Différentes pistes : Demande de Feedbacks

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le 23.12.2013 par Axelos

16 réponses / Dernière par Axelos le 29.03.2014, 00h04

La vie est faite de virages, d'obstacles à surmonter, d'audace, de surprises et de rencontres décisives. Racontez votre histoire, entrez dans la légende; partagez vos cheminements, vos interrogations, vos rencontres, vos aventures - foirées ou réussies, c'est pas le plus important - et recevez les avis et conseils des autres membres.
Bonnes résolutions pour 2014 :D :

Etre plus détendu et plus se laisser aller, laisser fonctionner le feeling. Quelques point de repères pragmatiques en toile de fond, afin de partir sur des relations avec de bonnes bases et une compatibilité suffisante pour limiter certains conflits inutiles.

Multiplier les sorties et nouvelles rencontres.

Maintenir la bonne humeur : Musique, Cinéma, Sport, humour, etc...

Etre vigilant par rapport aux mécanismes d'évitement de la peur. Affronter mes peurs et aller en zone limite.

Intégrer de nouveaux cercles d'amis, pour passer plus de bons moments et démultiplier mes possibilités de rencontres.

Et enfin, en toile de fond, réfléchir à un projet professionnel en cohérence avec mes aspirations (car ce n'est pas le cas actuellement). Mais ça je pense que ça prendra plus que l'année 2014, car il y a une contrainte financière à prendre en compte : il n'est pas évident de se faire payer pour ce que j'aime faire, et encore moins de présenter le CDI qui est exigé pour se loger...

Et aussi, ne pas prendre les choses trop sérieusement, et mise en retrait par rapport au forum.
Update par rapport à mon post juste au-dessus.
Et enfin, en toile de fond, réfléchir à un projet professionnel en cohérence avec mes aspirations (car ce n'est pas le cas actuellement).
En fait non ce n'est pas en toile de fond. C'est l'objectif N°1 de 2014.

Je suis actuellement comptable. Je suis compétent dans ce métier, mais rien à voir avec ce que j'aime. Mon objectif c'est que ma mission actuelle, jusqu'à fin juin, soit la dernière dans ce métier. Je me créé un CV "arts et culture" et démarcherai les organismes.

Le monde des bureaux, ce n'est pas fait pour moi.

De ce changement de voie professionnelle va découler tout le reste.
Tu comptes t'y prendre comment? Faire valoir tes réalisations? Tu t'orientes vers de l'évènementiel?
C'est assez répandu de nos jours, beaucoup de gens y voient un moyen facile de faire des rencontres avec des gens intéressants, qui ont les moyens, etc, donc de s'élever socialement.
Donc tu as intérêt à pouvoir faire la différence.

(Elles sont pas jolies les comptables?;))

Bon courage en tous cas.

Où en es-tu de tes dates avec les autres filles dont tu parlais?
De nouvelles rencontres?
Je compte effectivement faire valoir mes expériences dans la musique : enseignement et animation bénévole / représentations scéniques dans divers contextes (boeufs, concerts, guitariste accompagnateur, etc...).

En parallèle je compte faire des compos jusqu'au bout. Je ferai valoir cela.

Et dès que je peux participer à un projet j'y participe.

Bref, exister dans le milieu et m'y insérer, et progressivement en comprendre les rouages, comprendre par quels biais on est rémunéré, et défendre la valeur que j'y apporte.

Comme pour tout métier finalement.

Je viens d'un milieu modeste et ce choix d'orientation n'était pas pensable pour moi jusqu'à il y a peu. J'ai avant tout choisi mon boulot parce qu'il y avait des débouchés dedans, contrairement au métiers artistiques où il n'y en a pas.

La réalité est plus nuancée que ça. A l'heure actuelle, chercher un emploi, faire valoir ses compétences et négocier son salaire, c'est un combat pour tout le monde, y compris dans les boulots plus conventionnels.

J'en arrive à la conclusion que ce ne sera pas plus dur de vivre d'un métier en rapport à l'art que d'un métier conventionnel.

De plus, les fonctions comptables sont touchées par l'automatisation, la délocalisation et la dématérialisation, et vont disparaître à moyen terme dans les grosses boites (qui sont les plus gros employeurs). C'est paradoxalement plus pragmatique de s'orienter dans un métier en rapport à l'art ou l'animation car ces fonctions ne peuvent pas être remplacées par une machine.

Dans les comptables il y a autant de jolies nanas que dans les autres professions :wink: . Mais je ne suis sorti qu'avec des nanas travaillant dans le médical, et sans le faire exprès.

Je pense que les nanas avec qui ça accroche, c'est dû à une affinité dans le type de personnalité et de représentation du monde. C'est pour ça qu'être dans le milieu qui nous est adapté constitue un très gros effet de levier sur les rencontres.

En plus, chaque métier développe des aptitudes et des traits de personnalité qui lui sont propres. Pour parler de ce que je connais, jouer sur scène, organiser un concert ou enseigner un instrument, cela développe des aptitudes relationnelles fort utiles lorsqu'il s'agit de faire des rencontres amoureuses... Et aussi, ça développe la capacité à se mettre à nu, à exposer ses émotions authentiques, et à faire parfois une mauvaise performance...

Et au delà de ça, c'est un questionnement sur le sens de la vie. Ca fait plusieurs fois que j'effectue des missions dans des entreprises où les gens sont blasés d'aller bosser. Ils ont de très bons avantages et rémunérations, mais ils sont complètement désinvestis et attendent le vendredi soir avec impatience. Et ça plombe d'être dans des milieux où les gens manquent d'énergie vitale à ce point là.

Et surtout, à mon sens, dans les entreprises on n'est pas soi-même, on joue un rôle stratégique. Or, je veux jouer mon propre rôle.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Intéressant le 12.01.14, 06h30 par Onmyoji
-Alex a écrit : Bref, exister dans le milieu et m'y insérer, et progressivement en comprendre les rouages, comprendre par quels biais on est rémunéré, et défendre la valeur que j'y apporte.
Commence surtout par le problème de la rémunération, à mon avis. Pouvoir en vivre ça peut être un facteur limitant dans ta démarche et ton changement, et c'est pourtant la base pour pouvoir ensuite s'épanouir là dedans.
Dans les comptables il y a autant de jolies nanas que dans les autres professions :wink:
Justement, ça varie quand même suivant les professions;)
Je pense que les nanas avec qui ça accroche, c'est dû à une affinité dans le type de personnalité et de représentation du monde. C'est pour ça qu'être dans le milieu qui nous est adapté constitue un très gros effet de levier sur les rencontres.
C'est intéressant de le formuler comme ça. Tu ne penses donc pas qu'on puisse être séduit par quelqu'un d'un milieu aux valeurs radicalement différentes?
En plus, chaque métier développe des aptitudes et des traits de personnalité qui lui sont propres.
C'est vrai. Mais je ne pense pas qu'on devrait faire un métier pour les aptitudes qu'il développe chez nous, je pense qu'on devrait y aller parce que ça nous plait. Et que par exemple, même en temps que comptable, tu devrais être capable de communiquer avec les autres et te mettre à nu.
être un comptable capable de ça, ça te fait sortir du cliché, ça te rend moins unidimensionnel. être un artiste capable de ça, c'est "attendu", ça te fera pas sortir du lot, même si le cliché de l'artiste véhicule une valeur positive en soi.
. Et ça plombe d'être dans des milieux où les gens manquent d'énergie vitale à ce point là.
Pas faux. Mais à mon sens si ça devait quand même te plaire il ne faudrait pas que ce soit un frein.
Les gens démotivés, il y en aura toujours. Chez les artistes comme chez les comptables. Parce que même si c'est une passion, du moment qu'on doit en vivre, on se heurte à la réalité, à la pression, à la difficulté, et tous les gens ne supportent pas ça bien.
Et surtout, à mon sens, dans les entreprises on n'est pas soi-même, on joue un rôle stratégique. Or, je veux jouer mon propre rôle.
Dans toute entreprise, tu es un rouage. Même si "l'entreprise" est un groupe de musique, du moment que tu subis des contraintes tu joues un rôle qui n'est pas celui que tu veux exactement.
Tu choisiras peut être plus mais si c'est ça qui te bloque, tu dois prévoir que ça ne sera pas la liberté totale dans ta nouvelle vie professionnelle.
Outkast a écrit :Commence surtout par le problème de la rémunération, à mon avis.
Dans le cadre de mes nombreuses recherches d'emploi, j'ai appris à me faire payer dans la fourchette haute de mon métier et de mon profil.

Je vais transvaser ce "savoir faire" dans un boulot artistique.

Ce sera un peu différent cependant. A mon avis, dans ce milieu, on cumule plusieurs sources de revenus : cachets, cours qu'on donne, droits d'auteur sur ce qu'on créé, boulot alimentaire à côté, etc...
Outkast a écrit :C'est intéressant de le formuler comme ça. Tu ne penses donc pas qu'on puisse être séduit par quelqu'un d'un milieu aux valeurs radicalement différentes?
Qu'on puisse être séduit oui. C'est au niveau de l'existence de l'intimité et de la connivence que ça sera difficile.
C'est vrai. Mais je ne pense pas qu'on devrait faire un métier pour les aptitudes qu'il développe chez nous, je pense qu'on devrait y aller parce que ça nous plait. Et que par exemple, même en temps que comptable, tu devrais être capable de communiquer avec les autres et te mettre à nu.
Oui mais on ne peut pas développer d'aptitudes à partir de rien. Il faut qu'il y ait une expérience quelque part, un défi à relever qui se résout par l'apprentissage de ces aptitudes.

C'est bien pour ça qu'on enseigne certaines choses aux enfants à l'école, ou qu'on leur fait faire du sport, de la musique, du théâtre, whatever.
Outkast a écrit :être un comptable capable de ça, ça te fait sortir du cliché, ça te rend moins unidimensionnel. être un artiste capable de ça, c'est "attendu", ça te fera pas sortir du lot, même si le cliché de l'artiste véhicule une valeur positive en soi.
Mon but n'est pas de chercher la singularité. On est tous uniques quoi qu'il arrive. Mon but c'est d'être dans un environnement qui m'est favorable, "comme un poisson dans l'eau". Et quand je dis favorable, c'est favorable en général, pas seulement pour les nanas.
Outkast a écrit :Chez les artistes comme chez les comptables. Parce que même si c'est une passion, du moment qu'on doit en vivre, on se heurte à la réalité, à la pression, à la difficulté, et tous les gens ne supportent pas ça bien.
Tout à fait. Mais la différence c'est qu'un artiste est plutôt freelance. C'est pas la même vie que celle d'un salarié. Tu n'accroches pas avec quelqu'un tu n'es pas obligé de l'avoir à côté de toi 7h par jour pendant 47 semaines / an.
Outkast a écrit :Dans toute entreprise, tu es un rouage. Même si "l'entreprise" est un groupe de musique, du moment que tu subis des contraintes tu joues un rôle qui n'est pas celui que tu veux exactement.
Tu choisiras peut être plus mais si c'est ça qui te bloque, tu dois prévoir que ça ne sera pas la liberté totale dans ta nouvelle vie professionnelle.
Alors oui effectivement, on n'a jamais la liberté absolue. Il y a de nombreuses contraintes dans les professions musicales (répètes, concerts, rdv avec techniciens, ennuis matériels, financement, etc...), mais tu peux rester toi. Le contact humain n'est pas le même (même avec des gens que tu n'apprécies pas).

Ce que je trouve insupportable dans les entreprises dans lesquelles j'ai travaillé, c'est pas les contraintes, ni même d'être avec certains collègues qu'on n'aime pas, ni des instructions d'un supérieur auxquelles on n'adhère pas.

Ce que je ne peux pas supporter c'est la prétention des entreprises à prendre le contrôle sur la pensée de leurs salariés.

On ne nous demande pas seulement d'obéir aux ordres de la hiérarchie sans discuter parce que ça ça irait encore. Il faut encore penser que c'est bien, et adhérer mentalement à ce qu'on appelle la "culture" d'entreprise. Toute la journée il faut dire des choses qu'on ne pense pas : jouer un rôle. Et certains finissent par confondre leur rôle et leur personne véritable, et croient adhérer à des pensées qui ne sont pas les leurs.

Et quand je parle de certains dysfonctionnements dans mon boulot à mon entourage, je vois bien que je ne réagis pas pareil qu'eux, car on me répond : "Oh ben comme dans toutes les boites", "c'est comme ça", "ça a toujours été comme ça", "toutes façons qu'est-ce que tu veux y faire ?", etc...

Pour moi ce sont des justifications qui ne sont pas valables.
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  • [0] Intéressant le 12.01.14, 22h23 par Onmyoji
Une mise à jour.

Les pistes dont il était question à l'origine du sujet n'ont rien donné. Je les ai donc abandonnées.

J'ai eu un début d'année difficile au boulot. Le contexte relationnel est tendu et très difficile. Du coup ça a tendance à vider mon énergie et à mettre le moral en berne à la fin de la journée.

C'est dans le contexte de cette période à vide que je me suis inscrit sur Meetic. Ca n'a donné que quelques discussions virtuelles. Rien de concret.

Je continue mes sorties et activités autour de la danse et de la musique (et heureusement).

Je me sens dans une routine qui ne m'apporte plus d'opportunités de rencontres, ni de satisfaction. Il faut donc que j'impulse un changement.

Tout à l'heure en revenant du boulot, j'ai discuté 15-20 min avec une étudiante, après avoir engagé la discussion sur le livre qu'elle lisait. Elle tenait à la main une version étrangère du Tour du Monde en 80 jours de Jules Verne. Je lui ai demandé en quelle langue c'était. C'était du polonais. :D

Je n'ai pas pris son numéro de téléphone, mais ça m'a donné envie de me créer une carte de visite sympa. Ce que j'ai fait en rentrant chez moi, grace à GIMP.

Je vais me mettre aux rencontres sur la voie publique ou dans les transports en commun, en me servant de cette carte de visite nouvellement créée.

On est loin de ma période de gloire, mais j'ai bon espoir que ça revienne. 8)
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  • [0] Bonne idée le 29.03.14, 01h25 par Camihot
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