Réagir aux événements de la vie et la capacité à encaisser
Bonjour à tous,
Je crée ce sujet suite à une réflexion que je me fais en ce moment, quant à ma capacité à réagir aux événements ou au petites choses de la vie quotidienne. Il ne s'agit pas d'un article ou d'un tutoriel, mais plus d'une requête ou j'aurais besoin de votre avis sur le sujet.
Pensez vous qu'il y'ait des événements de la vie qui nous fragilise réellement à tous les niveaux ? Je fais référence ici aux événements de toutes sortes, Rupture sentimentale, décès, coups durs de de la vie, stress au travail...
En fait j'y pense sérieusement en ce moment, car je suis dans une période depuis quelques jours ou semaines ou un rien me rends susceptible, et ça m'emmerde un peu, car je pensais à une époque être blindé et insensible à certaines choses, comme si c'était acquis pour tous les jours à venir. Aujourd'hui un rien me fait douter en moi, et je peux prendre une simple remarque anodine au sérieux sans forcément le montrer à mon interlocuteur, à m'en bousiller le moral.
Je me demande du coup aussi s'il ne s'agit tout simplement pas d'une déprime passagère, donc une sorte de réaction chimique à l'intérieur, mais c'est quand même gênant ou inquiétant dans le sens, ou j'ai l'impression que toute l'expérience accumulée de la vie à encaisser des coups durs ou gérer certaines situations avec une certaines aisances était réduite à néant. Je me sens comme démuni, désarmé.
à titre d'exemples, au dèla de certains événements passés ces derniers jours voire semaines, j'ai eu des mots avec une amie y'a une heure environ, ou j'ai mal pris une de ces remarques, (peut-être avais-je raison de mal le prendre dans un sens), mais je sais qu'à une certaine époque, sa remarque, je l'aurais prise et y aurais répondu avec le sourire, ou l'aurait oublié presque aussitôt formulé sans que çà me touche, ça me serait passé en tout cas par dessus la tête.
Là non, non seulement j'ai réagi un peu agressivement, et même si c'était justifié je trouve que ça m'a desservi plus qu'autre chose de me montrer en colère, et en plus j'y pense très fortement et me sens (bêtement) blessé.
Pourquoi ai je le sentiment de perdre les pédales en ce moment, s'agit-il d'un traumatisme quelconque qui s'est réveillé et qui conditionne toutes mes interactions ? Ressentez vous ce genre de période ou vous avez l'impression d'être tout l'inverse d'un lion, une espèce de roquet qui raserait presque les murs ? (j'exagère un peu, mais voyez l'idée).
Çà a peut-être l'air un peu compliqué ce que je raconte, je n'ai jamais été vraiment balaise dans l'idée de m'expliquer par écrit tellement les idées se bousculent dans ma tête dans tous les sens, je m'arrête là pour le moment, si vous avez quelques éclaircissements, ou questions je suis toute ouïe.
Je crée ce sujet suite à une réflexion que je me fais en ce moment, quant à ma capacité à réagir aux événements ou au petites choses de la vie quotidienne. Il ne s'agit pas d'un article ou d'un tutoriel, mais plus d'une requête ou j'aurais besoin de votre avis sur le sujet.
Pensez vous qu'il y'ait des événements de la vie qui nous fragilise réellement à tous les niveaux ? Je fais référence ici aux événements de toutes sortes, Rupture sentimentale, décès, coups durs de de la vie, stress au travail...
En fait j'y pense sérieusement en ce moment, car je suis dans une période depuis quelques jours ou semaines ou un rien me rends susceptible, et ça m'emmerde un peu, car je pensais à une époque être blindé et insensible à certaines choses, comme si c'était acquis pour tous les jours à venir. Aujourd'hui un rien me fait douter en moi, et je peux prendre une simple remarque anodine au sérieux sans forcément le montrer à mon interlocuteur, à m'en bousiller le moral.
Je me demande du coup aussi s'il ne s'agit tout simplement pas d'une déprime passagère, donc une sorte de réaction chimique à l'intérieur, mais c'est quand même gênant ou inquiétant dans le sens, ou j'ai l'impression que toute l'expérience accumulée de la vie à encaisser des coups durs ou gérer certaines situations avec une certaines aisances était réduite à néant. Je me sens comme démuni, désarmé.
à titre d'exemples, au dèla de certains événements passés ces derniers jours voire semaines, j'ai eu des mots avec une amie y'a une heure environ, ou j'ai mal pris une de ces remarques, (peut-être avais-je raison de mal le prendre dans un sens), mais je sais qu'à une certaine époque, sa remarque, je l'aurais prise et y aurais répondu avec le sourire, ou l'aurait oublié presque aussitôt formulé sans que çà me touche, ça me serait passé en tout cas par dessus la tête.
Là non, non seulement j'ai réagi un peu agressivement, et même si c'était justifié je trouve que ça m'a desservi plus qu'autre chose de me montrer en colère, et en plus j'y pense très fortement et me sens (bêtement) blessé.
Pourquoi ai je le sentiment de perdre les pédales en ce moment, s'agit-il d'un traumatisme quelconque qui s'est réveillé et qui conditionne toutes mes interactions ? Ressentez vous ce genre de période ou vous avez l'impression d'être tout l'inverse d'un lion, une espèce de roquet qui raserait presque les murs ? (j'exagère un peu, mais voyez l'idée).
Çà a peut-être l'air un peu compliqué ce que je raconte, je n'ai jamais été vraiment balaise dans l'idée de m'expliquer par écrit tellement les idées se bousculent dans ma tête dans tous les sens, je m'arrête là pour le moment, si vous avez quelques éclaircissements, ou questions je suis toute ouïe.
Je suis un peu dans la même phase que toi Reborn. Je me sens un peu mou, un poil susceptible et je sens bien que je suis pas à 100% de ce que je peux être. J'ai eu une période genre de 2 mois et demi où j'étais un peu flamboyant, que ce soit au niveau relationnel, des cours ou même de la danse. Je sais pas j'étais vraiment TRES BIEN.
Et puis depuis 2, 3 semaines, j'ai du mal être dans le même état tout le temps en fait. Je suis à présent dans une période de up and down, mais plus de down que de up. Je pense que l'approche de mes premiers examens universitaire doit jouer sur mon humeur et le fait aussi que l'hiver est pas vraiment une saison que j'affectionne.
Mais je me sens diminué, moins maître de mes faits et gestes, je redeviens plus timide, plus susceptible, plus réservé. Avant j'étais quasiment à la recherche quotidienne de nouvelles rencontres, maintenant je me replie sur mon groupe principal de potes à la fac, je vais moins facilement vers les filles, je me sens moins à l'aise quand je danse.
Bref des petits choses comme ça qui font que je suis pas au top. Comme toi, j'avais l'impression que tout ce que j'avais appris/assimilé était acquis. Je me rends compte que c'est un travail de chaque instant, même si je considère pas ça comme un travail au sens premier du terme.
Mais je pense qu'au final, c'est une période comme on en a tous, le tout c'est pas de se laisser démonter et de se dire que c'est normal d'être naze des fois, car on reste des êtres humains.
Et puis depuis 2, 3 semaines, j'ai du mal être dans le même état tout le temps en fait. Je suis à présent dans une période de up and down, mais plus de down que de up. Je pense que l'approche de mes premiers examens universitaire doit jouer sur mon humeur et le fait aussi que l'hiver est pas vraiment une saison que j'affectionne.
Mais je me sens diminué, moins maître de mes faits et gestes, je redeviens plus timide, plus susceptible, plus réservé. Avant j'étais quasiment à la recherche quotidienne de nouvelles rencontres, maintenant je me replie sur mon groupe principal de potes à la fac, je vais moins facilement vers les filles, je me sens moins à l'aise quand je danse.
Bref des petits choses comme ça qui font que je suis pas au top. Comme toi, j'avais l'impression que tout ce que j'avais appris/assimilé était acquis. Je me rends compte que c'est un travail de chaque instant, même si je considère pas ça comme un travail au sens premier du terme.
Mais je pense qu'au final, c'est une période comme on en a tous, le tout c'est pas de se laisser démonter et de se dire que c'est normal d'être naze des fois, car on reste des êtres humains.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Absolument le 10.12.13, 10h05 par Reborn
C'est complètement normal, on ne peut JAMAIS être au top tout le temps.
Et puis on marche de manière cyclique, il y a des choses sur lesquels on va être au taquet pendant une période, puis ça va être autre chose qui va prendre le dessus, et ça tourne.
idem concernant son irritabilité, sa bonne humeur, sa fatigue, son sens de l'humour, son ouverture d'esprit, sa motivation à prendre des initiatives, etc ....
Bref TOUT EST NORMAL !
Par contre cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien à faire. On peut en effet travailler afin d'analyser ces coups de down et rebondir plus vite.
Plutot que de le répéter, je link cet article qui résume bien tout ça :
http://www.frenchtouchseduction.com/cou ... moral.html
Have fun dudes ! ;)
Et puis on marche de manière cyclique, il y a des choses sur lesquels on va être au taquet pendant une période, puis ça va être autre chose qui va prendre le dessus, et ça tourne.
idem concernant son irritabilité, sa bonne humeur, sa fatigue, son sens de l'humour, son ouverture d'esprit, sa motivation à prendre des initiatives, etc ....
Bref TOUT EST NORMAL !
Par contre cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien à faire. On peut en effet travailler afin d'analyser ces coups de down et rebondir plus vite.
Plutot que de le répéter, je link cet article qui résume bien tout ça :
http://www.frenchtouchseduction.com/cou ... moral.html
Have fun dudes ! ;)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 10.12.13, 10h05 par Reborn
Bonjour Reborn, bonjour Nigass (ou bonsoir)
Je vous comprend parfaitement et sais exactement de quoi vous parlez et moi même je suis passé par des périodes pareil. Mais vu que je n'ai pas trouvé de soutient moral durant ces périodes, bien au contraire, je me suis dis qu'il était de mon devoir moral de vous faire part de mon avis sur le sujet. Je vais commencé d'abord par vous exposer ma vision sur le sujet, en gros le pourquoi du comment. Ensuite je vais essayer de vous donnez quelques conseils.
Alors pourquoi? Pourquoi passe t-on par des périodes ou l'on se sent très bien, on pète la forme, on se sent super puissant, indestructible et d'autre périodes on se sent vulnérable, fragile et susceptible? Comment se fait il que durant des périodes on sent qu'on a un charme fout, que rien ne peut nous résister et que tout nous réussit et d'autres périodes on foire tout, on arrive même pas à péchôt la dernière des truites? Tout simplement parce que la vie est ainsi faite. De hauts et de bas, souvent bien plus de bas que de haut, mais c'est la règle du jeu, on ne peux que faire avec. Et croyez-moi, s'il n'était pas ainsi la vie serait d'une monotonie et d'un ennuie tel que cela nous poserai bien plus de tracas que la problématique discutée. Néanmoins être au plus bas de sa forme mental n'est pas une fatalité, bien au contraire. Comme j'ai dis plus haut la vie est un jeu, chaqu'un son niveau de difficulté certes mais si on sait comment s'y adapter je vous garantie que le passage au niveau suivant se fait de lui même. Trêve de métaphysique maintenant et venons-on au concret.
On se sent fragile et vulnérable quand on connait une série d’échecs, quand on rencontre une difficultée à laquelle on n'était pas préparé ou qu'on croyait pouvoir surmonter sans difficultés, ou encore quand on connait un rejet (sous toutes ses formes). Pourquoi ces difficultées, même après las avoir contournées, nous font elle douter de nos capacités et transforme notre quotidien en un calvaire? Bein parce que notre mécanisme de défense psychique est ainsi fait. Sa logique est que si on a rencontré cette difficulté une fois à coups sûre on va encore devoir l'affrontée. Ainsi le mécanisme qui était censé nous protéger nous fais entrer dans le cercle vicieux que l'on connait tous, "Le broyage de noir". Ce mécanisme fait que ce problème - qui des fois est anodin- transforme cette faiblesse en une obsession. Et ensuite quoi qu'on fasse cette pensé est là, bien présente et plus on essaye de la chasser plus elle devient envahissante. Dieu merci!
Ce mécanisme que beaucoup considèrent comme une tare ou comme étant néfaste, ne l'est pas du tout, bien au contraire! Il est là pour vous protéger, pour vous alertez que quelque chose cloche, il vous demande, et quand vous essayez de le chasser il revient en vous suppliant, de vous bouger pour trouver une solution au problème que vous avez rencontrer parce qu’il considère que votre bien être futur va en dépendre, donc plus vite la solution sera trouvé plus vite il se calmera et vous pourrez passer à autre chose. Ainsi vous évoluerez.
Comment dealé avec ce mécanisme? Personnellement j'ai développé trois méthodes. La première méthode, que je nomme "Calmez le jeu", consiste à contourner le problème ou encore calmer le mécanisme de défense. Elle n'est que temporaire. Elle consiste à décharger du mieux que possible la charge émotionnelle qui résulte de l’échec. Chacun sa technique, ce que je recommande c'est de faire un sport ou une activitée physique qui requiert beaucoup d'efforts. Ainsi, le corps ayant une prioritée plus grande dans notre psychique que les problèmes du quotidien vous allez vous sentir libéré, temporairement. La deuxième méthode et de communiqué son échec, parler parler et encore parler. Parlez de vos échecs, raconter a vos amis ou aux personnes de confiances (surtout ce qui ne vont pas vous juger) de vos échecs et tracas que vous avez dut confronter, mais sans trop les saouler non plus. Quand vous verbalisez votre problème, premièrement il perd de sa force. Deuxièmement en verbalisant le problème vous l'aurais formulé et ainsi il sera plus facile pour votre esprit de définir la problématique et la traitée. Troisièmement, vous vous sentirez délivrer parce que vous aurez partagé son poids avec quelqu’un et même qu'il vous aidera, si c'est quelqu'un qui mérite votre amitié, à trouver une solution permanente a votre problématique. Troisième méthode et qui est la plus efficace, c'est la méditation. Je ne parle pas de yoga ou quoi que se soit, mais je parle de méditer sur le sujet. Genre prendre du temps, seul de préférence, poser la problématique, sur papier s'il le faut, et chercher les causes sources du problème, remonter en amont. Exemple: Quelqu'un qui se sent seul. Pourquoi se sent-il seul? Parce que forcément il se sent vide affectivement? Pourquoi se sent-il vide affectivement? Parce qu’il n'a pas de famille, d'amis proche ou pas de petite amie ou de petite amie qu'il aime (chacun ses priorités). Pourquoi n'a t-il pas d'amis proche ou de petite amie? Parce qu’il est timide, qu'il n'a pas confiance en lui ou (se) projette une image faussée de lui. Pourquoi ...? Et ainsi de suite jusqu'à remonter aux causes source du problème. Une fois ces causes sources trouvées, il va falloir les travailler, de la bonne façon. Et d’après mes conclusions, si l'on est quelqu'un de bien avec la conscience tranquille et que nos intentions sont toujours bonnes, les deux seuls problèmes source qui peuvent entraver notre développement social sont: soit le physique soit la communication.
Donc voilà, je crois que j'ai donné ma vision globale sur le sujet (en tout cas je l’espère, avec le pavé que j'ai pondu xD)
J’espère vraiment vous avoir aidé ou au moins encouragé a aller de l'avant!
Bon courage a vous!
Je vous comprend parfaitement et sais exactement de quoi vous parlez et moi même je suis passé par des périodes pareil. Mais vu que je n'ai pas trouvé de soutient moral durant ces périodes, bien au contraire, je me suis dis qu'il était de mon devoir moral de vous faire part de mon avis sur le sujet. Je vais commencé d'abord par vous exposer ma vision sur le sujet, en gros le pourquoi du comment. Ensuite je vais essayer de vous donnez quelques conseils.
Alors pourquoi? Pourquoi passe t-on par des périodes ou l'on se sent très bien, on pète la forme, on se sent super puissant, indestructible et d'autre périodes on se sent vulnérable, fragile et susceptible? Comment se fait il que durant des périodes on sent qu'on a un charme fout, que rien ne peut nous résister et que tout nous réussit et d'autres périodes on foire tout, on arrive même pas à péchôt la dernière des truites? Tout simplement parce que la vie est ainsi faite. De hauts et de bas, souvent bien plus de bas que de haut, mais c'est la règle du jeu, on ne peux que faire avec. Et croyez-moi, s'il n'était pas ainsi la vie serait d'une monotonie et d'un ennuie tel que cela nous poserai bien plus de tracas que la problématique discutée. Néanmoins être au plus bas de sa forme mental n'est pas une fatalité, bien au contraire. Comme j'ai dis plus haut la vie est un jeu, chaqu'un son niveau de difficulté certes mais si on sait comment s'y adapter je vous garantie que le passage au niveau suivant se fait de lui même. Trêve de métaphysique maintenant et venons-on au concret.
On se sent fragile et vulnérable quand on connait une série d’échecs, quand on rencontre une difficultée à laquelle on n'était pas préparé ou qu'on croyait pouvoir surmonter sans difficultés, ou encore quand on connait un rejet (sous toutes ses formes). Pourquoi ces difficultées, même après las avoir contournées, nous font elle douter de nos capacités et transforme notre quotidien en un calvaire? Bein parce que notre mécanisme de défense psychique est ainsi fait. Sa logique est que si on a rencontré cette difficulté une fois à coups sûre on va encore devoir l'affrontée. Ainsi le mécanisme qui était censé nous protéger nous fais entrer dans le cercle vicieux que l'on connait tous, "Le broyage de noir". Ce mécanisme fait que ce problème - qui des fois est anodin- transforme cette faiblesse en une obsession. Et ensuite quoi qu'on fasse cette pensé est là, bien présente et plus on essaye de la chasser plus elle devient envahissante. Dieu merci!
Ce mécanisme que beaucoup considèrent comme une tare ou comme étant néfaste, ne l'est pas du tout, bien au contraire! Il est là pour vous protéger, pour vous alertez que quelque chose cloche, il vous demande, et quand vous essayez de le chasser il revient en vous suppliant, de vous bouger pour trouver une solution au problème que vous avez rencontrer parce qu’il considère que votre bien être futur va en dépendre, donc plus vite la solution sera trouvé plus vite il se calmera et vous pourrez passer à autre chose. Ainsi vous évoluerez.
Comment dealé avec ce mécanisme? Personnellement j'ai développé trois méthodes. La première méthode, que je nomme "Calmez le jeu", consiste à contourner le problème ou encore calmer le mécanisme de défense. Elle n'est que temporaire. Elle consiste à décharger du mieux que possible la charge émotionnelle qui résulte de l’échec. Chacun sa technique, ce que je recommande c'est de faire un sport ou une activitée physique qui requiert beaucoup d'efforts. Ainsi, le corps ayant une prioritée plus grande dans notre psychique que les problèmes du quotidien vous allez vous sentir libéré, temporairement. La deuxième méthode et de communiqué son échec, parler parler et encore parler. Parlez de vos échecs, raconter a vos amis ou aux personnes de confiances (surtout ce qui ne vont pas vous juger) de vos échecs et tracas que vous avez dut confronter, mais sans trop les saouler non plus. Quand vous verbalisez votre problème, premièrement il perd de sa force. Deuxièmement en verbalisant le problème vous l'aurais formulé et ainsi il sera plus facile pour votre esprit de définir la problématique et la traitée. Troisièmement, vous vous sentirez délivrer parce que vous aurez partagé son poids avec quelqu’un et même qu'il vous aidera, si c'est quelqu'un qui mérite votre amitié, à trouver une solution permanente a votre problématique. Troisième méthode et qui est la plus efficace, c'est la méditation. Je ne parle pas de yoga ou quoi que se soit, mais je parle de méditer sur le sujet. Genre prendre du temps, seul de préférence, poser la problématique, sur papier s'il le faut, et chercher les causes sources du problème, remonter en amont. Exemple: Quelqu'un qui se sent seul. Pourquoi se sent-il seul? Parce que forcément il se sent vide affectivement? Pourquoi se sent-il vide affectivement? Parce qu’il n'a pas de famille, d'amis proche ou pas de petite amie ou de petite amie qu'il aime (chacun ses priorités). Pourquoi n'a t-il pas d'amis proche ou de petite amie? Parce qu’il est timide, qu'il n'a pas confiance en lui ou (se) projette une image faussée de lui. Pourquoi ...? Et ainsi de suite jusqu'à remonter aux causes source du problème. Une fois ces causes sources trouvées, il va falloir les travailler, de la bonne façon. Et d’après mes conclusions, si l'on est quelqu'un de bien avec la conscience tranquille et que nos intentions sont toujours bonnes, les deux seuls problèmes source qui peuvent entraver notre développement social sont: soit le physique soit la communication.
Donc voilà, je crois que j'ai donné ma vision globale sur le sujet (en tout cas je l’espère, avec le pavé que j'ai pondu xD)
J’espère vraiment vous avoir aidé ou au moins encouragé a aller de l'avant!
Bon courage a vous!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 10.12.13, 10h08 par Reborn
- [+1] Constructif le 10.12.13, 10h45 par Cellar Door
- [+1] A lire le 19.08.15, 00h32 par Baijin
Reborn, la confiance en soi et l’assurance peuvent être malmenées par l’accumulation de contrariétés, par un évènement anodin, ou tout simplement par un coup de fatigue passager, ça arrive, c’est naturel surtout à cette période de l’année.
Pour autant ton expérience acquise n’est pas perdue et elle va sans doute t’aider à sortir plus facilement et plus rapidement de cet état.
A force, on finit par mieux identifier ces sales périodes quand elles se profilent et comme StayUp, j’ai mon petit plan d’action (dont la fin ressemble beaucoup aux 7 conseils de FK, sauf pour la cuisine
).
D’abord, je fais le dos rond et je m’autorise à avoir un petit moral : je ne communique pas ou peu, j’écoute de la musique déprimante, je pense à des évènements tristes, je relis des lettres qui me font pleurer, je me replie quelques jours en attendant le prochain weekend.
Quand il arrive, si c’est possible je pars à la campagne ou je me prévois un grand bol d’air, je me couche tôt et je fais des siestes.
La semaine suivante, je mets la pédale douce sur le boulot (j’évite de lire mes mails ou de bosser le soir), je fais plus de sport, je m’achète une fringue sympa ou je vais chez le coiffeur, je prévois une sortie ou j’invite des amis et leur fait un repas de gala, je cuisine les pâtisseries préférées de mes gosses (c’est comme ça qu’on se retrouve à faire une galette des rois en plein mois d’octobre !), je fais des projets pour les vacances…bref, je me bouge pour ne pas rester down.
Cuisiner c'est un exemple d'activité manuelle et créative qui demande une certaine concentration, c'est efficace pour se vider la tête.
En revanche, je n'en parle pas trop autour de moi, généralement ça met les autres mal à l'aise donc j'évite.
Je ne sais pas de quels traumatismes tu parles mais quand ils sont marquants ou lourds, ils restent, ils se rappellent à toi, il faut apprendre à vivre avec.
Pour autant ton expérience acquise n’est pas perdue et elle va sans doute t’aider à sortir plus facilement et plus rapidement de cet état.
A force, on finit par mieux identifier ces sales périodes quand elles se profilent et comme StayUp, j’ai mon petit plan d’action (dont la fin ressemble beaucoup aux 7 conseils de FK, sauf pour la cuisine

D’abord, je fais le dos rond et je m’autorise à avoir un petit moral : je ne communique pas ou peu, j’écoute de la musique déprimante, je pense à des évènements tristes, je relis des lettres qui me font pleurer, je me replie quelques jours en attendant le prochain weekend.
Quand il arrive, si c’est possible je pars à la campagne ou je me prévois un grand bol d’air, je me couche tôt et je fais des siestes.
La semaine suivante, je mets la pédale douce sur le boulot (j’évite de lire mes mails ou de bosser le soir), je fais plus de sport, je m’achète une fringue sympa ou je vais chez le coiffeur, je prévois une sortie ou j’invite des amis et leur fait un repas de gala, je cuisine les pâtisseries préférées de mes gosses (c’est comme ça qu’on se retrouve à faire une galette des rois en plein mois d’octobre !), je fais des projets pour les vacances…bref, je me bouge pour ne pas rester down.
Cuisiner c'est un exemple d'activité manuelle et créative qui demande une certaine concentration, c'est efficace pour se vider la tête.
En revanche, je n'en parle pas trop autour de moi, généralement ça met les autres mal à l'aise donc j'évite.
Je ne sais pas de quels traumatismes tu parles mais quand ils sont marquants ou lourds, ils restent, ils se rappellent à toi, il faut apprendre à vivre avec.
De chaque instant, mais par périodes. Il est important de se ménager des pauses sinon on perd en efficacité.Bref des petits choses comme ça qui font que je suis pas au top. Comme toi, j'avais l'impression que tout ce que j'avais appris/assimilé était acquis. Je me rends compte que c'est un travail de chaque instant, même si je considère pas ça comme un travail au sens premier du terme.
En réalité, pour l'essentiel des personnes, le travail sur soi tel que tu le racontes avance par à-coups : une phase de progrès qui finit par s'essoufler, puis une phase de consolidation où tu reviens en arrière et solidifie tes acquis. Deux pas en avant, un à reculon en quelques sortes. Alors évidemment, la phase de consolidation où on revient un peu en arrière peut être déprimante puisqu'on a l'impression de régresser. Il est important de comprendre que cette phase est normale pour ne pas la vivre mal.
Salut à tous,
Déjà je suis bien content que le sujet ait été compris comme je l'espérais, et c'est tout à fait comme vous l'avez décrit. Avoir cette impression de régresser, perdre ses moyens, se sentir facilement déstabilisé ou vulnérable, là ou il y'a quelques temps le mojo était au top niveau, et qu'on se sentait aisément de conquérir le monde. C'est surtout le contraste énorme entre les deux états qui m'a interpelé.
Maintenant n'en étant pas à mon 1er coup de blues, je suis bien conscient que c'est passager et que ça arrive à tout le monde évidemment (à des degrés divers néanmoins), et que je devrais laisser passer ça comme un orage qui précède une éclaircie, mais je trouvais ça particulièrement inquiétant de se sentir aussi vulnérable d'un coup. Là ou j'aurais été plus causant en public, je me sens un peu de mal à prendre la parole par exemple, à me demander sur le coup "mais c'est quoi cet état de merde qui me bloque", ce qui me rappelle de vieux jours ou j'étais mal dans mes baskets, et que je pensais avoir surmonté à 30 ans passés, maturité aidant.
La seul chose de positive comparé à avant c'est que effectivement je suis conscient qu'il y'a quelque chose qui ne va pas, et ne me perds pas en pensée diverses à essayer de suranalyser, broyer du noir sans cesse, ou surinterpréter certaines situations volontairement. Je fais au mieux pour débrancher mon cerveau, mais je me sens malgré tout à cran, comme une bombe à retardement qui n'attends que d'exploser.
J'évite par exemple d'en parler à mon entourage, conscient que ça ne servirait à rien, si ce n'est à éveiller leur inquiétude, et avoir droit à des conseils bateau (que je tiens en horreur dans ce genre de situation même si ça part d'un bon sentiment), et autres enfonçage de portes ouvertes, voire à de la condescendance.
Déjà je suis bien content que le sujet ait été compris comme je l'espérais, et c'est tout à fait comme vous l'avez décrit. Avoir cette impression de régresser, perdre ses moyens, se sentir facilement déstabilisé ou vulnérable, là ou il y'a quelques temps le mojo était au top niveau, et qu'on se sentait aisément de conquérir le monde. C'est surtout le contraste énorme entre les deux états qui m'a interpelé.
Maintenant n'en étant pas à mon 1er coup de blues, je suis bien conscient que c'est passager et que ça arrive à tout le monde évidemment (à des degrés divers néanmoins), et que je devrais laisser passer ça comme un orage qui précède une éclaircie, mais je trouvais ça particulièrement inquiétant de se sentir aussi vulnérable d'un coup. Là ou j'aurais été plus causant en public, je me sens un peu de mal à prendre la parole par exemple, à me demander sur le coup "mais c'est quoi cet état de merde qui me bloque", ce qui me rappelle de vieux jours ou j'étais mal dans mes baskets, et que je pensais avoir surmonté à 30 ans passés, maturité aidant.
La seul chose de positive comparé à avant c'est que effectivement je suis conscient qu'il y'a quelque chose qui ne va pas, et ne me perds pas en pensée diverses à essayer de suranalyser, broyer du noir sans cesse, ou surinterpréter certaines situations volontairement. Je fais au mieux pour débrancher mon cerveau, mais je me sens malgré tout à cran, comme une bombe à retardement qui n'attends que d'exploser.
J'évite par exemple d'en parler à mon entourage, conscient que ça ne servirait à rien, si ce n'est à éveiller leur inquiétude, et avoir droit à des conseils bateau (que je tiens en horreur dans ce genre de situation même si ça part d'un bon sentiment), et autres enfonçage de portes ouvertes, voire à de la condescendance.
Salut Reborn,
Une fois que c'est fait, réfléchit à comment tu peux améliorer ton quotidien petit à petit jusqu'à ce que tu arrive à créer l’environnement dont tu as besoin pour te sentir bien.
Courage Reborn, courage!
D'après ce que j'ai compris, c'est que tu es (était) une personne de nature sociable et ouverte. Ta nature est là, dormante, attendant que les condition favorable s'offre à elle pour pouvoir se manifester. Peut être que le fait que tu ne laisse pas ta nature s'exprimer c'est la cause de ton coups de blues. Ce que je veux dire c'est que si tu t'était habituer à un certain environnement, mode de vie ... et qu'il y'a eu changement récemment, c'est parfaitement normal que tu te sente mal ou même déphasé. Quand tu t'adaptera à ton environnement et que tu trouvera tes repères tu te sentira à l'aise et tout ça ne sera qu'un vaque souvenir. Une autre cause de ce problème pourrait être que tu t'es retrouvé dans les conditions qui faisait que tu te sentait mal dans tes baskets. Dans ce cas essaie de te rappeler comment tu as fait pour surmonter cette épreuve, ça peut t'aider.Maintenant n'en étant pas à mon 1er coup de blues, je suis bien conscient que c'est passager et que ça arrive à tout le monde évidemment (à des degrés divers néanmoins), et que je devrais laisser passer ça comme un orage qui précède une éclaircie, mais je trouvais ça particulièrement inquiétant de se sentir aussi vulnérable d'un coup. Là ou j'aurais été plus causant en public, je me sens un peu de mal à prendre la parole par exemple, à me demander sur le coup "mais c'est quoi cet état de merde qui me bloque", ce qui me rappelle de vieux jours ou j'étais mal dans mes baskets, et que je pensais avoir surmonté à 30 ans passés, maturité aidant.
C'est une excellente chose! Sur-analyser et broyer du noir ne sert absolument à rien. Par contre analyser sa situation de façon poser, rationnelle et méthodique c'est ce qu'il y'a de plus constructif.La seul chose de positive comparé à avant c'est que effectivement je suis conscient qu'il y'a quelque chose qui ne va pas, et ne me perds pas en pensée diverses à essayer de suranalyser, broyer du noir sans cesse, ou surinterpréter certaines situations volontairement.
C'est exactement ce que je cherchais à expliquer dans mon post précédent par "contourner le problème". Ceci n'est pas une solution, c'est une fuite et ce sentiment de "bombe à retardement qui n'attends que d'exploser" découle de toute cette charge qui s'accumule avec le temps. Ce que je te demande (supplie) de faire c'est de te débarrasser de cette tension le plus vite possible. Enferme toi dans une chambre et crie, frappe dans un sac, détruit quelque chose de beau, court jusqu'à épuisement ... mais il faut que ça sorte et de préférence avec le moins de dégât possible!Je fais au mieux pour débrancher mon cerveau, mais je me sens malgré tout à cran, comme une bombe à retardement qui n'attends que d'exploser.
Une fois que c'est fait, réfléchit à comment tu peux améliorer ton quotidien petit à petit jusqu'à ce que tu arrive à créer l’environnement dont tu as besoin pour te sentir bien.
Tu en parle ici, c'est déjà un bon début. Du moment que tu partage, c'est parfait.J'évite par exemple d'en parler à mon entourage, conscient que ça ne servirait à rien, si ce n'est à éveiller leur inquiétude, et avoir droit à des conseils bateau (que je tiens en horreur dans ce genre de situation même si ça part d'un bon sentiment), et autres enfonçage de portes ouvertes, voire à de la condescendance.
Courage Reborn, courage!
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Merci ! :) le 12.12.13, 09h39 par Reborn
C'est un excellent réflexe que de remarquer son irritabilité , les changements survenus, si j'avais moi même fait cette démarche , j'aurais pu éviter quelques ennuis car cela a empiré dans le temps ce qui a porté atteinte à tous les secteurs de la vie ( vie perso, taf ...).
Est ce que les mauvaises tournures de la vie ont pu de fragiliser ? D'après mon expérience perso , oui. J'ai eu affaire une série impressionnante de décès dans mon entourage en très peu de temps , cet épisode m'a énormément fragilisé car j'ai tenté de me protéger en suivent une vie la plus routinière possible , une vie où il n'y aurait aucune place pour l'incertitude. Même chose avec mes relations avec les femmes. Une femme était folle de moi , j'étais très amoureux d'elle mais incapable de lui montrer mes sentiments . Résultat , elle s'est barrée avec un autre mec , j'en ai été malade pendant plusieurs mois . Alors que je pouvais facilement la récupérer, je n'ai pas agis préférant la mépriser comme je n'ai méprisé aucune autre personne de ma vie , je lui ai fait énormément de mal et j'y ai pris plaisir.
Sans prendre garde , j'ai énormément souffert de cette situation et je me suis réfugié vers une routine encore plus forte...jusqu'à ce je tombe dans la dépression , la vraie , celle qui fait de toi un zombie, le quotidien devient un enfer, une souffrance sans maux et sans mot.
Pour ton cas , je sais pas , il s'agit peut être tout simplement d'une déprime ou d'une dépression saisonnière ( beaucoup d'individus en sont victimes en période de faible lumière) . En fait , la seule chose que tu dois surveiller est ton rapport à ton environnement, si tu tu sens capable d'agir sur celui -ci , d'avoir une prise sur lui, c'est que t'as aucun réel souci à te faire. En revanche , si t'as des pensées ruminantes , que tu es persuadé que ton avenir ressemblera à ton présent sans que tu puisses influer sur les évènements , que tu t'enfermes dans une routine pour ne pas subir les mauvais coups de la vie ...alors tu devras très sérieusement entamer des démarches.
Je te conseille de lire des auteurs classiques comme Seneque, Marc auréle, Epicure, Montaigne, ou encore de jeter un œil sur la philosophie des cyniques ( diogene de sinoppe ...quel type ! ) ...je te jure qu'ils t'apporteront énormément .
Est ce que les mauvaises tournures de la vie ont pu de fragiliser ? D'après mon expérience perso , oui. J'ai eu affaire une série impressionnante de décès dans mon entourage en très peu de temps , cet épisode m'a énormément fragilisé car j'ai tenté de me protéger en suivent une vie la plus routinière possible , une vie où il n'y aurait aucune place pour l'incertitude. Même chose avec mes relations avec les femmes. Une femme était folle de moi , j'étais très amoureux d'elle mais incapable de lui montrer mes sentiments . Résultat , elle s'est barrée avec un autre mec , j'en ai été malade pendant plusieurs mois . Alors que je pouvais facilement la récupérer, je n'ai pas agis préférant la mépriser comme je n'ai méprisé aucune autre personne de ma vie , je lui ai fait énormément de mal et j'y ai pris plaisir.
Sans prendre garde , j'ai énormément souffert de cette situation et je me suis réfugié vers une routine encore plus forte...jusqu'à ce je tombe dans la dépression , la vraie , celle qui fait de toi un zombie, le quotidien devient un enfer, une souffrance sans maux et sans mot.
Pour ton cas , je sais pas , il s'agit peut être tout simplement d'une déprime ou d'une dépression saisonnière ( beaucoup d'individus en sont victimes en période de faible lumière) . En fait , la seule chose que tu dois surveiller est ton rapport à ton environnement, si tu tu sens capable d'agir sur celui -ci , d'avoir une prise sur lui, c'est que t'as aucun réel souci à te faire. En revanche , si t'as des pensées ruminantes , que tu es persuadé que ton avenir ressemblera à ton présent sans que tu puisses influer sur les évènements , que tu t'enfermes dans une routine pour ne pas subir les mauvais coups de la vie ...alors tu devras très sérieusement entamer des démarches.
Je te conseille de lire des auteurs classiques comme Seneque, Marc auréle, Epicure, Montaigne, ou encore de jeter un œil sur la philosophie des cyniques ( diogene de sinoppe ...quel type ! ) ...je te jure qu'ils t'apporteront énormément .
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 11.12.13, 11h10 par Defx
- [+1] Intéressant le 12.12.13, 09h39 par Reborn
Je me reconnais aussi dans cette situation, en fait j'ai vécu aussi ces fameux "coups de blues", "déprimes", même un début de dépression avec les idées noires (très noires si vous me suivez...) et tout ce qui s'en suit. Tout cela suite à un gros échec au niveau des études auquel tu ajoutes au même moment la rupture avec ton ex (qui se trouvait être une LSE !) Je te dit pas les dégâts à la sortie...
Mais bref je m'en suis sorti grâce à un entourage fortement positif et des questionnements un peu philosophiques.
Aujourd'hui je viens réagir ici, partager un état d'âme assez particulier, vraiment lourd et négatif. Peut être que certains se reconnaîtront et ont déjà connu ça.
Sortant de cette dépression, remontant la pente haut toujours plus haut, et étant de nature à beaucoup profiter et à être heureux pour un rien (le contentement ça s'appelle je crois) j'apprécie de nouveau la vie comme avant. Bien.
Mais un problème, une pensée négative très contraignante vient se heurter, j'ai peur.
J'ai peur de retomber dans cette précédente déprime ce qui me fait dépenser énormément d'énergie pour me protéger, construire des barrières psychologiques car je me trouve vulnérable, comme si je pouvais retomber là dedans. Et tout cela m'empêche donc de vivre, de profiter...
Des personnes ici qui ont vécu ce genre de choses ?
Mais bref je m'en suis sorti grâce à un entourage fortement positif et des questionnements un peu philosophiques.
Aujourd'hui je viens réagir ici, partager un état d'âme assez particulier, vraiment lourd et négatif. Peut être que certains se reconnaîtront et ont déjà connu ça.
Sortant de cette dépression, remontant la pente haut toujours plus haut, et étant de nature à beaucoup profiter et à être heureux pour un rien (le contentement ça s'appelle je crois) j'apprécie de nouveau la vie comme avant. Bien.
Mais un problème, une pensée négative très contraignante vient se heurter, j'ai peur.
J'ai peur de retomber dans cette précédente déprime ce qui me fait dépenser énormément d'énergie pour me protéger, construire des barrières psychologiques car je me trouve vulnérable, comme si je pouvais retomber là dedans. Et tout cela m'empêche donc de vivre, de profiter...
Des personnes ici qui ont vécu ce genre de choses ?