Le rdv chez elle :
On se retrouve à la station de métro tout près de chez elle. On parle en marchant jusqu'à chez elle. Beaux immeubles de l'ouest parisien et bonne ambiance dans le quartier : cette soirée m'inspire

Arrivés chez elle, petit tour du propriétaire. Des œuvres d'arts créées par ses soins de partout. Un vrai atelier d'artiste. On commence la soirée par mater des vidéos débiles comiques sur internet, tout en commençant par une première bouteille de mousseux. Le temps passe, on blablate et tout se passe bien. Sauf que je commence vraiment à chauffer intérieurement et aucuns de nous montre un signe d'intérêt concret. Je me rapproche physiquement de telle sorte à être légèrement collé. La tension sexuelle monte. Pourtant je sens bien qu'elle ne monte que chez moi. Le temps passe et je n'arrive pas à lui montrer mon envie. Par contre on continue de boire et l'échelle éthylique augmente lentement mais sûrement. Là je me dis qu'il faut que je fasse un truc qui soit simple et efficace : quoi de mieux que de l'embrasser.
C'est alors qu'après avoir rassemblé toutes mes forces pour vaincre l'AFC dormant en moi, un peu comme Sangoku qui s'apprête à lancer son Super Genkidama. A ce moment là, je me lance : pose mon verre, et lui fait un petit kiss sur la joue. Reprends mon verre et bois une gorgée. Un peu perturbée elle s'arrête de parler et là..je kissclose. (Après avoir lutter contre moi même pour le faire, ça fait vraiment du bien quand ça sort

).
La température monte, je mène le jeu jusqu'au moment où elle me repousse sur le canapé, m'enlève mon tshirt, m'embrasse et me verse une bougie sur le torse ! (Mama mia, je suis sur les fesses O_o)
Elle me l'étale un peu partout et le thermomètre continu de grimper. Je lui enlève son haut et lui lèche les seins. Puis à son tour s'occupe de moi.
A ce moment là, je suis très chaud et veux passer aux choses sérieuses.
Petite parenthèse : avec mon ex j'avais pris l'habitude de toujours être un peu « sauvage ». J'entends pas là, opposé au gentil garçon tout doux hésitant, qui trempe le biscuit en missionnaire le tout emballé pesé en 10 minutes.
C'est donc dans cet état d'esprit que je m'apprête à lui retirer son pantalon. Un peu étonnée et provoquée, je comprends qu'elle bien avoir le dessus. Pas le contraire. On va dans sa chambre, me couvre et saute sur son lit. Là encore, c'est le genre de fille qui ne « se laisse pas faire ». Elle veut vraiment diriger. Parti pour commencer par un missionnaire classique, elle se retrouve finalement sur moi et baisons. Elle tient vraiment à imposer son rythme et moi je ressens pas grand chose. Après l'avoir laissé profiter, je change de position. Encore une fois elle me glisse littéralement entre les mains et le sexe ! Elle comprend finalement que je veux la prendre en levrette, on se met en position et l'a prend. Là ça devient vraiment plaisant. Et là...c'est le drame.
Alors que je commençais à peine à accélérer, elle me stoppe, m'éjecte et pète un cable.
E : Non mais tu fous quoi ? T'es sérieux ? Tu crois que tu vas me baiser comme une pute ? Ou une chienne ??
M :
E : Eh si c'est comme ça tu peux te casser quoi
M :
Je suis juste sur le cul. Je comprends même pas ce qui s'est passé et ce qui en train de m'arriver. Elle se lève et commence à se rhabiller. Là je commence à comprendre que ça sent pas bon. Mais c'est tellement sorti de nulle part que je me retrouve comme spectateur de mon propre film. J'essaie de la calmer en lui parlant gentiment, m'excuse 1001 fois, lui explique que si j'étais à son goût trop « brusque » c'est aussi parce que j'ai été habitué...
A ce moment là, elle se calme un peu, je reste devant elle, me dit un truc sur lequel je réagis pas et me bouscule un peu en me poussant. Et là...
Elle ME MET UN LOW-KICK sorti tout droit d'un match de MMA digne d'un Cro Cop !!!!!!!!!!!!
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Watchaaaa !!! Là je suis complètement réveillé ! Je me met naturellement en de position de garde (style Krav Maga) et je met à imaginer mon avenir imminament proche en fonction de mes choix. Vous savez un peu comme spider-man qui ressent le danger avant que celui-ci se produise. Ben là c'est un peu pareil, je suis dans le genre de personne qui ressent les choses et ne peut s'empêcher d'imaginer pleins de scénarios pour toujours anticiper les événements pour ne pas me faire avoir. Je m'imagine en train de me battre avec elle, qu'elle sorte un couteau et qu'elle me plante. Ou même, qu'en me défendant je la plante aussi et qu'elle meurt. Imaginez un peu la scène : un mec, tout nu la bite à l'air, pas chez lui, à 4h du mat, avec un cadavre d'une fille à ses cotés ! Omg. Non ! Faut que je reprenne la situation en main.
C'est alors qu’âpres avoir reçu ce magnifique low-kick, je prends sur moi et désamorce sa colère en lui fait des excuses le plus sincèrement possible et en lui montrant que je suis pas un méchant. Elle comprend et se calme progressivement. On va sur son canapé et on se met à reparler petit à petit. Et là...
Autre grand moment de la soirée...
Elle me dit :
E : Tu sais, je vais te dire la vérité...
M : Hm... ?
E : Je fais pas que hotesse...je suis escort-girl aussi.
M:(OMG, high-kick psychologique cette fois!) Humm...Ok.
E : blabla
Je lui fait comprendre que je ne la juge pas. Et elle m'explique qu'elle le fait pour l'apport d'argent facile. Elle a 4 clients qu'elle connaît bien, prend en moyenne 500€ la passe et qu'elle essaie de la faire de moins en moins. Elle m'explique qu'avant d'être sur Paris, elle le faisait beaucoup plus mais qu'elle désirait arrêté progressivement depuis qu'elle avez rejoint la capitale. Elle me dit aussi que ses clients ont son âge, qu'ils sont doux et gentils, PAS comme moi (rires en mon fort intérieur). Je rajoute une excuse. Continuons de parler un bout de temps et allons nous coucher.
Arrivé dans le lit, la température remonte un peu, l'a chauffe un peu mais avec des supers pincettes, remontre des signes d'intérêts, me suce sous la couette et me dit bonne nuit.
What else ?
Je tenterais de la pénétrer, mais ce sera finalement un bonne nuit réciproque. Un peu les boules d'avoir une belle gaule qui lève la couette sans pouvoir aller jusqu'au bout, j'ai pas « trop » insisté. (2-3 fois seulement:p )
On s’endort. Il est 5h45.
9h :
??? : Trrrrrouuuuuu trrrrouuuullll
Moi : ...gné ?
??? : Trrrrrouuuuuuuullltrouuulll
Oh putin. Je viens de me faire réveillé par une horde de
pigeons qui ont assiégé sa fenêtre. Elle ne se réveille pas mais moi si. J'ai le sommeil léger. Très léger. Un peu comme un FARC qui dort dans la jungle. J'ai aussi horreur de me faire réveillé par un bruit. Là, j'émerge petit. Je l'a réveillé en lui faisant des caresses (rien de sexuel). Elle se réveille tranquillement. On parle un peu, on s'enlace. J'ai bien envie de reprendre là où s'est arrêté quelques heures plus tôt. La touche un peu, elle réagit. Elle est excitée mais me dit clairement d'arrêter. Même en étant aussi doux qu'un agneau, ça ne passe pas. J'ai beau être très confort avec elle, je comprends que le non vient de ses principes. Elle me dira quand même :
E : Non c'est bon retire tes mains. J'ai pas envie (en frémissant..).
M : …
E : En plus je sais pas ce qui s'est passé mais moi tu sais à la base je couche jamais le premier soir.
M : ( LOL ) humhum....
E : Ni le deuxième...
M : ( Mdr )
Bref, on parle et la tension sexuelle retombe complètement. Je commence à me prendre de compassion pour cette fille que je trouve vraiment très gentille et sympathique. C'est une fille bien mais un sacré numéro. Tout droit sorti d'une autre galaxie, quoi. On prendra finalement le café ensemble sur un air de musique électro. Et je repartirai tranquillement en lui disant à bientôt et en tirant sa porte.
That's the end.
Woo, first field report closed !
