Se prendre une bifle, se faire raser la tête et raquer 50€

(ou comment tuer l'inaction)

En fait je me rends compte que c'est un article sur comment se motiver à aborder, suivi de mon premier FR... Ce qui est intéressant, à mon humble avis, dans ce chapitre 1, c'est le cadre mis en place pour s'obliger à aller aborder malgré la peur, quand on est un débutant effrayé par toutes ces sublimes gallinacées encore inaccessibles et déambulant dans les rues pour nous narguer. le chapitre 2, c'est la partie action, enfin le FR proprement dit.

Les débuts maudits

Je crois que le sujet de la peur de l’approche a été moult fois présenté, discuté et disserté sur ce forum. J’ai essayé énormément de techniques de Jedi psycho-mentalo-psychiques pour me motiver à aborder, où on se manipule soi-même pour se bouger. Ça a jamais marché pour moi, tous ces trucs, je restais une fiotte. Fallait que je trouve autre chose. Ça fait plus de cinq ans que j’ai tapé « séduire » sur Google, et trois ans que je me tâte pour aborder. Mais les échecs cuisants se succèdent, je rentre de « sessions » où tout le monde se touche la nouille, chaque fois claqué par une putain de dépense inutile d’adrénaline, et mon miroir me rappelle que je suis quand même la plus belle merde du monde. Du coup j’avais arrêté d’essayer d’aborder, ça me faisait trop entrer dans le mal.

La renaissance

Mais bon, tu peux oublier le SPU, le SPU ne t’oublie pas. Et je ressentis, il y a peu, avec le printemps, les hormones me titiller tandis que fleurissaient par centaines, dans les rues de Paname, des émoustillantes mini-jupes, révélant les jambes des femmes, compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens et lui donnent son équilibre. Les faits d’armes des preux chevaliers Olfff, Redlipstick, Holden, et Blusher n’y sont pas pour rien n’ont plus. Tellement une putain de motivation transcendante qui me prend quand je lis ces fous-furieux, que j’en ai des attaques d’épilepsie enthousiaste, je saute et je crie partout dans ma chambre comme un orang-outan et tout.

Et comme en parallèle de tout ça, j’avais commencé à constituer dans mon école une communauté d’Hommes Braves et Valeureux, c’est-à-dire qui aiment les gentes Dames, l’alcool, et faire de la merde en soirée (condition incontournable pour les réussir), j’ai eu aucun mal à trouver parmi eux un queutard avec lequel recommencer Tha SPU.

Avec ce pote queutard, on a discuté courtoisement le temps de quelques soirées devant une foultitude de personnes y compris féminines, avant que l’idée n’aboutisse, un peu par hasard en fait. Ça ressemblait un peu à ça.

Moi : « Alors mon pote, t’es un Homme ou t’es pas un Homme ? » avec regard et ton salement ironiques et condescendants.
Lui : « Mais ferme-la, ferme-la ! (avec la voix de Dieudonné) Tout le monde sait qui est le Mac ici, Biatch.
M : « Tu parles tu parles, mais est-ce que je t’ai déjà vu faire autre chose que parler ? Messieurs Dames de l’assistance, y-a-t-il seulement UNE personne ici qui l’aie déjà vu soulever son gros FION et se bouger ?

Enfin, on se complimentait comme ça, en mode concours de bite, qui a le plus de burnes et tout le schmilblick, plusieurs soirées de suite. Ça faisait marrer tout le monde en plus, ces conneries, mais ils savaient pas, les saligauds, que derrière tout cela se cachait un plan divin et universel destiné à faire de nous des Jedi. Et à un moment où on était bien défoncés et saouls comme des vraies épaves de merde, après un quart d’heure de politesses particulièrement poétiques où ça parlait des mamans et des sœurs avec un véritable niveau de distinction toute intellectuelle, c’est là que mon cerveau embrumé a eu la bonne idée de faire dire à ma bouche un truc du genre :

M : « Toute façon t’es une sale fiotte de merde et t’oseras jamais poser tes burnes pour aborder une meuf. Aborder dans la STREET, négro ! Parce que t’es qu’une LAVETTE !!
L : « Ok ça marche, demain, toi contre moi, vingt euros pour celui qui pose pas ses burnes »

Et comme cette fiotte s’est défilée, je me trouvais enrichi le lendemain de vingt euros, et lui se trouva déshonoré. 20E perdus, c’était apparemment pas assez violent pour décourager des accès d’esprit de fouine sournoise. J’ai donc décidé d’entamer illico presto un virage ultra-sécuritaire de durcissement du code pénal, pour décourager toute trace de fourberie, et voilà le résultat de ce que nous avons élaboré, avec ce pote et un autre pote wing, Donatien qui ramènera sans doute bientôt son vieux boule sur le forum.

La Loi Totalitaire

Article 1. Le premier à aborder est désigné à pile ou face, puis c’est chacun son tour.
Article 2. On aborde en direct, on est là pour se créer des burnes en acier de titane de fer forgé.
Article 3. Est défini comme Crime toute fourberie dans la rue, tout auto-touchage de nouille, toute hésitation trop prononcée à y aller, ou si le wing trouve bizarrement trop de super-bonnasses pas à son goût, cachant ainsi la perfidie de son forfait. Le mieux étant qu’un troisième larron, pas forcément SPUiste, fasse le juge et arbitre des litiges.
Article 4. S’applique à toute forme de Crime défini dans l’article précédent, le Châtiment suivant : 50E à raquer au Brave qui a porté ses couilles, la tête du vaincu rasée, et…. Une BIFLE tonitruante pour ce fourbe, ce faible, ce lâche, qui s’agenouillera, dans l’attente du châtiment corporel.
Article 5 : l’esprit est celui d’une bonne et loyale concurrence, il n’y a pas d’échec tant qu’il y a de l’action.

Ainsi en fut-il décidé par le conseil de sages que représentent mes deux wings et moi.

La minute philosophique

S’il faut retenir un truc, c’est ce que mon wing TrueLife a appelé le concours de bites (mais il est pas motivé par ça, le saligaud, donc il participe pas). Deux attitudes sont possibles : 1) dire que c’est un truc de gamin, qu’on est au-dessus de tout ça, qu’on a rien à prouver aux autres, et qu’on s’en fout de tout çà et tout le schmilblick (Mais ça, vous l’avez bien compris, c’est faux, puisque je suis génial et que j’ai choisi l’autre option). 2) L’autre possibilité, c’est de « s’enivrer » comme dit ce bon vieux Baudelaire, c’est de s’oublier, de se jeter corps et âme dans ce genre de défis, de les faire jusqu’au bout, en s’y engageant tout entier, de vraiment croire que vous allez mourir si vous le faites pas (enfin presque). Dans un défi comme ça, c’est l’honneur qui est en jeu, bordel.

Résultat

Moi, l’inactif, le penseur de merde, l’intellectuel de pacotille, perdu dans le monde des idées, incapable de se bouger, de toucher le sol de mes putains de pieds, déconnecté du réel, moi, moi, j’ai abordé en direct, j’ai pris des numéros, alors qu’il y a encore un an je me pissais dessus rien qu’à l’idée. Incrédibeul, comme disent les amerloques.

Suite dans la partie 2, avec de l'action cette fois-ci, puisque tel était le but de toutes ces manœuvres obscures et sombres tractations!!

Chapitre 2

Premier round

On se donne rendez-vous à opéra vers 19h30 avec TrueLife (FTS crew) et mon pote du concours de bite, appelons-le Slimane, comme le lascar de Rabbi Jacob. Bon, c’était un peu la zermi en termes de Hot Babes, donc on a commencé à tourner en rond autour de l’Opéra et des galeries Lafayette, qui fermées, attirent beaucoup moins de femmes esseulées qu’en temps d’ouverture (Captain Obvious hello). Mais cela nous laissa le temps de lancer une pièce pour désigner le premier abordeur. Cela tomba sur moi, mais je cachai ma profonde angoisse existentielle pour dire laconiquement :

M : « Cool, ça me permettra de te montrer qui est l’homme de nous deux et de te bifler plus rapidement ».

J’avais oublié mes lunettes, ils m’ont montré deux cibles, mais comme je les voyais pas, j’y suis pas allé, éveillant tout de suite la suspicion de mes congénères de pas porter mes couilles. Et là, on rencontre tous les trois une jolie petite arabe perdue dans de douces rêveries. Echange de regards avec mes wings, je vois deux regards scrutateurs, dans l’attente d’une trace de faiblesse chez moi. Mon honneur est en jeu. Je lance un « J’y vais » décidé, magistral, héroïque et sans appel, et sans attendre, je fais demi-tour, la rattrape. Lui touche l’épaule, elle sursaute.

« Salut ! Désolé de t’avoir effrayée, lui dis-je avec un sourire innocent et angélique, je viens de te croiser et je t’ai trouvée jolie, et…me voilà » Elle répond avec un regard de reproche :
E : « Déjà tu m’as fait peur ! »
M : Oui j’ai vu, désolé, tu avais l’air perdue dans tes pensées…
E : Oui… Mais tu m’as vue où ? Tu m’as suivie d’opéra ? » Très méfiante, cette goujate. Je reste patient et zen comme un moine tibétain, en attendant qu’elle soit rassurée.
M : Non, en fait, je marchais avec deux amis, je t’ai croisée, et j’ai voulu venir, avec un haussement des épaules, comme pour dire que ça m’était venu comme ça, spontanément, sans trop réfléchir (mouahaha).
E : Les Français font pas ça d’habitude ». LA phrase parfaite, qu’il me fallait, pour placer un superbe baratin du genre oui, c’est vrai, d’ailleurs, c’est bien dommage, et dans d’autres pays où j’étais, les gens se parlent plus facilement, et je trouve ça cool de rencontrer quelqu’un de complètement inconnu et tout un beau schmilblick. Un petit flot de paroles. Je vois qu’elle se calme, ça lui parle, elle est intriguée:
E : « Mais t’as quoi comme origines ? » j’ai dû lui parler de ma famille ou un truc comme ça, me souviens plus. Je lui dis que mes parents sont pas Français, et de pays différents, elle semble étonnée, dit songeusement « Ah, tu es une sorte de mélange » puis, elle me lance un défi de Jedi pour que je devine ses origines.

Je prends un moment solennel de réflexion, je scrute attentivement son visage, mais ça m’a pas aidé, j’en savais rien, donc je lui dis avec une absolue conviction qu’elle était marocaine. Bingo, j’ai juste, elle est étonnée:

E: « comment tu sais ? ». Re-baratin :
M : « Quand j’étais petit, un ami de mes parents s’est marié à une algérienne, il m’avait dit qu’il commençait à reconnaître les Marocains, Algériens et Tunisiens, alors je m’étais juré d’éclairer ce graaand mystère et d’y arriver aussi un jour ».

Elle me dit qu’elle-même n’arrive jamais à reconnaître les différents Maghrébins, l’ignare. Je regarde un moment mes potes qui se sont posés très discrètement un peu plus loin, sur une rambarde de pierre, et qui se marrent, ces gros porcs, en me regardant. Ça me rappelle que je dois également penser logistique :

M : « Je crois que mes amis m’attendent, je vais aller les rejoindre... Tu t’appelles comment au fait? » Elle me répond, demande mon nom, puis je lui dis que je prendrais bien un café avec elle un de ces quatre. Pourquoi pas, répond-elle, et voilà le numéro pris. Je la salue avec un sourire et m’en vais dignement rejoindre mes deux larrons.

« A ton tour, Slimane, espèce de malpropre » !
On lui désigne la détentrice d’un fessier divinement rebondi et se balançant doucement, avec TrueLife. Hésitation de sa part. Je lui rappelle le châtiment bifleux qui l’attend, s’il n’y va pas, en me tapotant la joue avec un regard mauvais. Je sens l’horreur dans son regard, sa décision est prise, il suit la belle. Gros bâche de la fille, qui l’ignore superbement. Il veut refaire un abordage, son honneur n’est pas encore sauf, et il abordera effectivement, ce valeureux.

Bon j’ai continué un peu, mais les sessions par mauvais temps, mauvais spots et l’exigence de filles qui plaisent vraiment, pour pouvoir être honnête en direct, font que là j’en suis qu’à quatre abordages, mais avec deux prises de numéros, pas forcément solides d’ailleurs. Sinon, un bâche magnifique de violence d’une fille bitchy en lunettes de soleil et tout l’attirail, qui m’a méprisé peut-être même plus qu’elle ne mépriserait un faux sac Louis Vuitton. Grande expérience, car je remarque que ce n’est plus un horrible problème, je ne souffre pas atrocement comme je le craignais. Enfin, une fille qui était très contente du compliment, étincelle dans le regard, mais qui était semblablement très pressée, et je n’ai pas insisté.

Mais j’ai une sale hâte de recommencer, et de quitter le charmant petit village natal dans les montagnes reculées où vivent mes parents pour pouvoir SPUer !!!!!

Quelques réflexions :

J’arrive à y aller la tête complètement vide, sans savoir ce que je vais dire, sans peur à partir du moment où la décision est prise d’aborder. Par contre, je sais pas trop ce que c’est, mais j’ai une impression d’irréel, ou de surréel, je vois tout comme hors de moi, comme dans un rêve, et tout « disparaît » à part le visage de la fille, c’est assez fou. Et j’ai une impression de flottement intérieur, de pas être très « solide », ou concentré, de pas avoir une présence ferme. Etrange, me direz-vous, ce drôle de personnage est complètement fou. Ou peut-être peut-on m’expliquer ? L’adrénaline?

Les objectifs à long terme

- Aborder n’importe qui, en direct ou indirect, dans le quotidien !
- Donc aborder seul, sans wing !
- Instant-dater, voire plus héhé
- M’amuser comme un petit fou

En tout cas, que les Cieux, le Hasard et la Destinée bénissent FTS, Friedrich Nietzsche le prophète, et mes wings, toujours fiiiidèles au poste.

Force et Honneur,

Zbbbrrrraaaahhhhh !

Tu m'as bien fait rire avec tes tournures de phrases bien réfléchies.

J't'avoue que je suis déçu comme même je pensai trouver un article rempli de sagesse et de branlette intellectuelle et finalement je tombe sur un article de zigoto qui pense qu'à baiser. Mais bon tu m'as fait rire et tout alors ça va, tu es pardonné !

J'espère juste que c'est la Force Tranquille qui te porte. Parce que comme tu l'as dit toi-même plus haut, "truelife n'aime pas ces concours de bite". Et honnêtement je le trouve pas très net ton mode d'action. Et j'espère qu'au fond de toi tu restes fidèle à toi-même et que tu ne poursuis pas des chimères. Ou alors que ta conscience saura te ramener sur le droit chemin si tu t'en ai écarté.

Content que tu ais ouvert un journal tout de même. Continue de poster là-dedans en tout cas. On pourra se suivre malgré la distance.

J'ajouterai un dernier truc (pour faire chier parce que je suis un enfoiré d'intellectuel) :

Les raisons de nos actes sont plus important que nos actes eux-mêmes. C'est pour ça qu'il est si difficile de trouver l'épanouissement dans l'action, c'est parce que les raisons qui nous portent à agir ont tendance à ne jamais être bien définies. Alors on agit, puis on se rends compte que cela ne nous apporte rien, si ce n'est de la brume. Et puis on réfléchis pour comprendre les raisons de nos actes. Et on réessaye. Et ça marche toujours pas. Et on réessaye, réessaye, réessaye, encore et toujours. Et un jour ça marche.

"Tombes si tu veux, mais relève-toi !"

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Voilà ! C'était la minute philosophique comme tu dis. T'es sur la bonne voie (mais trébuche pas trop quand même).

OMG...J'ai participé à créer un monstre...

Yeeehaa !!!

@TrueLife, cette video fait toujours un putain d'effet. Merci de me (nous) la rappeler.

@padawan: bien joué. Bienvenu dans la tribe des hommes à couilles ;) Et j'aime bien ta prose.

Ah tu te décides enfin à publier tes forfaits, malfrat !

En tant que dernière victime de cette méthode totalitaire, je viens faire part de mon témoignage, afin de préserver les gens de bien de ta folie dictatoriale.

Si je ne m'abuse, le point central de cette technique, c'est de mettre son honneur en jeu pour aborder plus facilement et dépasser ses limites en général. Jusqu'à maintenant, j'ai toujours été réfractaire à tes délires de concours de bite et d'honneur, tout comme TrueLife. Parce que de un ça me fatigue tes conneries, et en plus je suis bieeeeeeeeeen au dessus de ça. Sérieux. On est pas des samouraïs bordel. On vit dans le vrai monde, pas dans le Cid.

Je me croyais malin, mais la nonchalance et le détachement cachent parfois les plus fourbes lâchetés que sont toutes ces frayeurs qu'on est incapable de s'avouer à soi-même. J'illustre mon propos par une petite fable : fût un temps j'étais pas trop mauvais en athlétisme. Ma fierté, c'était de sauter loin dans un bac à sable et de foutre une jambe devant l'autre plus vite que les autres. À l'époque je trouvais que c 'était la classe internationale de faire ça. Du coup, je me bougeais le cul, je m'entrainais à fond et ça payait. Au bout d'un moment j'ai commencé à plus tellement être le meilleur. C'est là que mon esprit tordu m'a fait une fourberie impardonnable : il a décidé que finalement, tous ces trucs n'avaient plus tant d'importance que ça. Comme pour me protéger de la souffrance de l'échec. Résultat, j'm'en battais les steaks du résultat et je suis devenu aussi agile qu'une tortue rhumatisante faute d'entrainement.

Et bien pour la séduction et les relations sociales en général, j'ai un peu fait la même chose. Il y a quelques années, j'avais mis mon honneur en jeu pour devenir un homme, un vrai, comme dans If de Kipling. J'ai fait des progrès de zouf grâce à cette petite fierté et ce petit égo que je me construisais doucement. Je m'en suis lassé au bout d'un temps, je commençais à devenir orgueilleux je crois. Seulement, depuis j'ai largement moins progressé dans l'élargissement de ma zone de confort.

Mais pendant cette dernière session avec toi , je suis rentré à nouveau dans le délire de fierté. Si t'aborde pas, si tu dépasses pas tes peurs, t'es qu'une merde tondue, bifflée et ruinée. Et damn, c'est hyper motivant, on arrive à dépasser ses petites faiblesses. La compétition, l'émulation, ça fait avancer plus vite. Même si de nature je suis pas dans ce genre de trips, parce que je suis du genre pacifiste, la concurrence au bon moment et dans le bon contexte ça peut avoir du bon.

Bien sûr il y a mille autres moyens de se motiver en drague, et le premier levier ça devrait être l'envie de gouloum gouloum, voire la douceur d'un tendre moment passé en une charmante compagnie. Mais l'avantage de la méthode de la fierté, c'est que l'enjeu n'est pas la fille en elle-même, mais ta propre capacité à te dépasser. Du coup ça te détache un peu de la fille, t'es comme dans ton monde, c'est ta réalité (ta frame!), ce qui peut avoir son charme si j'en crois ma maigre expérience. En plus, on peut recycler cette méthode et l'appliquer à tous les domaines de sa vie, si c'est pas génial ça!

Le beau pavé que j'ai pondu là! – J'arrête, je me remets à l'action, mon prochain post sera un FR!

Le plus important c'est de toute façon de se lancer.
Une fois que c'est fait, on peut très bien trouver une raison de progresser/continuer en route.
ça ressemble à une histoire de gamin (ça l'est), mais ça marche et ça te fais grandir.
C'est donc une histoire d'homme?

Ce premier FR et vos encouragements auront eu le don de me motiver à bloc pour ouvrir un journal FTS! - j'avais oublié le plaisir que j'avais à écrire pour les rédactions de français

,

En plus j'ai besoin de vos avis et conseils de lecteurs de FTS (qui sont des sacrés lecteurs, ils ont tous lu et réfléchi plus que la moyenne, une vraie fourmilière de sages barbus de la séduction

. J'ai vu la bonne dynamique que ça faisait chez Olfff aussi, alors je me suis bougé!

Et que l'aventure cooooontinuuuuue