Dissonance cognitive dans mon jeu de séduction

Note : 3

le 13.08.2012 par frenchfab

7 réponses / Dernière par Venusian le 15.08.2012, 20h38

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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Bonjour à tous les aoûtiens du forum, :D

Je vous fais part d'un questionnement au sujet de la mise en œuvre de la drague dans des lieux où je la pratique, tels la rue, les centres commerciaux, les magasins, etc.

Cela fait environ un mois que j'ai décidé de m'y mettre de manière empirique, et depuis 3 semaines je fais en sorte d'aborder les femmes qui m'attirent vraiment (le pourcentage de lâcheté ou d'excuses bidons pour ne pas y aller dans ce cas, je l'estime encore à environ 1/3 aujourd'hui).

La prise de contact avec le sourire, l'élocution, la décontraction, ainsi que les râteaux "secs" (plus rare que je ne pensais si on respecte les points précédents), je commence à gérer à mon humble niveau.

Suivant les circonstances, mon humeur et comment je "ressens" la personne que je vais aborder je fais soit de l'indirect game ou du direct game soft (ex parmi d'autres : "tu as eu du goût pour ce joli sac rose, c'est une marque connu ?" ou une remarque situationnelle sur ses vêtements)

Malgré le fait que dans, disons, 3/5 ème de mes abordages, j'arrive à créer une discussion qui va au-delà de la minute avec la jolie marmotte, je dois faire le constat que je merde pas mal lorsqu'il s'agit de conserver un contact avec la damoiselle (téléphone, ou à défaut Facebook ou mail). Je trouve qu'il y a pas mal de déchet à ce niveau là pour l'instant.

Et sur ce point, il y a comme une dissonance cognitive qui émerge peu à peu dans mon vécu du street game :
- d'un côté, il y a la contrainte de temps (que l'on va utiliser comme justificatif pour ne pas tenir la chandelle à la quasi inconnue), ou qui est réelle : souvent, j'accoste pendant ma pause au boulot, quand je vais voir des amis ou que je fais mes courses, etc. ;
- de l'autre, clairement, pour que la fille désire vous revoir et vous donne son numéro, il faut créer du confort et une connexion entre-nous.


Mais, diantre que ce n'est pas simple de naviguer entre ces deux contraintes, lorsque l'on a que 2 à 5 minutes pour susciter de l'intérêt chez la jolie marmotte à qui l'on a parlée.

D'où ma question : comment trouver une parade à cela ?
Évoquer la contrainte de temps au début de l'interaction, mais ne plus se soucier de la durée ensuite, quitte à faire 10 ou 15 minutes ? Mais bon, faut trouver un motif de faire si long au rayon fruits et légumes de mon supermarché du coin...
Ou alors, instaurer et susciter de l'émotion le plus rapidement possible ? Par des tournures de phrase ad hoc par exemple ? Mais comment ne pas tomber dans le robot qui débite son discours ?

Me reviens à l'esprit une jolie trentenaire que j'ai abordé ce matin, plantureuse et belles fesse rondes comme j'aime, au rayon livres de mon supermarché. Je retranscris de mémoire. Je la vois, toc toc fait mon p'tit coeur, je compte 1, 2 et... :

Moi : "Bonjour, je peux vous poser une simple question ?
Elle : bonjour... oui.
M. : Je vois que vous vous intéressez aux livres. Pourriez-vous me conseiller un bon bouquin parce que c'est bientôt l'anniversaire de ma sœur, et je rame un peu... je suis plutôt ouvrages historiques.
E. : Et bien justement, celui-ci je vous le conseille (en le désignant). J'ai lu tous ceux de cet auteur. C'est agréable et facile à lire.
M. Merci pour ce judicieux conseil, je vais y réfléchir... ah au fait, je ne me suis pas présenté (grand sourire), tendant ma main. C'est Fab. et vous ?
M. (tendant la sienne). Moi c'est V. (les joues rougissent un peu).
Puis elle me dit qu'elle vient de Montpellier...M. Aah, Montpellier, ville que j'apprécie particulièrement ! (et c'est vrai) Si vivante, si animée... Tu aimes sortir de temps en temps ?
E. : non pas trop... et je suis ici pour une semaine en vacances... qu'est-ce qu'il y a comme bouchons...
M. Effectivement, c'est infernal.
E. (elle enchaîne) Moi aussi justement, je suis à la recherche d'un cadeau pour une personne de 78 ans...
M. Mmm... à cet âge là, il faut un cadeau fonctionnel : une cafetière ? L'intégrale de Derrick ?.. Regardant ma montre (ce coup-ci, fausse contrainte de temps, car j'avais encore un 1/4 d'heure devant moi) : je vais devoir partir pour bosser. Merci encore pour tes précieux conseils (je passe du vouvoiement au tutoiement comme ça). Ce serait sympa qu'on reste en contact pour boire un café un de ces jours?..
E. Oui mais j'habite Montpellier...
M. Oui bien sûr, et d'ailleurs, il m'arrive de m'y rendre.
E. (sourire) tu sais, je ne suis là que pour une semaine...
M. Effectivement, c'est pour cela que te propose que tu me donnes ton numéro de téléphone. On pourrais se revoir et faire connaissance plus tard.
E. Oui mais c'est assez loin Montpellier de X (ville où on à papoté aujourd'hui)Bref, ça tourne en rond.M. : (grand sourire) en tous les cas, je te remercie pour tes conseils sur le bouquin et en plus, discussion vraiment sympa.
E. : (s'éloignant doucement) Peut-être à bientôt ?..
M. (grand sourire taquin) Sans numéro de téléphone, on se base essentiellement sur le hasard, hein... Au revoir.
E. Au revoir."

Je m'éloigne en lâchant un bon gros "argggh !", suivi d'un "rutudjuuu !" en mon for intérieur.

Voilà un exemple typique
Autant, il y a encore 15 jours, j'étais tellement content d'avoir papoté tranquille avec une jolie demoiselle (j'ai essayé justement pas mal de HB8 à HB9 voire 2 ou 3 H10 Milf justement pour me désinhiber de la parlote avec une vraie inconnue) qu'il m'arrivait de me satisfaire juste de cela et de ne pas demander le téléphone ; autant désormais, quand je le demande, il y a trop de déchet à mon goût.

Des pistes de réflexion ?
Merci de vos remarques.
Fab.
Ta contrainte de temps c'est l'arbre qui cache la forêt.

Une minute ça peut suffire pour prendre un numero et voir la fille en rdv le lendemain.

Pourquoi ? Parce que c'est l'intensite de l'impact émotionnel que tu engendre qui fait que la fille voudra savoir plus.

On peut avoir un échange a la fois confortable et attirant de deux minutes avec quelqu'un dont on ne connait pas encore l'âge ou la profession.

Travaille ton attitude durant l'approche, l'intensité de ton regard, l'intonation de ta voix et le débit de tes paroles. Si tu veux faire tirer juste pour faire du confort, c'est a dire si l'échange étendu n'est pas arrivé naturellement, ça va devenir awkward et l'interet redesecendra.

Fais puissant, fais simple, sois confortable et la discussion sera confortable. l'idée qu'un échange confortable est corrélé a, voire dépendant la durée du pick-up ou meme son contenu a moindre niveau, c'est un faux problème.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] 100% d'accord le 13.08.12, 20h41 par kee
  • [0] Absolument le 19.09.12, 17h04 par Aristophane
Comme le dit Olff, soigne ton attitude peut-être. Ton FR ne retranscrit pas ton attitude générale, le ton de ta voix, ton regard, etc...

Sinon, une autre remarque. On est dans la section direct game, et justement je ne vois pas de direct game dans ton exemple.
Tu l'abordes de manière indirecte, ce qui en soit n'est pas mauvais du tout, mais à aucun moment tu n'as manifesté ton intérêt pour elle et je dirai de manière globale à aucun moment tu n'as centré la discussion sur elle.
Tout tes sujets de conversation sont neutres, plats, vous parlez de trucs externes (Montpellier, etc.), et en aucun cas de toi et elle.
Pour résumer, la nana ne sait pas qu'elle se fait draguer je pense, jusqu'a ce que tu lui demande de la revoir. Et perso, je pense qu'il est préférable que la fille sache qu'elle se fait draguer.

Enfin, pour le numéro de téléphone tu aurais pu être plus insistant par contre. Elle te dit à bientôt, là tu sors ton téléphone et tu acceptes sa proposition de "à bientôt" en prenant son numéro ! :mrgreen:
J'ai eu du mal à te comprendre au début car la "dissonance cognitive" fait référence à quelque chose de précis en psychologie.

Pour info, c'est lorsqu'un fait ou une information que tu obtiens entre en contradiction avec tes croyances. Il se passe un processus de rationalisation instantané :
soit tu ignores le fait ou l'information, soit tu modifies ta perception du fait pour conserver ta croyance, soit tu adapte ta croyance pour intégrer le fait dans ta réalité.

En fait tu a plutôt l'impression d'y voir une contradiction, mais tu peux créer une connexion rapidement par les émotions. Par exemple si tu déclenche un fou rire, tu verras que la connexion se fait instantanément.

Sinon tu peux travailler l'axe de l'attraction, un peu comme te disait Olfff. Tu n'aura pas forcément une connexion forte mais tu va susciter un désir qui donnera à la fille envie de te revoir.

Enfin tu peux travailler l'axe du leadership. Tu prends le numéro parce que pour toi c'est naturel d'échanger les numéros et de vous revoir après une rencontre. Dans la majorité des cas, la fille va suivre parce que tu auras donné la direction de l'interaction.
D'accord avec ce qu'a écris Vénusian sauf sur le fait que tu aurais dû être plus insistant, car là, à mon avis tu aurais paru lourd.

Jusqu'à ce que tu dises "Ce serait sympa qu'on reste en contact pour boire un café un de ces jours?..", on n'a pas l'impression que tu la dragues. Du coup, la demande du numéro vient trop vite.

Attention, je ne dis pas que le début de la conversation est mauvais. Au contraire, tu montres que tu es sympa, sociable et que tu as eu le courage de l'aborder.

Par contre, avant cette fameuse phrase et cette demande de numéro, tu aurais pu passer en mode drague en étant direct, en lui disant, tout simplement, que tu l'avais apreçu dans le rayon et que tu avais eu envie de venir lui parler parce que tu l'avais trouvé charmante.

Ensuite, tu peux te rapprocher plus près d'elle en lui faisant une remarque sur quelque chose qu'elle porte (ex: collier, bracelet...), en lui demandant si c'est un cadeau d'un être cher...

Puis, tu peux lui poser la qusetion de savoir d'où elle vient. Après parle un peu de toi.

Et à la fin, dis lui que tu aimerais lui faire découvrir un bar sur Montpellier que tu aimes bien. Demande lui ses disponibilités...etc

Voilà, voilà...Tu vois le truc ?
Merci à tous pour vos contributions constructives. Un bon feedback sur le game que l'on a pratiqué seul, ça apporte beaucoup !

@ Olllf : oui je te rejoins : faire puissant, faire simple, faire confortable. C'est le pré-requis. Je me rends compte qu'après 40 ou 50 approches, les choses se mettent peu à peu en place, mais pas toutes n'émergent naturellement ET ensemble lorsque je le souhaite en game : je me suis d'abord concentré sur l'aspect rassurant pour l'autre : énergie, sourire, regard dans les yeux, décontraction, assurance. Mais il manque encore d'autres dimensions : body langage, sensualité, expression du sentiment, un peu plus de kino quand on le sent (suis pas très kino à la base) etc.

La séduction requiert de mobiliser toutes ces qualités, et quelques autres, instantanément. C'est du boulot, et je vais continuer à m'y atteler dans la pratique.

@ Venusian : effectivement, l'exemple pris est de l'indirect game. Je l'ai choisi car c'était le plus récent, mais disons que 2/3 de mes accostages sont du direct. Par contre, pour la jolie poupoune du centre commercial et d'autres dans des lieux similaires, je trouve que l'indirect se prête mieux (c'est juste mon ressenti), parce que c'est un lieu fermé, les gens sont souvent tendus et plongés dans leurs courses, il y a une forte concentration de personnes qui passent dans tous les sens, des vigiles qui déambulent etc.

Sinon, tu vises juste : avant que je lui demande son numéro, mon discours affleure, mais ne rentre pas assez dans la pensée émotionnelle de l'autre. C'est trop formel. Du coup, je réalise que ma demande de numéro de téléphone tombe comme un cheveu sur la soupe. Il n'y a pas assez de fluidité et de logique pour en arriver à cette demande. J'aurais par exemple pu la taquiner sur ses joues de marmotte qui rougissaient un peu ou sur son allure élégante ou gracieuse (non pas sur ses jolies fesses...). Et après, en voyant sa réaction et en enchaînant un peu dans l'escalade émotionnelle + un petit rire communicatif, hop ! Demander son numéro pour poursuivre cette discussion agréable.

@ Freeman : pour la notion de dissonance cognitive, si je me base sur la définition du chercheur Festinger qui en a développé l'hypothèse, c'est : un état de tension désagréable dû à la présence simultanée de deux cognitions (idées, opinions, comportement) psychologiquement inconsistantes. Pour ce qui me concerne, c'est d'un côté, la contrainte de temps, et de l'autre, créer du confort émotionnel et une connexion, ce qui me semblait difficile en un temps limité. Mais Olllf et toi également avez justement rappelé qu'au fond cette notion de contrainte de temps est un faux problème. Ce qui compte, ce sont les ingrédient verbaux et non verbaux que l'on met dans notre interaction pour que cela produise un effet « séduisant » chez la fille à qui l'on cause.

@ Levi : j'aurais pu également, comme tu le précises y aller plus direct dans cette interaction. Mais j'ai une retenue (croyance limitante ?) dans ces lieux fermées avec beaucoup de personnes stressées et pressées qui déambulent, pour faire du direct game. Dans la rue, et plus généralement à découvert, je suis plus à l'aise pour faire du direct.

Chacune de vos remarques m'a vraiment fait avancer dans ma réflexion sur le contenant et le contenu de l'approche.

Dans le prolongement de ce fil et notamment sur l'intensité émotionnelle pour générer l'attraction, j'ai remarqué l'importance cruciale d'un point qu'on répète à l'envie sur ce forum, mais ça va mieux en le pratiquant : la puissance du regard et de ce canal pour communiquer son état intérieur.

Très peu de personnes regardent l'interlocuteur réellement dans les yeux. Même moi qui le fait un peu plus que la moyenne, mon regard a tendance à fuir au bout de 2 secondes. Ce mardi matin, j'ai décidé de l'utiliser réellement dans une situation banale. Auprès de l'employée de ma banque qui se trouvait derrière le guichet. Vous savez, ces jolie employées de 22 -25 ans, saisonnières, qui remplacent les CDI partis en vacances estivales.

Bah punaise, j'ai senti au bout de quelques instants que de ses jolies yeux partaient comme des crochets virtuels qui venaient s'agripper aux miens (d'yeux). Agréables instants et pourtant, là, rien que des propos formels :

Moi : « (la fixant à la fois intensément et sereinement « bonjour (sorte de voix de Barry White de province), je souhaite déposer cette somme de xxx euros sur mon compte...
Demoiselle : oui...
M. (après une petite dizaine de secondes, je baisse les yeux pour saisir ma carte d'identité et la lui donner, puis je la refixe en lui disant) : Rassurez-vous (grand sourire et la fixant intensément), ce n'est pas un repris de justice sur la photo (où j'ai une tronche de mafieux qui sort de 24h de GAV), c'est bien moi, mais j'avais pas pris mon Benco ce matin là, et dans ce cas, je suis un peu tendu.
D. (gloussements) : hi ! hi ! hi !
Blabla d'une minute...
M. : (toujours le sourire et la fixation du regard) Passez une bonne journée. Au plaisir...
E. (regard similaire à un lapin pris dans les phares d'une bagnole) : Egalement... bonne journée. »

Délicieux ... :)
Fab.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Like ! le 19.09.12, 17h10 par Aristophane
frenchfab a écrit :@ Freeman : pour la notion de dissonance cognitive, si je me base sur la définition du chercheur Festinger qui en a développé l'hypothèse, c'est : un état de tension désagréable dû à la présence simultanée de deux cognitions (idées, opinions, comportement) psychologiquement inconsistantes. Pour ce qui me concerne, c'est d'un côté, la contrainte de temps, et de l'autre, créer du confort émotionnel et une connexion, ce qui me semblait difficile en un temps limité.
Pour le coup il y a une dissonance cognitive entre ce que j'ai étudié en psychologie sociale et en psychologie cognitive avec ce que tu décrit. :-)
J'ai quand même checké parce que ça date et que la mémoire a tendance à se déformer avec le temps, mais il y a bien une nuance que tu ne fais pas.

Là tu ne prends que la partie généraliste de la définition de Festinger. C'est comme si tu définissais le coca-cola comme une boisson gazeuse sucrée et que tu appelais coca-cola de l'orangina...
Du coup, il semblerait que tu confondes la dissonance cognitive avec tout type de choix contradictoires à faire.

En fait il y a des conditions d'application à la dissonance cognitive. En effet, elle nécessite que tu sois à l'origine dans un système stable de croyance/comportements et que tu aies un comportement de base que tu privilégies. Et non pas un comportement (de séduction) que tu es en train d'acquérir et d'ajuster.
Dans ton cas, ça supposerait que tu aies un état stable dans ta manière de draguer qui t'apporte les résultats que tu cherches.

L'article de wikipédia qui n'est pas idéalement fait, mais tu trouves quand même que ça concerne :
-La rectification d'idées acquises
-Le désengagement d'un investissement
-Un message visant à modifier le comportement
-Des faits contredisant l'opinion

J'ai trouvé un très bon article synthétique :
http://www.psychoweb.fr/articles/psycho ... esent.html
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Tout à fait le 15.08.12, 13h30 par LittleNeapolis
Sinon, tu vises juste : avant que je lui demande son numéro, mon discours affleure, mais ne rentre pas assez dans la pensée émotionnelle de l'autre. C'est trop formel. Du coup, je réalise que ma demande de numéro de téléphone tombe comme un cheveu sur la soupe. Il n'y a pas assez de fluidité et de logique pour en arriver à cette demande. J'aurais par exemple pu la taquiner sur ses joues de marmotte qui rougissaient un peu ou sur son allure élégante ou gracieuse (non pas sur ses jolies fesses...). Et après, en voyant sa réaction et en enchaînant un peu dans l'escalade émotionnelle + un petit rire communicatif, hop ! Demander son numéro pour poursuivre cette discussion agréable.
Oui, c'est pas le fait d'aborder de manière indirecte qui est un problème. Mais c'est le manque de connexion, mais tu as toi même de bonnes idées à posteriori sur ce qu'aurait pu être l'interaction.

Lorsque tu te présentes, elle te donne son prénom. C'est une arme en or massif, pour créer de la familiarité, sers-toi en aussi ;) !
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