Salut à tous,
j'ai décidé de faire un gros travail sur moi même mais cette fois, je compte bien le finir. Votre aide sera la bienvenu.
J'ai commencé par noter toutes les fois où je ressentais un mal aise.
Comment j'ai fais? Je suis sorti et à chaque fois que je ressentais un mal aise, je le noté.
La majorité de ce que j'ai noté comment par 'Peur que les gens..'. Je vais vous noter les autres:
-Peur de me foirer quand je parle aux gens
-Quand je passe devant un bus/terrasse etc, impression d'être observer/juger. C'est comme si il fallait que je ne fasse pas d'erreur.
-Quand un mec me regard, impression qu'il veut me défier du regard. Je fais semblant d'être plus agressif, de ne pas avoir peur.
-J'essaye de montrer que je n'ai pas peur du regard des gens en faisant semblant d'être confiant par les gestes (bl)
-Et chez moi, quand il y a un invité, par exemple si je me regarde dans la glace voir si je suis bien fringuer et que j'entend quelqu'un venir, je fais exprès de faire autre chose
J'ai besoin d'avis objectif. Quelles croyances limitantes ressortent le plus dans ce que j'ai noté?
Votre aide sera précieuse, j'en ai marre d'avoir l'impression d'être prisonnier.
trouvé ses croyances limitantes
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Bonne idée le 04.03.14, 21h27 par Iskandar
- [+1] Courage le 10.03.14, 22h14 par h0tr0d
Salut,
Pourtant, tu peux émettre sans crainte, plutôt de vérifier ce que tu reçois avant d'émettre.
Tu sembles donner plus d'importance au regard des autres sur toi, plutôt qu'à ton propre regard sur toi.2chainz a écrit :Quelles croyances limitantes ressortent le plus dans ce que j'ai noté?
Prisonnier de leurs regards ?2chainz a écrit :Votre aide sera précieuse, j'en ai marre d'avoir l'impression d'être prisonnier.
Pourtant, tu peux émettre sans crainte, plutôt de vérifier ce que tu reçois avant d'émettre.
Salut!
Donc je dois détruire la croyance que le regard des autres sur moi est plus important que le mien sur moi.
Je de croire donc que : Ce que je pense sur moi est plus important que ce que pensent les autres sur moi.
Pour croire en cette nouvelle croyance, je dois y penser et faire des actions qui la concrétise.
J'aimerais bien avoir un témoignage de quelqu'un qui a réussi à changer de croyance voir comment il s'y est pris. Ca serait sympa de sa part!
Acr0bate, oui, je me sens prisonnier du regard des autres.
Par contre, j'ai pas trop compris ce que tu voulais dire par 'tu peux émettre sans crainte, plutôt de vérifier ce que tu reçois avant d'émettre.'
Merci pour ta réponse en tout cas
Donc je dois détruire la croyance que le regard des autres sur moi est plus important que le mien sur moi.
Je de croire donc que : Ce que je pense sur moi est plus important que ce que pensent les autres sur moi.
Pour croire en cette nouvelle croyance, je dois y penser et faire des actions qui la concrétise.
J'aimerais bien avoir un témoignage de quelqu'un qui a réussi à changer de croyance voir comment il s'y est pris. Ca serait sympa de sa part!
Acr0bate, oui, je me sens prisonnier du regard des autres.
Par contre, j'ai pas trop compris ce que tu voulais dire par 'tu peux émettre sans crainte, plutôt de vérifier ce que tu reçois avant d'émettre.'
Merci pour ta réponse en tout cas
Je pense que tu dois abandonner l'idée de faire des choses en fonction des autres. Fais toi plaisir ! Tu as envie de faire le con au milieu d'une place publique car ça se prète dans une conversation délire avec ta copine-pote-cousin-who else, alors fais le. S'il y en a qui observe tes pitreries sans en connaitre le contexte, c'est pas leur problème.
Outre cette croyance limitante relevée, travaille ta confiance en toi car tu as l'air de vouloir donner une image parfaite à tout ceux qui t'entourent alors que personne n'est parfait et tu n'as pas de comptes à rendre en terme de type de personnalité. Tant que tu respectes les fondements de valeurs que sont respect-tolérance-courtoisie-etc
Sinon essaye d'aller vers les gens et de dialoguer. Ca refoulera la peur qui t'habite et augmentera ta confiance en toi quant à te sociabiliser
Outre cette croyance limitante relevée, travaille ta confiance en toi car tu as l'air de vouloir donner une image parfaite à tout ceux qui t'entourent alors que personne n'est parfait et tu n'as pas de comptes à rendre en terme de type de personnalité. Tant que tu respectes les fondements de valeurs que sont respect-tolérance-courtoisie-etc
Sinon essaye d'aller vers les gens et de dialoguer. Ca refoulera la peur qui t'habite et augmentera ta confiance en toi quant à te sociabiliser
Ce que tu penses de toi est plus important que ce que les autres pensent de toi.2chainz a écrit :Ce que je pense sur moi est plus important que ce que pensent les autres sur moi.
De = qui vient de l'intérieur.
Sur = qui se base sur l'extérieur.
Recherche " fake it until you make it " sur le fofo. Tu trouveras plein de témoignages.2chainz a écrit :Pour croire en cette nouvelle croyance, je dois y penser et faire des actions qui la concrétise.
J'aimerais bien avoir un témoignage de quelqu'un qui a réussi à changer de croyance voir comment il s'y est pris. Ca serait sympa de sa part!
Dans une interaction, tu peux avoir trois postures :2chainz a écrit :Acr0bate, oui, je me sens prisonnier du regard des autres.
Par contre, j'ai pas trop compris ce que tu voulais dire par 'tu peux émettre sans crainte, plutôt de vérifier ce que tu reçois avant d'émettre.'
- émetteur : de toi vers l'autre
- neutre : observateur
- récepteur : de l'autre vers toi.
Tu sembles attendre de savoir dans quel état d'esprit est ton interlocuteur avant de prendre posture (vérifier ce que tu reçois avant d'émettre). En fait, tu ne dois pas t'en soucier et réagir comme tu le sens (émettre sans crainte). Dans le respects des valeurs de base comme l'indique fort justement Marco Polo.
Allez, action !
Merci les gars! J'ai commencé à passer à l'action (M'incruster dans des discussions à la muscu, marcher en ville seul malgré la peur du jugement). J'ai remarqué que j'avais des pensé parasite après être passé à l'action. D'un coté, je suis content car j'ai dépassé mes limites mais de l'autre, je me demande si 'ma prestation' était réussie ou pas.
J'émets trop de jugement de valeur. 'Est ce que c'est bien? Est ce que c'est mal? etc'. Ok mais bien par rapport à qui? A moi, à lui, à eux?
Je pense que je vais faire une grosse remise en question pour fixer mes valeurs afin de ne plus me poser ce genre de question.
Bonne journée.
J'émets trop de jugement de valeur. 'Est ce que c'est bien? Est ce que c'est mal? etc'. Ok mais bien par rapport à qui? A moi, à lui, à eux?
Je pense que je vais faire une grosse remise en question pour fixer mes valeurs afin de ne plus me poser ce genre de question.
Bonne journée.
Pas facile de modifier ses croyances limitantes.
Pour ma part, je m'aperçois que mes vieilles croyances sur moi datant de l'école, puis du collège, sont encore en moi : Intello, ennuyeux, timoré, pas viril, sait pas s'y prendre avec les filles.
Le paradoxe, c'est que :
- D'un côté, ces croyances m'ont poussé au changement, en me servant d'anti-modèle.
- De l'autre, j'éprouve toujours le même doute sur ma capacité à être fun et à faire vibrer une femme, alors qu'il n'y a objectivement plus de raison.
Alors je ne cherche plus à maitriser volontairement mes pensées. Je les laisse circuler, en attendant qu'elles s'en aillent d'elles-mêmes.
Pour ma part, je m'aperçois que mes vieilles croyances sur moi datant de l'école, puis du collège, sont encore en moi : Intello, ennuyeux, timoré, pas viril, sait pas s'y prendre avec les filles.
Le paradoxe, c'est que :
- D'un côté, ces croyances m'ont poussé au changement, en me servant d'anti-modèle.
- De l'autre, j'éprouve toujours le même doute sur ma capacité à être fun et à faire vibrer une femme, alors qu'il n'y a objectivement plus de raison.
Alors je ne cherche plus à maitriser volontairement mes pensées. Je les laisse circuler, en attendant qu'elles s'en aillent d'elles-mêmes.
En complément de mon post ci-dessus :
On parle souvent des croyances limitantes, comme des informations qu'il suffirait de remplacer par d'autres informations plus adéquates.
Mais en fait, il y a l'humeur qui joue très fortement.
Quand on est déprimé, on a tendance à avoir des pensées dévalorisantes sur soi-mêmes, ou à se faire une montagne de petites difficultés.
A l'inverse, quand on est gonflé à bloc, on a des pensées valorisantes sur soi, et tout nous parait possible.
Mieux vaut donc avoir passé une bonne journée avant de draguer.
On parle souvent des croyances limitantes, comme des informations qu'il suffirait de remplacer par d'autres informations plus adéquates.
Mais en fait, il y a l'humeur qui joue très fortement.
Quand on est déprimé, on a tendance à avoir des pensées dévalorisantes sur soi-mêmes, ou à se faire une montagne de petites difficultés.
A l'inverse, quand on est gonflé à bloc, on a des pensées valorisantes sur soi, et tout nous parait possible.
Mieux vaut donc avoir passé une bonne journée avant de draguer.
Plutôt que l'humeur, je verrai l'estime de soi. Même si je te rejoins sur la fatigue qui joue sur le contrôle des émotions.-Alex a écrit :Mais en fait, il y a l'humeur qui joue très fortement.
Quand on est déprimé, on a tendance à avoir des pensées dévalorisantes sur soi-mêmes, ou à se faire une montagne de petites difficultés.
A l'inverse, quand on est gonflé à bloc, on a des pensées valorisantes sur soi, et tout nous parait possible.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Absolument le 10.03.14, 22h45 par h0tr0d
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Effectivement je crois que la question soulevée est celle de l'estime de soi.
Personnellement je ne suis pas partisan du Fake it till you make it.
On peut faire semblant, mais tôt ou tard son naturel refait surface si on ne traite pas le problème plus en profondeur.
Personne n'a de solution miracle pour booster son estime de soi, mais il y a de nombreuses pistes intéressantes.
Tout ce qui tourne autour des pensées positives voir carrément la méthode Coué, s'auto-convaincre que non on est pas moins bien qu'un autre et surtout éviter tant que possible de se comparer.
Mais lorsqu'on est profondément déprimé c'est très difficile de lutter contre les pensées négatives.
Pour ce qui est de l'anxiété sociale, la méthode qui a fait ses preuves est de s'exposer graduellement à ses peurs et angoisses, ce qui permet de se rendre compte qu'elles sont souvent infondées et de pures constructions intellectuelles.
Cette impression d'être constamment jugé par exemple.
Après lorsqu'on souffre de cet espèce de complexe d'infériorité on a tendance à surcompenser en tentant d'être "brillant" dans un domaine ce qui peut être une énorme source de motivation même si ça ne règle pas nécessairement le problème de fond.
...
Pour être moins théorique et te parler de mon cas personnel puisque c'est ce qui t'intéressait je crois :
Quand j'étais plus jeune j'avais des angoisses absolument terribles.
Je me souviens d'une fois où m'étant forcé à aller dans un magasin pour m'acheter une paire de basket, et bien qu'il ne se soit objectivement rien passé, j'avais ressenti un stress tel que j'en étais ressorti en sanglots et m'était précipité dans la voiture de ma mère qui m'y avait conduit la suppliant de rentrer.
Après je crois (ou j'espère) que naturellement avec l'âge on arrive à prendre un peu de distance et de détachement.
Mais tu me sembles sur la bonne voie, même si tu ne voies pas forcément encore le fruit de ces efforts que tu fournies pour l'instant, je t'assure que ça compte et que ce ne sont pas des coups d'épées dans l'eau.
Effectivement je crois que la question soulevé est celle de l'estime de soi.
Personnellement je ne suis pas partisan du Fake it till you make it.
On peut faire semblant, mais tôt ou tard son naturel refait surface si on ne traite pas du problème plus en profondeur.
Personne n'a de solution miracle pour booster son estime de soi, mais il y a de nombreuses postes intéressantes.
Tout ce qui tourne autour des pensées positives voir de la méthode Coué, s'auto convaincre que non on est pas moins bien qu'un autre et surtout éviter tant que possible de se comparer.
Mais lorsqu'on est profondément déprimé c'est très difficile de lutter contre les pensées négatives.
Pour ce qui est de l'anxiété sociale, la méthode qui a fait ses preuves est de s'exposer graduellement à ses peurs et angoisses, ce qui permet de se rendre compte qu'elles sont souvent infondées et de pures constructions intellectuelles.
Cette impression d'être constamment jugé par exemple.
Après lorsqu'on souffre de cet espèce de complexe d'infériorité on a tendance à surcompenser en tendant d'être "brillant" dans un domaine ce qui peut être une énorme source de motivation même si ça ne règle pas nécessairement le problème de fond.
Pour être moins théorique et te parler de mon cas personnel puisque c'est ce qui t'intéressait je crois.
Quand j'étais jeune j'avais des angoisses absolument terribles.
Je me souviens d'une fois où m'étant forcé à aller dans un magasin pour m'acheter une paire de basket, et bien qu'il ne se soit objectivement rien passé, j'avais ressenti un stress tel que j'en étais ressorti en sanglots et m'était précipité dans la voiture de ma mère qui m'y avait conduit la suppliant de rentrer.
Après je crois (ou j'espère) que naturellement avec l'âge on arrive à prendre un peu de distance et de détachement.
Mais tu me sembles sur la bonne voie, même si tu ne voies pas forcément encore le fruit de ces efforts que tu fournies pour l'instant, je t'assure que ça compte et que ce ne sont pas des coups d'épées dans l'eau.
Good luck Soldier !
Personnellement je ne suis pas partisan du Fake it till you make it.
On peut faire semblant, mais tôt ou tard son naturel refait surface si on ne traite pas le problème plus en profondeur.
Personne n'a de solution miracle pour booster son estime de soi, mais il y a de nombreuses pistes intéressantes.
Tout ce qui tourne autour des pensées positives voir carrément la méthode Coué, s'auto-convaincre que non on est pas moins bien qu'un autre et surtout éviter tant que possible de se comparer.
Mais lorsqu'on est profondément déprimé c'est très difficile de lutter contre les pensées négatives.
Pour ce qui est de l'anxiété sociale, la méthode qui a fait ses preuves est de s'exposer graduellement à ses peurs et angoisses, ce qui permet de se rendre compte qu'elles sont souvent infondées et de pures constructions intellectuelles.
Cette impression d'être constamment jugé par exemple.
Après lorsqu'on souffre de cet espèce de complexe d'infériorité on a tendance à surcompenser en tentant d'être "brillant" dans un domaine ce qui peut être une énorme source de motivation même si ça ne règle pas nécessairement le problème de fond.
...
Pour être moins théorique et te parler de mon cas personnel puisque c'est ce qui t'intéressait je crois :
Quand j'étais plus jeune j'avais des angoisses absolument terribles.
Je me souviens d'une fois où m'étant forcé à aller dans un magasin pour m'acheter une paire de basket, et bien qu'il ne se soit objectivement rien passé, j'avais ressenti un stress tel que j'en étais ressorti en sanglots et m'était précipité dans la voiture de ma mère qui m'y avait conduit la suppliant de rentrer.
Après je crois (ou j'espère) que naturellement avec l'âge on arrive à prendre un peu de distance et de détachement.
Mais tu me sembles sur la bonne voie, même si tu ne voies pas forcément encore le fruit de ces efforts que tu fournies pour l'instant, je t'assure que ça compte et que ce ne sont pas des coups d'épées dans l'eau.
Effectivement je crois que la question soulevé est celle de l'estime de soi.
Personnellement je ne suis pas partisan du Fake it till you make it.
On peut faire semblant, mais tôt ou tard son naturel refait surface si on ne traite pas du problème plus en profondeur.
Personne n'a de solution miracle pour booster son estime de soi, mais il y a de nombreuses postes intéressantes.
Tout ce qui tourne autour des pensées positives voir de la méthode Coué, s'auto convaincre que non on est pas moins bien qu'un autre et surtout éviter tant que possible de se comparer.
Mais lorsqu'on est profondément déprimé c'est très difficile de lutter contre les pensées négatives.
Pour ce qui est de l'anxiété sociale, la méthode qui a fait ses preuves est de s'exposer graduellement à ses peurs et angoisses, ce qui permet de se rendre compte qu'elles sont souvent infondées et de pures constructions intellectuelles.
Cette impression d'être constamment jugé par exemple.
Après lorsqu'on souffre de cet espèce de complexe d'infériorité on a tendance à surcompenser en tendant d'être "brillant" dans un domaine ce qui peut être une énorme source de motivation même si ça ne règle pas nécessairement le problème de fond.
Pour être moins théorique et te parler de mon cas personnel puisque c'est ce qui t'intéressait je crois.
Quand j'étais jeune j'avais des angoisses absolument terribles.
Je me souviens d'une fois où m'étant forcé à aller dans un magasin pour m'acheter une paire de basket, et bien qu'il ne se soit objectivement rien passé, j'avais ressenti un stress tel que j'en étais ressorti en sanglots et m'était précipité dans la voiture de ma mère qui m'y avait conduit la suppliant de rentrer.
Après je crois (ou j'espère) que naturellement avec l'âge on arrive à prendre un peu de distance et de détachement.
Mais tu me sembles sur la bonne voie, même si tu ne voies pas forcément encore le fruit de ces efforts que tu fournies pour l'instant, je t'assure que ça compte et que ce ne sont pas des coups d'épées dans l'eau.
Good luck Soldier !