[A] La porno-addiction
Effectivement c'est convenable quand tu es célibataire. Mais quand tu es en couple, pour ma part si je ne me masturbais pas pendant environ une semaine, j'avais une envie folle de lui faire l'amour. Ce n'était pas le cas si je me masturbais tous les jours. Prenez bien en considération que ça fait 12 ans que j'étais avec elle et qu'elle ne me donnait pas autant envie qu'au 1er jour !
Cette envie de baiser se traduit forcément par des propos sexualisé, une approche sexualisée ou tout ce que l'on peut imaginer qui fait qu'un homme excite subtilement et suscite l'envie chez sa femme, et ensuite en avant Guingan. Donc pour moi le porno quand on se masturbe seul devant pour pallier à ses problèmes de cul, tout comme la TV dans la chambre, est un tue l'amour.
Je vois clairement que le porno faisait partie des problèmes dans notre couple, peut-être que je ne sais pas bien vous l'expliquer. Et c'est là que je vois que c'était en partie une addiction dans cette situation. Clairement, si je me remet en couple, le porno sera banni et je sais que je peux m'en passer (ce n'est pas vraiment une addiction mais une sorte de mauvais soin palliatif). D'ailleurs en lisant FTS, j'ai lu pas mal de trucs intéressants sur comment entretenir de bonnes relations sexuelles et avoir une complicité à ce niveau. Pourvu que la prochaine ait une meilleure libido ! J'ai discuté avec pas mal d'amis qui ont une LTR relativement longue et qui sont dans une situation similaire. Pour certains même en parler ouvertement avec leur compagne n'a pas arrangé les choses.
Mais effectivement et je l'ai dis, nos problèmes étaient loin de n'être causé par le porno qui était aussi une conséquence. Effectivement, mon ex n'avait jamais rien fait pour que notre complicités/vies/rapports sexuels soient meilleures ; au contraire j'ai l'impression comme pour d'autres choses dans notre couple qu'elle n'était qu'en attente et ne provoquait pas les choses. Il y a un manque de maturité chez elle à ce niveau, elle ne semble pas du tout considérer le sexe comme quelquechose d'essentiel dans un couple et m'a même dit lors de notre rupture "on a pas les même besoins à ce niveau" ; donc vous voyez juste, il semble qu'on était pas en phase là dessus.
Ces problèmes de cul ont fait que j'ai également perdu un peu confiance en moi sur ce sujet et donc ça n'a pas arrangé les choses et m'a encore plus poussé vers ce refuge qui n'est peut-être qu'une petite addiction au porno. Bref c'est tout un ensemble de causes qui s’entremêlent qui font qu'on en est arrivé là.
Cette envie de baiser se traduit forcément par des propos sexualisé, une approche sexualisée ou tout ce que l'on peut imaginer qui fait qu'un homme excite subtilement et suscite l'envie chez sa femme, et ensuite en avant Guingan. Donc pour moi le porno quand on se masturbe seul devant pour pallier à ses problèmes de cul, tout comme la TV dans la chambre, est un tue l'amour.
Je vois clairement que le porno faisait partie des problèmes dans notre couple, peut-être que je ne sais pas bien vous l'expliquer. Et c'est là que je vois que c'était en partie une addiction dans cette situation. Clairement, si je me remet en couple, le porno sera banni et je sais que je peux m'en passer (ce n'est pas vraiment une addiction mais une sorte de mauvais soin palliatif). D'ailleurs en lisant FTS, j'ai lu pas mal de trucs intéressants sur comment entretenir de bonnes relations sexuelles et avoir une complicité à ce niveau. Pourvu que la prochaine ait une meilleure libido ! J'ai discuté avec pas mal d'amis qui ont une LTR relativement longue et qui sont dans une situation similaire. Pour certains même en parler ouvertement avec leur compagne n'a pas arrangé les choses.
Mais effectivement et je l'ai dis, nos problèmes étaient loin de n'être causé par le porno qui était aussi une conséquence. Effectivement, mon ex n'avait jamais rien fait pour que notre complicités/vies/rapports sexuels soient meilleures ; au contraire j'ai l'impression comme pour d'autres choses dans notre couple qu'elle n'était qu'en attente et ne provoquait pas les choses. Il y a un manque de maturité chez elle à ce niveau, elle ne semble pas du tout considérer le sexe comme quelquechose d'essentiel dans un couple et m'a même dit lors de notre rupture "on a pas les même besoins à ce niveau" ; donc vous voyez juste, il semble qu'on était pas en phase là dessus.
Ces problèmes de cul ont fait que j'ai également perdu un peu confiance en moi sur ce sujet et donc ça n'a pas arrangé les choses et m'a encore plus poussé vers ce refuge qui n'est peut-être qu'une petite addiction au porno. Bref c'est tout un ensemble de causes qui s’entremêlent qui font qu'on en est arrivé là.
Salut
Intéressant tread, personnellement j'ai décidé de couper toute stimulation visuelle dans mes moments d'intimités (ouh, c'est joliment dit).

Sangoku après une période particulièrement longue de NoFap.
Le problème, c'est que j'ai eu de la peine à couper totalement ma consommation de porn.
C'est pas vraiment du porn ou Ça va tant que tu te branles pas étaient les piteuses excuses que mon scumbag brain me servait pendant longtemps
J'ai essayé plusieurs choses genre OK tant que t'as pas d'orgasme, ça te frustrera et tu t'en détourneras, ou alors OK tant que c'est pas trop hardcore, ou encore Nan, que des vidéos sexy, ou encore Pas touche à ta bite! (qui est de loin l'une des meilleures techniques) mais j'ai réalisé récemment que j'ai toujours profité du manque de clarté dans ce que je m'étais fixé pour dévier et céder à mes envies trop ancrées dans mes habitudes (et incapables de saisir les bienfaits à long terme).
Du coup je me suis repris en main après avoir lu des trucs sur le sujet de la motivation à atteindre ses objectifs, et ça passe beaucoup mieux.
Sur le long terme, je veux quand même remplacer la masturbation par le FC de jolies filles, mais concernant le porn, j'ai fait mon choix. À vous de faire le vôtre... et il est bien plus dur à éradiquer que ce qu'il n'y paraît, c'est la dure vérité que tout ceux qui se posent la question découvrent.
Aux sceptiques : essayez pas de porn/masturbation pendant un mois. Vous devriez pouvoir le faire facile si vous ne pensez pas être accro, et vous en apprendrez beaucoup.
Je pense aussi que de se masturber trop souvent tue la libido (en tout cas le porno, sûr), et que la PMO (Porn-Masturbation-Orgasme) est souvent un moyen de fuir la réalité et des problèmes bien plus profond (plaisir fugace & temporaire vs. plaisir sur le long terme, plus dur à atteindre et plus constant).
Intéressant tread, personnellement j'ai décidé de couper toute stimulation visuelle dans mes moments d'intimités (ouh, c'est joliment dit).
J'ai décidé d'essayer NoFap il y a quelques mois, après avoir remarqué que je ne me sentais jamais aussi bien qu'en vacances, quand j'étais loin de ma routine habituelle à ce niveau. Je me suis dit qu'il n'y avait pas de raison pour que je me sente pas toujours dans cet état, et je suis tombé sur ce reddit (nofap) où tout le monde se serre les coudes pour devenir un super sayan de la testostérone, et l'idée m'a bien plu. Ça m'a plus ou moins réussi selon les périodes mais les avantages étaient évidents à chaque fois que je dépassait les 10 jours.Ça laisse la porte ouverte aux fantasmes, et/ou ça permets d'être plus à l'écoute de son propre corps. Il n'y a plus cette sensation sale que t'as après avoir maté un film porno, ni cette dérangeante sensation de toujours avoir besoin de plus, de trouver le truc parfait, et d'aller en s'enfonçant vers le pire du pire. Ça enlève le côté compulsif aussi, la facilité... ça te fait triper sur des vrais filles, à un rythme normal.

Sangoku après une période particulièrement longue de NoFap.
Le problème, c'est que j'ai eu de la peine à couper totalement ma consommation de porn.
C'est pas vraiment du porn ou Ça va tant que tu te branles pas étaient les piteuses excuses que mon scumbag brain me servait pendant longtemps
J'ai essayé plusieurs choses genre OK tant que t'as pas d'orgasme, ça te frustrera et tu t'en détourneras, ou alors OK tant que c'est pas trop hardcore, ou encore Nan, que des vidéos sexy, ou encore Pas touche à ta bite! (qui est de loin l'une des meilleures techniques) mais j'ai réalisé récemment que j'ai toujours profité du manque de clarté dans ce que je m'étais fixé pour dévier et céder à mes envies trop ancrées dans mes habitudes (et incapables de saisir les bienfaits à long terme).
Du coup je me suis repris en main après avoir lu des trucs sur le sujet de la motivation à atteindre ses objectifs, et ça passe beaucoup mieux.
Et je suis pas entrain d'être un mort la faim des relations sexuelles à faire du pressing sur tout ce qui a une paire de seins. (ça, c'est la motivation NoFap les amis)En me disant plus de stimulation visuelle, j'arrive à me reprendre direct quand je me sens tenté, alors qu'avant je cédais lentement. Et en m'en foutant de NoFap (qui reste un but sur le long terme), je reste à l'écoute de mes envies, mais d'une façon beaucoup plus naturelle.
Sur le long terme, je veux quand même remplacer la masturbation par le FC de jolies filles, mais concernant le porn, j'ai fait mon choix. À vous de faire le vôtre... et il est bien plus dur à éradiquer que ce qu'il n'y paraît, c'est la dure vérité que tout ceux qui se posent la question découvrent.
Aux sceptiques : essayez pas de porn/masturbation pendant un mois. Vous devriez pouvoir le faire facile si vous ne pensez pas être accro, et vous en apprendrez beaucoup.
Je pense aussi que de se masturber trop souvent tue la libido (en tout cas le porno, sûr), et que la PMO (Porn-Masturbation-Orgasme) est souvent un moyen de fuir la réalité et des problèmes bien plus profond (plaisir fugace & temporaire vs. plaisir sur le long terme, plus dur à atteindre et plus constant).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 11.02.14, 09h16 par The_PoP
Bonjour,
Bien que je n'ai pas lu le sujet en entier mais seulement ses dernières contributions (très intéressantes, notamment les propos d'oivlys où je me reconnais assez), je vais me livrer à mon propre témoignage sur le sujet.
Ayant très longtemps été célibataire, je suis "naturellement" devenu assez addict à ce type de vidéo (en sachant que je suis de la génération "films érotiques sur M6 --> téléchargement d'images soft au modem 56 k --> vidéo emule longues et laborieuses à télécharger, avant de me mettre au youporn et ses emules quand c'est arrivé"). Bon, il ne s'agissait pas tellement de porno au sens usuel du terme (les vidéo de "professionnels du X" ne m'ont jamais vraiment attirées) ; par contre, je suis vite devenu friand au départ de vidéos érotiques issues de films, puis surtout des films X amateurs quand ça a commencé à se démocratiser. Il m'arrivait alors d'en regarder tous les jours, ce qu'on peut sans doute considérer comme une forme de dépendance (quoique je n'ai jamais ressenti de manque pour les périodes sans ordinateur, mon imagination ayant toujours été assez fertile en la matière)
Est-ce que cette consommation excessive de vidéo X a contribué à m'enfermer dans ma situation de célibataire endurci ? Est-ce que si je je n'avais pas eu ça, j'aurai plus chercher à sortir, à aller voir des filles ? Je ne saurais le dire. D'un coté, il est vrai que cette facilité ne pousse pas à "se bouger" pour sortir de cette situation ; de l'autre, ça ne reste sans doute qu'un petit facteur annexe, étant donné qu'il a pu m'arriver de stopper cela complètement, sans forcément changer mon problème de fond. Ce qui est sûr par contre, c'est que cela m'a permis de traverser cette très longue période de célibat sans trop de difficulté ou de frustration excessive. C'est un constat evidemment triste, mais quelque part je trouve ça plus sain que de chercher à tous prix à "tirer son coup" sans aucune morale, comme j'ai pu l'être tenté parfois.
Passons maintenant à la période qui suit et qui dure encore actuellement, où je suis en couple (allelluia), avec la même fille depuis 4 ans.
Au début de notre relation, j'avais banni totalement le visionnage de ces vidéos. D'abord parce que je n'en éprouvais alors juste pas le besoin, quand bien même nos relations sexuelles étaient déjà très rares (ce que je mettais sur le compte de "timides débuts mais prometteurs"). Ensuite, dans ma naîveté d'alors j'imaginais qu'il n'y avait que les célibataires frustrés comme je l'étais qui consultaient ce type de vidéo ; et qu'étant désormais en couple, il n'y avait aucune raison que j'en revienne à cela. Cela ne me manquait pas et j'étais décidé à un apprentissage de la sexualité "par le réel", conscient qu'il y avait un décalage entre la réalité et les vidéos, même "amateurs".
Mais j'ai déchanté, progressivement. Je ne vais pas aborder ma situation de couple ici (au besoin, on en a un résumé ici : vie-de-couple-quasi-inexistante-comment ... 34069.html), mais disons que l'aspect sexuel n'a fait que se dégrader. Alors, petit à petit, je suis retombé dans ce vieux piège des vidéos X, que l'on regarde par dépit pour combler un manque. D'abord de façon très occasionnelle, puis à un rythme plus régulier, le changement d'appartemant aidant et la situation sexuelle s'empirant. Et c'est ainsi que 2 ou 3 fois par semaine je regardais discrètement mes vidéos (constatant au passage que la technologie a bien évolué au passage, me permettant de facilement trouver les vidéos "amateurs" et plutôt réalistes que je recherchais), prenant le risque - léger mais réel - par la même occasion de me faire prendre.
Et là, je serai plus catégorique que pour ma période de célibataire, et je rejoins assez l'avis d'oivlys : je pense que c'était une erreur.
Bien sûr, ces visionnages sont une une conséquence d'un problème beaucoup plus profond, et non une cause. Si je suis retombé là-dedans, c'est bien parce que j'étais (je le suis toujours) terriblement frustré de ma situation sexuelle. De l'attitude de ma partenaire, de son manque de désir. De mes propres erreurs et mes limites, aussi.
Mais par contre, je ne saurais nier que ça a fortement contribuer à m'enfermer dans une logique vicieuse de l'immobilité. Puisque je n'arrivais pas à avoir une vie sexuelle normale avec ma compagne, et que j'estimais que ce n'était décidemment pas de mon fait - ce qui est vrai dans un sens, même si j'ai aussi mes responsabilités - je la vivais dans le virtuel. Et j'en oubliais totalement ce problème de fond qui nous ronge de l'intérieur. J'étais finalement assez "heureux" il est vrai - d'autant que mis à part ce problème de sexe, tout le reste allait très bien avec ma compagne -, mais en renonçant à affronter un problème qui nous dévorait de l'intérieur, et risquait d'éclater au grand jour. En plus, dans mon cas précis, je sais que si ma compagne m'avait surpris elle aurait eu une réaction terrible, aggravant encore plus le problème, peut-être même le rendant insoluble.
Alors certes, mon problème est loin d'être résolu, mais après un récent petit "électrochoc" et pour avoir longuement réfléchi au sujet, j'ai pris une décision assez radicale : le banissement total ou quasi-total des vidéo X (ça fait partie de mes multiples résolutions destinées à résoudre ce problème de sexe et donc de couple). Il m'arrive encore (et heureusement) de me masturber, puisque je n'ai que très peu de relations sexuelles : mais à ces moments-là, c'est bête à dire, mais je ne pense qu'à elle. Des fantasmes simples, parfaitement réalisables, où je peux me projeter facilement.
Alors, il est trop tôt pour dire si cela portera ses fruits, et de toutes façons ce n'est qu'un aspect parmi d'autres, qui ne saurait à lui seul résoudre notre problème. Mais il est certain que cela a déjà changé ma façon de voir les choses : je ressens une énergie et un courage à affronter les choses que j'avais totalement perdu. C'est un combat au quotidien que je mène, qui occupe mes pensées et pousse à essayer sans cesse des choses, et me remettre en question s'il le faut (car ce n'est jamais à 100% la faute de l'autre). Ce sont des petits gestes au quotidien, des petites discussions menées l'air de rien, de la "créativité" dans nos échanges (non-sexuels j'entends), de la réflexion de fond sur mes attitudes vis à vis d'elle, toutes ces petites choses qui à terme peuvent débloquer la situation. Je ne sais pas si nous arriverons à résoudre le problème, mais je crois que la pire des solutions est de s'enfermer dans l'immobilisme. Et le visionnage de vidéo X / Porno contribue énormément à cela : combler son manque dans du virtuel, c'est un peu creuser sa tombe en se voilant la face.
Maintenant, mon modeste témoignage est evidemment très lié à ma situation personnelle, et j'imagine que les gens parfaitement à l'aise avec leur situation sexuelle n'ont rien à craindre de cela.
Mais c'est quand le porno vient régulièrement combler un problème sexuel profond qu'il faut prendre garde je crois, car il contribue à nous enfermer dans une routine potentiellement destructrice.
Bien que je n'ai pas lu le sujet en entier mais seulement ses dernières contributions (très intéressantes, notamment les propos d'oivlys où je me reconnais assez), je vais me livrer à mon propre témoignage sur le sujet.
Ayant très longtemps été célibataire, je suis "naturellement" devenu assez addict à ce type de vidéo (en sachant que je suis de la génération "films érotiques sur M6 --> téléchargement d'images soft au modem 56 k --> vidéo emule longues et laborieuses à télécharger, avant de me mettre au youporn et ses emules quand c'est arrivé"). Bon, il ne s'agissait pas tellement de porno au sens usuel du terme (les vidéo de "professionnels du X" ne m'ont jamais vraiment attirées) ; par contre, je suis vite devenu friand au départ de vidéos érotiques issues de films, puis surtout des films X amateurs quand ça a commencé à se démocratiser. Il m'arrivait alors d'en regarder tous les jours, ce qu'on peut sans doute considérer comme une forme de dépendance (quoique je n'ai jamais ressenti de manque pour les périodes sans ordinateur, mon imagination ayant toujours été assez fertile en la matière)
Est-ce que cette consommation excessive de vidéo X a contribué à m'enfermer dans ma situation de célibataire endurci ? Est-ce que si je je n'avais pas eu ça, j'aurai plus chercher à sortir, à aller voir des filles ? Je ne saurais le dire. D'un coté, il est vrai que cette facilité ne pousse pas à "se bouger" pour sortir de cette situation ; de l'autre, ça ne reste sans doute qu'un petit facteur annexe, étant donné qu'il a pu m'arriver de stopper cela complètement, sans forcément changer mon problème de fond. Ce qui est sûr par contre, c'est que cela m'a permis de traverser cette très longue période de célibat sans trop de difficulté ou de frustration excessive. C'est un constat evidemment triste, mais quelque part je trouve ça plus sain que de chercher à tous prix à "tirer son coup" sans aucune morale, comme j'ai pu l'être tenté parfois.
Passons maintenant à la période qui suit et qui dure encore actuellement, où je suis en couple (allelluia), avec la même fille depuis 4 ans.
Au début de notre relation, j'avais banni totalement le visionnage de ces vidéos. D'abord parce que je n'en éprouvais alors juste pas le besoin, quand bien même nos relations sexuelles étaient déjà très rares (ce que je mettais sur le compte de "timides débuts mais prometteurs"). Ensuite, dans ma naîveté d'alors j'imaginais qu'il n'y avait que les célibataires frustrés comme je l'étais qui consultaient ce type de vidéo ; et qu'étant désormais en couple, il n'y avait aucune raison que j'en revienne à cela. Cela ne me manquait pas et j'étais décidé à un apprentissage de la sexualité "par le réel", conscient qu'il y avait un décalage entre la réalité et les vidéos, même "amateurs".
Mais j'ai déchanté, progressivement. Je ne vais pas aborder ma situation de couple ici (au besoin, on en a un résumé ici : vie-de-couple-quasi-inexistante-comment ... 34069.html), mais disons que l'aspect sexuel n'a fait que se dégrader. Alors, petit à petit, je suis retombé dans ce vieux piège des vidéos X, que l'on regarde par dépit pour combler un manque. D'abord de façon très occasionnelle, puis à un rythme plus régulier, le changement d'appartemant aidant et la situation sexuelle s'empirant. Et c'est ainsi que 2 ou 3 fois par semaine je regardais discrètement mes vidéos (constatant au passage que la technologie a bien évolué au passage, me permettant de facilement trouver les vidéos "amateurs" et plutôt réalistes que je recherchais), prenant le risque - léger mais réel - par la même occasion de me faire prendre.
Et là, je serai plus catégorique que pour ma période de célibataire, et je rejoins assez l'avis d'oivlys : je pense que c'était une erreur.
Bien sûr, ces visionnages sont une une conséquence d'un problème beaucoup plus profond, et non une cause. Si je suis retombé là-dedans, c'est bien parce que j'étais (je le suis toujours) terriblement frustré de ma situation sexuelle. De l'attitude de ma partenaire, de son manque de désir. De mes propres erreurs et mes limites, aussi.
Mais par contre, je ne saurais nier que ça a fortement contribuer à m'enfermer dans une logique vicieuse de l'immobilité. Puisque je n'arrivais pas à avoir une vie sexuelle normale avec ma compagne, et que j'estimais que ce n'était décidemment pas de mon fait - ce qui est vrai dans un sens, même si j'ai aussi mes responsabilités - je la vivais dans le virtuel. Et j'en oubliais totalement ce problème de fond qui nous ronge de l'intérieur. J'étais finalement assez "heureux" il est vrai - d'autant que mis à part ce problème de sexe, tout le reste allait très bien avec ma compagne -, mais en renonçant à affronter un problème qui nous dévorait de l'intérieur, et risquait d'éclater au grand jour. En plus, dans mon cas précis, je sais que si ma compagne m'avait surpris elle aurait eu une réaction terrible, aggravant encore plus le problème, peut-être même le rendant insoluble.
Alors certes, mon problème est loin d'être résolu, mais après un récent petit "électrochoc" et pour avoir longuement réfléchi au sujet, j'ai pris une décision assez radicale : le banissement total ou quasi-total des vidéo X (ça fait partie de mes multiples résolutions destinées à résoudre ce problème de sexe et donc de couple). Il m'arrive encore (et heureusement) de me masturber, puisque je n'ai que très peu de relations sexuelles : mais à ces moments-là, c'est bête à dire, mais je ne pense qu'à elle. Des fantasmes simples, parfaitement réalisables, où je peux me projeter facilement.
Alors, il est trop tôt pour dire si cela portera ses fruits, et de toutes façons ce n'est qu'un aspect parmi d'autres, qui ne saurait à lui seul résoudre notre problème. Mais il est certain que cela a déjà changé ma façon de voir les choses : je ressens une énergie et un courage à affronter les choses que j'avais totalement perdu. C'est un combat au quotidien que je mène, qui occupe mes pensées et pousse à essayer sans cesse des choses, et me remettre en question s'il le faut (car ce n'est jamais à 100% la faute de l'autre). Ce sont des petits gestes au quotidien, des petites discussions menées l'air de rien, de la "créativité" dans nos échanges (non-sexuels j'entends), de la réflexion de fond sur mes attitudes vis à vis d'elle, toutes ces petites choses qui à terme peuvent débloquer la situation. Je ne sais pas si nous arriverons à résoudre le problème, mais je crois que la pire des solutions est de s'enfermer dans l'immobilisme. Et le visionnage de vidéo X / Porno contribue énormément à cela : combler son manque dans du virtuel, c'est un peu creuser sa tombe en se voilant la face.
Maintenant, mon modeste témoignage est evidemment très lié à ma situation personnelle, et j'imagine que les gens parfaitement à l'aise avec leur situation sexuelle n'ont rien à craindre de cela.
Mais c'est quand le porno vient régulièrement combler un problème sexuel profond qu'il faut prendre garde je crois, car il contribue à nous enfermer dans une routine potentiellement destructrice.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Intéressant le 11.02.14, 15h47 par The_PoP
En fait, je crois que ce qui me gêne dans vos témoignages, c'est que ça donne une image de la sexualité de couple uniquement centrée sur l'homme. Vous parlez de vos nanas qui n'ont pas de désir, et cela vous semble tout à fait naturel ; pire : vous considérez que c'est de votre faute si la relation de couple s'est dégradée, parce que face au manque de désir de votre partenaire, vous êtes allés voir des pornos au lieu de passer votre temps à inventer des choses, à la solliciter, alors même que sa libido semblait au niveau zéro
Ce n'est vraiment pas ma vision des choses. Le sexe, ça se construit à deux, et je peux vous assurer que beaucoup de filles aussi souffrent de frustration sexuelle, et qu'elles aussi en arrivent à se tourner vers la pornographie. Sauf qu'elles ne disent pas : "c'est ma faute, je devrais aller vers lui au lieu de regarder du porno", mais bien : "que se passe-t-il pour qu'il ne vienne plus vers moi ? pourquoi je ne l'attire pas, pourquoi n'a-t-il pas de désir ?"
Dans les deux cas évoqués plus haut, la sexualité n'a jamais été le fort dans vos relations de couple. C'est peut-être cliché mais pour moi, quand on commence une relation, le sexe est quelque chose d'assez fort. Ça peut cimenter une relation, créer des moments de communion intenses. Quand, dès le départ, mon ou ma partenaire freine un peu sur le sexe, clairement, c'est qu'il y a un truc qui ne pourra pas coller : soit on n'a pas la même libido, et c'est se mettre dans une situation pourrie (l'un est frustré et l'autre se sent obligé de baiser) ; soit la relation de couple est défectueuse dès le départ, pour des raisons diverses (parfois le sexe est le lieu où se répercutent des conflits extérieurs à la sexualité, et qu'on n'arrive pas à démêler). En tous les cas, c'est annonciateur, et dès ce moment-là, le couple devrait prendre le temps de se poser, de réfléchir, au lieu de penser qu'il suffit d'aller solliciter la libido de quelqu'un qui n'en a pas...
Bref : au lieu de penser que le porno vous a enfermés dans une logique de masturbation un peu vaine, rappelez-vous que le sexe, c'est pas un truc de mec uniquement, et surtout, qu'on peut (et qu'on DOIT !) en parler. Il n'y a que comme ça qu'on réglera les conflits ; pas en pensant qu'après tout, c'est normal que la nana n'ait pas trop envie, et que le fautif, c'est le mec qui ne réclame pas assez sa dose de sexe. C'est pas comme ça que ça marche un couple.

Ce n'est vraiment pas ma vision des choses. Le sexe, ça se construit à deux, et je peux vous assurer que beaucoup de filles aussi souffrent de frustration sexuelle, et qu'elles aussi en arrivent à se tourner vers la pornographie. Sauf qu'elles ne disent pas : "c'est ma faute, je devrais aller vers lui au lieu de regarder du porno", mais bien : "que se passe-t-il pour qu'il ne vienne plus vers moi ? pourquoi je ne l'attire pas, pourquoi n'a-t-il pas de désir ?"
Dans les deux cas évoqués plus haut, la sexualité n'a jamais été le fort dans vos relations de couple. C'est peut-être cliché mais pour moi, quand on commence une relation, le sexe est quelque chose d'assez fort. Ça peut cimenter une relation, créer des moments de communion intenses. Quand, dès le départ, mon ou ma partenaire freine un peu sur le sexe, clairement, c'est qu'il y a un truc qui ne pourra pas coller : soit on n'a pas la même libido, et c'est se mettre dans une situation pourrie (l'un est frustré et l'autre se sent obligé de baiser) ; soit la relation de couple est défectueuse dès le départ, pour des raisons diverses (parfois le sexe est le lieu où se répercutent des conflits extérieurs à la sexualité, et qu'on n'arrive pas à démêler). En tous les cas, c'est annonciateur, et dès ce moment-là, le couple devrait prendre le temps de se poser, de réfléchir, au lieu de penser qu'il suffit d'aller solliciter la libido de quelqu'un qui n'en a pas...
Bref : au lieu de penser que le porno vous a enfermés dans une logique de masturbation un peu vaine, rappelez-vous que le sexe, c'est pas un truc de mec uniquement, et surtout, qu'on peut (et qu'on DOIT !) en parler. Il n'y a que comme ça qu'on réglera les conflits ; pas en pensant qu'après tout, c'est normal que la nana n'ait pas trop envie, et que le fautif, c'est le mec qui ne réclame pas assez sa dose de sexe. C'est pas comme ça que ça marche un couple.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Post responsable le 11.02.14, 19h30 par Sathinelilly
- [+2] Post de qualité le 11.02.14, 19h55 par Bumble
- [+1] Absolument le 15.02.14, 15h03 par Spring
LuxLisbon je suis assez d'accord avec ce que tu dis, mais je ne trouve pas tes propos forcément en contradiction avec les miens.
Je ne vais pas détailler mon cas car ce n'est pas le lieu, mais evidemment les problèmes de fonds dans mon couple vont bien au-delà de ce "détail" qu'est le porno, qui n'est qu'un aspect du problème. Et non, je ne trouve pas ça "normal" non plus que ma compagne n'ai pas envie de sexe (et je ne crois pas du tout que ce soit un truc ancré en elle qui ne peut pas changer), et c'est justement parce que je veux nous donner les moyens de résoudre ce souci que je suis ici.
Simplement, mon propos général était de dire que la consommation de vidéo X n'aide justement pas à avoir ce type de raisonnement : "j'ai un problème de sexe / dans mon couple / avec les filles / autres, et je vais me donner les moyens de résoudre ce problème". Il n'aide justement pas à se remettre en cause, à provoquer des discussions, à avoir le courage d'assumer ses envies. On s'enferme dans son petit monde virtuel, en renonçant à affronter les problèmes de fonds, dont la résolution passe par du temps / de la réflexion / de l'énergie, autant de matière première que la consommation de vidéo Xva "gaspiller" de façon improductive (même si ça permet au moins de "tenir le coup", ce qui explique notamment que je n'ai pas de regrets trop prononcés pour ma période de célibat).
Je ne vais pas détailler mon cas car ce n'est pas le lieu, mais evidemment les problèmes de fonds dans mon couple vont bien au-delà de ce "détail" qu'est le porno, qui n'est qu'un aspect du problème. Et non, je ne trouve pas ça "normal" non plus que ma compagne n'ai pas envie de sexe (et je ne crois pas du tout que ce soit un truc ancré en elle qui ne peut pas changer), et c'est justement parce que je veux nous donner les moyens de résoudre ce souci que je suis ici.
Simplement, mon propos général était de dire que la consommation de vidéo X n'aide justement pas à avoir ce type de raisonnement : "j'ai un problème de sexe / dans mon couple / avec les filles / autres, et je vais me donner les moyens de résoudre ce problème". Il n'aide justement pas à se remettre en cause, à provoquer des discussions, à avoir le courage d'assumer ses envies. On s'enferme dans son petit monde virtuel, en renonçant à affronter les problèmes de fonds, dont la résolution passe par du temps / de la réflexion / de l'énergie, autant de matière première que la consommation de vidéo Xva "gaspiller" de façon improductive (même si ça permet au moins de "tenir le coup", ce qui explique notamment que je n'ai pas de regrets trop prononcés pour ma période de célibat).
Absolument. C'est la question qui crève l'écran depuis le premier post de stannis. D'un côté c'est louable de vouloir relancer la vie sexuelle dans son couple. D'un autre côté, le décalage d'expérience entre lui et elle lui pèse parfois. Et on a l'impression qu'il se paie de la diversité de partenaires en passant par le virtuel. Je te rejoins donc sur l'idée que la monogamie peut devenir une prison. Mais déboulonner un conditionnement social aussi omniprésent peut prendre du temps.Je trouve que beaucoup de mecs se cachent derrière l'addiction au porno pour expliquer pourquoi leur vie sexuelle n'est pas satisfaisante. Je crois que Blusher aurait beaucoup à répondre sur ton cas : tu ne t'es pas demandé si ta frustration venait plutôt de cette idée d'être monogame, qui plus est avec une fille qui visiblement n'avait pas la même libido que toi ?
Peut-être aussi qu'elle ne veut pas avoir une relation ouverte,
et qu'elle lui plait suffisamment pour qu'il n'ait pas envie de se passer d'avoir une relation
avec elle simplement pour avoir d'autres relations uniquement sexuelles?
Je te rejoins sur le côté prison de certains couples, mais parfois si tu veux
vraiment une fille, pour tout ce qui n'est pas sexe, ça peut t'amener à faire un choix
de ce côté là. C'est vrai que le sexe est aussi très important mais d'un autre côté,
on se dit souvent que c'est quelque chose de moins important pour
décider d'une relation car c'est "seulement" du désir, c'est pas "raisonnable".
ça c'est aussi un conditionnement social, encore que cette dernière décennie ça ait beaucoup changé, il n'y a qu'à voir les magasines féminins, mais pour les mecs qui ont 20 30 ans, ça reste encore une idée qu'on devrait peut être pas choisir sa relation "sérieuse" sur ce plan là uniquement
(encore un problème madone/putain, au passage, les problèmes et les idées pourries forment un puzzle bien solide).
Cela dit, si on passe outre ces conditionnements, on peut quand même décider de rester en couple "classique" avec la fille parce qu'on a pas envie d'en avoir d'autres, sans pour autant être fermé d'esprit. C'est un choix de vie et une question de croyances, ça n'est pas forcément la marque de croyances pourries et d'un problème.
Et dans cet esprit là, sa démarche de vouloir rendre sa copine plus intéressée par le sexe et ouverte est une bonne chose.
et qu'elle lui plait suffisamment pour qu'il n'ait pas envie de se passer d'avoir une relation
avec elle simplement pour avoir d'autres relations uniquement sexuelles?
Je te rejoins sur le côté prison de certains couples, mais parfois si tu veux
vraiment une fille, pour tout ce qui n'est pas sexe, ça peut t'amener à faire un choix
de ce côté là. C'est vrai que le sexe est aussi très important mais d'un autre côté,
on se dit souvent que c'est quelque chose de moins important pour
décider d'une relation car c'est "seulement" du désir, c'est pas "raisonnable".
ça c'est aussi un conditionnement social, encore que cette dernière décennie ça ait beaucoup changé, il n'y a qu'à voir les magasines féminins, mais pour les mecs qui ont 20 30 ans, ça reste encore une idée qu'on devrait peut être pas choisir sa relation "sérieuse" sur ce plan là uniquement
(encore un problème madone/putain, au passage, les problèmes et les idées pourries forment un puzzle bien solide).
Cela dit, si on passe outre ces conditionnements, on peut quand même décider de rester en couple "classique" avec la fille parce qu'on a pas envie d'en avoir d'autres, sans pour autant être fermé d'esprit. C'est un choix de vie et une question de croyances, ça n'est pas forcément la marque de croyances pourries et d'un problème.
Et dans cet esprit là, sa démarche de vouloir rendre sa copine plus intéressée par le sexe et ouverte est une bonne chose.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Constructif le 16.02.14, 16h09 par Blusher
Ah mais je comprends qu'on soit pas spécialement attiré par le fait d'avoir une relation libre. Mais quand je lis des mecs qui disent être "tombés" accro au porno, je me dis qu'il y a quand même une sacrée souffrance derrière. Le sexe ça peut ne pas être important du tout, mais faut que ce soit vrai pour les deux partenaires. Si y'en a qui souffre de la situation, à mon sens, c'est aussi grave que n'importe quel autre problème de couple (le fait de ne pas avoir les mêmes ambitions pour le futur, par exemple : pour beaucoup c'est un vrai problème qui peut nécessiter la rupture).
Je dis pas qu'il faut rompre systématiquement dès que le sexe est pas génial ; je sais bien qu'on peut trouver plein de qualités à quelqu'un indépendamment de la sexualité. Mais pour moi c'est essentiel aussi de s'écouter : ce n'est pas normal de souffrir d'une trop grande frustration. On a des outils pour y remédier : la communication, parce que ça permet de verbaliser le problème et de chercher une solution.
Après, très sincèrement, s'il n'y a pas de consensus possible et que les deux ne veulent pas se quitter... franchement, à part envisager le couple libre, je ne vois pas. Parce que la frustration sexuelle, d'autant plus quand elle est imposée par quelqu'un qu'on aime, c'est franchement invivable.
Je dis pas qu'il faut rompre systématiquement dès que le sexe est pas génial ; je sais bien qu'on peut trouver plein de qualités à quelqu'un indépendamment de la sexualité. Mais pour moi c'est essentiel aussi de s'écouter : ce n'est pas normal de souffrir d'une trop grande frustration. On a des outils pour y remédier : la communication, parce que ça permet de verbaliser le problème et de chercher une solution.
Après, très sincèrement, s'il n'y a pas de consensus possible et que les deux ne veulent pas se quitter... franchement, à part envisager le couple libre, je ne vois pas. Parce que la frustration sexuelle, d'autant plus quand elle est imposée par quelqu'un qu'on aime, c'est franchement invivable.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Ca va mieux en le disant le 16.02.14, 16h09 par Blusher
On est absolument d'accord. Mon message visait pas à vous contredire Blusher et toi, simplement à apporter une nuance. Mais c'est vrai que tomber sur un partenaire avec les mêmes plans et les mêmes envies c'est essentiel.
Trop de relations qui pourraient être géniales s'achèvent à cause de divergences sur ces points là.
Mais je ne suis pas sûr que la relation libre soit toujours la réponse.
Parfois on peut avoir envie de plus de sexe AVEC un partenaire donné. Pas simplement avec une autre nana "interchangeable" (je grossis le trait, c'est pas ce que vous avez dit, mais c'est ainsi qu'on pourrait aussi le percevoir), ou même avec une autre nana avec qui tu aurais une vraie deuxième relation. Parfois quand tu es avec la fille, disons que si tu la vois une semaine tu vas avoir envie 10 15 fois et elle juste 3 ou 4 fois. Là c'est pas forcément un problème de libido, c'est simplement que t'aimerais qu'elle, ait plus envie AVEC TOI, parce que tu as envie de partager plus ce plaisir avec elle, d'expérimenter plus avec elle...
Pas avec une autre.
Ceci étant, il est vrai que pour la majorité des mecs le problème est plus de pouvoir plus baiser, tout court (je dis ça sans juger, ça m'arrive aussi...).
Trop de relations qui pourraient être géniales s'achèvent à cause de divergences sur ces points là.
Mais je ne suis pas sûr que la relation libre soit toujours la réponse.
Parfois on peut avoir envie de plus de sexe AVEC un partenaire donné. Pas simplement avec une autre nana "interchangeable" (je grossis le trait, c'est pas ce que vous avez dit, mais c'est ainsi qu'on pourrait aussi le percevoir), ou même avec une autre nana avec qui tu aurais une vraie deuxième relation. Parfois quand tu es avec la fille, disons que si tu la vois une semaine tu vas avoir envie 10 15 fois et elle juste 3 ou 4 fois. Là c'est pas forcément un problème de libido, c'est simplement que t'aimerais qu'elle, ait plus envie AVEC TOI, parce que tu as envie de partager plus ce plaisir avec elle, d'expérimenter plus avec elle...
Pas avec une autre.
Ceci étant, il est vrai que pour la majorité des mecs le problème est plus de pouvoir plus baiser, tout court (je dis ça sans juger, ça m'arrive aussi...).
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Constructif le 17.02.14, 11h12 par Blusher
D'accord avec ça aussi.Outkast a écrit :Mais je ne suis pas sûr que la relation libre soit toujours la réponse.
Parfois on peut avoir envie de plus de sexe AVEC un partenaire donné. Pas simplement avec une autre nana "interchangeable" (je grossis le trait, c'est pas ce que vous avez dit, mais c'est ainsi qu'on pourrait aussi le percevoir), ou même avec une autre nana avec qui tu aurais une vraie deuxième relation. Parfois quand tu es avec la fille, disons que si tu la vois une semaine tu vas avoir envie 10 15 fois et elle juste 3 ou 4 fois. Là c'est pas forcément un problème de libido, c'est simplement que t'aimerais qu'elle, ait plus envie AVEC TOI, parce que tu as envie de partager plus ce plaisir avec elle, d'expérimenter plus avec elle...
Pas avec une autre.
Mais disons que là le problème est assez insoluble...