En cette période de vache maigre, comme je n'ai rien à raconter à part des râteaux

, pour me remettre dans un bon mojo, je vais revenir sur mon premier et unique FC en SPU, que je n'avais pas raconté.
Je retrouve donc A. en centre ville pour aller dîner, c'est la dernière fois qu'on se voit. La discussion est agréable, lors du précédent date, elle m'avait clairement fait comprendre qu'il n'y aurait pas de FC, donc je n'attend plus rien. Je suis juste en mode amical, même pas de kino, rien, mais je sexualise quand même la conversation.
Je devais lui apporter un petit petit truc qu'elle m'avait demandé, histoire qu'elle ai un souvenir de moi avant de quitter la région. Je l'ai oublié à mon bureau, mais pas de souci j'ai les clé de l'agence, qui se trouve heureusement à deux pas de là.
On s'y rend donc en milieu de soirée juste après dîner. Je fais la visite des lieux, des beaux locaux avec du parquet dans un ancien bâtiment. Je lui donne son petit truc, on discute vite fait.
Je vais aux toilettes, je reviens dans la pièce, elle a éteint la grande lumière, reste juste un éclairage tamisé venant du couloir, là je la retrouve sans le gilet qu'elle portait, et le haut de sa robe déboutonné

Elle s'approche vers moi avec un regard très explicite
Je lui demande si ça ne lui fait pas bizarre de faire ça avec un homme beaucoup plus âgé, ce à quoi elle répond que ça l'excite
Elle tombe sa robe (et le reste), elle s'assoit sur mon bureau, avec un grand coup de bras bestial, je vire ce qui s'y trouve et l'allonge. S'ensuit un FC en bonne et due forme sur mon bureau, ce qui se trouve autour et biensur sur le canapé de l'accueil
Après un petit câlin, on s'offre une balade à vélo pour aller chez moi, où on remet ça quasiment toute la nuit, avec juste une pause KC passionné, là on est carrément chauds ! Ce fut le nuit la plus intense de ma vie, avec la plus belle HB avec qui je sois sorti.
J'aurai dormi moins de 2H cette nuit là, le lendemain au boulot je suis crevé, mais c'est de la bonne fatigue. Un bon coup d'éponge sur le bureau s'impose.
Depuis je ne vois plus mon lieu de travail de la même manière

Je n'ai rien dit à mes collègues.
En ces temps difficiles sans résultats, je me dit que c'est pour revivre des moments délicieux comme ça que je dois m'accrocher.
Bon maintenant retour au présent, prochain défi : me mettre au NPU, un monde que je suis loin de maîtriser.