Le mythe du lait.
Dès lors que l'on produit à grande échelle et que l'on veut des produits sans défauts, on tombe dans des dérives.
Les gens s'offusque de la viande de cheval dans des lasagnes, mais ils devraient plutôt s'inquiéter de la façon dont on élève à grande échelle et ce même en France.
Quand on voit par exemple les élevages de porc, on se rend compte qu'il vive dans leurs mer**s remplies de bactéries avec de la bouffe à même ce sol sale, dans des enclos sans lumière et qui ne permettent pas au porc de bouger. Face à ces conditions sanitaires impossibles pour un porc normal, on le charge d'antibiotiques. Or les bactéries trouvent toujours de quoi résister à ces antibiotiques, comme la bactérie écoli dans le boeuf.
Pour avoir travailler en restauration rapide, les plaques de cuisson sont contrôlées pour avoir toujours une cuisson minimale afin de tuer un maximum des bactéries que contiennent les viandes, alors que personnellement dans ma cuisine, je ne m'amuse pas à mesurer la température de cuisson de mes viandes.
Le lait dans tout ça, c'est la même chose. Après j'ai un ami qui a travaillé à Candia sur les germes contenus dans le lait et apparemment les techniques de pasteurisation sont fiables. Je ne saurais pas en dire plus, mais il ne m'en a pas dit du mal donc j'ai plutôt confiance.
Enfin, c'est facile de taper sur les roumains, bien plus difficile que de taper sur les élevages industriels et encore plus quand ils sont français.
Les gens s'offusque de la viande de cheval dans des lasagnes, mais ils devraient plutôt s'inquiéter de la façon dont on élève à grande échelle et ce même en France.
Quand on voit par exemple les élevages de porc, on se rend compte qu'il vive dans leurs mer**s remplies de bactéries avec de la bouffe à même ce sol sale, dans des enclos sans lumière et qui ne permettent pas au porc de bouger. Face à ces conditions sanitaires impossibles pour un porc normal, on le charge d'antibiotiques. Or les bactéries trouvent toujours de quoi résister à ces antibiotiques, comme la bactérie écoli dans le boeuf.
Pour avoir travailler en restauration rapide, les plaques de cuisson sont contrôlées pour avoir toujours une cuisson minimale afin de tuer un maximum des bactéries que contiennent les viandes, alors que personnellement dans ma cuisine, je ne m'amuse pas à mesurer la température de cuisson de mes viandes.
Le lait dans tout ça, c'est la même chose. Après j'ai un ami qui a travaillé à Candia sur les germes contenus dans le lait et apparemment les techniques de pasteurisation sont fiables. Je ne saurais pas en dire plus, mais il ne m'en a pas dit du mal donc j'ai plutôt confiance.
Enfin, c'est facile de taper sur les roumains, bien plus difficile que de taper sur les élevages industriels et encore plus quand ils sont français.
Effectivement, le sujet dérive un peu... En même temps, qui boit encore du lait bio?Le fait que le lait produit actuellement soit truffé d'antibiotiques n'est en rien un argument contre le lait en soi.
La question finalement c'est aussi celle là : quand - dans le topic de M Smooth - on disait que le lait filait des boutons, quelle est la part du fait que le lait soit de vache? Et la part de traitements dégueus qu'il y a dedans?
Je pense que c'est d'ailleurs là que peut se trouver la part de mauvaise foi des associations végan : condamner le lait en soi a partir d'infos sur le lait industriel.
D'expérience, je sais que les positions extrémistes non sont jamais bonnes à suivre. Or, dire "le lait est un poison" est clairement une position extrémiste.
Je ne vais pas revenir sur les analogies foireuses déjà démontrées par d'autres et qui permettent de démontrer tout et n'importe quoi sous un vernis pseudo-scientifique.
Posez-vous aussi la question, lorsqu'une personne défends une position extrême, quelles sont les raisons:
- elle est totalement endoctrinée, limite sectaire (ce que sont la plupart des vegans militants)
- elle veut vous vendre quelque chose (au hasard, pour vendre des bouquins, c'est beaucoup plus efficace de dire "si vous voulez vivre jusqu'à 150 ans, il faut absolument éviter le lait qui est une poison" que "il serait souhaitable de garder une consommation raisonnable - en définissant ce que l'on entends par raisonnable - de produits laitiers").
- un peu des deux...
Je ne vais pas revenir sur les analogies foireuses déjà démontrées par d'autres et qui permettent de démontrer tout et n'importe quoi sous un vernis pseudo-scientifique.
Posez-vous aussi la question, lorsqu'une personne défends une position extrême, quelles sont les raisons:
- elle est totalement endoctrinée, limite sectaire (ce que sont la plupart des vegans militants)
- elle veut vous vendre quelque chose (au hasard, pour vendre des bouquins, c'est beaucoup plus efficace de dire "si vous voulez vivre jusqu'à 150 ans, il faut absolument éviter le lait qui est une poison" que "il serait souhaitable de garder une consommation raisonnable - en définissant ce que l'on entends par raisonnable - de produits laitiers").
- un peu des deux...
Une petite recherche Google suggère que les coupables (des boutons) soient les hormones de croissances présentes naturellement dedans, et pas de vilains produits chimiques ajoutés.Owen a écrit : La question finalement c'est aussi celle là : quand - dans le topic de M Smooth - on disait que le lait filait des boutons, quelle est la part du fait que le lait soit de vache? Et la part de traitements dégueus qu'il y a dedans?
Il ne faut pas oublier la raison pour laquelle les végétaliens sont végétaliens: ils réfusent pour des raisons éthiques d'exploiter des animaux. Comme la plupart des gens s'en foutent, et savent qu'être végétalien est assez dangereux pour la santé, les végétaliens contre-attaquent sur le plan de la santé, mais ce n'est pas leur vraie raison. Faut pas s'étonner que leur argumentaire "santé" ne soit pas très convainquant ; il serait plus solide s'ils argumentaient sur l'éthique.Je pense que c'est d'ailleurs là que peut se trouver la part de mauvaise foi des associations végan : condamner le lait en soi a partir d'infos sur le lait industriel.
Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de bons arguments contre le lait, ou contre d'autres aliments, mais ce n'est pas chez eux qu'il faut aller les chercher, c'est plutôt chez les hypocondriaques qui suivent les dernières avancées de la médecine pour éviter tout aliment potentiellement dangereux.
Oh la je t'arrête tout de suite, j'ai la chance d'avoir un pote végan non intégriste (autrement dit qui n'en parle pas si on ne lui en parle pas). : a part la vitamine B12, il ne manque de rien. Il a même grossi, le salaud !Comme la plupart des gens s'en foutent, et savent qu'être végétalien est assez dangereux pour la santé, les végétaliens contre-attaquent sur le plan de la santé,
Et encore, il semble que la carence en B12 soit surtout due à la destructions des bactéries naturelles qui en contenaient autrefois et étaient présentes dans les fruits, par les pesticides.
Je lui ai demandé ses sources à ce sujet car perso je n'ai pas trouvé de truc valable pour le confirmer.
Mais en bref : a part le manque de vitamine B12, le régime vegan n'est EN RIEN dangereux pour la santé, cependant il requiert une discipline au niveau des différents menus afin de ne pas se retrouver en carence.
Autrement dit, manger de la viande, c'est plus facile mais loin d'être nécessaire.
[NB : La vitamine B12 se trouve en grande concentration dans le sperme, si vous voulez opener une fille vegan de manière lourde...

- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Tout à fait le 27.02.13, 18h04 par Marshall Ombre
- [+1] Constructif le 09.03.13, 12h25 par John_Rimbault
C'est ce que j'appelle "dangereux"... Si tu te dis "c'est pas cool d'exploiter les animaux" et que tu deviens végétalien, il y a un risque élevé de carences. Moyennant beaucoup d'information et une attention quotidienne concernant ce que tu manges, tu peux limiter ou éliminer le risque, mais ça reste, à la base, dangereux.Owen a écrit :cependant il requiert une discipline au niveau des différents menus afin de ne pas se retrouver en carence.
Je suis à végétarien (mais pas -talien)Autrement dit, manger de la viande, c'est plus facile mais loin d'être nécessaire.

Oui, apres il s'agit d'un choix éthique que je ne partage pas, dans le sens ou les oeufs ne me paraissent pas un grave attentat a la vie (s'ils proviennent d'élevages bio ou plein air, évidemment), mais je suppose que qu'il s'agit uniquement d'un choix de vie qui te force a manger équilibré.
De toutes manieres si tu ne fais pas un minimum gaffe, les carences débarquent.
Anecdote : le copain d'une amie a réussi a choper le scorbut en mangeant pates + steak SANS UN FRUIT pendant un mois. Surveiller un minimum son alimentation est une base de toutes manieres.
On sort un peu du sujet... on resplitte?
De toutes manieres si tu ne fais pas un minimum gaffe, les carences débarquent.
Anecdote : le copain d'une amie a réussi a choper le scorbut en mangeant pates + steak SANS UN FRUIT pendant un mois. Surveiller un minimum son alimentation est une base de toutes manieres.
On sort un peu du sujet... on resplitte?
En fait, j'avais plutôt entendu l'argument de la part des "pro-allaitement maternel" qui utilisaient l'argument du lait de vache approprié aux veaux mais beaucoup moins au petit d'homme, et ça ne date pas d'aujourd'hui, par ex: Le pédiatre Paul Gyorgy disait: "le lait de vache est bon pour le petit de la vache, le lait de femme est bon pour le nourrisson" !Le lait de vache est parfait pour celui à qui il était destiné à l'origine : son petit, le veau ! Il n'est pas fait pour l'être humain !!
A titre de comparaison : Teneur en nutriments de 100 g de lait maternel et de 100 g de lait de vache
Type de lait : maternel / Lait de vache (entier)
Energie (kcal) 70 / 61
Glucides (g) 7,0 / 5,4
Protéines (g) 1,03 / 3,3
Graisse (g) 4,6 / 3,3
Calcium (mg ) 30 / 119
Fer (mg) 0,02 / 0,05
Vitamine A (µg) 48 / 31
Folate (µg) 5 / 5
Vitamine C (mg) 5 / 1
tableau extrait du site de la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Food and Agriculture Organization)
Les industriels ont conçu des laits maternisés à base de lait de vache (le plus souvent en poudre et distribués gratuitement dans les maternités en échantillons, lol !) et donc modifiés pour se rapprocher le plus possible des caractéristiques du lait de femme mais ils n'ont pas encore réussi à y mettre les anti-corps protecteurs naturellement présents dans le lait de femme qui de ce fait est encore plus précieux pour les nourrissons prématurés et/ou fragiles.
Pour lutter contre le lobby industriel des laits maternisés qui agissent au détriment de l'allaitement maternel :
Extrait du site de la FAO (voir l'intégralité sur http://www.fao.org/docrep/004/W0073F/w0073f08.htm pour compléter l'information) :
En 1979, l'OMS et l'UNICEF organisèrent à Genève une réunion à laquelle participèrent des experts, des représentants de l'industrie et d'organisations non gouvernementales (ONG) et des délégués de pays, pour discuter, ensemble, d'éventuelles réglementations pour contrôler la promotion des produits manufacturés de remplacement du lait maternel. A cette réunion les participants décidèrent d'élaborer un code de conduite et se mirent d'accord sur certains principes essentiels. Plusieurs réunions suivirent pour élaborer ce code. Le 21 mai 1981, l'Assemblée mondiale de la santé, adopta à l'unanimité le Code international de la commercialisation des substituts du lait maternel. En 1994, le Gouvernement des Etats-Unis décida enfin d'appuyer ce code, dont l'article le plus important déclare: "Il ne devrait y avoir aucune publicité ni autre forme de promotion auprès du grand public sur les produits entrant dans le champ d'application de ce code". Les autres articles concernent la fourniture d'échantillons sur les lieux de vente; le contact entre le personnel de vente et les mères; l'utilisation des établissements de santé pour la promotion des laits de substitution; et l'étiquetage et la qualité des produits.
Ce code est un compromis entre les industriels et ceux qui pensent que toute promotion des laits de substitution doit être interdite, et répond certainement aux exigences minimales. Ses dispositions sont les suivantes:
• aucune publicité dans les établissements de soins de santé;
• aucun échantillon gratuit;
• aucune promotion dans les établissements de soins de santé;
• aucune incitation ou promotion non conforme aux connaissances scientifiques auprès des agents de santé;
• aucune fourniture gratuite ou à bas prix dans les maternités et les hôpitaux;
• documentation objective plutôt que publicité orientée;
• étiquetage non promotionnel affirmant la supériorité de l'alimentation au sein et prévenant des dangers de l'alimentation au biberon.
Les pays ne sont pas tenus d'appliquer ce code international. Mais il a pour but de suggérer aux gouvernements d'agir pour mettre en œuvre ses principes et ses objectifs. De nombreux pays ont mis en place une législation basée sur ce code. L'utilisation des échantillons se fait encore, mais moins qu'avant. L'allaitement maternel est maintenant soutenu par de nombreux ministères de la santé, plus que par le passé. Néanmoins, on oublie souvent que ce code était un accord de compromis, et, comme tel, ilne répond qu'à une toute petite partie du problème et, comme tous les codes, il a ses points faibles.
Bien que la publicité dirigée au public ait cessé, les industriels continuent de faire la promotion auprès des professionnels de santé; et les firmes font maintenant de plus en plus de publicité auprès du public en faveur de leurs aliments de sevrage destinés aux très jeunes bébés. Nombreuses sont encore les firmes qui offrent des laits de substitution aux hôpitaux dans beaucoup de pays, et les hôpitaux remettent gracieusement ce lait ainsi que de la documentation aux nouvelles mamans quand elles quittent l'hôpital. Cela donne à la mère le sentiment d'un aval médical au lait de substitution.
Dans les pays asiatiques, l'usage des produits laitiers après la petite enfance étant souvent assez réduit (d'ailleurs peu de lait dans les recettes de ces régions du monde, et peu d'élevages bovins lol ), l'intolérance au lactose est très fréquente lors de la réintroduction du lait, mais les habitudes sont en train de changer avec la promotion des produits laitiers dans ces pays ( La Bright Food Group Co. Ltd., un leader de l'agroalimentaire et des produits laitiers en Chine, a commencé à Shanghai (est de la Chine) la construction de la plus grande usine de produits laitiers d'Asie avec une capacité journalière de production de 2 000 tonnes de lait. Ouverture en 2013...).L'intolérance au lactose dont souffrent notamment les asiatiques est très simple: il leur manque l'enzyme permettant de digérer le lactose. Si, comme de nombreux européens, tu as un organisme qui continue de produire de la lactase après l'enfance, alors de ce point de vue là tu es plus proche de la vache
L'intolérance au lactose par régression acquise de l'activité lactasique intestinale ( pour info complémentaire par exemple lire : http://documents.irevues.inist.fr/bitst ... 11-222.pdf ).
Elle concernerait 10 % des adultes en occident, et uniquement avec le lait pur. Le risque identifié pour un individu d'exclure les laitages serait un déficit en calcium et par la suite une ostéoporose (déminéralisation des os avec risques accrus de fractures en vieillissant).
C'est pourquoi des recommandations existent pour la consommation de produits laitiers.
"Les produits laitiers : 3 par jour", préconisation de l'INPES (Institut Nation:
al de Promotion et Education à la Santé) ( http://www.mangerbouger.fr/bien-manger/ ... -jour.html )
Interrogations actuelles sur la consommation de produits laitiers dont :
- Des études controversées sur un lien laitages et cancer de la prostate :
Par exemple, la Physician Health Study, analyse les apports en laitages et en calcium et de la survenue d'un cancer prostatique : "Les hommes dont les apports en laitages et en calcium étaient les plus élevés avaient un risque de cancer prostatique supérieur de 30 % à celui des hommes qui avaient lesapports les plus faibles. Pour chaque tranche de 500 mg quotidiens supplémentaires de calcium provenant de laitages, le risque de cancer prostatique augmentait de 16 %"
nb : Si j'étais un homme, je ferai attention à ma consommation de lait au moins à partir de la quarantaine soit une dizaine d'années avant l'augmentation de l'incidence du cancer de la prostate

- Laitages et facteurs de croissance IGF-1 :
L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), considère que la contribution de l'IGF-1 d'origine laitière au risque de cancers, si elle existe, serait faible.
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Le lait qu'est que c'est:
Un liquide nourissant (composé essentiellement d'eau, de protéines et de graisses) qui est sécrété par les manifères femelles pendant la phase de gestation et pendant plusieurs mois après la naissance.
Sa fonction première est de nourir abondamment de nouveau né en calories pour un développement rapide après l'accouchement, mais aussi et surtout il vhéicule le système immunitaire de la mère puisque celui du nourrisson n'est pas encore actif (6 mois chez l'homme, 12-14 mois chez le veau).
Passé cette période de transfert de système immunitaire, le lait n'est plus qu'une source de nutriment comme une autre, toujours aussi utile et efficace, et même encouragé plutôt que de la substituer au lait de systèse.
Dire que consommer du lait de vache (ou de tout autre mammifère) est contre nature, chaqun est juge. D'octroyer des vertus au lait : c'est une erreur! Pour la simple et bonne raison que le lait est stérilisé avant d'être consommé par l'homme. Après le procédé d'UHT, il ne reste plus grand chose dans le lait, ou plus exactement il y a moins de bonnes. Et oui, il n'y a plus le système immunitaire de la vache (bon ou mauvais je ne sais pas), mais surtout il n'y a plus aucun enzyme de digestion et de métabolisation du lait, ces organismes vivants étant détruits pendant le traitement UHT, et avec eux une grande partie des vitamines et sels minéraux qui supportent très mal l'UHT. Du coup, la bonne pub de la vitamine qui fixe le calcium sur les os...
Enfin bref, le lait de grande surface, en caricaturant, c'est de l'eau, des protéines et du gras.
Bon ou mauvais pour l'être humain : je ne sais pas ! En faire l'apologie... Grosse erreur.
Un liquide nourissant (composé essentiellement d'eau, de protéines et de graisses) qui est sécrété par les manifères femelles pendant la phase de gestation et pendant plusieurs mois après la naissance.
Sa fonction première est de nourir abondamment de nouveau né en calories pour un développement rapide après l'accouchement, mais aussi et surtout il vhéicule le système immunitaire de la mère puisque celui du nourrisson n'est pas encore actif (6 mois chez l'homme, 12-14 mois chez le veau).
Passé cette période de transfert de système immunitaire, le lait n'est plus qu'une source de nutriment comme une autre, toujours aussi utile et efficace, et même encouragé plutôt que de la substituer au lait de systèse.
Dire que consommer du lait de vache (ou de tout autre mammifère) est contre nature, chaqun est juge. D'octroyer des vertus au lait : c'est une erreur! Pour la simple et bonne raison que le lait est stérilisé avant d'être consommé par l'homme. Après le procédé d'UHT, il ne reste plus grand chose dans le lait, ou plus exactement il y a moins de bonnes. Et oui, il n'y a plus le système immunitaire de la vache (bon ou mauvais je ne sais pas), mais surtout il n'y a plus aucun enzyme de digestion et de métabolisation du lait, ces organismes vivants étant détruits pendant le traitement UHT, et avec eux une grande partie des vitamines et sels minéraux qui supportent très mal l'UHT. Du coup, la bonne pub de la vitamine qui fixe le calcium sur les os...
Enfin bref, le lait de grande surface, en caricaturant, c'est de l'eau, des protéines et du gras.
Bon ou mauvais pour l'être humain : je ne sais pas ! En faire l'apologie... Grosse erreur.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Du grand n'importe quoi le 11.03.13, 22h49 par Constant99
- [+1] Intéressant le 12.03.13, 08h52 par Marshall Ombre
Donc tu ne sais pas si c'est bon ou si c'est mauvais, mais ce n'est pas bon, c'est ça ? T'as le droit d'avoir une opinion, c'est pas la peine de vouloir la cacher.Pec8pool a écrit :D'octroyer des vertus au lait : c'est une erreur! [...] (bon ou mauvais je ne sais pas) [...]
Bon ou mauvais pour l'être humain : je ne sais pas ! En faire l'apologie... Grosse erreur.
Pour le côté factuel, maintenant:
- tu critiques le lait UHT et pas le lait en général, on peut trouver du lait cru, du lait pasteurisé...
- les enzymes (qui ne sont pas des organismes vivants) et les bactéries présentes dans le lait conduisent à sa dégradation, elles ne sont donc pas spécialement avantageuses, sauf si on veut faire du fromage avec le lait.
Reste le problème des vitamines, d'ailleurs certains fabricants en rajoutent. Bref, le lait UHT, bon ou mauvais ? Je ne sais pas. Mais pas mauvais.
(Ce message est sponsorisé par Danone)