Structure du direct game
De façon purement idéologique je te rejoins parfaitement Blusher.
Mais des fois, il ne faut pas se limiter à un type de vison dans la vie, et la je te reproche d'avoir une vision dirigée et idéalisée des relations humaines.
Elle est jolie ta vision.
Mais elle est pas réaliste.
En tout cas, très peu sont capables (et parle là j'entend libre de) de se détacher de calculs de valeur pour juger d'une personne.
C'est fait inconsciemment le plus souvent.
Mais c'est là.
Et puis, savoir ça, voir même le mettre en oeuvre, n'empêche en rien de ressentir toute la magie d'une relation.
Les deux visions ne se chevauchent pas: une est dans la froide (et très utile) analyse , ce que j'appelle moi le "cadre objectif", très rationnel.
L'autre est la vision subjective: le ressenti, la magie des émotions, l'instant présent.
Faire les deux à la fois n'est paradoxal que pour les idéalistes.
Vos deux visions se complètent: elles ne s'affrontent pas.
Mais des fois, il ne faut pas se limiter à un type de vison dans la vie, et la je te reproche d'avoir une vision dirigée et idéalisée des relations humaines.
Elle est jolie ta vision.
Mais elle est pas réaliste.
En tout cas, très peu sont capables (et parle là j'entend libre de) de se détacher de calculs de valeur pour juger d'une personne.
C'est fait inconsciemment le plus souvent.
Mais c'est là.
Et puis, savoir ça, voir même le mettre en oeuvre, n'empêche en rien de ressentir toute la magie d'une relation.
Les deux visions ne se chevauchent pas: une est dans la froide (et très utile) analyse , ce que j'appelle moi le "cadre objectif", très rationnel.
L'autre est la vision subjective: le ressenti, la magie des émotions, l'instant présent.
Faire les deux à la fois n'est paradoxal que pour les idéalistes.
Vos deux visions se complètent: elles ne s'affrontent pas.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Il y'a du vrai... le 17.06.12, 08h32 par LittleNeapolis
- [+1] Il y'a du vrai... le 17.06.12, 15h09 par Blusher
Je te laisse deviner quelle est la vision que les femmes préfèrentMr.Smooth a écrit : Les deux visions ne se chevauchent pas: une est dans la froide (et très utile) analyse , ce que j'appelle moi le "cadre objectif", très rationnel.
L'autre est la vision subjective: le ressenti, la magie des émotions, l'instant présent.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] le 17.06.12, 02h19 par Mr.Smooth
- [0] Ca va mieux en le disant le 17.06.12, 13h20 par Blusher
C'est une question qui mérite son propre sujet et article je pense.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] C'est pas faux le 17.06.12, 12h37 par tibdeconne
Tu forkes? 
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Forke stp le 17.06.12, 12h57 par charlie4444
(J'ai toujours eu envie d'utiliser ce commentaire)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 17.06.12, 13h01 par tibdeconne
Je fais ça ce soir, avec un petit article 
John-Ernesto, il est tout droit sorti des années 80 non?Ouai bin moi aussi j'adorerais vivre dans un monde ou les gens cherchent à mesurer la valeur humaine des autres plutôt que leur valeur sociale, mais bon, j'aimerais aussi avoir un skate qui flotte comme dans Retour vers le futur et j'aimerais aussi maîtriser la Force. C'est pas pour autant que ça arrive. Pour l'instant j'imagine qu'à part chez les bouddhistes et les quelques hippies fumeurs de ganja de la fac de lettre, y'a pas beaucoup de monde qui vit avec les autres en les jugeant d'après leur "valeur humaine". Souvent, quand t'apprends à connaitre les gens ouai c'est vrai, si t'es pas trop nase tu les apprécies pour ce qu'ils sont et pas pour ce qu'ils représentent. Mais avant ça, tu les as fait passer par ton filtre à valeur sociale pourrie. C'est pour ça que rares sont les PDG qui traînent avec des caissiers de Quick. Pour le PDG, la valeur sociale du caissier de Quick, bin elle est pourrie, alors il filtre.
Humainement parlant c'est probable que Jean-Poutros, le pâtissier ventripotent qui parle avec un accent du Nord et postillonne sur la moitié de ses clients "vaut" (j'vois pas trop quel autre verbe utiliser puisqu'on parle de valeur) la même chose que John-Ernesto, jeune cadre dynamique aux dents peroxydées, arborant de potentiels muscles saillants sous son costume Hugo Boss et propriétaire d'un cabriolet qui ne respecte pas vraiment l'environnement. Néanmoins, sauf dans les monastères du Tibet probablement, les gens, en général, donc les meufs en général, s'en foutent complètement de la valeur humaine de Jean-Poutros. Ce dont ils se foutent pas par contre, c'est de la tune de John-Ernesto, de sa carrière fulgurante et de ses pectoraux entretenus par 8 heures de musculation hebdomadaires dans un gym-club Parisien. C'est très superficiel, mais that's life.
Ce n'est pas un truc sorti d'un trip New age comme Smooth ou Holden semblent le croire.
Quand tu dis Holden que la vision de Lieutenant est plus réaliste c'est qu'elle paraît plus tangible parce que c'est un modèle dominant et médiatisé dont on arrive cependant aux limites.
Effectivement 30% des civilisations mondiales vivent selon ce mode de pensée et d'organisation.
Celui dont je me fais l'écho est encore marginal (10% des sociétés) et se retrouve à l'heure actuelle dans les social-démocraties d'Europe du Nord (Suède, Danemark, Norvége et dans une moindre mesure Pays-Bas)
Source: Dr Clare Graves W., Levels of Human Existence, Santa Barbara, ECLET Publishing, 2002
Il faut avoir certes assimilé les codes et digéré le modèle consumériste mais il me semble aussi important d'être capable de le dépasser. Si chopper n'était qu'une affaire de popularité et de compte en banque je me demande même pourquoi on parlerait encore de séduction et d'émotions sur ce site. Il suffirait de gagner plus que tous les autres mecs dans une boîte donnée pour repartir avec la plus belle fille.
On passerait son temps à comparer sa valeur à celle des autres et on chopperait qui on croit mériter dans notre CSP avec le seul objectif de maximiser le nombre de coït, en réduisant le lead time s'entend, avant de lui faire 1,8 mouflets. On serait enclin à privilégier les choix de carrière lucratifs pourvoyeur de bien-être et de jouets hors de prix.

Vision réaliste?
Pour certains oui.... juste un peu ringarde au vu de l'évolution récente des sociétés occidentales.
Cela faisait certainement mouiller les filles au pic des années 80 mais les mentalités évoluent inéxorablement et ce qui était vrai hier ne le sera pas forcément demain.
"Les jeunes diplomés sont de plus en plus nombreux à chercher à travailler auprès d'ONG.
Martin Hirsch Président d'Emmaüs France et diplômé de Sciences po et l'ENA se dit submergé par les candidatures. Philippe Lévêque, Directeur Général de CARE France et ancien d'HEC a dans son équipe un tiers de diplômés de Grandes Ecoles." Chabreuil, La spirale Dynamique
Si même ceux qui pourraient se faire un max de blé choisissent d'aider les plus démunis, où va-t-on?
Et pourtant, cela fait sens de rechercher ce genre d'expérience plutôt que d'engraisser son compte en banque à tout prix.
Les nombreuses études menées à ce sujet révèle que les personnes qui sont d'accord avec l'affirmation: "Vous achetez des choses juste parce que vous les voulez" sont en moyenne:
Références:Moins satisfaits de leur vie
Moins heureux
Plus enclins à la dépression et à la paranoïa
Plus narcissiques
Solnick, S.J., & Hemenway, D.(1998). Is more always better? A survey on positional concerns. Journal of Economic Behavior and Organization, 37, 373-383.
Van Boven, L. (2005) Experientialism, Materialism, and the Pursuit of Happiness. Review of General Psychology, 9, 132-142.
Van Boven, L., & Gilovich, T. (2003). To do or to have? That is the question. Journal of Personality and Social Psychology, 85, 1193-1202.
Si les possessions matérielles ne conduisent pas au bonheur alors qu'est-ce qui y mène?
Une étude récente menée par Leaf Van Boven de l'Université du Colorado et Thomas Gilovich de Cornell University ont conduit une éxperience étonnante visant à comparer le ressenti des participants selon qu'ils aient acheté quelque chose ou qu'isl aient vécu une expérience forte (Van Boven & Gilovich, 2003).
Résultat: il est plus porteur en terme de bonheur de s'offrir des souvenirs que des objets. En partie d'ailleurs, et c'est peut-être là que je vous rejoins parce que ces expériences de vie peuvent être partagées avec d'autres et ont donc davantage de valeur sociale.
Ce que j'appelle Valeur Humaine par opposition à la mesure matérielle de la valeur de quelqu'un serait sa capacité à être heureux et par conséquent... à rendre heureux.
Trop général, trop hippie?
Soyons concrets:
Des chercheurs que je ne manquerai pas de citer en référence n'ont trouvé aucune corrélation, ou très faible, entre le niveau de bien-être et:
Quant à l'argent, ils ont trouvé que si les problèmes financiers et l'angoisse du lendemain viennent logiquement ternir notre bonheur, il n'y aucun gain marginal de niveau de bonheur au delà d'un revenu de classe moyenne lambda. Loi des rendements décroissants oblige, les économistes parmi vous apprécieront.l'âge
le sexe de la personne
le fait d'avoir ou non des enfants
l'apparence physique
Ainsi, le pouvoir d'achat américain a triplé depuis 1957; dans le même temps le niveau de bonheur moyen des citoyens américains est resté à peu près inchangé. (Source: Historical Statistics of the United States)

Alors qu'est-ce qui participe au bonheur, ce truc contagieux qui vous fait tomber les plus belles filles plus sûrement que le cabriolet de John-Ernesto?

Les chercheurs ont trouvé cette fois une corrélation positive entre bonheur et:
Estime de soi
Optimisme
Amitié
Relations amoureuses épanouies
Un travail ou loisir qui engage nos talents
Spiritualité
Sommeil
Exercice physique.
Références: De Neve & Cooper (1998) Diener (2003) Lucas (2004) Myers (1993, 2000) Steel (2008) Myers & Diener (1995, 1996)
Je vais mettre tout le monde d'accord en précisant aussi que les gens heureux réussissent mieux ce qu'ils entreprennent.
Enfin et puisque c'est quand même le coeur du débat, l'ascenseur social marche aussi pour les hommes. Savoir faire passer de bons moments aux filles qu'on aborde vous ouvrira bien des portes y compris professionnellement.
Récemment, une fille abordée dans la rue (n'en déplaise à Lieutenant qui se demande comment on peut choisir de ne pas consacrer son temps à des activités plus constructives) il y a de cela quelque mois m'a présenté au General Manager d'un grand cabinet de conseil intéressé par mon idée du coaching en entreprise. Une autre m'invite régulièrement à des soirées ou je n'aurais pas eu mes entrées sinon. Une autre encore mannequin dans une grande agence m'a obtenu quelques jobs sur des photo-shoot quand j'étais maquilleur.
Pour le coup, non seulement je n'étais pas fâché d'avoir eu la bonne idée d'aller traîner mes guêtres dans la rue mais cette fameuse valeur sociale que vous semblez affectionner s'en est trouvée accrue.
Je ne rejette donc pas l'idée de réussite matérielle ou de "valeur sociale" mais je ne mets pas la charrue avant les boeufs. Je m'assure de placer le bonheur au centre de mes préoccupations. Le système fonctionne beaucoup mieux comme ça.
Au moment d'écrire ces lignes, il me revient le souvenir d'une médecin d'origine Iranienne, sosie parfait de Salma Hayek dans ses jeunes années. Si j'avais joué avec elle la carte de : "Je gagne tant, je suis un entrepreneur aux dents longues et je veux un Yacht et une Rolex à 50 ans." Elle m'aurait ri au nez et aurait tourné les talons. Dans son monde et après avoir vécu des choses qu'elle ne souhaitait à personne, il n'y avait guère de place pour ce genre de concours de bite et beaucoup plus pour la compassion, la recherche d'harmonie et de partage dans les rapports humains etc. Voilà, le genre d'HB10 (beurk cette terminologie) dont on est content de parler le langage.
PS: Il serait peut-être temps de renommer le topic, vous ne croyez pas?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] 100% d'accord le 17.06.12, 14h49 par tibdeconne
- [+1] Intéressant le 18.06.12, 20h59 par Amaral
- [+2] Merci ! :) le 19.06.12, 13h34 par Spring
Ouai bin moi aussi j'adorerais vivre dans un monde ou les gens cherchent à mesurer la valeur humaine des autres plutôt que leur valeur sociale.
"Be the change you want to see in the world." Mahatma Gandhi
Cela dépend aussi de toi que ce monde que tu appelles de tes voeux devienne réalité.
La façon dont tu présentes ça, c'est un peu: "On a pas grand chose pour nous mais on se démerde avec des combines pour rivaliser humblement avec les millionnaires et les rockstars auprès de filles qui préféreraient cent fois leur compagnie mais qui se contentent de nous."
Mec, il n'y à rougir devant personne.
C'est précisément ce qui fait ta valeur en tant que personne. L'avantage c'est qu'il s'agit de valeur intrinsèque.
Un mec célèbre dans un pays se rend dans un autre ou il est anonyme, il fait un bide s'il compte sur facteur célébrité pour serrer des meufs.
Si un mec riche essuie un vilain revers sur son marché et dépose le bilan. Il ne sera pas mieux loti.
Je dois avoir des super-pouvoirs alors parce que je n'ai pas vu ça se vérifier à tous les coups. Loin de là.
Cela me rappelle les conseils 'avisés' d'une vague connaissance qui m'avait soufflé à l'oreille après avoir rencontré celle qui est maintenant ma LTR: "Bonne comme elle est, il doit falloir assurer derrière financiérement. C'est une fille qui peut se taper un banquier d'affaires ou un avocat plein de thunes. Je ne vois pas pourquoi elle taperait plus bas."
Tellement convaincu de la validité de son paradigme qu'il ne concevait qu'il puisse en aller autrement.
Alors oui, il y a des filles qui vont filtrer sur le pognon essentiellement voire uniquement. De même qui voit leurs conquêtes comme des trophy wives reflétant leur statut social. Laissons les entre eux.
Mec, il n'y à rougir devant personne.
Ce ne sont pas des moyens d'augmenter sa valeur quand on est ni célèbre ni riche!(...) augmentaient justement leurs valeurs en étant entreprenants, légers, drôles, swag et tutti quanti. (...) être cool, relax, authentique, ce sont des moyens d'augmenter cette valeur.
C'est précisément ce qui fait ta valeur en tant que personne. L'avantage c'est qu'il s'agit de valeur intrinsèque.
Un mec célèbre dans un pays se rend dans un autre ou il est anonyme, il fait un bide s'il compte sur facteur célébrité pour serrer des meufs.
Si un mec riche essuie un vilain revers sur son marché et dépose le bilan. Il ne sera pas mieux loti.
Voilà un joli filtre cognitif en forme de pensée limitante.Seulement, gagner plus que tous les autres mecs dans une boite donnée te permet aussi accessoirement de repartir avec les plus jolies filles.
Je dois avoir des super-pouvoirs alors parce que je n'ai pas vu ça se vérifier à tous les coups. Loin de là.
Cela me rappelle les conseils 'avisés' d'une vague connaissance qui m'avait soufflé à l'oreille après avoir rencontré celle qui est maintenant ma LTR: "Bonne comme elle est, il doit falloir assurer derrière financiérement. C'est une fille qui peut se taper un banquier d'affaires ou un avocat plein de thunes. Je ne vois pas pourquoi elle taperait plus bas."
Tellement convaincu de la validité de son paradigme qu'il ne concevait qu'il puisse en aller autrement.
Alors oui, il y a des filles qui vont filtrer sur le pognon essentiellement voire uniquement. De même qui voit leurs conquêtes comme des trophy wives reflétant leur statut social. Laissons les entre eux.
Tu viens de citer quatre des points sur lesquels je travaille en priorité en coaching individuel. des progrès réels et tangibles sur ces points d'inner game valent mille fois une approche plus comportementaliste du genre: "Tiens toi droit et souris quand tu parles."Lieutenant a écrit :Une des difficultés qui se pose, et qui est nécessaire pour améliorer son inner game, c'est d'avoir une auto-perception de soi et des limites à franchir.tibdeconne a écrit :C'est exactement ce que je t'ai dit: ce que tu dis importe peu, le plus important est l'attitude. Le jour où t'auras intégré ça t'auras tout compris.the artiste a écrit :
De plus je cherche à trouver ce qui fait la différence pour le top des sets (HB9/10)... J'ai l'impression que tout se joue sur ce que tu dégages du fait de ton Inner Game...
Ici, vous formez une communauté et êtes conscients des efforts à faire sur :
- le body language
- l'attitude lors de l'interaction
- le delivery lors de la conversation
car c'est visible pour tout un chacun.
Je citerai (non exhaustif):
- les processus de pensée, le recul, l'"observing ego". C'est une marque de leader d'hommes, complémentaire au charisme. On cite souvent ce dernier, on oublie souvent ces premiers.
- la gestion des émotions : similaire sur le principe au premier quand il s'agit de soi, mais il faut aussi gérer les émotions des autres. C'est un entraînement à acquérir et ça ne vient pas si naturellement si vous n'adoptez pas quelques clés de compréhension au préalable.
- les descripteurs culturels : en 2 phrases une HB9/10 sait si vous avez un vocabulaire de 100, 200 ou 1000 mots et en déduit instinctivement de quel genre de milieu vous provenez et ce que vous pouvez lui apporter de ce point de vue (et vous vous doutez bien qu'à partir d'un certain niveau, elle a le choix de vous sélectionner sur cette base parmi 83 autres critères). De manière générale, les aptitudes à la communication sont à l'intersection inner/outer, mais sont très facilement sondables. Chez des gamins de 3 ans vous mesurez déjà des écarts abyssaux en la matière d'un enfant à l'autre. Pourquoi c'est important ? Capacités d'élocution = intelligence + provenance de milieu aisé
- la capacité d'influence sur son environnement / distortion de la réalité / cadrage de la perception (aka charisme) : vous prenez la réalité et vous la décrivez comme une situation favorable à vos objectifs et agréables pour ceux qui vous suivent. J'avais un meilleur résultat en proposant à des filles de se baigner dans une fontaine que d'aller boire un verre (on l'a jamais fait : l'objectif était bien compris et la perspective bien plus amusante), même s'il faut bien lire l'état émotionnel en face sous peine de faire un truc weird : vous pouvez proposer à froid de boire un verre alors qu'il vaut mieux avoir détecté un micro-signe de non-indifférence pour parler de se baigner dans une fontaine.
Autonomie et intelligence adaptative vs. méthodes de vendeurs d'encyclopédie (pour reprendre ton image)