achribu a écrit :
Donc, j'ai en gros fréquenté deux milieux différents : l'école (heureusement !) et chez moi. Là ou il est naturel pour toi de t'intégrer à un groupe, je suis beaucoup moins à l'aise... Le point positif étant que je suis beaucoup plus conscient de ce qui se passe.
Je tiens à préciser que je suis pas asocial, j'ai toujours apprécié la compagnie des gens, mais je ne sais pas quoi faire pour maintenir la relation. C'est juste pour te dire que mon éducation diffère de la moyenne, et qu'elle ne me porte pas du tout à "me plier au groupe". Cela fait il de moi un alpha ?
Du tout. Cela fait de moi un marginal, certes pas au sens exclu, parce que mes idées sont comprises comme interessantes. Je peux être écouté, mais pas suivi (ce qui est le propre de l'Alpha). Mais on travaille, on travaille...
Salut. J'ai dix-huit ans, je suis en Terminale, et pour des raisons différentes (je crois), je vis une situation assez semblable. En plus, d’un naturel assez timide, la peur de rester planté là, comme un crétin, muet, et donc d’avoir à partir pour abréger la situation (cas vécu), après avoir engagé le contact, me paralyse totalement lors de nouvelles rencontres (ce qui aggrave la situation). Enfin, le fait de ne jamais trouver de sujets de conversation (hors peut-être quelques lieux communs concernat le lycée) m’éloigne petit à petit des camarades avec qui j’avais déjà réussi à nouer des liens. Ce qui me rend plutôt malheureux et aggrave encore plus la situation. L'ironie de la chose, c'est que je suis assez cultivé, mais je n'arrive pas à trouver les bons sujets, à faire durer le contact...C’est un véritable cercle vicieux, et c’est assez horrible comme situation
