de départ, je dirais que la "peur" qui est plus un problème de validation des autres (qui s'amplifie avec le nombre de personnes présentes) est aussi une forme d'intelligence sociale. Moi aussi je ne dérange pas une vendeuse parceque je me met à sa place, je n'ai pas envie qu'on me fasse chier dans mon travail pendant que j'essaye de le faire, surtout si la fille ne me plaît pas ou fait peur aux clients. Pour reprendre l'exemple de vendeuses (j'ai du en approcher trois dans ma vie) dernièrement j'avais pris le numéro d'une vendeuse dont la boutique était vide de monde, poussé par mon pote qui m'assurait que je ne la dérangerait pas, et il avait raison: j'ai eu un rendez-vous, le numéro n'était pas du flan.

Je me rapelle lui avoir dit que je ne serais pas venu l'aborder si il y avait eu plus de monde (un truc dans le style). Si tu as peur de passer pour un ouf qui n'a pas conscience des règles sociales et qui agit compulsivement, tu peux simplement verbaliser que tu as conscience de ce qui se passe et des complications que ça peut entraîner (sur un ton léger avec le sourire). A mon humble avis, ça évite de passer pour un fou sorti de nul part, et ça montre que malgré que tu fasses un truc hors normes, tu es quelqu'un de normal qui pense comme tout le monde.

Sinon pour la trouille dans le métro, je crois que tout le monde l'a, c'est juste l'angoisse de ne pas savoir quel public tu vas avoir, si tu réussi ou si tu foires: vieux qui sourient en repensant à leur jeunesse, jeunes exités qui vont se payer ta tête pour le plaisir ( en précisant que ça m'est jamais arrivé), ou compliments pour ton audace. Tu remarqueras que tu te fais encore plus de film, si tu check un peu les gens autour pour t'assurer que la voix est libre, et qu'inversement ils deviennent abstraits pendant l'approche si tu ne les as pas dans ton champs de vision.

Un truc qui m'aide c'est de savoir par expérience, qu'une fois entrain de parler à la fille je ne pouvait pas en plus me focaliser sur les gens autour. Ca m'aidait pas mal, quand j'angoissais à mort au début.
Sinon tu peux utiliser les gens qui mattent avec curiosité pour te valider genre: "tiens regarde lui, je crois qu'il aimerait bien te parler" (ton marrant) ou tu peux les fixer d'un air interrogatif et ils se sentiront con de t'épier, étant donné qu'eux n'ont pas ton culot pour créer une interaction (si vraiment ça te gène ou que tu es pas dans un bon jour lol).

J'ai du abordé max 10 filles au total dans le métro, ça s'est toujours bien passé, même avec un DG dans la rame blindé (ambiance sardines) sur deux copines, juste pour la LZ. On pourra te dire tout ce qu'on veut, cette peur est irrationnel et c'est souvent le pire scénario qui prend place. Tu es peut être anxieux de nature comme moi, train de vie stressant ou autres facteurs évoqués par DrDriller, je sais pas... Là encore tu peux parler avec une certaines discrétion à la meuf, parceque ça peut l'embarrasser elle aussi d'avoir trop de public, et surtout fait le que si t'en a vraiment envie. Parceque le métro, fin c'est vraiment le pire cadre que je connaisse, c'est sale, moche, pas sécurisant pour une fille, ça donne même pas envie de faire une rencontre dedans... Mais si l'occasion est belle...
De par mon expérience la peur de l'approche est un mécanisme qui s'atténue... avec la pratique.

Il y a un moment ou en fait la frustration de ne pas avoir abordé devient plus désagréable que la peur d'aborder, et c'est à ce moment là que les choses s'enclenchent et qu'on prend un vrai plaisir a aborder.

Autre phénomène, on se facilite les choses quand on arrive a se dire que la peur de l'approche est normale, et que malgré cette peur ben on peut aborder quand même. Après tout, quoi de plus naturel que avoir un ptit coup d'adrénaline quand on aborde ? C'est la preuve qu'on est vivant.

Après c'est un peu comme une grosse boule, au début faut se motiver et forcer pour la pousser, et là je ne vois que la coup-de-pied-au-cul thérapie.

Dans ton cas, si la peur demeure, c'est certainement parce que effectivement tu rationalise trop. Réfléchis pas, quand tu vois une poupoune qui t'émoustille, fonce sans réfléchir plus de 2 secondes (je trouve la règle des trois secondes un peu longue en fait).

Enfin, comme le dit Olivier après ça devient comme le trac d'avant scène : un mélange d'excitation et de peur qui sont en fait un moteur, tu peux plus t'en passer.

Et je me remet au DG dans la rue rien que pour ça d'ailleurs.
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