mais avant…Mon voyage au Brésil se clôture par plein de belles résolutions :
- Se lier d’amitié avec mes voisines brésiliennes pour faire encore plus de rencontres, agrandir mon réseau social et kiffer le Brésil!
- Sortir plus pour rencontrer plus !
- Apprendre à danser un peu mieux la samba !
Avec toutes ses belles résolutions, je commence une soirée sympathique avec mes voisines, quelques potes français et quelques bonnes caïpirinhas puis direction bar à samba pour danser comme des fous toute la nuit !!!
Arriver là, je rencontre par l’intermédiaire de ma voisine une autre brésilienne, jolie et un peu fofolle à cause des caipirinhas. Présentation et discussion, le courant passe bien mais je ne perçois pas encore de lien très spécial car elle discute avec beaucoup de monde. Je la taquine un peu, la prend de temps en temps à la taille quand je veux lui dire quelque chose ou quand elle me parle et j’essaie de rester assez distant pour lui laisser le doute. Je parle un peu avec tout le monde, d’une car je veux m’amuser et passer une bonne soirée et de deux car je veux montrer que je suis quelqu’un de sociable à cette fille. Et la partie intéressante commence maintenant …
On se rapproche un peu, une certaine complicité apparaît sauf que :
- Elle parle avec tout le monde
- Plusieurs mecs défilent pour l’aborder, eh oui, le brésil c’est ça, et assez souvent à coup de compliments « je te trouve très jolie »
Ce petit manège commençant à me casser les couilles sévèrement, à chaque fois qu’un brésilien vient nous interrompre, en général sans me parler et en parlant rapidement ce qui m’empêche de discuter avec eux, eh bien je me casse pour aller parler à d’autres amis, efficace et rapide. Je finis d’ailleurs par parler à un autre groupe de filles dont une jolie black avec qui le courant passe très très bien.
Puis je reviens « oh tu es là » vers la première, puis je repars discuter avec la seconde chaque fois qu’un mec se pointe et me saoule : eh oui je suis là pour passer du bon temps, pas pour rester planter comme un piquet devant une jolie fille… Ce petit manège continue et sans le vouloir, puisque j’étais dans un état d’esprit « on va passer une soirée cool et rencontrer du monde », la jalousie commence à apparaître chez les deux brésiliennes !!
Je commence tout d’abord à percevoir quelques regards furtifs de la première quand je discute avec la seconde. Vers la fin, j’ai le droit à une remarque de la seconde :
E : c’est une amie à toi, cette fille ? "d'un air un peu jaloux"
M : oui, je l’ai rencontré aujourd’hui avec d’autres copines brésiliennes !
E : elle n’arrête pas de te regarder…
M : ah bon !!! Elle est sympathique! J'avais pas spécialement remarqué! "on en rigole un peu"
Au final, en discutant avec la seconde, je prends son numéro et lui dit que je vais faire des soirées cette semaine et les inviter avec ses copines ! Mais j’ai eu la flemme après coup…
On part en after chez nous avec mes voisines, quelques personnes rencontré dans le bar et la première brésilienne pour fumer quelques joints. Je ne l’avais pas encore embrassé mais j’avais pris soin de l’inviter à manger chez moi pour la fameuse fringale post joint!
Ce soir là, je l’embrasserais sur le canapé puis elle dormira chez moi le soir même, comme les quatre nuits suivantes… mais là j’ai besoin de repos. On a baisé la troisième nuit après que j’ai fait tripper ses copines avec des phrases à la con en français pour qu'elles les sortent à des brésiliens, du genre "regarde comme la lune est belle" où "je veux t'embrasser" ...
Bon tout ça pour dire, créer la jalousie est un outil génial, je compte l’utiliser plus à l’avenir ! Parler avec tout le monde pour passer une bonne soirée, relancer des petits regards à la fille qui m’intéresse de temps en temps. En résumé, entrer dans un jeu où je regarde la fille comme si je savais déjà qu’il allait se passer quelques choses entre nous tout en la laissant complètement libre de se taper tout les mecs qui n’arrête pas de l’aborder, quitte à la perdre…
J’ai la preuve que prendre le risque de perdre une fille, ça paye parfois!!!
alors qu'on avait même pas commencé à s'avouer que le garçon nous intéressait .