Carolina La Polonaise de Paris

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le 16.08.2005 par dioboukha

1 réponses / Dernière par Akcent le 16.08.2005, 09h47

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
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L'histoire se passe il y'a deux ans. J'etais en plein one itis, un one itis demoniaque. Je sortais d'une relation qui avait duree un an. Al'epoque j'aimais.
Un soir je me suis dis : tiens il parait qu'il y a des soirees d'etudiants Polonais a Paris, je me suis alors dit que ca pourrait etre un bon lieu pour sarger.
Question de me motiver un peu, juste avant de sortir je me bois une de ces amsterdam maximator qui permet de remonter le moral.
Je sors de chez moi, le temps est gris, il pleut un peu, le brouillard guette.
Je me rends au bar T. du cote de Saint Michel et j'arrive dans un nuage de fumee d'ou j'apercois une B- sur le terrain.
Classique je lance un opener type : tu viens souvent ici ? On se met a se parler je numclose dans la demi heure qui suit et je m eclipse.
Dehors il faisait gris.
Aujourdhui nous sommes vendredi 30 octobre. Une semaine apres je decide de l'appeler pour aller "boire un verre".
Avant de sortir de chez moi je prends une petite biere pour le moral. Il faut dire que ce one itis m'en a fait bave...meme plus.
J'arrive au "dit bar" et je vois Caro, plutot que regarder ces yeux je m'amuse a observer ces formes.
A ce moment la elle me lache : Tu viens chez moi?
Je lui reponds que j'hesite mais que finalement pourquoi pas. En arrivant chez elle j'appelle mes parents et dit que je suis chez un pote et que je reviendrais que demain matin pour aller au cimetiere.
Chez elle au bout de 20 minutes, je lui demandes si je peux voir ses seins en lui mettant un peu la pression mais gentiment.
S'en suit une nuit sans fclose mais avec tout le reste.
A 7 heures apres ma nuit blanche, je sors. J'enfile mon bonnet noir et tel un voleur disparait. Dehors j'allume une de ces LM rouges que j'avais achete a des Ukrainiennes a Varsovie et je retourne du cote de Crimee.
Nuit d'un soir. Le brouillard n'avait pas disparu au reveil.
dioboukha a écrit : un one itis demoniaque. [...]
Je sors de chez moi, le temps est gris, il pleut un peu, le brouillard guette.[...]
Dehors il faisait gris.[..]
Le brouillard n'avait pas disparu au reveil.
dioboukha a écrit : je reviendrais que demain matin pour aller au cimetiere.
:shock: Tu serais pas un vampire, par hasard ? :lol:
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