Toujours en bonne compagnie: Week-end à Budapest

Note : 54

le 16.07.2012 par Blusher

15 réponses / Dernière par thib9060 le 25.01.2013, 00h26

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
Nous nous mettons en route vers le Doboz, une boîte dont j’ai entendu le nom toute la journée dans la bouche de jolies filles. C’est à mon sens le meilleur moyen de choisir ses plans de soirée.

D’autant qu’on y retrouvera deux filles abordées dans la journée ce qui est souvent un bon plan.
Le Doboz m’a tout de suite plu. Déjà parce que j’avais une telle patate qu’il aurait vraiment fallu un rade tout pourri pour que je me mette à faire la gueule. Et parce que l’endroit a un charme fou avec sa cour intérieure séparant les 3 bars et les deux dancefloors.

Image


J’aime quand la disposition des lieux me permet de gérer plusieurs plans en même temps, de déambuler au gré de mes envies et de ne jamais me faire chier. Cherchez quelque part la définition de l’Hyperactivité et je vous parie qu’il y aura une photo de moi en soirée pour l’illustrer.

Ah oui, puis il y a les prix quoi. De mémoire tu paies un truc dérisoire à l’entrée genre 5 ou 10 EUR et ils te filent des tickets de conso. Quand on était à Paris ou Londres le week-end précédent au début on croit à une blague ou à un malentendu.

Mon esprit est ancré dans la seconde présente, les deux pieds dans le présent.

Je n’ai qu’une idée en tête : que nous passions une soirée inoubliable avec les plus jolies filles de la boîte. C’est tout. Aucune pensée parasite ou négative ne vient perturber mon esprit.
Pour ceux que ça intéresse, ce dont nous faisons l’expérience ce soir-là est bien connu sous le nom de Flow :
Le flow, littéralement le flux en anglais, est l'état mental atteint par une personne lorsqu'elle est complètement immergée dans ce qu'elle fait, dans un état maximal de concentration. Cette personne éprouve alors un sentiment d'engagement total et de réussite. Ce concept a été élaboré par le psychologue Mihaly Csikszentmihalyi, (Source : Wikipédia)
Bref, la soirée au Doboz s’annonçait bien.


La soirée fut longue et mouvementée. Je ne vous relaterai ici qu’une ou deux anecdotes qui m’ont marquées et dont il est aisé de tirer quelques conseils simples et concrets.

Tout d’abord, l’accueil chaleureux que nous réservent Szofia et sa copine, surtout sa copine d’ailleurs... Elles se jettent à mon cou en me voyant arriver ce qui est toujours plus flatteur que de se faire cracher à la gueule. L’une d’elle passe même sa main sous mon t-shirt. C’est d’autant plus remarquable qu’elles sont accompagnées de deux mecs qui ne doivent pas souvent sortir de la salle de muscu.

Note : On m’a prévenu. Les Hongrois ne sont pas forcément les dragueurs les plus subtils et ils n’ont, pour la plupart, aucune aptitude même élémentaire à flirter. Pour plaire aux filles, ils soulèvent de la fonte, beaucoup de fonte, espérant qu’elles choisissent in fine sur la base fiable, quantifiable et tangible du volume musculaire. Ce n’est pas aussi absurde qu’il y paraît mais c’est un peu simpliste et forcément, ils leur arrivent de se faire griller au poteau par quelqu’un d’un peu plus exotique, empathique, transgressif ou divertissant. Du coup, ils nous regardent avec un air un peu sombre au moment des présentations mais rien de bien méchant. Simplement, ils savent désormais qu’on peut revenir leur casser leur coup quand on veut. Forcément, ça les emmerde.

Image

Peu après, j’aperçois un petit groupe de filles qui dansent avec entrain. L’une d’elle est super mignonne. Le moment où l’envie me vient d’aller lui parler correspond exactement au moment où je me tourne pour marcher jusqu’à elle. Question congruence et spontanéité au moins, je fais un 10/10.

Je m’incruste au milieu des quatre danseuses. Je me mets en face de celle qui me plaît, je lui prends les mains en plongeant mes yeux dans les siens.
Moi : You’re soooooo cute !
(Trad : Tu es tellement craquante !)
Sans réfléchir, je viens de lui dire ça comme si j’étais en train de parler d’un chaton trop mignon sur une vidéo Youtube. A posteriori, on pourrait dire sans sur-analyser que le ton employé est infantilisant et le message plutôt flatteur puisqu’il s’agit d’un compliment.

Reprenons :
M : You’re so cute !

E : Thanks ! (Elle sourit délicieusement et semble rougir un peu)

M : You’re even cuter when you do that little step to the side. Stop being so damn cute for just one second. What’s your name?

E: Agnes…

M: (oh merde) Really? That is such a shame. My mother’s name is Agnes. I could never kiss a girl whose name is the same as my mother... or even just flirt.

E: Why not? (demandé comme ça les yeux dans les yeux ça ressemble fort à un signe d’intérêt)

M : Would YOU kiss a guy who has the same name as your father ?

E: (Elle réfléchit deux secondes) What’s your name ?

M : Jean-Baptiste.

E : OK, good; that’s not my father’s name. (coquine, va)

M : So, you can kiss me but I can’t? How are WE going to do that?

E: We can find nicknames for each other. (pas mal, elle propose des solutions pour le passage à l’acte. Good girl)

M : You know what ? I thought you were cute but you’re fun too. I really like you.
Je la prends dans mes bras pour lui faire un gros calin plus chaleureux que sexuel. Elle se blottit quelques secondes contre mon épaule et me serre très fort.

Elle murmure quelque chose à mon oreille. Je n’arrive pas à comprendre.
M : What did you just say ?

E: (intimidée) No, nothing…

M: Come on…

E: I say something like… ‘You too, you’re almost too much fun.’
Et elle me fait une bise désarmante sur la joue. Tout cela a un côté cours de récréation.
Ses amies se sont mises à l’écart pour danser, sentant sans doute qu’elles étaient de trop.
Ce premier acte me semblait tout à coup parfait. Rien à rajouter ni à soustraire pour faire bonne impression, elle m’a charmé aussi.

J’aurais pu l’embrasser, je le sais, elle le sait. Je décide de revenir plus tard. Ne soyons pas trop gourmand, je sais que je serai bien accueilli.

Petit interlude: exercice de gratitude

Je sors fumer une clope dans la cour intérieure. Sébastien vient d’aborder une bombe avec qui il passera la soirée. Je suis profondément heureux, je peux me poser le cul sur une marche, les yeux tournés vers les étoiles et remercier la vie pour tous les beaux moments qu’il m’a été donné de vivre, pour ce métier que j’aime, l’amour de ma famille, de ma copine et de mes amis. Je m’estime chanceux d’être en bonne santé et d’habiter dans un pays démocratique qui n’est livré ni à la guerre, ni à la famine.

Cela fait du bien de s’offrir un petit moment d’émerveillement et de gratitude de temps en temps. Cela permet de se débarrasser de considérations défaitistes qui ne font que nous encombrer inutilement l’esprit pour se concentrer sur les choses importantes.

Image


Je me promène ensuite un peu dans la boîte, sourire aux lèvres. Je danse avec deux ou trois autres filles. Je recroise Szofia toujours aussi jolie, je lui en fais la remarque d’ailleurs.

Finalement, je reviens vers la petite salle ou se trouvent Agnes et ses amies. Elles sont tellement en train de mettre le feu que le DJ est descendu les rejoindre une minute pour danser avec elle. J’aurais pu en prendre ombrage, me dire que j’ai été trop con de ne pas la chopper la première fois, ne pas savoir où me foutre, retourner de dépit au bar me chercher un verre et tenter d’oublier. A 18 ans, c’aurait peut-être été ma réaction.

Là, j’ai juste rejoint le mouvement sans réfléchir.

Ses copines dansaient pieds nus. J’ai dansé avec l’une d’elles, je l’ai même soulevée et posée sur un canapé pour qu’elle y danse. Agnes a remarqué ma présence. Nous avons sauté sur place jusqu’à en perdre le souffle.

Essayez à votre tour:

[youtube][/youtube]

Cathartique, libérateur, sauvage et libre comme de danser tout seul dans son salon avec la musique à fond. Juste une vraie putain envie de s’éclater partagée avec des filles encore inconnues il y a 20 minutes mais avec qui on s’amuse comme avec ses meilleurs potes.

Vous voyez le topo ?

Et puis, elle est bien mignonne la petite Agnes. Il me vient une idée.
M : Stay right here OK ? Don’t move.

E: Yes, OK. (Ses grands yeux expriment autant d’étonnement que de curiosité quant à la suite des évènements)
Je me dirige vers le bar d’un pas décidé. Je grille sans trop de façons les gens qui attendent pour être servis et je demande au barman… un glaçon.

Image

Surpris mais prompt, le barman me file un glaçon dans un verre.

Je retourne voir Agnes pour lui présenter les règles du jeu. Je vais prendre le glaçon entre les lèvres et elle viendra me le confisquer.
M : Technically, this is not kissing. You’re just going to take this ice cube from me…. Using your lips only.
Je pose ma main sur sa taille, elle sur mon épaule et elle vient me le cueillir délicatement en faisant un peu durer l’opération.

Image

Puis je la laisse un moment danser toute seul avec le glaçon dans la bouche (je sais c’est salaud). Puis je viens lui récupérer. Cette fois, elle y met les lèvres, elle en veut on dirait.

Je me retire et recrache le glaçon dans un verre que je repose par terre.

Elle se retourne vers moi dégoûtée de voir que le jeu est fini :
E : Hey ! Where’s the ice cube? Why did you put it away?
Ce n’est même plus un signe d’intérêt à ce niveau-là. C’est une déclaration d’intention.


Au troisième acte, je recroise Agnes et, hilares, nous improvisons une valse sur du Drum ‘n Bass. Nous avons parlé ensuite parlé un peu plus longuement. J’ai découvert qu’en plus d’être jolie et joueuse, elle venait de finir un Doctorat de Chimie à l’Université de Debrecen avant de venir bosser à Budapest. Nous parlons de mon boulot, de mon couple, de séduction et de la spontanéité au quotidien.

De cette conversation fort agréable, je retiens en particulier ce verdict intéressant et somme toute assez universel :
« Les mecs ne se lâchent que quand ils sont bourrés (et en groupe). Ils sont souvent très chiants, ils n’écoutent pas ce qu’on dit parce qu’ils sont déjà occupés à se demander comment ils vont nous ramener à la maison pour coucher avec nous. Et puis ils manquent de tendresse et de respect… Même si j’aime bien qu’on prenne l’initiative. Je veux juste m’amuser. »
[youtube][/youtube]

Note: Je vous interdit d'écouter la reprise de cette chanson par Shaggy.

Un peu plus tard dans la soirée, elle est revenue une dernière fois pour me dire au revoir. Au moment de me faire une bise, elle m’a posé la main à plat sur la poitrine juste au-dessus du cœur et en me regardant droit dans les yeux, elle m’a dit :
« You’re a good man. »
C’est couillon mais je me suis senti léger après ça.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+3] le 06.10.12, 18h32 par Crooked
  • [+3] A lire le 06.10.12, 20h51 par gekko
  • [+3] Constructif le 07.10.12, 00h02 par Serial
  • [+3] Instructif le 07.10.12, 09h28 par Aristophane
  • [+2] A lire le 07.10.12, 11h00 par Vesli
  • [+3] Like ! le 07.10.12, 12h06 par LittleNeapolis
  • [+3] Intéressant le 07.10.12, 16h53 par the artiste
  • [+1] Encore le 09.10.12, 15h33 par Mastery
  • [+1] Yesssss! le 24.10.12, 20h45 par willer
Remarquable innergame de Blusher, tu as passé et fait passer THE soirée à Agnes, à tes coaché etc, et le tout avec un respect total pour ta copine qui n'était pourtant... Absolument pas présente. Combien d'hommes auraient craqués face à Agnès ?

Excellent FR qui donne une pêche et une bonne humeur à vous faire réussir votre journée :lol:
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Merci ! :) le 07.10.12, 13h19 par Blusher
  • [0] Absolument le 07.10.12, 16h54 par the artiste
Je vous disais un peu plus haut que je tenterai de dégager quelques conseils concrets à partir de ce FR. Commençons :

1) PASSEZ A L’ACTION SANS DELAI
Vous rentrez dans un club : Bam ! La fête peut commencer.

2) LE MEILLEUR MOMENT POUR L’ABORDER : LE MOMENT OU VOUS EN AVEZ LE PLUS ENVIE

3) SACHEZ PARTIR POUR MIEUX REVENIR

4) RETENEZ TOUJOURS LES PRENOMS

5) SOYEZ COOLS AVEC SES AMI(E)S

6) SOURIEZ


Voilà, les premiers points qui me viennent en tête et c’est valable pour toutes les soirées, partout, tout le temps.


Intéressons-nous de plus près à mon interaction avec Agnes.

SPONTANEITE

Je la remarque: je lui fais part exactement de ce qui vient de me traverser l’esprit.

« You’re so cute. »

INVITATION AU JEU

La tonalité est infantilisante, tant mieux. Ce n’est pas fait consciemment sur le moment. Mais ce n’est pas pour me déplaire. En effet, la régression que cela induit ne fera que la rendre plus réceptive aux suggestions paradoxales qui vont suivre. Le début de mon pickup est une invitation à jouer. Si j’étais féru d’Analyse Transactionnelle, je dirai que dès le premier mot je m’adresse à son enfant intérieur. Mode FLIRT : ON

http://www.blusherseduction.com/article ... ows-best/5
M : You’re even cuter when you do that little step to the side. Stop being so damn cute for just one second.
Je suis en train de lui dire dès le début : « Je lis en toi comme dans un livre ouvert. » Ce qui est vrai d’ailleurs tant que je bénéficie de l’effet de surprise et que je maintiens mon ascendant avec :
- Compliment (baisse de l’esprit critique –on a pas très envie de remettre en cause ce qui nous donne une image positive de nous même)
- Toucher
- Contact visuel
- Isolation du groupe
- Infantilisation
- Utilisation de l’impératif (« Stop being cute »)

ECOUTE TOTALE ET METACOMMUNICATION

Quand je remarque un élément de langage non-verbal (ou paraverbal) intéressant, surprenant ou charmant, je lui en fais part. Cela permet d’alimenter la conversation et de montrer ooooh combien je suis perceptif («Oui, je saisis aussi ta communication corporelle et je peux même t’en parler, parce que je suis un communiquant hors pair. ») En termes barbares, on appelle cela de la métacommunication : communiquer au sujet de notre façon de communiquer. Forcément quand on pratique le coaching, cela devient une seconde nature.

Entraînez-vous à le faire :
- Je remarque que tu dis ça sur un ton très enthousiaste !
- C’est marrant quand tu parles d’elle, tu perds ton regards dans le lointain comme si tu revivais des moments passés.
- Tu joues toujours avec tes cheveux quand tu parles avec un bel inconnu dans un bar ?

GIVE ORDERS

J’évoque aussi l’utilisation de l’impératif, choses que je fais volontiers durant un pick-up comme au pieu. Les mecs n’osent plus donner d’ordres, ils demandent la permission pour tout. L’avantage du : « Stop being cute ». C’est 1) qu’il y a peu de chance qu’elle s’en offusque 2) c’est impossible à réaliser, elle va juste avoir l’air de plus en plus cute. C’est le principe même du type d’injonctions paradoxales dont je raffole et qu’on retrouve au fil de ce pickup.

TRANSGRESSION

Dans le cas de ce FR, on ne lésine pas sur la transgression puisqu’il on évoque l’inceste (prénom de la mère etc.)
« Dommage que tu portes le même prénom que ma mère. Je ne vais pas pouvoir t’embrasser. »
1) HYPOTHESE COUILLUE : « Si ce n’était ce foutu prénom, on serait déjà en train de s’embrasser. »
2) JE FORMULE UNE INTERDICTION : « et bien sûr, tu vas vouloir la transgresser parce que c’est encore plus tentant quand c’est interdit. »

S’il y a bien un levier de sexualisation efficace, c’est bien celui de l’interdit et de la transgression.

En plus, elle peut s'investir et essayer de me chopper de manière très active sans pour autant craindre une blessure d'ego: si je refuse, ce n'est pas parce qu'elle ne me plaît pas (j'ai même commencé en lui disant qu'elle me plaisait) mais à cause d'un tabou que je me refuse à transgresser (cette histoire de prénom). C'est important à noter parce qu'on oublie parfois de rappeler que les filles craignent autant que nous le rejet, sûrement davantage.


LE FLIRT EST UN JEU COOPERATIF, PAS COMPETITIF

A la lumière de ce qui précède on peut avoir l’impression qu’une personne en manipule une autre avec un plan préconçu en tête. Cette impression vient de l’analyse a posteriori de choses que je fais sans calcul. En fait, tout se passe en réaction par rapport aux signaux émis par votre partenaire de flirt. Au moment d’aller lui adresser un compliment sur la piste de danse, je n’ai que ça. Je suis ancré dans le présent. Je n’ai pas un seul coup d’avance à part l’idée de repartir en connaissant au moins son prénom. N’essayez pas d’anticiper ou de prévoir le reste de la conversation, soyez ouvert à tout ce qu’elle va dire et comment elle va le dire. C’est elle qui vous fournit le matériel pour ne pas vous retrouver à court d’inspiration.

Sur l'écoute et la répartie: http://www.blusherseduction.com/article ... epartie/37

En ce sens, le flirt et un jeu qui se joue à deux et une co-création. Le principe en est davantage coopératif que compétitif.


NOUS Vs. LES AUTRES

Danser un tango ou une valse comme deux fous au milieu d’un club techno revient à se démarquer et à un créer un NOUS distinct du EUX. Cela vous rapproche.

Voilà, j’espère que ça clarifie deux ou trois choses. La suite arrive !
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Instructif le 07.10.12, 16h58 par the artiste
  • [+1] Instructif le 12.10.12, 19h56 par Nnnicooo
  • [+3] A lire le 25.10.12, 21h27 par FreeMan
J'aime beaucoup te lire, on sent qu'il n'y a pas de prise de tête dans ton approche de la séduction (et de la vie), c'est fun et c'est génial.

Et aussi en tant que nana je dois dire que ça ne m'étonne pas que tu rencontres autant de succès, te lire donne envie de se faire aborder.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Merci ! :) le 07.10.12, 15h55 par Blusher
  • [0] 100% d'accord le 12.10.12, 19h57 par Nnnicooo
Quel dommage, il n'y a pas eu de suite à ce FR somme toute très sympa (divertissant mais aussi très explicatif sur ce qui se passe en amont)

Merci Blusher quoiqu'il arrive pour ce qui a précédé :)
Un grand merci pour ce récit ! Je viens de tout lire et ça me motive grave pour me lancer encore plus !
Répondre