Love you like a Love song Baby.
Quand je te lis , j'ai vraiment l'impression de me reconnaitre dans tes lignes c'est un truc de ouf , bref . J'ai a peu près le même style de vie que toi quand tu trompais ta copine . Je suis quelqu'un qui tombe amoureux très vite , et qui se lasse très vite par la même occasion . En attendant je peux pas tirer un trait la dessus , et je sharke la première nana qui me plait et qui passe sous mes yeux de façon un peu trop sexy .
Pourtant ca m'empêche pas d'être attaché vraiment beaucoup à ma copine et de considérer les autres comme un passe temps .
Tout ca pour dire que j'ai une philosophie de vie bien précise pour le moment , et que si je l'applique à ton cas , ca en dit que ca sert à rien de se priver quand on a une envie aussi grande .
Si tu prévois 3 jours avec elle , c'est vraiment pas anodin et tu le sais . Une fois que y'a des ambiguïtés , autant aller jusqu'au bout des choses non ? Tant que tu reste honnête avec elle et que tu définis les priorités entre ta copine et " Blue " ..
Pourtant ca m'empêche pas d'être attaché vraiment beaucoup à ma copine et de considérer les autres comme un passe temps .
Tout ca pour dire que j'ai une philosophie de vie bien précise pour le moment , et que si je l'applique à ton cas , ca en dit que ca sert à rien de se priver quand on a une envie aussi grande .
Si tu prévois 3 jours avec elle , c'est vraiment pas anodin et tu le sais . Une fois que y'a des ambiguïtés , autant aller jusqu'au bout des choses non ? Tant que tu reste honnête avec elle et que tu définis les priorités entre ta copine et " Blue " ..
Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
Trip, t'as failli me faire douter, mais je réalise bien que cette façon d'agir, c'est du passé pour moi maintenant, une fois le nuage passé, j'ai désormais bien en tête que rien ne se passera avec Blue.
Sale histoire.
[youtube][/youtube]
Des tonnes de trucs à raconter, surtout que ça fait un moment que j'ai pas écrit.
Je me suis retrouvé dans une situation sale il y a quelques jours, je vous raconte.
Vacances
Fin de ces putains de partiels, fin des nuits blanches de révision, fin du tube de vitamine C, fin de la diète d'alcool et de sexe. La liberté venait sonner de nouveau à ma porte.
Voila quelques jours que je profitais tranquillement de ne rien faire, que l'on m'appelle pour une soirée. Chez une meuf de la FAC, qui je pense voulait me pécho un temps, pas sur, mais pas mon style. Puis elle se fout toujours des trucs entre les dents, et les détails comme ça, je pardonne pas. Mais elle est cool, et elle aussi m'a chanté il y a quelques mois sa passion pour la fellation, et je resta encore une fois de marbre.
21 heures 30 minutes.
Avec la caisse pourrie, limite tunée, d'un pote, on arrive chez elle. Appart neuf, avec terrasse, et de l'alcool. Je ne demande rien de plus. Accessoirement, il y avait que des meufs. Une autre amie très gentille (si elle avait été bonne j'aurais pas parlé de sa gentillesse), et deux autres. J'avais entendu parler de l'une d'entre elle, l'hôte me l'avait montré sur FB, elle faisait vraiment super bonne en pixels.
En vrai, c'était une autre histoire.
Trop maquillé, trop grosse, trop de bourrelets qui dépasse de la ceinture.
Trop c'est trop. Une arnaque, en résumé.
Et la seconde, une métisse que je connaissais pas, plutôt pas mal, BBBC. (BONBOOBSBONCUL)
On boit, on se marre. Les meufs sont cools, on est tous dans la même FAC en faite. On commence par parler étude, et on dérive rapidement vers le sujets roses. Ça nous mène à un classique, "Je n'ai jamais" qui a dévoilé des secrets complètement inattendue. La pote gentille dont je vous parlais au dessus, bah putain : plan à 3, couché avec des meufs, suce aux chiottes, branlettes espagnoles, pecho + 5 mecs en soirée, et j'en passe. Je vous promet qu'en la voyant la première fois, je pensais qu'elle était vierge. Ça surprend un peu.
La biatch qui m'a invité me sert un vodka pomme, et je demande bien ou était la pomme dans ce putain de verre. Je bois, beaucoup, ça faisait trop longtemps que mon foie ne s'était pas un peu battu contre l'envahisseur. On s'enjaille, on s'enjaille, comme on dit.
23 heures 30 minutes.
Des potes (meufs comme d'hab) nous appellent pour qu'on vienne dans un gros bar boite avec elles. Pas le temps d'hésiter, vacances oblige, on rentrera en rampant s'il le faut, on en a rien à foutre. Mais quitte a, autant y aller avec toutes les meufs présentes. On sra en mode pimp.
En voiture, a meuf belle qu'en photo de profil, à l'avant, qui commence à être bien bourrée. Moi, pimp mod solo à l'arrière avec vodka et bières, fuk les mélanges, et une clope Electronique au gout coca. (C'est géniale ce truc) Je fume non stop et nique le tabac truc liquide qui est censé durer deux semaines en trois quart d'heure.
Merde, faut que j'y aille. Je finirais plus tard, un peu de suspens. La suite est hardcore.
Katsu
Sale histoire.
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Des tonnes de trucs à raconter, surtout que ça fait un moment que j'ai pas écrit.
Je me suis retrouvé dans une situation sale il y a quelques jours, je vous raconte.
Vacances
Fin de ces putains de partiels, fin des nuits blanches de révision, fin du tube de vitamine C, fin de la diète d'alcool et de sexe. La liberté venait sonner de nouveau à ma porte.
Voila quelques jours que je profitais tranquillement de ne rien faire, que l'on m'appelle pour une soirée. Chez une meuf de la FAC, qui je pense voulait me pécho un temps, pas sur, mais pas mon style. Puis elle se fout toujours des trucs entre les dents, et les détails comme ça, je pardonne pas. Mais elle est cool, et elle aussi m'a chanté il y a quelques mois sa passion pour la fellation, et je resta encore une fois de marbre.
21 heures 30 minutes.
Avec la caisse pourrie, limite tunée, d'un pote, on arrive chez elle. Appart neuf, avec terrasse, et de l'alcool. Je ne demande rien de plus. Accessoirement, il y avait que des meufs. Une autre amie très gentille (si elle avait été bonne j'aurais pas parlé de sa gentillesse), et deux autres. J'avais entendu parler de l'une d'entre elle, l'hôte me l'avait montré sur FB, elle faisait vraiment super bonne en pixels.
En vrai, c'était une autre histoire.
Trop maquillé, trop grosse, trop de bourrelets qui dépasse de la ceinture.
Trop c'est trop. Une arnaque, en résumé.
Et la seconde, une métisse que je connaissais pas, plutôt pas mal, BBBC. (BONBOOBSBONCUL)
On boit, on se marre. Les meufs sont cools, on est tous dans la même FAC en faite. On commence par parler étude, et on dérive rapidement vers le sujets roses. Ça nous mène à un classique, "Je n'ai jamais" qui a dévoilé des secrets complètement inattendue. La pote gentille dont je vous parlais au dessus, bah putain : plan à 3, couché avec des meufs, suce aux chiottes, branlettes espagnoles, pecho + 5 mecs en soirée, et j'en passe. Je vous promet qu'en la voyant la première fois, je pensais qu'elle était vierge. Ça surprend un peu.
La biatch qui m'a invité me sert un vodka pomme, et je demande bien ou était la pomme dans ce putain de verre. Je bois, beaucoup, ça faisait trop longtemps que mon foie ne s'était pas un peu battu contre l'envahisseur. On s'enjaille, on s'enjaille, comme on dit.
23 heures 30 minutes.
Des potes (meufs comme d'hab) nous appellent pour qu'on vienne dans un gros bar boite avec elles. Pas le temps d'hésiter, vacances oblige, on rentrera en rampant s'il le faut, on en a rien à foutre. Mais quitte a, autant y aller avec toutes les meufs présentes. On sra en mode pimp.
En voiture, a meuf belle qu'en photo de profil, à l'avant, qui commence à être bien bourrée. Moi, pimp mod solo à l'arrière avec vodka et bières, fuk les mélanges, et une clope Electronique au gout coca. (C'est géniale ce truc) Je fume non stop et nique le tabac truc liquide qui est censé durer deux semaines en trois quart d'heure.
Merde, faut que j'y aille. Je finirais plus tard, un peu de suspens. La suite est hardcore.
Katsu
Merde, faut que j'y aille. Je finirais plus tard, un peu de suspens. La suite est hardcore.

ENFOIRE, ne faits plus jamais ça
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Tout à fait le 15.06.13, 20h01 par Trip Fontaine
- [0] 100% d'accord le 15.06.13, 20h34 par Bumble
- [0] Mdr !! le 16.06.13, 16h41 par Katsu
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Déso Markus, bientôt la suite, promis.
J'ai un soucis. Depuis 1 semaine maintenant je suis en pratique en vacances, mais je n'arrive pas a me sentir "en vacances", dans l'état de tranquillité, repos et apaisement que provoque en moi ces périodes loin de tout.
Je suis au bord de la mer, et pourtant non, toujours pas. Je reste marbre. Je n'ai pas envoe de me baigner, je n'ai envie de rien, je n'ai pas envoe de jouer au foot ou au volley, ni de deconner avec mes 3 potes. Je suis blasé.
Alors que l'annee derniere et un programme a peu près similaire, j'etais motivè a fond et joyeux comme tout, prêt a boire et en découdre.
Pourquoi j'arrive pas a sortir de cet état? C'est d'autant plus pesant que j'ai le sentiment de passer a coté de mes vacs...
#Coupdeblues.
Katsu
J'ai un soucis. Depuis 1 semaine maintenant je suis en pratique en vacances, mais je n'arrive pas a me sentir "en vacances", dans l'état de tranquillité, repos et apaisement que provoque en moi ces périodes loin de tout.
Je suis au bord de la mer, et pourtant non, toujours pas. Je reste marbre. Je n'ai pas envoe de me baigner, je n'ai envie de rien, je n'ai pas envoe de jouer au foot ou au volley, ni de deconner avec mes 3 potes. Je suis blasé.
Alors que l'annee derniere et un programme a peu près similaire, j'etais motivè a fond et joyeux comme tout, prêt a boire et en découdre.
Pourquoi j'arrive pas a sortir de cet état? C'est d'autant plus pesant que j'ai le sentiment de passer a coté de mes vacs...
#Coupdeblues.
Katsu
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Pas de chance mais ça arrive le 19.06.13, 09h39 par fingar
Ne te force pas a passer en mode vacances, laisse ta tete traiter tout ce qu'elle a a traiter en y allant tranquillement, au bout d'un jour ou deux de repos complet, tu seras a nouveau motivé pour faire la fete.
Des fois on a juste besoin de rien faire et decompresser !
Des fois on a juste besoin de rien faire et decompresser !
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] +1 le 18.06.13, 13h30 par Cellar Door
- [0] C'est pas faux le 19.06.13, 19h23 par Katsu
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L'histoire sale : suite.
Bon, il faut que je termine de vous raconter l'histoire. Je copie/colle le précédent post pour ceux qui l'auraient loupé. Pour les autres, allez direct au drapeau vert plus bas.
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Des tonnes de trucs à raconter, surtout que ça fait un moment que j'ai pas écrit.
Je me suis retrouvé dans une situation sale il y a quelques jours, je vous raconte.
Vacances
Fin de ces putains de partiels, fin des nuits blanches de révision, fin du tube de vitamine C, fin de la diète d'alcool et de sexe. La liberté venait sonner de nouveau à ma porte.
Voila quelques jours que je profitais tranquillement de ne rien faire, que l'on m'appelle pour une soirée. Chez une meuf de la FAC, qui je pense voulait me pécho un temps, pas sur, mais pas mon style. Puis elle se fout toujours des trucs entre les dents, et les détails comme ça, je pardonne pas. Mais elle est cool, et elle aussi m'a chanté il y a quelques mois sa passion pour la fellation, et je resta encore une fois de marbre.
21 heures 30 minutes.
Avec la caisse pourrie, limite tunée, d'un pote, on arrive chez elle. Appart neuf, avec terrasse, et de l'alcool. Je ne demande rien de plus. Accessoirement, il y avait que des meufs. Une autre amie très gentille (si elle avait été bonne j'aurais pas parlé de sa gentillesse), et deux autres. J'avais entendu parler de l'une d'entre elle, l'hôte me l'avait montré sur FB, elle faisait vraiment super bonne en pixels.
En vrai, c'était une autre histoire.
Trop maquillé, trop grosse, trop de bourrelets qui dépasse de la ceinture.
Trop c'est trop. Une arnaque, en résumé.
Et la seconde, une métisse que je connaissais pas, plutôt pas mal, BBBC. (BONBOOBSBONCUL)
On boit, on se marre. Les meufs sont cools, on est tous dans la même FAC en faite. On commence par parler étude, et on dérive rapidement vers le sujets roses. Ça nous mène à un classique, "Je n'ai jamais" qui a dévoilé des secrets complètement inattendue. La pote gentille dont je vous parlais au dessus, bah putain : plan à 3, couché avec des meufs, suce aux chiottes, branlettes espagnoles, pecho + 5 mecs en soirée, et j'en passe. Je vous promet qu'en la voyant la première fois, je pensais qu'elle était vierge. Ça surprend un peu.
La biatch qui m'a invité me sert un vodka pomme, et je demande bien ou était la pomme dans ce putain de verre. Je bois, beaucoup, ça faisait trop longtemps que mon foie ne s'était pas un peu battu contre l'envahisseur. On s'enjaille, on s'enjaille, comme on dit.
23 heures 30 minutes.
Des potes (meufs comme d'hab) nous appellent pour qu'on vienne dans un gros bar boite avec elles. Pas le temps d'hésiter, vacances oblige, on rentrera en rampant s'il le faut, on en a rien à foutre. Mais quitte a, autant y aller avec toutes les meufs présentes. On sra en mode pimp.
En voiture, a meuf belle qu'en photo de profil, à l'avant, qui commence à être bien bourrée. Moi, pimp mod solo à l'arrière avec vodka et bières, fuk les mélanges, et une clope Electronique au gout coca. (C'est géniale ce truc) Je fume non stop et nique le tabac truc liquide qui est censé durer deux semaines en trois quart d'heure.


Alors, la suite.
On arrive dans le gros bar boite en bande, 3 mecs 4 meufs, tous bien éméchés. Avant de rentrer, l'arnarque facebook (on va appeler la meuf belle qu'en photo de profil comme ça) titube, et elles se mettent à chanter des trucs bizarres.
Un peu avant le videur je finis tous les alcools qu'on avait pris sur le trajet avant de rentrer dedans. Pour 2 raisons : lifestyle étudiant. Et je déteste le gachis.
Donc je suis torché.
Dedans on retrouve 5 amies, le pimp mod n'en est qu'accentué. On danse, du moins on tente, je me retrouve comme d'hab sur le podium avec les deux meufs du début, leurs gros seins m'entourant, elles se frottent à moi. La métisse veut me pécho, aucun doute maintenant.
Je mords les meufs, jusqu'au bleu pour une amie qui m'avait fait chier, et tout ça sans écoper de claques. Je les prends dans mes bras, je serre fort, je remonte le calbut de mon pote, bref je fais bien chier.
Mon ébriété totale s'entretient d'elle même en me faisant voler des verres, ce qui m'a fait savourer une bonne pinte aux cendres de clopes, je vous le recommande vivement!
Bref passons.
Jsaipluskèlleheure - pt1onestou
Encore à l'arrière de cette satanée caisse. Je sais pas ou on est, ni ce qu'on fout. On est dans une espèce de banlieue tranquille, les lampadaires éclairent ma face d'alcoolique sporadiquement. Toujours la clope électrique, à enfumer le conducteur à chaque taf. Je fais vraiment chier ce soir. A l'aise, couché la tête sur l'arnaque facebook, qui me masse en même temps. Je m'endors surement un peu.
On est arrêté. Ah, OK on ramenait une des meufs. Le conducteur doit recharger son portable, je me retrouve seule avec l'arnaque facebook sur la banquette arrière...

/!\ Menace à ma fidelité détécté /!\
Bon je marche le long de la borderline sans vraiment la franchir... L'alcool a tendance à me faire faire de la merde, mais pour le coup, il m'assome plus qu'autre chose. Je cale ma main entre ses cuisses, directement au niveau de son entrejambe, mais au dessus de son jean, et caresse innocemment, en m'endormant. Je lui ai peut être touché les seins aussi, pas sur, mais il me semble. Rien de concret en somme, heureusement, elle me donnait vraiment pas envie, alors autant rester fidèle.
Mon pote revient enfin, et on repart. J'me rendors.
On revient à la case départ, chez la meuf qui nous avait invité pour l'apéro, de la, on retrouve la métisse aussi. Eux discutent un bon moment. J'me rendors.
Entre 6 et 7 heures.
On doit ramener les meufs en voiture. Je suis dans un pâté énorme, échanant demi sommeil et réveils brutaux. J'ai qu'une envie, c'est dormir. Donc je me rendors, cette fois sur les genoux de la métisse, toujours avec la clope droïde dans la bouche.
Rebelote, je fous ma main entre ses cuisses, et elle me masse.

Mais tout ça reste vraiment soft, je tiens vraiment à pas faire de grosse connerie.
Finalement on arrive devant la maison de arnaque facebook, arrachés...qui nous propose de faire un after chez elle. Bon...Ok... Pas de repos pour les vrais héros.
On se retrouve donc avec les deux inconnues du début, seule, dans cette espèce de cave-appart avec un lit double. La métisse veut me pécho mais m'a tout l'air d'être assez sage, donc le degré de risque est moyen, et l'arnaque facebook veut se faire mon pote.
RUN!! IT'S A TRAP!!!!
Si j'avais su...
Tout est allé assez vite. L'after c'est transformé en dodo, mon pote va se coucher, arnaque facebook va se coucher, la métisse y va, j'y vais aussi. Tous dans le même lit à peine double. Vous sentez le plan à 4? C'est pas tout à fait ça.
Alors que je suis dans une léthargie totale comme après une bonne anésthésie générale, la métisse presse son bon cul contre moi. Why not. On dort en cueillière, j'appose ma main sur ses gros seins, et même sous son tshirt puisqu'elle a enlevé son soutif... C'est pas ma faute, y'avait pas de place je pouvais pas mettre ma main ailleurs. Je note au passage un petit string sympa, elle était quand même bonne, je suis fier d'être resté clean.
Bref, je pose juste ma main, fin de l'histoire de ce coté du lit.
Je suis tiré de ma léthargie par des remous du coté gauche. On est tellement sérré que arnaque facebook est totalement en contact avec moi. Les remous se transforment peu à peu en vibration de plus en plus régulière. Aucun doute sur ce qui se passe, ça bouge pas assez pour qu'il soit entrain de se pécho, il la doigte. Putain, l'enculé, c'est la deuxième fois qu'il me met dans cette situation, la dernière fois ça m'avait donné des idées et j'avais fait des prélis avec une meuf aux gros seins, mais il avait eu la décence de quitter le lit quand ça avait commencer à s'enflammer...
La métisse écarquille les yeux et relève un peu la tête pour observer ce qu'il se passe. Moi je vibre en coeur avec eux, en leur tournant le dos. La métisse est pas si surprise que ça, ça a du déjà lui arriver avec sa salope de pote.
Bref, ça part en gros préli à ma gauche. Selon mes estimations, il la doigte, et elle a surement commencé à le branler. On entend les ceintures qui s'ouvrent. Ça me fait chier quand même, j'ai envie de dormir, et à la fois ça me dégoûte, à la fois ça me frustre.
La métisse s'en va, surement aux toilettes, pensais-je naïvement, puisqu'il n'y a qu'un lit pour dormir. Cette biatch ne reviendra pas et me laissera crever avec les deux porcs. Et alors que le rythme s'intensifi, et que je suis tourmenté par la grosse gueule de bois qui s'abat sur moi, la fatigue m'emporte et je m'endors malgré tout.
Peut être une demi heure plus tard, un peu plus, je me réveil. Ou suis je? Ha oui ok. Quel mal de crâne... Je suis crevé putain et j'ai mal au ventre, limite envie de vomir. En ayant totalement oublié ce qui se déroulait à ma gauche, je me retourne avec la plus grande innocence du monde...
C'était comme un GROS GONZO BIEN SALE AU REVEIL QUAND TA PAS FAIM.

La meuf à poil le suçait comme une porcasse, putain elle donnait sa vie, avec des Glurps Glurps Glurps réguliers de salive bien grasse, elle enfonçait son gros zboub bien profondemment avec des sales bruits et à une vitesse pornographique. Lui, comme un gros porc, avait la tête relevé et la regardait se déchainer au bout de son membre, avec les deux mains appuyées sur sa tête pour bien enfoncer jusqu'à la glotte, en y mettant de la force et en l'empoignant par les cheveux.
What.. Da... FUCK
Du porno en live dénué de toute once de charme.
Je suis à 30 centimètres d'eux, mais personne me voit. Je suis invisible, un observateur de l'ONU en voyage.
Les yeux equarquillés, je phase 30 secondes sur l'hardcore de la scène au reveil, sans qu'on remarque ma présence. Je reprend mes esprits, et entame de me retourner touuut doucement, personne ne m'a vu, je raye de ma mémoire cette scène immonde et je me rallonge... Mon traumatisme est si grand que je me rappelle même plus ce que j'ai fais.
J'ai du attendre que ça se termine, mais je crois que ça s'est terminé à ce moment la à peu près, mon pote à eu la douce attention de m'informer qu'elle avait avalé, encore heureux sinon je me serais surement pris des éclaboussures, je remercie l'arnaque facebook d'être aussi consciencieuse.
Vers 8 ou 9h, je sais plus, on se casse enfin. Sur le palier, on croise ses parents. lol. Ils nous proposent le petit dej, non merci. Je serre la main du père et de la mère en pensant très fort dans ma tête "si tu savais ce que ta fille faisait dans ta cave il y a 20 minutes." et un gros sourire à la fois narquois, à la fois compatissant.
Le dégoût de la scène m'a pas quitté pendant deux jours, probablement alimenté par l'énorme gueule de bois qui me tordait le ventre. Je suis peut être une tapette, mais les boîtes à partouz c'est pas encore pour moi.
Katsu
Bon, il faut que je termine de vous raconter l'histoire. Je copie/colle le précédent post pour ceux qui l'auraient loupé. Pour les autres, allez direct au drapeau vert plus bas.
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Des tonnes de trucs à raconter, surtout que ça fait un moment que j'ai pas écrit.
Je me suis retrouvé dans une situation sale il y a quelques jours, je vous raconte.
Vacances
Fin de ces putains de partiels, fin des nuits blanches de révision, fin du tube de vitamine C, fin de la diète d'alcool et de sexe. La liberté venait sonner de nouveau à ma porte.
Voila quelques jours que je profitais tranquillement de ne rien faire, que l'on m'appelle pour une soirée. Chez une meuf de la FAC, qui je pense voulait me pécho un temps, pas sur, mais pas mon style. Puis elle se fout toujours des trucs entre les dents, et les détails comme ça, je pardonne pas. Mais elle est cool, et elle aussi m'a chanté il y a quelques mois sa passion pour la fellation, et je resta encore une fois de marbre.
21 heures 30 minutes.
Avec la caisse pourrie, limite tunée, d'un pote, on arrive chez elle. Appart neuf, avec terrasse, et de l'alcool. Je ne demande rien de plus. Accessoirement, il y avait que des meufs. Une autre amie très gentille (si elle avait été bonne j'aurais pas parlé de sa gentillesse), et deux autres. J'avais entendu parler de l'une d'entre elle, l'hôte me l'avait montré sur FB, elle faisait vraiment super bonne en pixels.
En vrai, c'était une autre histoire.
Trop maquillé, trop grosse, trop de bourrelets qui dépasse de la ceinture.
Trop c'est trop. Une arnaque, en résumé.
Et la seconde, une métisse que je connaissais pas, plutôt pas mal, BBBC. (BONBOOBSBONCUL)
On boit, on se marre. Les meufs sont cools, on est tous dans la même FAC en faite. On commence par parler étude, et on dérive rapidement vers le sujets roses. Ça nous mène à un classique, "Je n'ai jamais" qui a dévoilé des secrets complètement inattendue. La pote gentille dont je vous parlais au dessus, bah putain : plan à 3, couché avec des meufs, suce aux chiottes, branlettes espagnoles, pecho + 5 mecs en soirée, et j'en passe. Je vous promet qu'en la voyant la première fois, je pensais qu'elle était vierge. Ça surprend un peu.
La biatch qui m'a invité me sert un vodka pomme, et je demande bien ou était la pomme dans ce putain de verre. Je bois, beaucoup, ça faisait trop longtemps que mon foie ne s'était pas un peu battu contre l'envahisseur. On s'enjaille, on s'enjaille, comme on dit.
23 heures 30 minutes.
Des potes (meufs comme d'hab) nous appellent pour qu'on vienne dans un gros bar boite avec elles. Pas le temps d'hésiter, vacances oblige, on rentrera en rampant s'il le faut, on en a rien à foutre. Mais quitte a, autant y aller avec toutes les meufs présentes. On sra en mode pimp.
En voiture, a meuf belle qu'en photo de profil, à l'avant, qui commence à être bien bourrée. Moi, pimp mod solo à l'arrière avec vodka et bières, fuk les mélanges, et une clope Electronique au gout coca. (C'est géniale ce truc) Je fume non stop et nique le tabac truc liquide qui est censé durer deux semaines en trois quart d'heure.


Alors, la suite.
On arrive dans le gros bar boite en bande, 3 mecs 4 meufs, tous bien éméchés. Avant de rentrer, l'arnarque facebook (on va appeler la meuf belle qu'en photo de profil comme ça) titube, et elles se mettent à chanter des trucs bizarres.
Un peu avant le videur je finis tous les alcools qu'on avait pris sur le trajet avant de rentrer dedans. Pour 2 raisons : lifestyle étudiant. Et je déteste le gachis.
Donc je suis torché.
Dedans on retrouve 5 amies, le pimp mod n'en est qu'accentué. On danse, du moins on tente, je me retrouve comme d'hab sur le podium avec les deux meufs du début, leurs gros seins m'entourant, elles se frottent à moi. La métisse veut me pécho, aucun doute maintenant.
Je mords les meufs, jusqu'au bleu pour une amie qui m'avait fait chier, et tout ça sans écoper de claques. Je les prends dans mes bras, je serre fort, je remonte le calbut de mon pote, bref je fais bien chier.
Mon ébriété totale s'entretient d'elle même en me faisant voler des verres, ce qui m'a fait savourer une bonne pinte aux cendres de clopes, je vous le recommande vivement!
Bref passons.
Jsaipluskèlleheure - pt1onestou
Encore à l'arrière de cette satanée caisse. Je sais pas ou on est, ni ce qu'on fout. On est dans une espèce de banlieue tranquille, les lampadaires éclairent ma face d'alcoolique sporadiquement. Toujours la clope électrique, à enfumer le conducteur à chaque taf. Je fais vraiment chier ce soir. A l'aise, couché la tête sur l'arnaque facebook, qui me masse en même temps. Je m'endors surement un peu.
On est arrêté. Ah, OK on ramenait une des meufs. Le conducteur doit recharger son portable, je me retrouve seule avec l'arnaque facebook sur la banquette arrière...

/!\ Menace à ma fidelité détécté /!\
Bon je marche le long de la borderline sans vraiment la franchir... L'alcool a tendance à me faire faire de la merde, mais pour le coup, il m'assome plus qu'autre chose. Je cale ma main entre ses cuisses, directement au niveau de son entrejambe, mais au dessus de son jean, et caresse innocemment, en m'endormant. Je lui ai peut être touché les seins aussi, pas sur, mais il me semble. Rien de concret en somme, heureusement, elle me donnait vraiment pas envie, alors autant rester fidèle.
Mon pote revient enfin, et on repart. J'me rendors.
On revient à la case départ, chez la meuf qui nous avait invité pour l'apéro, de la, on retrouve la métisse aussi. Eux discutent un bon moment. J'me rendors.
Entre 6 et 7 heures.
On doit ramener les meufs en voiture. Je suis dans un pâté énorme, échanant demi sommeil et réveils brutaux. J'ai qu'une envie, c'est dormir. Donc je me rendors, cette fois sur les genoux de la métisse, toujours avec la clope droïde dans la bouche.
Rebelote, je fous ma main entre ses cuisses, et elle me masse.

Mais tout ça reste vraiment soft, je tiens vraiment à pas faire de grosse connerie.
Finalement on arrive devant la maison de arnaque facebook, arrachés...qui nous propose de faire un after chez elle. Bon...Ok... Pas de repos pour les vrais héros.
On se retrouve donc avec les deux inconnues du début, seule, dans cette espèce de cave-appart avec un lit double. La métisse veut me pécho mais m'a tout l'air d'être assez sage, donc le degré de risque est moyen, et l'arnaque facebook veut se faire mon pote.
RUN!! IT'S A TRAP!!!!
Si j'avais su...
Tout est allé assez vite. L'after c'est transformé en dodo, mon pote va se coucher, arnaque facebook va se coucher, la métisse y va, j'y vais aussi. Tous dans le même lit à peine double. Vous sentez le plan à 4? C'est pas tout à fait ça.
Alors que je suis dans une léthargie totale comme après une bonne anésthésie générale, la métisse presse son bon cul contre moi. Why not. On dort en cueillière, j'appose ma main sur ses gros seins, et même sous son tshirt puisqu'elle a enlevé son soutif... C'est pas ma faute, y'avait pas de place je pouvais pas mettre ma main ailleurs. Je note au passage un petit string sympa, elle était quand même bonne, je suis fier d'être resté clean.
Bref, je pose juste ma main, fin de l'histoire de ce coté du lit.
Je suis tiré de ma léthargie par des remous du coté gauche. On est tellement sérré que arnaque facebook est totalement en contact avec moi. Les remous se transforment peu à peu en vibration de plus en plus régulière. Aucun doute sur ce qui se passe, ça bouge pas assez pour qu'il soit entrain de se pécho, il la doigte. Putain, l'enculé, c'est la deuxième fois qu'il me met dans cette situation, la dernière fois ça m'avait donné des idées et j'avais fait des prélis avec une meuf aux gros seins, mais il avait eu la décence de quitter le lit quand ça avait commencer à s'enflammer...
La métisse écarquille les yeux et relève un peu la tête pour observer ce qu'il se passe. Moi je vibre en coeur avec eux, en leur tournant le dos. La métisse est pas si surprise que ça, ça a du déjà lui arriver avec sa salope de pote.
Bref, ça part en gros préli à ma gauche. Selon mes estimations, il la doigte, et elle a surement commencé à le branler. On entend les ceintures qui s'ouvrent. Ça me fait chier quand même, j'ai envie de dormir, et à la fois ça me dégoûte, à la fois ça me frustre.
La métisse s'en va, surement aux toilettes, pensais-je naïvement, puisqu'il n'y a qu'un lit pour dormir. Cette biatch ne reviendra pas et me laissera crever avec les deux porcs. Et alors que le rythme s'intensifi, et que je suis tourmenté par la grosse gueule de bois qui s'abat sur moi, la fatigue m'emporte et je m'endors malgré tout.
Peut être une demi heure plus tard, un peu plus, je me réveil. Ou suis je? Ha oui ok. Quel mal de crâne... Je suis crevé putain et j'ai mal au ventre, limite envie de vomir. En ayant totalement oublié ce qui se déroulait à ma gauche, je me retourne avec la plus grande innocence du monde...
C'était comme un GROS GONZO BIEN SALE AU REVEIL QUAND TA PAS FAIM.

La meuf à poil le suçait comme une porcasse, putain elle donnait sa vie, avec des Glurps Glurps Glurps réguliers de salive bien grasse, elle enfonçait son gros zboub bien profondemment avec des sales bruits et à une vitesse pornographique. Lui, comme un gros porc, avait la tête relevé et la regardait se déchainer au bout de son membre, avec les deux mains appuyées sur sa tête pour bien enfoncer jusqu'à la glotte, en y mettant de la force et en l'empoignant par les cheveux.
What.. Da... FUCK
Du porno en live dénué de toute once de charme.
Je suis à 30 centimètres d'eux, mais personne me voit. Je suis invisible, un observateur de l'ONU en voyage.
Les yeux equarquillés, je phase 30 secondes sur l'hardcore de la scène au reveil, sans qu'on remarque ma présence. Je reprend mes esprits, et entame de me retourner touuut doucement, personne ne m'a vu, je raye de ma mémoire cette scène immonde et je me rallonge... Mon traumatisme est si grand que je me rappelle même plus ce que j'ai fais.
J'ai du attendre que ça se termine, mais je crois que ça s'est terminé à ce moment la à peu près, mon pote à eu la douce attention de m'informer qu'elle avait avalé, encore heureux sinon je me serais surement pris des éclaboussures, je remercie l'arnaque facebook d'être aussi consciencieuse.
Vers 8 ou 9h, je sais plus, on se casse enfin. Sur le palier, on croise ses parents. lol. Ils nous proposent le petit dej, non merci. Je serre la main du père et de la mère en pensant très fort dans ma tête "si tu savais ce que ta fille faisait dans ta cave il y a 20 minutes." et un gros sourire à la fois narquois, à la fois compatissant.
Le dégoût de la scène m'a pas quitté pendant deux jours, probablement alimenté par l'énorme gueule de bois qui me tordait le ventre. Je suis peut être une tapette, mais les boîtes à partouz c'est pas encore pour moi.
Katsu
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- [0] Fuyez, pauvres fous ! le 03.07.13, 23h26 par tibdeconne
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Hé ben... sacré réveil
Super FR quand même, continue à nous en faire même si (surtout) ça heurte la sensibilité des
plus jeunes

Super FR quand même, continue à nous en faire même si (surtout) ça heurte la sensibilité des
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Ce membre a été banni de FTS, en raison de manquements répétés au règlement. Un membre peut être banni automatiquement si sa note descend trop bas (ou trop vite), ou manuellement par un modérateur. Les propos de ce membre n'engagent que lui et ne reflètent pas les opinions des utilisateurs de FTS.
J'aurais du mettre un disclaimer +18 au début

Katsu

Katsu
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Les valises sont bouclées, demain je décampe pour presque 2 mois de vacances, vers de nouveaux continents. Et oui les poulets, 2 mois sans Katsu, c'est triste, je sais.
Du coup, je me suis dis, plutôt que de continuer de jouer tel un geek avec Raven, je pourrais terminer le récit de la traque du Fauve, autrement dit, comment j'ai réussi à sortir avec ma copine actuelle contre vent et marré.
Pour ceux qui ont deja lu le début, les habitués, allez directement au drapeau vert plus bas.
La traque de Fauve.
Ma copine, c'est la plus mieux du monde.
Je vous en ai pas beaucoup parlé, c'est la honte. Et pourtant, elle vaut la peine qu'on en parle.
Novembre.
Alors que j'étais dans ma mauvaise période et que rien ne détournait mon regard du passé, je noyais ma peine dans l'alcool chez un pote. Après un bon apéro, sur le chemin vers chez moi, c'est la que nous avons croisés pour la première fois celle qui dort dans mes bras aujourd'hui. (Et ça, je peux vous dire que c'est le privilège ultime.)
Le regard un peu étourdi par l'alcool, j'aperçois alors deux filles devant un restaurant : la sœur d'un ami, et une autre. Sophistiquée, belle, fine. Première fois de ma vie que je la voyais. Tout de suite, elle a éveillé mon intérêt. C'était la première fois qu'une nouvelle fille m’intéressait depuis ma rupture.
Mais elle ce qu'elle a vu, c'est 2 mecs bourrés sortir d'un buisson en chantant au milieu de la rue, l'un torse nue (mon pote) et l'autre, le fute ouvert. (moi) A la vue de l'accoutrement respectif, cela laissait présager une relation d'une autre nature qu'amicale. Autant dire, que ça commençait mal.
Invitations improvisées, les deux viennent chez moi pour une petite soirée prévue à l'arrache, des amis nous rejoignent. Les mecs gravitent autour d'elle, et alors que j'avais l'habitude d'être l’irréductible centre de l'attention, surtout avec les nouvelles arrivantes, je souffrais en silence de constater que j'étais loin d'être en forme et était incapable de la moindre séduction... Venant de moi, c'était désespérant.
J'étais voué à participer comme je pouvais à la conversation, observant sur le canapé d'en face un ami la chiner irréductiblement, ce à quoi elle ne se lassait pas vraiment faire.
J'étais invisible putain, jamais je n'avais été aussi effacé. Je suis même pas sur qu'elle m'ait adressé la parole une fois, le seul truc qu'elle a pu dire, ça a été de commenter ma nouvelle coupe de cheveux.
"Je trouve que ça fait nazi."

Putain... "Nazi"... c'est comme ça qu'elle qualifiait ma coupe Hype, vous savez celle que tout le monde porte aujourd'hui, court sur les cotés et plus long sur le haut... Tsss.
Cela dit aujourd'hui elle m'interdit encore d'aller chez le coiffeur de peur que je me recoiffe comme ça, ça l'avait marqué dans le fond.
Bref, vous l'aurez compris, ça commençait mal.
Quelques jours après, j'ai fais venir la soeur de mon pote chez moi. Je savais qu'elle voulait me pécho, ce qui ne manqua pas de faire des problèmes d'ailleurs le jour ou je me suis casé, mais je voulais faire une pêche aux informations discrètes.
Mais elle, elle voulait me pécho. Et alors qu'allongée sur mon lit, me regardant droit dans les yeux...
"Ce que je préfères c'est sucer, ça me donne l'impression de dominer, c'est excitant."
Je restais de marbre, mais il y eu surement un sursaut entre mes jambes. Un simple sursaut néanmoins. Evidemment, quand j'ai voulu glaner des infos, j'ai pas eu ce que je voulais entendre.
"Ouais elle a un mec en vue, elle est presque en couple. T'es pas du tout son style d'ailleurs."
Et, dans cette période trouble, il en fallait peu pour me déstabiliser. Pas son style? Mais je suis le style de tout le monde putain, personne peut me dire ça! Autant dire que tout ne me donnait pas confiance en mes chances de succès, ce qui confortait encore plus mon opinion sur ma pauvre condition, qui en temps normal était inébranlable...
Un ami qui l'a connaissait l'a décrit comme indomptable. Elle plait beaucoup, elle le sait, elle s'est fait les mecs les plus stylés à l'époque du lycée, et lui même s'est pris des râteaux en séries alors que c'est un bon chineur. Il m'avoue, et c'est une quasi première, qu'il aurait bien aimé se mettre en couple avec elle, qu'elle avait le caractère pour le tenir, qu'elle était en plus drôle et avait un cul divin qu'il avait pu observer lors de vacances d'été, quand il l'avait surpris en string.
Cool... Elle m’intéresse de plus en plus alors que je ne suis absolument capable de rien en cette période. Ça a le mérite, pour la première fois, de vraiment distraire mon attention et de me porter plus sur le présent que le passé.
Fauve. [/color]
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Fauve. C'est le surnom que je lui ai donné.
Mi décembre.
Mon séjour à l’hôpital avait abouti sur une convalescence d'un mois. Un mois condamné à rester au lit. A penser à l'ex tous les jours, toutes les minutes, éveillé, ou endormi.
Mais en cette mi décembre, de retour en cours, je courais jour et nuit après mon retard, malgré un travail acharné, la montagne de taf grandissait à la même vitesse. Voila encore une chose qui réussissait à me détourner du passé, il fallait faire en 1 mois ce qui aurait du en prendre 3, mais j'étais content. C'était la fin du véritable enfer, je retrouvais enfin la civilisation et n'avais pas le temps de divaguer.
C'était souvent pas facile, parfois même batard, quand ta prof de TD te regarde sceptique quand tu lui tend 4 feuilles d'hostos, et alors que tu reprend à peine pied, premier jour, elle t'interroge dès la première question pour t'évaluer et se fout de ta gueule quand tu n'arrives pas a répondre. Pute.
Grosse pute, je t'enculerais jusqu'à la nuit des temps avec du gros sel si j'avais une deuxième vie à gaspiller.
Voila je voulais juste insulter grassement cette enflure, elle le mérite.
Un peu avant Noël, j'avais essayé quelques weekends à faire en sorte que Fauve vienne passer des soirées avec notre groupe. J'usais de stratégies minables, j'avais pas le choix, je pouvais pas tenir le choc frontal, donc en attendant je trouvais des moyens de substitutions.
Souvent sans succès, frustrant. Elle relançait pas, et allait plutôt à d'autres soirées.
Un soir quand même, elle est venu dans une petite soirée avec nous. Je lui ai pas parlé, et elle n'a pas essayé non plus. Sauf que moi je voulais, mais je savais pas par ou commencer. Et je me disais, "C'est inutile, on a rien en commun de toute façon."
Menteur. Des putains d'excuses tout ça.
On a juste été amené à s'affronter sur un jeu de wii, Just Dance, une chanson :
Love you like a lovesong.
Eh ouais, tu captes.
J'ai dansé comme une meuf, l'alcool me donnait le courage nécessaire pour être ridicule en l'assumant. Et je trouvais ça bien mieux que de pas assumer de pouvoir être ridicule.
C'était le tout petit début. Presque rien. On s'est frôlé, deux, trois fois peut être.
Mais c'était tout ce dont j'avais besoin pour considéré que le jeu commençait.
Arrivait enfin les vacances de Noël. Avant de m'exiler dans le sud, pour cette fois vraiment mettre à plat mon désordre interne, restait une soirée. Le bal des universités de droit de Paris.
Notre fier groupe se mettait sur son 31, RDV pour un apéro bien arrosé. Fauve était la, normal, c'est la meilleur amie de la nouvelle copine de mon pote. Encore une fois, je reste dans l'ombre.
Rien que sa présence me met mal à l'aise, alors même que je suis avec mes potes.
Qu'est ce qui se passe, qu'est ce qui m'arrive. Combien de temps ça va durer cette merde, combien de temps je vais être faible et fébrile. Je me reconnais plus.
Alors on boit. Moi j'bois beaucoup. Beaucoup.
Métro, on arrive à une station, et je me retrouve à attendre un pote qui était en retard. Les autres ont la flemme, je leur dis de partir devant, de toute façon je ferais le trajet avec lui et ça fait des mois que je l'ai pas vu.
Je sais pas pourquoi, Fauve reste avec moi, nous deux, seuls.
On a presque jamais parlé. Mais la présence d'une fiole de Vodka dans son sac nous occupe, RedBull, et je la descend sec, par cupidité pour pas payer de conso, et espérant en vain que la magie de l'alcool me redonne mes pouvoirs anciens, ma confiance, mes épaules, mon sourire.
Sur le moment, ça aurait déjà du me mettre la puce à l'oreille, qu'elle soit restée avec moi alors qu'on se connaissait pratiquement pas. Mais j'étais encore loin d'être moi même.
Mon pote nous rejoins, encore un bon bout de métro avant d'arriver. Ce bal était au bout du monde. Merde, trop d'alcool, chaque secousse du métro m'attaque sans pitié, ça va pas le faire.
On sort de la gare après trois quart d'heure d'enfer, j'en peux plus, je suis livide.
Parfaitement fringué en costume cravate, j'assaille les premières plantes que je trouve et dégueule sans pitié tout le surplus qui m'aurait encore une fois conduit à l'hosto.
Fauve est derrière moi, et regarde.
Ça commence mal, et ça continue mal.

Blanchâtre, je comate a moitié dans la navette qui nous fait traverser des bois obscures. J'ai des bouffés de chaleurs, et des sueurs froides, mais ma grande expérience des grosses cuites me rappelle que bientôt je recouvrirais mon énergie, et que le plus mal est passé. Et il en faudra de l'énergie, pour tenir une nuit entière en costume cravate parmi toutes ces meufs.
Jusqu’à l'entré dans la salle, j'ai peu, si ce n'est aucun souvenir. Fauve est pas mal bourrée il me semble, le comble, et qu'elle m'a raconté, c'est que c'est moi qui l'aidait à tenir debout. Le comble du comble, vraiment. Il me semble que j'ai tenté en toute finesse de gruger la queue, avant de me faire rembarrer par une meuf sans détour. Bien tenté bien tenté.
Téléportation à l'intérieur, on retrouve la bande, je suis archi bourré, difficile de faire pire. Mais l'excitation de fin de partiel me pousse à me transcender et me donne des ailes pour aller danser, ou plutôt me secouer, au milieu du dancefloor. J'ignore complètement ce qui se passe autour de moi, je suis dans une bulle et tout ce qui m'entoure est d'un flou total.
Je croise a un moment Kim, la belle vietnamienne de 24 tombée amoureuse de moi cet été, et avec qui j'avais eu une séance de sexe hardcore.
Elle est en couple, cool.
Comptez jusqu'a 5, et nos langues dansaient deja la salsa la plus hot que vous n'avez jamais vu. Bien sur, comme elle était un peu trop accroc, elle avait parlé de moi, ce connard, à sa pote qui était la, et qui me foudroyait du regard sans que j'en ai quoi que ce soit à foutre. On profite bien, c'est vraiment très chaud, son putain de cul est parfaitement moulé par sa robe rouge ajustée, et en passant je sens bien le léger relief de son string sous ma main.
Trop excitée, elle a même voulu qu'on aille aux chiottes pour que je la démonte (c'est ce qu'elle kiffait, je m'en plains pas). C'était clairement une folie, vu le débit de personne qui y passait, et les videurs qui surveillaient bien.
Fauve quand à elle, me frustrait. Entourée d'absolument tous les mecs de notre groupe, elle passait des bras de l'un aux bras de l'autre, l'espace d'une danse, jouant avec eux sans jamais se laisser prendre. Tous, sauf moi, qui évitait de me jeter bêtement dans l'arène. Puis j'étais pris dans les griffes de ma viet, qui surveillait mais moindre faits et gestes.
La soirée passe vite, j'avais bien respecté le principe étudiant du : boire assez avant la soirée pour tenir au moins 8 heures. Résultat, on s'en va vers 6 heures, je suis encore complètement torché. Mes potes qui s'étaient foutu de la gueule de tout le monde pendant la soirée, récidivent dans la navette. L'ambiance doucement provocatrice au début, s'enflamme petit à petit, jusqu'au point culminant de tension ou le mec rasé au fond du bus a commencer à foutre d'énorme tartes à mon pote, ainsi que sa meuf complètement déchaînée qui frappait partout, puis leur autre pote aussi, et les 3 autres meufs.
BREF PUTAIN DE BASTON GÉNÉRALE.
Moi j'étais en plein milieu, mes potes fuient tous comme des lâches, alors que l'un des notres étaient pris à parti dans un coin. Je suis allé le chercher par la peau du cul, pour réaliser que le mec qu'ils avaient embrouillé faisait 2 mètres et très très peur. Mais je suis resté tranquille, même quand il essayait de me mettre des droites et que je répondais par des :
"Mais tranquille mec. Détend toi."
Au final, il m'a pas touché et j'ai sorti mon pote, qui lui est ressorti avec de magnifiques cocards. J'ai quand même grassement insulté le psychopathe en sortant, on aurait dit un ex SS dans un grand manteau de cuir.
Au passage, sans raison, je choppe une boule de noël sur un arbre dans la rue.
Fauve était pas la pendant ce temps, elle était avec un autre mec, ils rentraient à pied seuls, je manque pas de le remarquer... Débriefing de la baston, ce qu'on aurait du faire mais que personne n'a fait, classique. J'offre la boule à Fauve, comme un grand cadeau qu'elle doit absolument conserver.
La boule est toujours sur son bureau aujourd'hui.
8 heures et quelques, je suis toujours et encore torché, comme une cuite infinie. RDV avec mes parents qui m'attendent pour 8 heures de voiture vers le sud. ENJOY YOUR TRIP.
C'était terrible.
Bref, les vacances de noël passent... A mon grand damne, j'ajoute Fauve sur facebook dans un excès d'intérêt, elle me fait tourner la tête comme un bleu. Ajouter quelqu'un sur facebook contredis a peu près 39 règles de mon code de conduite interne, et en plus une meuf, et en plus qui m’intéresse, c'était le blasphème absolu.
Mais je l'ai fais, et ça a été l'échec complet. Elle répondait, mais sans plus. Je culpabilisais davantage à chaque fois que je relançais, ça trahissait tellement mon style. Puis les conversations ne menaient nul part, on ne se comprenait pas vraiment, c'était bateau, très bateau...
Après consultation de la moitié de mon entourage, dépité par mon incapacité post apocalyptique à chiner correctement, je décide de stopper le massacre et stop la discussion avec Fauve, quel qu'en soit l’intermédiaire.
Alors, exilé dans le sud, tel Sangoku j'ai entamé une énorme remise en question, entraînant mon for intérieur à revenir à son plus haut niveau, prêt à en découdre avec n'importe qui, notamment avec Fauve qui semblait si inatteignable. Il fallait avant cela se plonger dans ses pensées, visiter les plus profondes entrailles de mes insécurités et doutes, démêler les noeuds tissés depuis des années, et tirer un véritable trait sur les démons de mon ancienne relation, afin de se tourner vers le futur.
C'est ainsi que s'acheva le mois de janvier. Après des révisions motiver par la rage de vaincre, de la reconquête, le ciel se dégageait enfin sur mon passage, les perspectives se multipliaient. Voyage en Afrique, semaine au Ski avec une belle meuf (Effy) et un couple, nouveaux coups à la FAC, etc... Il semblait que la vie était prête à me sourire à nouveau, et que j'étais moi aussi prêt à lui rendre son sourire.
Reprise du sport, travail assidu, musique, sorties. C'était la renaissance.
C'est alors qu'intervint Effy, qui fut déterminante lors de la traque du Fauve. Effy & Fauve ont toutes les deux une même meilleure amie qui est la copine d'un très bon pote.
Constatant que j'étais de retour, sur le marché du célibat notamment, le couple ci dessus voulu me caser avec Effy. Et il semblait qu'Effy n'y était pas réticente, et elle attisait ma curiosité également. Tandis qu'ils voulaient caser Fauve avec un de nos potes.
Seulement, même si la perspective d'Effy, une jolie brune aux yeux bleus, et doté d'un cul parfait, ne me déplaisait pas, le fait de ne même pas avoir penser à tenter de me caser avec Fauve me piquait, presque me vexait. J'étais décidément si invisible?
Psychologie féminine 101 : la puissance de la jalousie.
Inconsciemment, ils ont fait monter les enchères autour de moi. Et Fauve a eu exactement la même réaction d'orgueil que moi. Elle fulminait intérieurement que ce couple ne pense pas à la caser avec moi, qui ne lui avait pas véritablement montré d'intérêt jusqu’à maintenant. Mais elle n'en disait bien sur aucun mot. Comme moi d'ailleurs.
Donc nous étions la, tous les deux, à ruminer dans notre coin qu'aucun de nous ne s'intéresse à l'autre. Et plus la perspective d'Effy se rapprochait, plus Fauve s'impatientait. Vous pensez vraiment que c'est hasard que l'on soit sorti ensemble une semaine avant que je parte en vacances avec Effy?
Vint la fatidique soirée. Je rencontrais Effy, qui répondait bien aux promesses qu'on m'avait faites à son égard. Elle était très cool, l'idée d'être enfermé dans un studio avec elle et un couple pendant 1 semaine me séduisait de plus en plus. Aucun doute qu'il se passerait quelque chose.
Quant à Fauve, du coin de l'oeil je l'observais dériver petit a petit vers son prince promis, elle aussi. Impuissant.
L'alcool coulait à flot, un mec se baladait avec une chapka et distillait de la vodka à la cuillère à soupe, des oeufs volaient, on pelotait des seins, on s’exhibait, on trouvait des plots de chantiers et on faisait un pitoyable Harlem Shake. (A l'époque c'était tout nouveau.)
Et sans aucune raison. Sans que rien ne l'annonçait. Alors que l'alcool imprégnait chacun de mes neurones. Fauve vint à moi, pour danser. Proche, de plus en plus proche. Mes mouvements étaient sures, ma main glissait dans son dos, sa jambe entre les miennes. Mon autre main remonta vers son cou, effleura son oreille, toucha ses cheveux. Et l'on s'embrassa.
Une fois, puis deux, puis trois. C'était l'acte final, enfin, après des mois de retenu, de stratégie, de frustration, ENFIN le dénouement finale, si inattendu. Pourquoi l'on s'embrassait? Absolument rien de concret n'avait précédé ce moment.
L'alcool troue ma mémoire, je me retrouve dans les toilettes, Fauve enlève son haut, alors j'enlève le mien. Elle ouvre ma ceinture, je l'aide, on s'embrasse, tout devient si bestiale, je la prend dans mes bras, la soulève, elle s'accroche à ma taille, et commence notre folle première fois.
Elle me griffe, je la mord, elle tire mes cheveux, je la plaque contre le mur. Les cadres tombent, tout se renverse, elle tape contre le mur, elle crie, beaucoup. Le souffle, j'halète, essoufflé. Mais je continue, la tenant par la force de mes bras. Enfin, ENFIN, après tout ce temps, j'obtenais Fauve, ENFIN je tirais un trait sur mon ex avec une fille superbe, incroyable et insaisissable.
C'était la victoire que j'attendais tant, le symbole de la reconquête.
Et ce n'était que le début. D'abord de la nuit, puisqu'on a couché ensemble 4 fois cette nuit la, au moins 4 ou 5 heures. Impossible de dormir, quelle peste. Puis le début de notre relation, presque timidement, anxieux au début, ne sachant pas ou cela allait nous mener. On s'est découvert petit à petit, et c'est la que j'ai commencé à comprendre que toutes les souffrances que j'avais éprouvé n'avaient pas été éprouvé en vain, que le fruit de ces apprentissages se ressentaient aujourd'hui. Alors je ne répéta aucune des erreurs passées, et très vite je m'attachais à Fauve, et elle à moi.
C'est sa relation la plus longue aujourd'hui, après 6 mois. Et l'on met de plus en plus de petits coeurs à la fin de nos messages.
Katsu
Du coup, je me suis dis, plutôt que de continuer de jouer tel un geek avec Raven, je pourrais terminer le récit de la traque du Fauve, autrement dit, comment j'ai réussi à sortir avec ma copine actuelle contre vent et marré.
Pour ceux qui ont deja lu le début, les habitués, allez directement au drapeau vert plus bas.
La traque de Fauve.
Ma copine, c'est la plus mieux du monde.
Je vous en ai pas beaucoup parlé, c'est la honte. Et pourtant, elle vaut la peine qu'on en parle.
Novembre.
Alors que j'étais dans ma mauvaise période et que rien ne détournait mon regard du passé, je noyais ma peine dans l'alcool chez un pote. Après un bon apéro, sur le chemin vers chez moi, c'est la que nous avons croisés pour la première fois celle qui dort dans mes bras aujourd'hui. (Et ça, je peux vous dire que c'est le privilège ultime.)
Le regard un peu étourdi par l'alcool, j'aperçois alors deux filles devant un restaurant : la sœur d'un ami, et une autre. Sophistiquée, belle, fine. Première fois de ma vie que je la voyais. Tout de suite, elle a éveillé mon intérêt. C'était la première fois qu'une nouvelle fille m’intéressait depuis ma rupture.
Mais elle ce qu'elle a vu, c'est 2 mecs bourrés sortir d'un buisson en chantant au milieu de la rue, l'un torse nue (mon pote) et l'autre, le fute ouvert. (moi) A la vue de l'accoutrement respectif, cela laissait présager une relation d'une autre nature qu'amicale. Autant dire, que ça commençait mal.
Invitations improvisées, les deux viennent chez moi pour une petite soirée prévue à l'arrache, des amis nous rejoignent. Les mecs gravitent autour d'elle, et alors que j'avais l'habitude d'être l’irréductible centre de l'attention, surtout avec les nouvelles arrivantes, je souffrais en silence de constater que j'étais loin d'être en forme et était incapable de la moindre séduction... Venant de moi, c'était désespérant.
J'étais voué à participer comme je pouvais à la conversation, observant sur le canapé d'en face un ami la chiner irréductiblement, ce à quoi elle ne se lassait pas vraiment faire.
J'étais invisible putain, jamais je n'avais été aussi effacé. Je suis même pas sur qu'elle m'ait adressé la parole une fois, le seul truc qu'elle a pu dire, ça a été de commenter ma nouvelle coupe de cheveux.
"Je trouve que ça fait nazi."

Putain... "Nazi"... c'est comme ça qu'elle qualifiait ma coupe Hype, vous savez celle que tout le monde porte aujourd'hui, court sur les cotés et plus long sur le haut... Tsss.
Cela dit aujourd'hui elle m'interdit encore d'aller chez le coiffeur de peur que je me recoiffe comme ça, ça l'avait marqué dans le fond.

Bref, vous l'aurez compris, ça commençait mal.
Quelques jours après, j'ai fais venir la soeur de mon pote chez moi. Je savais qu'elle voulait me pécho, ce qui ne manqua pas de faire des problèmes d'ailleurs le jour ou je me suis casé, mais je voulais faire une pêche aux informations discrètes.
Mais elle, elle voulait me pécho. Et alors qu'allongée sur mon lit, me regardant droit dans les yeux...
"Ce que je préfères c'est sucer, ça me donne l'impression de dominer, c'est excitant."
Je restais de marbre, mais il y eu surement un sursaut entre mes jambes. Un simple sursaut néanmoins. Evidemment, quand j'ai voulu glaner des infos, j'ai pas eu ce que je voulais entendre.
"Ouais elle a un mec en vue, elle est presque en couple. T'es pas du tout son style d'ailleurs."
Et, dans cette période trouble, il en fallait peu pour me déstabiliser. Pas son style? Mais je suis le style de tout le monde putain, personne peut me dire ça! Autant dire que tout ne me donnait pas confiance en mes chances de succès, ce qui confortait encore plus mon opinion sur ma pauvre condition, qui en temps normal était inébranlable...
Un ami qui l'a connaissait l'a décrit comme indomptable. Elle plait beaucoup, elle le sait, elle s'est fait les mecs les plus stylés à l'époque du lycée, et lui même s'est pris des râteaux en séries alors que c'est un bon chineur. Il m'avoue, et c'est une quasi première, qu'il aurait bien aimé se mettre en couple avec elle, qu'elle avait le caractère pour le tenir, qu'elle était en plus drôle et avait un cul divin qu'il avait pu observer lors de vacances d'été, quand il l'avait surpris en string.
Cool... Elle m’intéresse de plus en plus alors que je ne suis absolument capable de rien en cette période. Ça a le mérite, pour la première fois, de vraiment distraire mon attention et de me porter plus sur le présent que le passé.
Fauve. [/color]
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Fauve. C'est le surnom que je lui ai donné.
Mi décembre.
Mon séjour à l’hôpital avait abouti sur une convalescence d'un mois. Un mois condamné à rester au lit. A penser à l'ex tous les jours, toutes les minutes, éveillé, ou endormi.
Mais en cette mi décembre, de retour en cours, je courais jour et nuit après mon retard, malgré un travail acharné, la montagne de taf grandissait à la même vitesse. Voila encore une chose qui réussissait à me détourner du passé, il fallait faire en 1 mois ce qui aurait du en prendre 3, mais j'étais content. C'était la fin du véritable enfer, je retrouvais enfin la civilisation et n'avais pas le temps de divaguer.
C'était souvent pas facile, parfois même batard, quand ta prof de TD te regarde sceptique quand tu lui tend 4 feuilles d'hostos, et alors que tu reprend à peine pied, premier jour, elle t'interroge dès la première question pour t'évaluer et se fout de ta gueule quand tu n'arrives pas a répondre. Pute.
Grosse pute, je t'enculerais jusqu'à la nuit des temps avec du gros sel si j'avais une deuxième vie à gaspiller.
Voila je voulais juste insulter grassement cette enflure, elle le mérite.
Un peu avant Noël, j'avais essayé quelques weekends à faire en sorte que Fauve vienne passer des soirées avec notre groupe. J'usais de stratégies minables, j'avais pas le choix, je pouvais pas tenir le choc frontal, donc en attendant je trouvais des moyens de substitutions.
Souvent sans succès, frustrant. Elle relançait pas, et allait plutôt à d'autres soirées.
Un soir quand même, elle est venu dans une petite soirée avec nous. Je lui ai pas parlé, et elle n'a pas essayé non plus. Sauf que moi je voulais, mais je savais pas par ou commencer. Et je me disais, "C'est inutile, on a rien en commun de toute façon."
Menteur. Des putains d'excuses tout ça.
On a juste été amené à s'affronter sur un jeu de wii, Just Dance, une chanson :
Love you like a lovesong.
Eh ouais, tu captes.
J'ai dansé comme une meuf, l'alcool me donnait le courage nécessaire pour être ridicule en l'assumant. Et je trouvais ça bien mieux que de pas assumer de pouvoir être ridicule.
C'était le tout petit début. Presque rien. On s'est frôlé, deux, trois fois peut être.
Mais c'était tout ce dont j'avais besoin pour considéré que le jeu commençait.
Arrivait enfin les vacances de Noël. Avant de m'exiler dans le sud, pour cette fois vraiment mettre à plat mon désordre interne, restait une soirée. Le bal des universités de droit de Paris.
Notre fier groupe se mettait sur son 31, RDV pour un apéro bien arrosé. Fauve était la, normal, c'est la meilleur amie de la nouvelle copine de mon pote. Encore une fois, je reste dans l'ombre.
Rien que sa présence me met mal à l'aise, alors même que je suis avec mes potes.
Qu'est ce qui se passe, qu'est ce qui m'arrive. Combien de temps ça va durer cette merde, combien de temps je vais être faible et fébrile. Je me reconnais plus.
Alors on boit. Moi j'bois beaucoup. Beaucoup.
Métro, on arrive à une station, et je me retrouve à attendre un pote qui était en retard. Les autres ont la flemme, je leur dis de partir devant, de toute façon je ferais le trajet avec lui et ça fait des mois que je l'ai pas vu.
Je sais pas pourquoi, Fauve reste avec moi, nous deux, seuls.
On a presque jamais parlé. Mais la présence d'une fiole de Vodka dans son sac nous occupe, RedBull, et je la descend sec, par cupidité pour pas payer de conso, et espérant en vain que la magie de l'alcool me redonne mes pouvoirs anciens, ma confiance, mes épaules, mon sourire.
Sur le moment, ça aurait déjà du me mettre la puce à l'oreille, qu'elle soit restée avec moi alors qu'on se connaissait pratiquement pas. Mais j'étais encore loin d'être moi même.
Mon pote nous rejoins, encore un bon bout de métro avant d'arriver. Ce bal était au bout du monde. Merde, trop d'alcool, chaque secousse du métro m'attaque sans pitié, ça va pas le faire.
On sort de la gare après trois quart d'heure d'enfer, j'en peux plus, je suis livide.
Parfaitement fringué en costume cravate, j'assaille les premières plantes que je trouve et dégueule sans pitié tout le surplus qui m'aurait encore une fois conduit à l'hosto.
Fauve est derrière moi, et regarde.
Ça commence mal, et ça continue mal.

Blanchâtre, je comate a moitié dans la navette qui nous fait traverser des bois obscures. J'ai des bouffés de chaleurs, et des sueurs froides, mais ma grande expérience des grosses cuites me rappelle que bientôt je recouvrirais mon énergie, et que le plus mal est passé. Et il en faudra de l'énergie, pour tenir une nuit entière en costume cravate parmi toutes ces meufs.
Jusqu’à l'entré dans la salle, j'ai peu, si ce n'est aucun souvenir. Fauve est pas mal bourrée il me semble, le comble, et qu'elle m'a raconté, c'est que c'est moi qui l'aidait à tenir debout. Le comble du comble, vraiment. Il me semble que j'ai tenté en toute finesse de gruger la queue, avant de me faire rembarrer par une meuf sans détour. Bien tenté bien tenté.
Téléportation à l'intérieur, on retrouve la bande, je suis archi bourré, difficile de faire pire. Mais l'excitation de fin de partiel me pousse à me transcender et me donne des ailes pour aller danser, ou plutôt me secouer, au milieu du dancefloor. J'ignore complètement ce qui se passe autour de moi, je suis dans une bulle et tout ce qui m'entoure est d'un flou total.
Je croise a un moment Kim, la belle vietnamienne de 24 tombée amoureuse de moi cet été, et avec qui j'avais eu une séance de sexe hardcore.
Elle est en couple, cool.
Comptez jusqu'a 5, et nos langues dansaient deja la salsa la plus hot que vous n'avez jamais vu. Bien sur, comme elle était un peu trop accroc, elle avait parlé de moi, ce connard, à sa pote qui était la, et qui me foudroyait du regard sans que j'en ai quoi que ce soit à foutre. On profite bien, c'est vraiment très chaud, son putain de cul est parfaitement moulé par sa robe rouge ajustée, et en passant je sens bien le léger relief de son string sous ma main.
Trop excitée, elle a même voulu qu'on aille aux chiottes pour que je la démonte (c'est ce qu'elle kiffait, je m'en plains pas). C'était clairement une folie, vu le débit de personne qui y passait, et les videurs qui surveillaient bien.
Fauve quand à elle, me frustrait. Entourée d'absolument tous les mecs de notre groupe, elle passait des bras de l'un aux bras de l'autre, l'espace d'une danse, jouant avec eux sans jamais se laisser prendre. Tous, sauf moi, qui évitait de me jeter bêtement dans l'arène. Puis j'étais pris dans les griffes de ma viet, qui surveillait mais moindre faits et gestes.
La soirée passe vite, j'avais bien respecté le principe étudiant du : boire assez avant la soirée pour tenir au moins 8 heures. Résultat, on s'en va vers 6 heures, je suis encore complètement torché. Mes potes qui s'étaient foutu de la gueule de tout le monde pendant la soirée, récidivent dans la navette. L'ambiance doucement provocatrice au début, s'enflamme petit à petit, jusqu'au point culminant de tension ou le mec rasé au fond du bus a commencer à foutre d'énorme tartes à mon pote, ainsi que sa meuf complètement déchaînée qui frappait partout, puis leur autre pote aussi, et les 3 autres meufs.
BREF PUTAIN DE BASTON GÉNÉRALE.
Moi j'étais en plein milieu, mes potes fuient tous comme des lâches, alors que l'un des notres étaient pris à parti dans un coin. Je suis allé le chercher par la peau du cul, pour réaliser que le mec qu'ils avaient embrouillé faisait 2 mètres et très très peur. Mais je suis resté tranquille, même quand il essayait de me mettre des droites et que je répondais par des :
"Mais tranquille mec. Détend toi."
Au final, il m'a pas touché et j'ai sorti mon pote, qui lui est ressorti avec de magnifiques cocards. J'ai quand même grassement insulté le psychopathe en sortant, on aurait dit un ex SS dans un grand manteau de cuir.
Au passage, sans raison, je choppe une boule de noël sur un arbre dans la rue.
Fauve était pas la pendant ce temps, elle était avec un autre mec, ils rentraient à pied seuls, je manque pas de le remarquer... Débriefing de la baston, ce qu'on aurait du faire mais que personne n'a fait, classique. J'offre la boule à Fauve, comme un grand cadeau qu'elle doit absolument conserver.
La boule est toujours sur son bureau aujourd'hui.

8 heures et quelques, je suis toujours et encore torché, comme une cuite infinie. RDV avec mes parents qui m'attendent pour 8 heures de voiture vers le sud. ENJOY YOUR TRIP.
C'était terrible.
Bref, les vacances de noël passent... A mon grand damne, j'ajoute Fauve sur facebook dans un excès d'intérêt, elle me fait tourner la tête comme un bleu. Ajouter quelqu'un sur facebook contredis a peu près 39 règles de mon code de conduite interne, et en plus une meuf, et en plus qui m’intéresse, c'était le blasphème absolu.
Mais je l'ai fais, et ça a été l'échec complet. Elle répondait, mais sans plus. Je culpabilisais davantage à chaque fois que je relançais, ça trahissait tellement mon style. Puis les conversations ne menaient nul part, on ne se comprenait pas vraiment, c'était bateau, très bateau...
Après consultation de la moitié de mon entourage, dépité par mon incapacité post apocalyptique à chiner correctement, je décide de stopper le massacre et stop la discussion avec Fauve, quel qu'en soit l’intermédiaire.
Alors, exilé dans le sud, tel Sangoku j'ai entamé une énorme remise en question, entraînant mon for intérieur à revenir à son plus haut niveau, prêt à en découdre avec n'importe qui, notamment avec Fauve qui semblait si inatteignable. Il fallait avant cela se plonger dans ses pensées, visiter les plus profondes entrailles de mes insécurités et doutes, démêler les noeuds tissés depuis des années, et tirer un véritable trait sur les démons de mon ancienne relation, afin de se tourner vers le futur.
C'est ainsi que s'acheva le mois de janvier. Après des révisions motiver par la rage de vaincre, de la reconquête, le ciel se dégageait enfin sur mon passage, les perspectives se multipliaient. Voyage en Afrique, semaine au Ski avec une belle meuf (Effy) et un couple, nouveaux coups à la FAC, etc... Il semblait que la vie était prête à me sourire à nouveau, et que j'étais moi aussi prêt à lui rendre son sourire.
Reprise du sport, travail assidu, musique, sorties. C'était la renaissance.
C'est alors qu'intervint Effy, qui fut déterminante lors de la traque du Fauve. Effy & Fauve ont toutes les deux une même meilleure amie qui est la copine d'un très bon pote.
Constatant que j'étais de retour, sur le marché du célibat notamment, le couple ci dessus voulu me caser avec Effy. Et il semblait qu'Effy n'y était pas réticente, et elle attisait ma curiosité également. Tandis qu'ils voulaient caser Fauve avec un de nos potes.
Seulement, même si la perspective d'Effy, une jolie brune aux yeux bleus, et doté d'un cul parfait, ne me déplaisait pas, le fait de ne même pas avoir penser à tenter de me caser avec Fauve me piquait, presque me vexait. J'étais décidément si invisible?
Psychologie féminine 101 : la puissance de la jalousie.
Inconsciemment, ils ont fait monter les enchères autour de moi. Et Fauve a eu exactement la même réaction d'orgueil que moi. Elle fulminait intérieurement que ce couple ne pense pas à la caser avec moi, qui ne lui avait pas véritablement montré d'intérêt jusqu’à maintenant. Mais elle n'en disait bien sur aucun mot. Comme moi d'ailleurs.
Donc nous étions la, tous les deux, à ruminer dans notre coin qu'aucun de nous ne s'intéresse à l'autre. Et plus la perspective d'Effy se rapprochait, plus Fauve s'impatientait. Vous pensez vraiment que c'est hasard que l'on soit sorti ensemble une semaine avant que je parte en vacances avec Effy?
Vint la fatidique soirée. Je rencontrais Effy, qui répondait bien aux promesses qu'on m'avait faites à son égard. Elle était très cool, l'idée d'être enfermé dans un studio avec elle et un couple pendant 1 semaine me séduisait de plus en plus. Aucun doute qu'il se passerait quelque chose.
Quant à Fauve, du coin de l'oeil je l'observais dériver petit a petit vers son prince promis, elle aussi. Impuissant.
L'alcool coulait à flot, un mec se baladait avec une chapka et distillait de la vodka à la cuillère à soupe, des oeufs volaient, on pelotait des seins, on s’exhibait, on trouvait des plots de chantiers et on faisait un pitoyable Harlem Shake. (A l'époque c'était tout nouveau.)
Et sans aucune raison. Sans que rien ne l'annonçait. Alors que l'alcool imprégnait chacun de mes neurones. Fauve vint à moi, pour danser. Proche, de plus en plus proche. Mes mouvements étaient sures, ma main glissait dans son dos, sa jambe entre les miennes. Mon autre main remonta vers son cou, effleura son oreille, toucha ses cheveux. Et l'on s'embrassa.
Une fois, puis deux, puis trois. C'était l'acte final, enfin, après des mois de retenu, de stratégie, de frustration, ENFIN le dénouement finale, si inattendu. Pourquoi l'on s'embrassait? Absolument rien de concret n'avait précédé ce moment.
L'alcool troue ma mémoire, je me retrouve dans les toilettes, Fauve enlève son haut, alors j'enlève le mien. Elle ouvre ma ceinture, je l'aide, on s'embrasse, tout devient si bestiale, je la prend dans mes bras, la soulève, elle s'accroche à ma taille, et commence notre folle première fois.
Elle me griffe, je la mord, elle tire mes cheveux, je la plaque contre le mur. Les cadres tombent, tout se renverse, elle tape contre le mur, elle crie, beaucoup. Le souffle, j'halète, essoufflé. Mais je continue, la tenant par la force de mes bras. Enfin, ENFIN, après tout ce temps, j'obtenais Fauve, ENFIN je tirais un trait sur mon ex avec une fille superbe, incroyable et insaisissable.
C'était la victoire que j'attendais tant, le symbole de la reconquête.
Et ce n'était que le début. D'abord de la nuit, puisqu'on a couché ensemble 4 fois cette nuit la, au moins 4 ou 5 heures. Impossible de dormir, quelle peste. Puis le début de notre relation, presque timidement, anxieux au début, ne sachant pas ou cela allait nous mener. On s'est découvert petit à petit, et c'est la que j'ai commencé à comprendre que toutes les souffrances que j'avais éprouvé n'avaient pas été éprouvé en vain, que le fruit de ces apprentissages se ressentaient aujourd'hui. Alors je ne répéta aucune des erreurs passées, et très vite je m'attachais à Fauve, et elle à moi.
C'est sa relation la plus longue aujourd'hui, après 6 mois. Et l'on met de plus en plus de petits coeurs à la fin de nos messages.
Katsu
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