Sentiment de culpabilité

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le 15.12.2010 par Balgrie

6 réponses / Dernière par Whez le 07.01.2011, 23h20

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Bonsoir à tous !

Si je ne suis pas dans la bonne section, merci aux modérateurs de déplacer mon sujet :wink:

Voila mon problème : je n'arrive pas à aller sarger ( bin ça commence bien ^^).
Je n'arrive pas à aborder une fille dans la rue avec l'idée d'aller plus loin derrière... Je ne pense pas que ce soit de la timidité. J'aborde des inconnu(e)s tous les jours dans la rue, à la fac... (homme/femme, belle/moche) quand j'ai besoin/envie mais uniquement pour le plaisir de parler à des inconnu(e)s ( et des situations sympa que ça génère parfois ><). Dès qu'il s'agit de sarge : blocage ! J'ai l'impression de ne pas arriver à me détacher du regard des gens, et pire encore : j'éprouve de la culpabilité vis à vis de moi même ( on m'a toujours répété que c'était mal !). C'est comme si c'était profondément ancré en moi, et je n'arrive pas à me débarrasser de ce sentiment de culpabilité :(
Vous auriez pas un p'tit truc pour se débarrasser de cette sensation ?? :P
Ou alors va-t-il falloir que je me force une bonne fois pour toute ??
Ca me perturbe beaucoup car je suis du genre très sociable et je n'ai jamais eu de difficultés avec les personnes que je ne connaissais pas.

Merci beaucoup ! Bonne soirée :D


PS : Ca ne s'applique qu'à la sarge proprement dite. Je n'ai aucune difficulté à aller draguer en soirée !
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Hum à part assumer ses pulsions je vois pas trop ce que tu peux faire, ceci est d'après moi totalement en rapport avec la féminisation de la société, la négation des pulsions sexuelles, on vit une époque puritaine bien qu'on nous assome a coup de nichons et de culs partout où l'on va pour nous vendre le dernier truc en vogue, tu rajoute à ça la culpabilisation qui genère les concepts bien connus comme le BS et l'ASD, d'après mon expérience ce n'est pas tellement le fait des hommes de qualifier les autres femmes de salopes, mais plutôt des femmes justement qui adorent se tirer dans les pattes, voilà pour moi le rapport avec la féminisation de la société.

Je ne sais plus où sur le forum mais quelqu'un a publié une newletter d'un coach, et dedans il était écrit une phrase qui m'a personnellement aidé et qui devrait t'aider aussi:
C'est ok d'aborder les filles et d'avoir envie de les baiser
Il faut bien intégrer ça, bien sur partout où tu iras tu auras toujours une grognasse et/ou un AFC pur et mou pour te culpabiliser, la seule chose raisonnable à faire est de conserver une réalité forte face à ça, TA réalité, celle dans laquelle on assume ses pulsions sans aucune gène et que c'est même ce qui fait qu'on est heureux.

C'est un travail de tous les jours, et aussi je pense une de voies qui mène à l'acceptation et l'affirmation de soi.
J'aborde des inconnu(e)s tous les jours dans la rue, à la fac... (homme/femme, belle/moche) quand j'ai besoin/envie mais uniquement pour le plaisir de parler à des inconnu(e)s ( et des situations sympa que ça génère parfois ><).
Ben c'est parfait non ? Boire un verre et visiter des coins sympas avec ton inconnue est une situation agréable à vivre .
Pour des petites choses comme cela (sentiment de culpabilité de faire une chose qui te semble pourtant importante) tu peux aussi aller voir un thérapeute. Tu pourras éventuellement en tirer d'autres bénéfices, mais se positionner sur un point comme celui là est typiquement du ressort de certaines techniques, ça peut être assez rapide.
Je ne suis pas trop d'accord pour l'appel à un thérapeute. De plus, à 18 ans, on n'a généralement pas cet argent à dépenser.

Balgrie, je pense qu'un peu de travail sur soi est nécessaire. Ca passera, à force de pratique. Je suis assez de l'avis de Tisi.
J'ai l'impression de ne pas arriver à me détacher du regard des gens, et pire encore : j'éprouve de la culpabilité vis à vis de moi même ( on m'a toujours répété que c'était mal !)
C'est tout "simplement" un problème de croyance,
débarrasse toi de cette croyance et tu sera libéré^^
Je ne suis pas trop d'accord pour l'appel à un thérapeute. De plus, à 18 ans, on n'a généralement pas cet argent à dépenser.
Tout un pan de la "thérapie comportementale" travaille sur les croyances limitantes. Cela n'est pas forcément dans les moeurs en France, d'ou des réponses comme celle-ci qui tendent à éliminer simplement cette option sans discussion. Cette possibilité existe, elle peut être particulièrement efficace, elle n'est pas necessaire mais c'est une option à mentionner et à faire connaître (et même à utiliser quand on a franchis le pas).

La réfléxion sur l'argent est un peu floue : Combien coûte un thérapeute ? (j'ai ouï dire que certains se gavaient à Paris... j'ai pour ma part pratiqué par le passé à 20-30 euros la séance et ne suis pas le seul, tout dépend de qui l'on veut toucher). Qui est l'auteur de la demande de conseil et les centaines de lecteurs qui se posent la même question ? Ont-il des sous ? Je n'en sais rien. En tous cas je peux reprendre cet argument pour pas mal d'autres choses : sortie en boite et coup à boire ? A 18 ans on n'a généralement pas cet argent à dépenser. (c'est facile hein :) ).

Bref, a chacun de voir ce qu'il fait de son argent et son temps, je sais que très peu, en France et en ce moment, se tourneront vers un thérapeute, mais ce n'est pas une raison pour ne pas dire que ça existe et que ce type de problèmes peuvent se regler avec des personnes formées pour. Bien sur c'est une option avec ses spécificités : ça a un coût, ce n'est pas une solution miracle (comme tout), ce n'est pas sans effort. Ce qui en fait est proche de toutes les autres solutions...
Balgrie, je pense qu'un peu de travail sur soi est nécessaire. Ca passera, à force de pratique. Je suis assez de l'avis de Tisi.
Oui et... non, ça passe souvent mais pas forcément à force de pratique, des gens continuent à avoir le même "problème" pendant des années parfois. Pour que cela passe il faut en plus des "déclencheurs" : que ça soit des réussites, des petites choses déplaçant la croyance, une habituation à un état... Bref si cela ne passe pas au bout d'un certain temps de pratique (et cela semble être le cas ici non ?) il faut se poser quelques questions, la première étant "est-ce necessaire que ça change ?". Si c'est le cas et que la pratique ne suffit pas, il faut changer quelque chose à un autre niveau et là il y a pas mal de ressource sur ce site ou dans des livres (malheureusement parfois trop américains...) pour ça.

Pour ma part en plus de l'option ci-dessus, l'une des methodes les plus facile pour changer de croyance que j'ai vue est de se placer régulièrement dans un milieu qui n'a pas la même. Plus clairement dans ce cas, sort régulièrement avec des gens qui trouvent naturel et même indispensable ou génial de pouvoir parler aux filles qui leur plaisent dans la rue et cela devrait avoir un effet. On a tendance à s'accoutumer aux croyances des autres quand elles ne choquent pas fondamentalement notre morale. D'ailleurs pour le bien comme pour le mal, combien de personnes trouvent normal de prendre de la coke après quelques mois de fréquentation de gens qui trouvent cela normal ? (Je ne parle pas des témoignages d'accoutumance à la torture...)

Si ça peut être utile.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Constructif le 08.01.11, 00h08 par Identity
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