Je vais découper ce FR en 3 parties. Les 3 parties de mon PU : le NC, le KC et le FC. L'histoire se déroule sur 3 jours dont le premier date d'il y a 3 semaines environ et les 2 derniers de ce week end.
Il est 22h30, je suis sur une place, pas très grande, où s'entassent 7 bars. Autant vous dire qu'il y a de l'ambiance.
Sur un côté de la place se trouvent des marches où sont assises 2 filles. Elles sont en train de boire et elles ont l'air jolies.
C'était le deuxième set que j'ouvrais de la soirée, le premier s'était très bien passé donc j'avais de l'énergie. Je vais les voir mais je me rends compte que je n'ai pas d'opener en tête. Tant pis, j'avais aussi une bouteille à la main je leur sort :
Et voilà le set était ouvert.M : Vous buvez quoi vous ?
E : Du mousseux.
Je rigole un peu sur le fait que le mousseux je ne trouve pas ça bon, qu'elles sont trop pauvres pour boire du champagne. Je leur demande où sont les femmes riches par ici car j'en cherche une pour me faire entretenir... La conversation dure à peu près 5 minutes. Puis mes potes arrivent, je les présente, ils voient laquelle des 2 est ma cible et isolent sa copine en lui parlant.
Je me tourne vers ma cible :
Puis je dis au revoir et je file.M : Bon on ne peut pas rester ici toute la soirée, en tout cas vous êtes super mimi surtout toi avec tes bouclettes. Ça te dis qu'on aille boire un verre la semaine prochaine ?
E : Ok, oui je veux bien (là je mets la main dans ma poche pour sortir mon téléphone et elle elle tend le bras avant même que je n'ai eu le temps de dégainer mon portable, des NC comme ça j'en veut tous les jours)
Je la recontacte 2 jours plus tard avec un SMS que je n'aime pas du tout a posteriori.
Le lendemain, elle me répond ça :Salut Estelle. Msg un peu à la bourre du jeune homme qui a pris ton numéro jeudi. Tu comprends c'est le week end tout ça...
S'en suit quelques échanges par SMS toujours puis je lui propose de se voir la semaine suivante.Ahah, ouais je comprend t'es excusé. Celui avec le tee shirt bleu ?
Suite à ça j'ai totalement perdu de vue cette cible. J'ai fait d'autres rencontres et le temps a essoufflé le désir de la revoir.J'habite l'ile de ré, donc si je suis en ville un soir je te le dirais si tu veux ?
Vendredi, alors que j'étais avec 2 amis à boire une bière en terrasse, je reçois un message d'elle. C'est-à-dire plus de 2 semaines plus tard.
Mon programme ce soir là était serré, je me remet en tête qui elle est, puis je lui répond :Coucou ca va ? Je suis sur la rochelle ce soir
Je ne suis pas libre après 22h. On va boire un verre avant ?
Bin de toute facon à 22h je dois voir des gens donc c'est parfait
J'arrive avec 10 minutes de retard à l'endroit prévu, je m'excuse.Pareil. 20h à l'hotel de ville
Le courant passe à peu près bien et je la dirige vers un bar que j'aime bien en ce moment. Sur la route elle reçoit un appel, elle décroche et discute avec sa copine pendant plus de 5 minutes. Je la puni en lui tournant le dos et en allant demander du feu un peu plus loin. Je ne lui fait aucune remarque pour le moment. Je l'entend qui dit à son interlocutrice qu'elle peut pas rester plus longtemps au téléphone et elle me lance des regards qui signifient "désolé, elle me tient la jambe".
Une fois qu'elle raccroche je lui fait remarquer que ce n'est pas très classe de faire ça. Je rebondis sur des informations que j'ai glané sur elle pendant sa conversation téléphonique. Nous sommes à ce moment là en train de fumer une clope à côté du bar.
Nous rentrons, et après délibération nous prenons une bouteille de rosé, ma boisson préférée de l'été. La conversation patine un peu au début, je la sens réservée.
Dans ces moments là je ne panique pas, je laisse des blancs et montre que je n'en ai pas peur. Cette fois ci les sujets "rencontres imprévues" et "feeling mutuel" ont plutôt fait perdre du rythme à la soirée.
Quelques minutes plus tard et le premier verre de rosé passé, la conversation bat son plein. Je remarque ses premiers IOI après qu'on ai parlé de ses seins, elle veut se les faire refaire. Je lui parle aussi de son piercing sur la langue que je n'avais pas remarqué et qui m'attire tout particulièrement... Bref le sujet sexe est décoincé et de mon côté le désir monte. La soirée continue, la bouteille se vide.
Nous allons fumer, je kinotte tranquillement, nos épaules s’effleurent plus souvent que de coutume ce qui a le don de me faire sourire intérieurement.
Arrive le moment où j'ai faim. Donc nous allons manger un morceau, il est presque l'heure de se quitter. Pendant que je commande je continue dans le push/pull car elle rentre bien dans mon jeu. Quelques minutes plus tard c'est à moi de calmer ses ardeurs. Elle me prends dans ses bras, me parle près de l'oreille et de la bouche et me regarde dans les yeux pendant les blancs. La température est précisément là où je voulais qu'elle soit.
Le KC arrive naturellement après manger devant un nouveau verre que nous nous sommes commandés.
Après ça, je ne pouvais plus l'arrêter. Elle m'a proposé plusieurs fois "pour rire" qu'on dorme ensemble. Je ne pouvais pas car je bossais super tôt le lendemain et qu'elle habite à l'autre bout de chez moi. Je lui fait une LMR à rendre jaloux une LSE.
Avant de se quitter je l'ai emmené dans une rue moins fréquentée, je l'ai plaquée contre le mur, je l'ai embrassée. Puis le mercure s'est envolé. Elle m'a a moitié branlé dans une ruelle puis nous avons décidé de se revoir le lendemain, quand j'aurais terminé de bosser, à l'appartement qu'elle squatte en ce moment pour une partie de jambe en l'air.
Le lendemain, après une nuit de 2h et 6h au taf, je lui envoie :
Ouf, j'ai eu peur pendant quelques secondes.M : Il faut que j'aille où ?
E : Je viens de me réveiller :O
M : Fais pas ta grand mère, j'arrive (je savais à peu près où elle créchait)
E : Je fume une clope et je vais me préparer à l'arrache, tu peux venir vers le CGR ?
J'arrive au point de RDV, elle est là avec ses lunettes de soleil. La soirée a dû être dure pour elle aussi hier.
J'arrive à l'appartement de son pote où elle habite pendant ce temps. Elle me dit qu'il revient 2h plus tard, il va donc falloir se dépêcher.
Je ne perds pas de temps, quelques minutes plus tard nous étions sur son lit.
Elle m'avait prévenu qu'elle savait se servir de son piercing, elle n'a pas eu tort. J'ai pris beaucoup de plaisir à coucher avec elle.
Un truc marrant, à la fin on était en levrette et on devait se dépêcher car son ami allait pas tarder à arriver, avant de tout relâcher, en tant que gentleman je lui dis :
M : T'as quelque chose pour essuyer ?
E : Laisse, j'ai ma bouche.
Un jour où l'on est très satisfait de soi est un jour où l'on n'a pas été paresseux.
(Margaret Thatcher)
