Le dragueur universitaire

Débutant dans la pratique de l'art de la séduction (ça fait 2 mois), je poste ici mes expériences pour pouvoir progresser et partager avec vous mes pensées.

Je suis dans une faculté de psychologie à Paris, ce qui fait qu'il y a beaucoup de fille à séduire. En plus je suis dans une fac avec divers licences donc beaucoup de possibilités de séduire des étudiantes venant de domaines lointains.

Tout d'abord, je vous explique ma tactique de séduction. Après avoir lu beaucoup sur le sujet, ma conclusion est que : les méthodes comme celle de Mystery apporte de nombreux outils mais il y a le danger de perdre le naturel de la communication. Je base donc ma méthode sur le naturel et le fait d'être spontané, ce qui rend l’interaction sociale plus authentique et drôle. Je limite au maximum le côté scolaire dans la conversation. De plus, je ne fais que des approches indirectes (utilisation du contexte au maximum). C'est beaucoup plus naturel dans un endroit clos.

Néanmoins, j'utilise 2 atouts principaux : mon humour et ma maitrise du body langage. En effet, je pense qu'il faut se rattacher à ses qualités plutôt que désirer combler les trous. Efficacité garantie. Mon body langage est due à ma mentalité de H2G. Ensuite, je joue aussi sur les relations triangulaires pour donner du piquant : la jalousie est un bon ingrédient, il suffit juste de bien le doser.

A la fac les DHV sont : votre social proof, vos notes ("cet homme est beau et en plus, intelligent"), et votre cool attitude qui fait la différence avec les autres mecs trop sérieux qui ne pensent qu'à étudier... A savoir : il est difficile de ramener directement quelqu'un chez soi ou chez elle si on est à la fac car les étudiants ont des choses à faire en temps normal. Avoir une étiquette de PUA n'est pas bon. Les rencontres se font donc le plus naturellement possible.

Stéphanie HB8, étudiante en danse L1, 23 ans, en train de regarder des gens dansés, brune mi longs, martiniquaise et kabyle, grande. C'était une journée spéciale où des associations venaient se présenter. Je l'aborde en me moquant des danseurs et des clowns qui font des pitreries. Elle sourit et on échange. Soudain, une personne d'une association nous interrompe dans notre début de discussion. Elle accepte à la fin de s'inscrire dans leur association. Je la taquine, en lui disant, qu'elle accepte rapidement les requêtes des gens (disqualify the target). Elle s'implique alors par la suite plus vivement dans la conversation. On parle de tout et de rien pendant 20 minutes. Elle a un cours bientôt hors de la faculté, elle décide donc d'y aller. Je lui dis alors que je dois rentrer aussi. Sur le chemin, elle me demande mon numéro et mon facebook (intérêt très grand de la part de la fille). Cela me surprend... Nous prenons le métro et on parle dans le wagon jusqu'à ce qu'on se dise au revoir. Je l’appelle la semaine suivante. On prend un café le samedi et on va chez elle juste après. On fait ce qu'on doit faire quand on est dans un lit. Je ne la reverrai plus.

Jessica HB6, étudiante en histoire L2, 21 ans, dans ma classe, portugaise, très sexy, moyenne taille, gros seins, blonds longs. Je ne l'avais pas parlé auparavant. Elle m'avait déjà fait un EC plein de désir, ce qui m'avait un peu refroidi, même si je la trouve attirante. Elle s'assied à côté de moi. J'en profite pour open directement en lui demandant si elle a réussi le contrôle que le prof va nous rendre là. Elle me dit que non en souriant. Je lui demande ce qu'elle fait, parle de ses origines..etc Quand le prof lui rend sa copie, on rigole ensemble sur ses fautes (elle a eu 4/20). Et elle réengage toujours la conversation comme si elle voulait me parler depuis longtemps. Elle est impressionnée car j'ai eu 11/20 (DHV). Je me montre un peu trop needy par la suite, ce qui fait qu'elle détourne le regard. Par la suite, j'apprends qu'elle a un copain (chose qu'elle voulait pas me dire => montre qu'elle son intérêt pour moi). Je fais alors mon looser : je pars précipitamment sans lui dire au revoir... CHOSE A NE PAS (RE)FAIRE ! Car maintenant, je ne sais pas comment elle va réagir... Je pense qu'elle est encore attachée à moi mais cette situation a montré ma faiblesse : je suis jaloux.

Waline HB7, étudiante en psychologie, 18 ans, dans ma classe, française, mignonne, aventurière, bruns longs, féminine. On se voit pas souvent (1 fois par semaine en cours). C'est elle qui a engagé la conversation lors du 3ème cours. Elle me regardait souvent sans dire un mot. Je fais rigoler ses amis, ce qui fait que je me DHV beaucoup auprès de la target. Je me fais accepter du groupe donc de la fille qui me plait. Elles rigolent facilement à mes interventions. A chaque cours maintenant, et je le fais pas exprès. Contamination sociale mon cher Watson ! A présent, je ne sais pas ce qu'elle a en tête. Je désire aller plus loin avec elle. On verra après les vacances de Noel.

Sevgi HB6, étudiante en psychologie L3 (moi en L1), 23 ans, turque, sex appeal, très souriante, marrons longs. Je l'aborde pour lui demander ce que veut dire AJ sur l'affiche où il y a les résultats. En riant, elle me répond que ce sont des étudiants qui ont raté une partie de leurs examens et qui doivent donc aller au rattrapage, si j'ai bien compris. On discute alors de tout et de rien. J'essaie de me montrer séduisant en la taquinant sur ses réponses...etc Elle rigole beaucoup parfois pour rien, ce qui n'est pas pour me déplaire. Après avoir rendu un truc au secrétariat, elle revient à moi et on quitte les lieux. Elle rentre chez elle et moi je vais à la BU. Je n'ai pas pris son numéro alors que je pouvais (je suis stupide je sais pas pourquoi, à cause de mon empressement). J'espère la revoir prochainement car j'ai passé un bon moment avec elle.

Katia HB6, étudiante en littérature L2, 21 ans, algérienne, sex appeal. Elle écoute de la musique. J'hésite un instant et puis je l'aborde en lui demandant si elle attend le prochain cours. Elle me dit qu'elle attend une amie. Je lui réponds que l'on a donc un point commun sauf que je suis en train d'attendre un cours qui aura probablement pas lieu (car personne dans la salle de cours). J'enchaine en lui demandant ce qu'elle fait..etc En taquinant toujours bien sûr. Elle est ouverte et souriante. Je phone close, et facebook close. Elle part rejoindre son ami et moi je rentre chez moi.

Ce que je conclus de ces quelques interactions (je n'ai pas tout mis, j'en ai oublié bien entendu) : les endroit restreints comme les salles de classe sont des bonnes places pour jouer, contrairement aux amphis à cause de leur organisation en pyramide (=> pas de contacts proches ou trop proches, ce qui peut rendre mal à l'aise). En plus il y a peu de compétition ce qui vous donne le champ libre pour vous amuser...
Hors des cours, il est facile de jouer puisque les jeunes étudiantes "parcourent" la faculté pour se détendre ou trouver quelque chose à la cafeteria ou au secrétariat. On sent fortement qu'elles recherchent le lien social. En effet, à la fac, les gens pour une grande partie vont en cours et rentrent chez directement après, ce qui ne donne pas le temps de créer un groupe vivant.
J'ai eu beaucoup d’interactions sociales à la cantine. Les gens sont très ouverts et avenants pour discuter avec vous. Pas eu l'occasion avec une fille plaisante.
Il faut maintenant que je pense à jouer hors de la faculté pourquoi pas à la station de métro ?

Ce qui a fait la différence :
- montrer un réel intérêt pour la cible
- vous êtes guidé par votre envie de communiquer avec l'autre (créer un lien)
- spontanéité dans l’interaction
- naturel car approche contextuelle

A faire pour la prochaine fois :
- faire compliments
- et mieux conclure l'interaction
- ne pas oublier de demander le numero

Hey amigo, moi j'adore alors continu comme sa ;)

Gl hf