Girls, girls, girls

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le 13.06.2013 par Sedunum

9 réponses / Dernière par Sedunum le 25.06.2013, 16h36

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
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Bien le bonjour,

Afin de suivre mes progrès et d’obtenir vos conseils, j’entame l’écriture de mon journal.

Avant toute chose, je vous laisse les liens vers ma présentation (salut-vt31494.html) et vers l’histoire de cette fille qui me tourmentait tant (cette-fille-qui-me-tourmente-tant-vt31495.html)

Maintenant que le contexte est posé, j’aimerais débuter avec le FR de ma soirée la plus délurée, à Londres avec mon meilleur ami. Enjoy.

Londres, 28 décembre 2013

Nous arrivons dans la capitale britannique tôt dans la matinée. Les magasins ne sont pas encore ouverts, nous déposons nos valises à notre hôtel et partons à l’attaque. La journée se passe bien, nous visitons les principaux monuments de la ville, tout en prenant soin de faire les boutiques. Je n’ai pas le feu sacré pour aborder, tandis que mon pote s’en donne à cœur-joie. Rien de très concret, on papote entre les rayons avec des sets d’anglaises.

17h, nous faisons halte dans un pub. On s’enfile une pinte, et rentrons nous préparer pour la nuit à venir. Nous rejoignons des amis au « Waxy O’Connor », un pub irlandais dans les alentours de Picadilly. La soirée débute tranquillement, on dîne et sirotons quelques verres. Je retrouve mon mojo et aborde un set de six anglaises en solo. La routine de l’étranger découvrant la ville passe facilement, tandis qu’elles me proposent de les retrouver dans une boîte de Leicaster Square. Je m’éjecte et rejoint ma troupe. La destination est validée.

Sur place, la boîte est bien remplie, je ne retrouve pas les demoiselles du pub. Les célibataires de la bande s’éparpillent tandis que le couple s’installe à une table qui nous servira de QG. D’amblée, je remarque une HB8, blonde au physique aguichant. Trop tard, mon meilleur ami l’aborde. Quelques secondes suffisent pour qu’il KC. Well done. Il l’isole tandis que j’open deux sœurs avec l’un de mes wings. On fluff, on prend un verre et elles se cassent. Olé.

Texto de mon meilleur ami : « Je rentre avec la blonde. ». Il est foutrement en forme tandis que je n’arrive pas à aborder convenablement. Mes wings d’un soir souhaitent poursuivre dans un cabaret tandis que le couple rentre à l’hôtel. Je salue la bande et pars à l’aventure en solitaire. Là encore, j’open une jeune anglaise, quelques mots et ça s’arrête là. Décidément, cette nuit n’est pas pour moi. J’embarque dans un taxi et rentre à l’hôtel.

J’ouvre la porte de ma chambre, il fait nuit, je débarque en pleine action. Bien décidé à faire chier, je lâche un bon « Et t’oublies pas de me la passer quand t’auras fini ! », et m’installe dans mon lit. Les deux tourtereaux filent dans la salle de bain. Je me sers un dernier verre de Whisky, ils reviennent. Là, j’apprends que la demoiselle est française. Balbutiant, je tente de m’excuser. On rigole, elle s’approche de moi, nue. Elle me souffle à l’oreille que mon pote est ivre, et que la chose était trop compromise avec lui, glissant sa main dans mon pantalon.

Scène surréaliste, je fais l’amour à une inconnue dans un hôtel de Londres tandis que mon meilleur ami ronfle à l’autre bout de la chambre pendant que je récolte les fruits de son travail. LFG.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] LFG ! le 13.06.13, 22h45 par Fwi Man
  • [0] OMG le 19.06.13, 03h27 par Weeler
  • [0] WTF le 20.06.13, 19h19 par fingar
Samedi 18 mai 2013

Ce soir, j’ai envie de sortir. Vous savez, ce genre de soir où votre esprit souhaite faire des rencontres, ce genre de soir où vous êtes au top ? Je lance quelques messages et compose ma troupe. Un pote, une pote et moi-même. Nous ne sommes que trois, qu’importe, j’ai la pêche.

Dress-code de la soirée : rouge. Première stratégie : débarquer à la soirée avec un T-shirt moulant noir et surtout blanc pour se démarquer sous les néons UV. Cardigan rouge pour mes copains videurs et c’est parti.

Je pousse le son à fond dans ma chambre puis dans la voiture, je suis au top. Nous gagnons le club en quelques minutes. Evidemment, les videurs jugent mon look correct et nous rentrons. Je prends soin de déposer mon cardigan au vestiaire et commence mon numéro. J’attire les EC, mon T-shirt est une réussite.

Dans un premier temps : social-proof. Je fais le tour de mes connaissances et discute avec le maximum de personnes. La chose étant faite, je nous introduis avec mon wing, dans un set de demoiselles qui discutent avec notre amie commune. Jackpot. Elle nous présente, nous prenons un verre en leur compagnie.

En NPU, tout va très vite, tout le monde le sait. Alors que je danse avec ma target de la soirée rencontrée grâce à ma pote et que mon wing fait de même, une HB9, noiraude, commence son cinéma sur le dancefloor. EC dans tous les coins, meute d’AFC à ses pieds, nous avons là une jolie HSE. Challenge accepted. Je m’éjecte délicatement en raccompagnant ma désormais ex-target à son groupe de copines.

Première approche : EC + kino légère, j’effleure délicatement son bras, en passant. Elle est entourée de garçonnets en rut, je me place bien en face d’elle. Nouveau EC, nouveaux sourires. Seconde approche : je la rejoins et lui parle à l’oreille, en posant une main à sa taille.

M : C’est dommage qu’une si jolie fille ne sache pas danser (Et tiens, c’est gratuit).
HB : Je danse très bien !
M : Vraiment ?
HB : Oui ! (voix de chieuse)
M : Alors viens, je te libère des spécimens qui t’empêche de danser correctement.

Je lui prends la main et nous quittons la meute d’AFC ébahis. S’en suit quelques contacts forts sympathiques, elle veut me prouver qu’elle sait danser. Il est temps de conclure.

M : Ah ouais, cette fois je suis d’accord, tu danses bien.
HB : Merci ! (toujours la même voix de chieuse)
M : Par contre, c’est dommage que tu sois noiraude.
HB : Comment ça ?
M : C’est connu, les blondes embrassent mieux que les noiraudes (Merci Je-ne-sais-plus-qui)
KC

La soirée touche à sa fin, je récupère le numéro de Madame et rejoins mes deux compères.

Je ne la relancerai pas, elle est bien trop superficielle.
Samedi 8 juin 2013

Un beau samedi soir, c’est l’occasion de sortir de sa cabane. Mes potes sont dans la zone mais c’est avec ma wingwoman que j’ai décidé d’écumer la ville. Sortir avec une demoiselle comme wing reste le must. Nous sommes amis depuis l’enfance, il n’y a aucune ambigüité entre nous. Concrètement, il est bien plus facile de gérer les AMOGs et d’open un set lorsque vous êtes accompagnés d’une fille. Attention toutefois aux éventuels relous qui pourraient s’ajouter à l’équation.

Nous partons donc en direction de notre bar préféré et nous installons à une table. Rien de bien folichon, nous terminons nos verres et descendons au sous-sol. Une demoiselle assise avec ses potes retient mon attention. Malheureusement, elle est en couple. Aucune approche de ma part.

Nos potes nous rejoignent et nous migrons en boîte. Sur le chemin, une connaissance me prend la main, HB8, blonde, 22 ans. Elle est légèrement éméchée, sans plus. On fluff gentiment, mode, soirées, vie de célibataire et arrivons à destination. Il est déjà 2h et la soirée bat son plein, impossible de rentrer à l’intérieur. Fail.

Souhaitant rentrer chez moi, je sors ma routine spéciale « Soirée pourrie » pour numclose la blonde :

M : Franchement, pas terrible cette soirée, tu trouves pas ?
HB : Ouais, c’est dommage, on était une jolie équipe.
M : Tu sais ce qu’on va faire ?
HB : Non ?
M : Laisse-moi ton numéro, la prochaine fois on s’organise une soirée dans les règles de l’art.
HB : Tant que tu me laisses aussi le tien, ça me va.
(…)

To be continued ! J’envisage de la dater ce weekend.
Vendredi 14 juin 2013

Je profite de ma matinée pour organiser mon weekend.

SMSgame avec Valentine, la blonde de samedi dernier :

M : Ce soir ? 23h ? Bar *XYZ* ?
V : Coucou ! Ce soir je sors boire un verre avec une pote et je fais pas tard. Jeudi prochain ?
M : Va pour jeudi, à condition que tu sois en forme !
V : Tu verras bien ! :)

SMSgame avec Sophie, connaissance de ma wing, numclosée il y a quelques soirées :

M : J’accepte volontiers ton invitation. A demain !
S : ???
M : Demain soir, au bar *XYZ*, j’ai pu me libérer.
S : Tu te fous de moi ? Ahaha
M : Absolument. 
S : Quelle heure, du coup ? ;)
M : 23h.
S : Ok, à demain.
Samedi  15 juin 2013

Suite à un désistement de Sophie, je sors avec quatre potes. Le before se déroule chez l’un d’entre nous, la fine équipe est en forme. Nous arrivons en boîte à 23h30.

Peu de monde pour le moment, nous nous installons proche du dancefloor.

Partie 1 : la tentative de viol

Alors que l’endroit se rempli progressivement, nous nous divisons en deux groupes pour repérer les HB présentes. Une demoiselle tape à l’œil de mon compère, qui fonce pour l’aborder tandis que je m’occupe de sa copine chiante et moche. Alors que je l’isole, elle me prend dans ses bras, se frotte et glisse ses mains sous mon T-shirt. Ça urge, faut que je m’éjecte.

X : T’es beau.
M : Merci
X : Tu danses bien.
M : Oula, t’y vas fort avec les compliments, tu vas me faire rougir.
X : Ah, t’as une copine ?
M : Pas le moins du monde.

Elle choisit ce moment pour tenter de m’embrasser, je tourne la tête sagement et évite son regard. Il est temps d’en finir.

M : Je vais devoir te laisser, mes potes m’attendent.
X : Ils peuvent pas vivre sans toi ?
M : Mon meilleur ami s’est fait largué, faut qu’il s’amuse et se vide la tête. On se revoit plus tard.

Partie 2 : la blonde tombée du ciel

La soirée bat son plein, d’autres potes nous rejoignent. Certains dansent, certains boivent, certains abordent. Pour ma part, je repère une HB8 qui danse sur un podium. Je me mets en tête de l’aborder. Seul soucis : il m’est impossible de monter sur le podium en question, c’est blindé.

Je tente alors le tout pour le tout et me présente face à elle.

M : EC + kino sur son mollet (en y repensant, la scène vue de l’extérieur devait être fantastique)
HB : Se baisse à ma hauteur.
M : Je me demandais, ton tatouage, il représente quoi ?

Et là, alors que j’attends le râteau, une merveille se produit : un mouvement de foule sur le podium. Elle n’arrive pas à se reprendre et me tombe littéralement dessus. Cette fois, le destin est avec moi.
Je l’attrape au vol comme dans un film.

HB : T’as des sacrés réflexes !
M : C’est pas tous les jours qu’un ange tombe du ciel, je pouvais pas le rater !
HB : elle se marre : T’es chou, merci.
M : Avant que t’essaies de me tuer, je tentais de te parler, on va s’asseoir ?
HB : Si tu veux

Je lui prends la main et l’emmène à l’étage. On s’installe côte à côte sur un canapé. On fluff sur la mode et les tatouages jusqu’à ce qu’elle me coupe.

HB : On va prendre un verre ? Je meurs de soif.

Au moment de payer :

HB : Comme c’est pas tous les jours que ça t’arrives, tu payes son verre à ton ange ?
M : Oh tu sais, si tu m’as pris pour un milliardaire du Golfe, tu t’es trompé (Merci FTS).
HB : Ah, dommage, j’aurais bien voulu faire un tour en Rolls. Tu me déçois.

On délire, on paie nos verres, je m’éjecte, tout en espérant la revoir plus tard dans la nuit.

Nous terminons notre soirée, je n’ai pas retrouvé ma cible, et je ne l’ai pas numclosée au préalable.
Dimanche 16 juin 2013

Aujourd’hui, nous profitons du soleil entre hommes. Grillade et bronzette au programme.

Rien de particulier, si ce n’est un message de Manon (appelée M. précédemment) alors que je rentre à la maison.

Contexte : One-itis. Notre dernière soirée remonte au 8 mai, ses derniers messages importants au 31 mai, m’indiquant qu’elle avait largué son mec. Depuis, j’ai tenté de la dater, sans succès à cause de ses examens.

Sa meilleure amie m’a aperçu la veille en boîte. On fluff un peu.

(…)
M : C’est marrant que tu me parles aujourd’hui, j’ai justement passé ma journée étalé au soleil, pas loin de chez toi.
HB : Vraiment ? T’aurais pu passer ! T’as bien profité ?
M : Vraiment. T’as sûrement le nez plongé dans tes bouquins, j’aimerais pas avoir ton échec scolaire sur la conscience ! J’ai pris un joli coup de soleil, mais j’ai bien profité, oui.
HB : Bla bla bla, une pause m’aurait fait plaisir ! Envoie une photo !
M : Photo
HB : Ah ouais, joli, j’ai le même sur les fesses. Belle approche pour me montrer ton corps ;)
M : Le même sur les fesses ? Remettons nous donc à égalité, j’attends la photo !
HB : esquive, délire un peu et change de sujet
(…)

Hormis le fait que je garde toujours la même distance en attendant la fin de ses examens, je remarque que je ne peux pas me débarrasser d’elle. Impossible. Autant je prends du plaisir à aborder, autant j’en prendrai d’avantage en me casant avec elle.

J’aurai probablement l’occasion de la voir jeudi, à la même soirée que Valentine et Sophie.

Les choses se corsent. Je l’aime. Putain.
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  • [0] Like ! le 17.06.13, 12h09 par Loyd
Mercredi 19 juin 2013

Manon. Son prénom raisonne dans ma tête.

Ses cheveux, ses yeux, sa bouche, sa silhouette, sa voix, son odeur. Elle me manque. Je ne l’ai plus revue depuis le 8 mai, date à laquelle nous nous sommes embrassés, une fois de plus. Elle était en couple, elle ne l’est plus. Je freeze-out régulièrement. On s’écrit de temps à autre, en attendant que ses examens se terminent. Elle est intelligente, sensible, douce. Quelques mots et je m’emballe.

Si j’écris ces quelques lignes sur elle aujourd’hui, c’est parce que je la verrai demain. Si tout se passe bien. J’ai peur, peur de bloquer, peur de ne pas savoir que dire, peur de ne pas savoir que faire. A vrai dire, c’est la seule qui me met dans un état pareil. La seule qui compte, la seule qui me retourne le cerveau, la seule qui me chamboule le cœur et qui me fait frissonner de la sorte.

Je papillonne sans qu’elle sorte de ma tête, quoi que je fasse, elle est là. J’aborde, je close, sans cette flamme qui ne s’allume qu’en sa présence. Avec les autres, je suis un connard, je porte mon masque, tantôt mystérieux, tantôt tchatcheur, tantôt direct, tantôt subtile. Avec elle, je suis moi-même. Elle a défoncé mes barrières en quelques semaines, m’obligeant à naviguer en eaux troubles, désactivant mon autopilote.

Je connais les facettes de sa personnalité. Notre lien est fort. Je ne suis pas son confident, je ne suis pas sa plante verte, je garde ma fierté de mâle séducteur.

Cette fille-là, c’est la fille qui me comprend sans que je ne lui parle, celle qui me complète, celle qui me touche avec quelques mots, celle qui transperce d’un regard.

Cette fille-là, je l’aime.

 
Jeudi 20 juin 2013

Soirée étudiante en plein air, 2'500 personnes, des ex, des targets, Manon, tout le monde.

Une belle équipe de potes, nous sommes une vingtaine, de la bonne musique, de l’alcool et des filles. Une toute bonne soirée. Sur le plan séduction, en revanche, rien. Le calme plat. J’ai croisé Valentine et ses potes, on a causé quelques minutes, sans plus.

Ce soir, je profite de la bande, on tape nos délires, c’est la fête.

NB : Je n’ai pas aperçu Manon, ce n'est que partie remise, y'a du neuf !
Samedi 22 juin 2013

Aujourd’hui, je suis à l’étranger dans le cadre d’une compétition internationale. Comme à l’accoutumée, le samedi soir c’est party hard.

La soirée débute à l’hôtel avec un rapide état des troupes, nous approchons la trentaine. Les premières bouteilles s’ouvrent. Nous nous mettons en route. Notre groupe est particulièrement hétérogène, nous avons fière allure.

La disposition de la boîte ayant été décisive, je me dois de la détailler. Deux escalators amènent les clubbers dans le complexe, qui se décompose en deux grandes zones : un bar, une sandwicherie (oui, oui) et un lounge dans la première, deux dancefloors dans la seconde.

On se sépare en plusieurs groupes selon les envies de chacun, j’opte pour le dancefloor « house ». Enormément de monde et d’HB, il est 23h45, c’est l’heure de se mettre au travail.

Première cible : une allemande qui danse. Le bon râteau dès mon arrivée, je tente de l’attirer vers moi et elle se casse. Baisse de mojo, je retourne avec la bande, on danse, on s’amuse. Deuxième cible : une danoise seule au bar. Je l’aborde en anglais, on fluff quelques minutes sur la boîte en elle-même, et elle finit par rejoindre ses potes. Génial.

Pas de wing, la barrière de la langue, la musique trop forte, les excuses s’enchaînent dans ma tête. Je rejoins le gros des troupes, on danse tous ensemble. Ayant pour objectif de closer ce soir, je me rabats sur une petite brunette de notre groupe. Elle a 18 ans, elle parle français et le courant était bien passé durant la journée. Je m’empresse donc de l’isoler.

M : à son oreille : Je vais prendre un verre au bar de l’entrée, tu m’accompagnes ?
HB : Ok, viens.

J’ouvre la route, elle me prend la main. Elle s’installe sur un canapé en cuir, j’en fais de même, à côté d’elle. Quelques kinos, elle parle, elle parle, elle parle sans que je puisse en placer une. J’opte pour le KC.

HB : Bla bla bla
M : Attends, je suis obligé de te couper.
HB : Comment ça ?
M : Tes lèvres m’attirent trop.
KC

Tandis que la soirée se termine et que nous retournons à l’hôtel, je négocie discrètement avec mon compagnon de chambre pour qu’il dorme ailleurs. L’affaire étant réglée, j’emmène la demoiselle et parvient à FC. Délicieux.
Dimanche 23 juin 2013

Aujourd’hui, au passage de la frontière, je reçois un message de Manon.

HB : Coucou, ça te dirait qu’on passe une journée ensemble ?
M : Mmmh, tu penses à quoi ?
HB : Après-midi shopping, promenade en ville et nuit en boîte ?
M : Ah ouais, t’as carrément tout prévu, ton programme me semble sympathique. Samedi prochain ?
HB : Parfait, je me réjouis de te voir, depuis le temps !
(…)

Comme quoi, j’ai vraiment l’impression d’être en phase terminale avec elle. Elle me rencarde, me propose une virée à deux dans une ville loin de chez nous, ça me semble tout bon.

A voir samedi, pour l’heure je suis confiant !
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  • [0] Like ! le 25.06.13, 17h52 par BigBenX
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