Vie de couple quasi-inexistante : comment y remédier ?
Tant que ce n'est qu'une étape, j'ai envie de te dire "pourquoi pas" mais -pardon d'avance pour la phrase bateau- le sexe c'est un partage, non?
En fait, ce qui me gène un peu c'est qu'elle semble ne jamais se remettre en question et j'ai l'impression qu'elle "dispose" de toi, ce n'est pas équilibré. Cette solution lui convient à elle mais pas forcément à toi : tu es compréhensif et patient, tu cherches le rapprochement, tu consultes un psy, tu engages la discussion et au final c'est encore toi qui prends sur toi.
Peut-être pas dans l'immédiat mais un jour, il faudra que tu la "bouscules" (pas physiquement, non, verbalement!), qu'elle prenne conscience qu'elle doit aussi faire des efforts de son côté pour arranger les choses et pas seulement trouver des faux compromis qui ne lui coûtent rien.
En fait, ce qui me gène un peu c'est qu'elle semble ne jamais se remettre en question et j'ai l'impression qu'elle "dispose" de toi, ce n'est pas équilibré. Cette solution lui convient à elle mais pas forcément à toi : tu es compréhensif et patient, tu cherches le rapprochement, tu consultes un psy, tu engages la discussion et au final c'est encore toi qui prends sur toi.
Peut-être pas dans l'immédiat mais un jour, il faudra que tu la "bouscules" (pas physiquement, non, verbalement!), qu'elle prenne conscience qu'elle doit aussi faire des efforts de son côté pour arranger les choses et pas seulement trouver des faux compromis qui ne lui coûtent rien.
Je trouve ça positif, ce dernier retour.
Il y a fort à parier qu'en lui permettant de reprendre confiance en elle, en toi, votre sexualité deviendra plus simple, et son blocage sur la pénétration s'en ira de lui-même. Note que je comprends tout à fait qu'elle n'aime pas ça, et tristement, des tas de femmes se forcent parce qu'un rapport sexuel, c'est censé en passer par la pénétration pour être "complet". Pourtant j'ai vécu des moments sexuels géniaux sans pénétration... et il y a eu effectivement des fois où je n'en avais pas très envie et où, du coup, c'était douloureux. Ça peut laisser des séquelles si on le fait vraiment à contre-coeur...
Disons que si vous prenez le temps de vous découvrir, de vous connaître sexuellement, elle sera plus détendue et capable d'accepter voire même d'apprécier la pénétration — peut-être pas à chaque fois mais une fois de temps en temps. Il n'y a rien de tabou, d'impossible quand l'attraction, le respect et la confiance sont là.
Bonne chance pour la suite donc !
Il y a fort à parier qu'en lui permettant de reprendre confiance en elle, en toi, votre sexualité deviendra plus simple, et son blocage sur la pénétration s'en ira de lui-même. Note que je comprends tout à fait qu'elle n'aime pas ça, et tristement, des tas de femmes se forcent parce qu'un rapport sexuel, c'est censé en passer par la pénétration pour être "complet". Pourtant j'ai vécu des moments sexuels géniaux sans pénétration... et il y a eu effectivement des fois où je n'en avais pas très envie et où, du coup, c'était douloureux. Ça peut laisser des séquelles si on le fait vraiment à contre-coeur...
Disons que si vous prenez le temps de vous découvrir, de vous connaître sexuellement, elle sera plus détendue et capable d'accepter voire même d'apprécier la pénétration — peut-être pas à chaque fois mais une fois de temps en temps. Il n'y a rien de tabou, d'impossible quand l'attraction, le respect et la confiance sont là.
Bonne chance pour la suite donc !
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- [+1] Absolument le 08.02.14, 14h36 par Spring
Bonjour,
Je viens de lire tes témoignages et je suis impressionnée par ta patience et ta retenue envers elle.
Je comprend très bien ta frustration et j'espère que petit à petit ça ira mieux entre vous.
Je vais te faire part de mon témoignage : j'ai vécu 5 ans avec mon ex-copain !
Pendant un an ou deux, nous avions toujours envie de l'un et de l'autre ! Nous avions donc des rapports très réguliers. J'avais souvent mal à la fin des rapports mais l’excitation me permettait de tout oublier.
Petit à petit, je n'avais plus envie de lui et chaque rapport me dégoutait...
Je le faisait une à deux fois par semaine pour lui faire plaisir mais j'avais l'impression de subir ses rapports car cela me faisait vraiment mal. (Je subissais les rapports tout en étant active (je n'étais pas une étoile de mer)...
L'idée d'avoir mal me bloquait donc pour les prochains rapports...
Je pensais que les problèmes de mon absence de libido venaient de là mais d'autres problèmes inconscients se rajoutait à ce fameux problème !
Une personne de ma famille très proche de moi a été victime d'un abus sexuel lors de son enfance et je crois que je culpabilisais de prendre du plaisir lors de ces rapports. Je n'acceptais pas d'avoir envie de sexe alors que tant de monde est régulièrement victime d'abus sexuels...
La routine, mes tabous intérieurs, la fatigue, le sentiment de ne pas satisfaire totalement mon copain (la pression comme ton amie dit) ont réduit ma libido à zéro...
J'ai rencontré un autre homme et mon désir est revenu comme au premier jour. Incontrôlable et violent. J'ai donc quitté mon ex-copain car je sentais que ce qui devait arriver aller arriver...
Depuis deux ans, ma libido est toujours aussi présente car j'ai accepté que je pouvais prendre du plaisir sans culpabiliser. J'ai vraiment accepter que j'avais le droit d'être une femme comme les autres...
Pour ce qui est du coté des sécheresses vaginales, je vous conseille un lubrifiant pour le début de vos rapports et des cunnis ! Il existe aussi des gélules que tu insères dans le vagin afin de le lubrifier et cela marche vraiment bien !
J'espère vraiment que ça ira mieux et qu'elle se débloquer et comprendre que tu es un homme et que tu as des besoins comme tous les autres...
Bon courage !
Je viens de lire tes témoignages et je suis impressionnée par ta patience et ta retenue envers elle.
Je comprend très bien ta frustration et j'espère que petit à petit ça ira mieux entre vous.
Je vais te faire part de mon témoignage : j'ai vécu 5 ans avec mon ex-copain !
Pendant un an ou deux, nous avions toujours envie de l'un et de l'autre ! Nous avions donc des rapports très réguliers. J'avais souvent mal à la fin des rapports mais l’excitation me permettait de tout oublier.
Petit à petit, je n'avais plus envie de lui et chaque rapport me dégoutait...
Je le faisait une à deux fois par semaine pour lui faire plaisir mais j'avais l'impression de subir ses rapports car cela me faisait vraiment mal. (Je subissais les rapports tout en étant active (je n'étais pas une étoile de mer)...
L'idée d'avoir mal me bloquait donc pour les prochains rapports...
Je pensais que les problèmes de mon absence de libido venaient de là mais d'autres problèmes inconscients se rajoutait à ce fameux problème !
Une personne de ma famille très proche de moi a été victime d'un abus sexuel lors de son enfance et je crois que je culpabilisais de prendre du plaisir lors de ces rapports. Je n'acceptais pas d'avoir envie de sexe alors que tant de monde est régulièrement victime d'abus sexuels...
La routine, mes tabous intérieurs, la fatigue, le sentiment de ne pas satisfaire totalement mon copain (la pression comme ton amie dit) ont réduit ma libido à zéro...
J'ai rencontré un autre homme et mon désir est revenu comme au premier jour. Incontrôlable et violent. J'ai donc quitté mon ex-copain car je sentais que ce qui devait arriver aller arriver...
Depuis deux ans, ma libido est toujours aussi présente car j'ai accepté que je pouvais prendre du plaisir sans culpabiliser. J'ai vraiment accepter que j'avais le droit d'être une femme comme les autres...
Pour ce qui est du coté des sécheresses vaginales, je vous conseille un lubrifiant pour le début de vos rapports et des cunnis ! Il existe aussi des gélules que tu insères dans le vagin afin de le lubrifier et cela marche vraiment bien !
J'espère vraiment que ça ira mieux et qu'elle se débloquer et comprendre que tu es un homme et que tu as des besoins comme tous les autres...
Bon courage !
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- [+2] Ca va mieux en le disant le 16.02.14, 13h56 par Blusher
Bien le bonjour à tous,
Il était temps de faire une petite mise à jour sur ce sujet, ne serait-ce que pour tenir au courant tous ceux qui m’ont suivi / aidé.
Je ne vais pas faire durer le suspense ceci dit : la situation ne s’est pas arrangée. Pas du tout.
Le principe que l’on s’était fixé de bannir la pénétration n’a strictement rien donné, et elle a fini par me dire que c’était en fait une mauvaise idée : pour elle, elle doit être en mesure d’accepter pleinement le rapport sexuel (avec pénétration), le reste ne pouvant servir que de préliminaires.
Sinon, tout en bannissant quasi-totalement les « avances sexuelles » de ma part, j’ai tenté en revanche d’aborder indirectement les sujets sexuels de façon légère et distants. Par des SMS légèrement érotiques, des mails à mi-chemin entre plaisanterie et sexe, plein de petites remarques sexuées (sans reproche) en regardant des films ou séries… Le tout dans des proportions limitées, juste ce qu’il faut pour briser le tabou et essayer de faire en sorte que le sexe ne devienne pas un sujet « grave » entre nous, et que l’envie puisse venir naturellement. Je pensais jusqu’à récemment que cette approche était plutôt productive, jusqu’à ce qu’elle craque un soir en me disant qu’il n’y avait décidemment que ses fesses qui m’intéressent chez elle, et que je me fichais du reste. Qu’elle se sent oppressée par mon attitude. Et qu’elle perçoit sans cesse ma colère et ma rancœur à son égard, du fait qu’il ne se passe rien (je précise que de ma part mon tempérament, je « n’explose » jamais, préférant retenir toutes les pulsions négatives en moi pour ne m’exprimer que de façon calme : par contre, il m’arrive de temps en temps d’être très démoralisé, ce qu’elle devine facilement et ne supporte pas)
Il faut préciser que son nouveau travail se passe mal (petite boîte à l’ambiance détestable, où personne ne se parle et part dans son coin le midi), et que selon elle c’est une situation qui de fait coupe toute envie : elle a besoin de se sentir bien pour ressentir l’envie. Et dans ces moments-là elle a besoin de réconfort et d’écoute, et pas à m’entendre la complimenter sur ses fesses.
Je comprends tout cela, mais :
1) Je fais tout ce que je peux (même si on peut sans doute toujours faire plus) pour la soutenir au quotidien, de la distraire le soir (j’ai mis un terme à mes loisirs habituels pour passer la plupart de nos soirées ensemble), de lui chercher d’autres postes, essayer de la rassurer sur ce nouveau travail qui n’est qu’une petite étape transitoire...
2) Même si je conçois que cela puisse avoir un impact sur la libido, cette situation dure depuis beaucoup trop longtemps pour considérer que tout vienne de là (ou bien alors c’est qu’elle est depuis toujours malheureuse avec moi).
On peut déceler ici et là quelques avancées positives (par exemple, je lui ai offert un livre érotique – nuances de grey – et elle accepté positivement ce cadeau et l’a lu rapidement). Mais le bilan général est sombre. Elle a été jusqu’à dire dans sa colère que même si elle ne le ferait pas, ces temps-ci il lui arrive de songer à l’idée de fuir avec notre fils chez ses parents…
Pour terminer sur une note positive (j’essaie par cet écrit d’être constructif, car comme vous pouvez vous en douter, je suis profondément et violemment démoralisé, en plus d’être très affecté par certaines paroles), malgré tout ce qu’elle a pu me dire de violent lors de notre dernière discussion, elle m’a répété aussi qu’elle voulait retrouver le désir, et qu’elle ferait tout pour que l’on reste ensemble. Elle est aussi revenue sur ses déclarations sur les SMS et autres messages sexuels, en disant qu’au contraire il me fallait continuer à l’aider à faire en sorte que le sexe soit un sujet facile et léger entre nous.
Au moment où j’écris ces lignes, je ne sais donc plus trop quoi faire. Plus la soutenir, l’écouter, sans doute oui… mais je n’ai pas attendu ces derniers mois pour ça. Je ne sais plus comment je devrais tenter de me comporter au quotidien pour faire en sorte que ça aille mieux. De susciter le désir sans la brusquer. Moi qui me suis toujours considéré comme un éternel optimiste, j’ai tendance, là, à connaître une véritable situation d’impuissance.
Il était temps de faire une petite mise à jour sur ce sujet, ne serait-ce que pour tenir au courant tous ceux qui m’ont suivi / aidé.
Je ne vais pas faire durer le suspense ceci dit : la situation ne s’est pas arrangée. Pas du tout.
Le principe que l’on s’était fixé de bannir la pénétration n’a strictement rien donné, et elle a fini par me dire que c’était en fait une mauvaise idée : pour elle, elle doit être en mesure d’accepter pleinement le rapport sexuel (avec pénétration), le reste ne pouvant servir que de préliminaires.
Sinon, tout en bannissant quasi-totalement les « avances sexuelles » de ma part, j’ai tenté en revanche d’aborder indirectement les sujets sexuels de façon légère et distants. Par des SMS légèrement érotiques, des mails à mi-chemin entre plaisanterie et sexe, plein de petites remarques sexuées (sans reproche) en regardant des films ou séries… Le tout dans des proportions limitées, juste ce qu’il faut pour briser le tabou et essayer de faire en sorte que le sexe ne devienne pas un sujet « grave » entre nous, et que l’envie puisse venir naturellement. Je pensais jusqu’à récemment que cette approche était plutôt productive, jusqu’à ce qu’elle craque un soir en me disant qu’il n’y avait décidemment que ses fesses qui m’intéressent chez elle, et que je me fichais du reste. Qu’elle se sent oppressée par mon attitude. Et qu’elle perçoit sans cesse ma colère et ma rancœur à son égard, du fait qu’il ne se passe rien (je précise que de ma part mon tempérament, je « n’explose » jamais, préférant retenir toutes les pulsions négatives en moi pour ne m’exprimer que de façon calme : par contre, il m’arrive de temps en temps d’être très démoralisé, ce qu’elle devine facilement et ne supporte pas)
Il faut préciser que son nouveau travail se passe mal (petite boîte à l’ambiance détestable, où personne ne se parle et part dans son coin le midi), et que selon elle c’est une situation qui de fait coupe toute envie : elle a besoin de se sentir bien pour ressentir l’envie. Et dans ces moments-là elle a besoin de réconfort et d’écoute, et pas à m’entendre la complimenter sur ses fesses.
Je comprends tout cela, mais :
1) Je fais tout ce que je peux (même si on peut sans doute toujours faire plus) pour la soutenir au quotidien, de la distraire le soir (j’ai mis un terme à mes loisirs habituels pour passer la plupart de nos soirées ensemble), de lui chercher d’autres postes, essayer de la rassurer sur ce nouveau travail qui n’est qu’une petite étape transitoire...
2) Même si je conçois que cela puisse avoir un impact sur la libido, cette situation dure depuis beaucoup trop longtemps pour considérer que tout vienne de là (ou bien alors c’est qu’elle est depuis toujours malheureuse avec moi).
On peut déceler ici et là quelques avancées positives (par exemple, je lui ai offert un livre érotique – nuances de grey – et elle accepté positivement ce cadeau et l’a lu rapidement). Mais le bilan général est sombre. Elle a été jusqu’à dire dans sa colère que même si elle ne le ferait pas, ces temps-ci il lui arrive de songer à l’idée de fuir avec notre fils chez ses parents…
Pour terminer sur une note positive (j’essaie par cet écrit d’être constructif, car comme vous pouvez vous en douter, je suis profondément et violemment démoralisé, en plus d’être très affecté par certaines paroles), malgré tout ce qu’elle a pu me dire de violent lors de notre dernière discussion, elle m’a répété aussi qu’elle voulait retrouver le désir, et qu’elle ferait tout pour que l’on reste ensemble. Elle est aussi revenue sur ses déclarations sur les SMS et autres messages sexuels, en disant qu’au contraire il me fallait continuer à l’aider à faire en sorte que le sexe soit un sujet facile et léger entre nous.
Au moment où j’écris ces lignes, je ne sais donc plus trop quoi faire. Plus la soutenir, l’écouter, sans doute oui… mais je n’ai pas attendu ces derniers mois pour ça. Je ne sais plus comment je devrais tenter de me comporter au quotidien pour faire en sorte que ça aille mieux. De susciter le désir sans la brusquer. Moi qui me suis toujours considéré comme un éternel optimiste, j’ai tendance, là, à connaître une véritable situation d’impuissance.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 25.03.14, 15h01 par Raven
- [0] Courage le 25.03.14, 15h09 par Sonkei
- [0] Courage le 25.03.14, 19h47 par The_PoP
Pour moi tu laisses trop passer. Ce n'est pas bien. Tu continues à t'investir, à tenter de nouvelles choses, à l'aider et de son côté elle a toujours une excuse ou un problème pour ne pas être contente.
Elle te faut culpabiliser de te sentir mal vis à vis de tout ça, elle te fait culpabiliser d'être frustré alors que beaucoup aurait abandonné avant toi.
On ne peut pas aider quelqu'un tant que cette personne ne se prend pas un minimum en charge et n'est pas la volonté d'y arriver.
Pour moi tu es trop gentil. En l'aidant, tu as l'impression d'être utile mais ut la dessers car :
- Elle s'en fout de faire des efforts car finalement c'est toi qui les fais
- Si elle voit que tu téloignes, t énerves, elle te menace de se barrer avec ton fils
- Tu perds du temps pour toi, la ou tu pourrais réaliser des projets, tu stagne à t'occuper de quelqu un qui n'avance plus. Pire tu passes à côté d'une plus belle histoire.
- Enfin elle ne se prendra jamais en main tant qu'elle sera avec toi et c'est pour ça qu'à mon vais:
Jamais elle ne te quittera. Elle a trop besoin de toi.
Pour moi c'est juste de la manipulation. Pour moi, il faut fuir. Ça dure depuis trop longtemps. Je cautionne le fait qu'il faille aider ces personnes dans une relation mais uniquement si c'est constructif.
Dans ton cas ça ne l'est pas.
Tu perds ton temps et de l'énergie, je te conseillerais de partir tant qu'il est temps et de te battre pour tes enfants. Ça ça sera une cause qui vaut la peine de t'investir !
Elle te faut culpabiliser de te sentir mal vis à vis de tout ça, elle te fait culpabiliser d'être frustré alors que beaucoup aurait abandonné avant toi.
On ne peut pas aider quelqu'un tant que cette personne ne se prend pas un minimum en charge et n'est pas la volonté d'y arriver.
Pour moi tu es trop gentil. En l'aidant, tu as l'impression d'être utile mais ut la dessers car :
- Elle s'en fout de faire des efforts car finalement c'est toi qui les fais
- Si elle voit que tu téloignes, t énerves, elle te menace de se barrer avec ton fils
- Tu perds du temps pour toi, la ou tu pourrais réaliser des projets, tu stagne à t'occuper de quelqu un qui n'avance plus. Pire tu passes à côté d'une plus belle histoire.
- Enfin elle ne se prendra jamais en main tant qu'elle sera avec toi et c'est pour ça qu'à mon vais:
Jamais elle ne te quittera. Elle a trop besoin de toi.
Pour moi c'est juste de la manipulation. Pour moi, il faut fuir. Ça dure depuis trop longtemps. Je cautionne le fait qu'il faille aider ces personnes dans une relation mais uniquement si c'est constructif.
Dans ton cas ça ne l'est pas.
Tu perds ton temps et de l'énergie, je te conseillerais de partir tant qu'il est temps et de te battre pour tes enfants. Ça ça sera une cause qui vaut la peine de t'investir !
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Pertinent le 31.03.14, 21h42 par Spring
Pour moi tu laisses trop passer. Ce n'est pas bien. Tu continues à t'investir, à tenter de nouvelles choses, à l'aider et de son côté elle a toujours une excuse ou un problème pour ne pas être contente.
Elle te faut culpabiliser de te sentir mal vis à vis de tout ça, elle te fait culpabiliser d'être frustré alors que beaucoup aurait abandonné avant toi.
On ne peut pas aider quelqu'un tant que cette personne ne se prend pas un minimum en charge et n'est pas la volonté d'y arriver.
Pour moi tu es trop gentil. En l'aidant, tu as l'impression d'être utile mais ut la dessers car :
- Elle s'en fout de faire des efforts car finalement c'est toi qui les fais
- Si elle voit que tu téloignes, t énerves, elle te menace de se barrer avec ton fils
- Tu perds du temps pour toi, la ou tu pourrais réaliser des projets, tu stagne à t'occuper de quelqu un qui n'avance plus. Pire tu passes à côté d'une plus belle histoire.
- Enfin elle ne se prendra jamais en main tant qu'elle sera avec toi et c'est pour ça qu'à mon vais:
Jamais elle ne te quittera. Elle a trop besoin de toi.
Pour moi c'est juste de la manipulation. Pour moi, il faut fuir. Ça dure depuis trop longtemps. Je cautionne le fait qu'il faille aider ces personnes dans une relation mais uniquement si c'est constructif.
Dans ton cas ça ne l'est pas.
Tu perds ton temps et de l'énergie, je te conseillerais de partir tant qu'il est temps et de te battre pour tes enfants. Ça ça sera une cause qui vaut la peine de t'investir !
Elle te faut culpabiliser de te sentir mal vis à vis de tout ça, elle te fait culpabiliser d'être frustré alors que beaucoup aurait abandonné avant toi.
On ne peut pas aider quelqu'un tant que cette personne ne se prend pas un minimum en charge et n'est pas la volonté d'y arriver.
Pour moi tu es trop gentil. En l'aidant, tu as l'impression d'être utile mais ut la dessers car :
- Elle s'en fout de faire des efforts car finalement c'est toi qui les fais
- Si elle voit que tu téloignes, t énerves, elle te menace de se barrer avec ton fils
- Tu perds du temps pour toi, la ou tu pourrais réaliser des projets, tu stagne à t'occuper de quelqu un qui n'avance plus. Pire tu passes à côté d'une plus belle histoire.
- Enfin elle ne se prendra jamais en main tant qu'elle sera avec toi et c'est pour ça qu'à mon vais:
Jamais elle ne te quittera. Elle a trop besoin de toi.
Pour moi c'est juste de la manipulation. Pour moi, il faut fuir. Ça dure depuis trop longtemps. Je cautionne le fait qu'il faille aider ces personnes dans une relation mais uniquement si c'est constructif.
Dans ton cas ça ne l'est pas.
Tu perds ton temps et de l'énergie, je te conseillerais de partir tant qu'il est temps et de te battre pour tes enfants. Ça ça sera une cause qui vaut la peine de t'investir !
Dans l'épisode précédent, tu nous avais dit qu'elle refusait d'aller voir le thérapeute ensemble.
On ne parle pas de tout casser ou de l'insulter et encore moins d'user de violence à son égard. Mais oser être ferme, montrer du mécontentement cela peut être légitime.
Or souvent, on garde tout cela en nous car on nous apprend étant enfant qu'on sera aimé si on est "gentil".
On peut comprendre qu'elle ait besoin de se sentir écoutée et soutenue après une journée de merde. Mais pas qu'elle délégitime les besoins que tu exprimes.
Tu fais tout ce que tu peux, y compris sacrifier les loisirs qui te restaient pour essayer qu'elle aille bien, pour que vous couchiez ensemble afin que votre couple reparte comme en 40???
Et si tu pensais un peu à toi pour changer?
Donc tu as essayé d'y aller mollo, par allusions, et elle se sent oppressée par ton intérêt sexuel.Je pensais jusqu’à récemment que cette approche était plutôt productive, jusqu’à ce qu’elle craque un soir en me disant qu’il n’y avait décidemment que ses fesses qui m’intéressent chez elle, et que je me fichais du reste. Qu’elle se sent oppressée par mon attitude. Et qu’elle perçoit sans cesse ma colère et ma rancœur à son égard, du fait qu’il ne se passe rien
Se priver d'exprimer la moindre émotion négative n'est guère durable. Il y a des fois où une saine colère est légitime et nécessaire. C'est aussi moins toxique qu'un conflit larvé ou de basses manipulations passives-agressives. En un mot comme en cent, tu as le droit d'ouvrir ta gueule!(je précise que de ma part mon tempérament, je « n’explose » jamais, préférant retenir toutes les pulsions négatives en moi pour ne m’exprimer que de façon calme : par contre, il m’arrive de temps en temps d’être très démoralisé, ce qu’elle devine facilement et ne supporte pas)
On ne parle pas de tout casser ou de l'insulter et encore moins d'user de violence à son égard. Mais oser être ferme, montrer du mécontentement cela peut être légitime.
Or souvent, on garde tout cela en nous car on nous apprend étant enfant qu'on sera aimé si on est "gentil".
Par un glissement diabolique son problème au boulot devient votre problème, puis ton problème.Il faut préciser que son nouveau travail se passe mal (petite boîte à l’ambiance détestable, où personne ne se parle et part dans son coin le midi), et que selon elle c’est une situation qui de fait coupe toute envie : elle a besoin de se sentir bien pour ressentir l’envie. Et dans ces moments-là elle a besoin de réconfort et d’écoute, et pas à m’entendre la complimenter sur ses fesses.
On peut comprendre qu'elle ait besoin de se sentir écoutée et soutenue après une journée de merde. Mais pas qu'elle délégitime les besoins que tu exprimes.
Encore plus, tu veux dire?Je comprends tout cela, mais :
1) Je fais tout ce que je peux (même si on peut sans doute toujours faire plus) pour la soutenir au quotidien, de la distraire le soir (j’ai mis un terme à mes loisirs habituels pour passer la plupart de nos soirées ensemble), de lui chercher d’autres postes, essayer de la rassurer sur ce nouveau travail qui n’est qu’une petite étape transitoire...
Tu fais tout ce que tu peux, y compris sacrifier les loisirs qui te restaient pour essayer qu'elle aille bien, pour que vous couchiez ensemble afin que votre couple reparte comme en 40???
Et si tu pensais un peu à toi pour changer?
Le problème dis-tu remonte à plus loin? Es-tu prêt à l'entendre? Es-tu prêt à prendre les dispositions qui s'imposent (rupture etc) si c'est ce qui sort de cette conversation?2) Même si je conçois que cela puisse avoir un impact sur la libido, cette situation dure depuis beaucoup trop longtemps pour considérer que tout vienne de là (ou bien alors c’est qu’elle est depuis toujours malheureuse avec moi).
Cela te poserait problème qu'elle le fasse?Mais le bilan général est sombre. Elle a été jusqu’à dire dans sa colère que même si elle ne le ferait pas, ces temps-ci il lui arrive de songer à l’idée de fuir avec notre fils chez ses parents…
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Constructif le 25.03.14, 19h51 par The_PoP
Pour moi il y a chantage affectif sur la fin notamment quand elle dit vouloir se barrer avec le filsBlusher a écrit :Dans l'épisode précédent, tu nous avais dit qu'elle refusait d'aller voir le thérapeute ensemble.
Donc tu as essayé d'y aller mollo, par allusions, et elle se sent oppressée par ton intérêt sexuel.Je pensais jusqu’à récemment que cette approche était plutôt productive, jusqu’à ce qu’elle craque un soir en me disant qu’il n’y avait décidemment que ses fesses qui m’intéressent chez elle, et que je me fichais du reste. Qu’elle se sent oppressée par mon attitude. Et qu’elle perçoit sans cesse ma colère et ma rancœur à son égard, du fait qu’il ne se passe rien
Se priver d'exprimer la moindre émotion négative n'est guère durable. Il y a des fois où une saine colère est légitime et nécessaire. C'est aussi moins toxique qu'un conflit larvé ou de basses manipulations passives-agressives. En un mot comme en cent, tu as le droit d'ouvrir ta gueule!(je précise que de ma part mon tempérament, je « n’explose » jamais, préférant retenir toutes les pulsions négatives en moi pour ne m’exprimer que de façon calme : par contre, il m’arrive de temps en temps d’être très démoralisé, ce qu’elle devine facilement et ne supporte pas)
On ne parle pas de tout casser ou de l'insulter et encore moins d'user de violence à son égard. Mais oser être ferme, montrer du mécontentement cela peut être légitime.
Or souvent, on garde tout cela en nous car on nous apprend étant enfant qu'on sera aimé si on est "gentil".
Par un glissement diabolique son problème au boulot devient votre problème, puis ton problème.Il faut préciser que son nouveau travail se passe mal (petite boîte à l’ambiance détestable, où personne ne se parle et part dans son coin le midi), et que selon elle c’est une situation qui de fait coupe toute envie : elle a besoin de se sentir bien pour ressentir l’envie. Et dans ces moments-là elle a besoin de réconfort et d’écoute, et pas à m’entendre la complimenter sur ses fesses.
On peut comprendre qu'elle ait besoin de se sentir écoutée et soutenue après une journée de merde. Mais pas qu'elle délégitime les besoins que tu exprimes.
Encore plus, tu veux dire?Je comprends tout cela, mais :
1) Je fais tout ce que je peux (même si on peut sans doute toujours faire plus) pour la soutenir au quotidien, de la distraire le soir (j’ai mis un terme à mes loisirs habituels pour passer la plupart de nos soirées ensemble), de lui chercher d’autres postes, essayer de la rassurer sur ce nouveau travail qui n’est qu’une petite étape transitoire...
Tu fais tout ce que tu peux, y compris sacrifier les loisirs qui te restaient pour essayer qu'elle aille bien, pour que vous couchiez ensemble afin que votre couple reparte comme en 40???
Et si tu pensais un peu à toi pour changer?
Le problème dis-tu remonte à plus loin? Es-tu prêt à l'entendre? Es-tu prêt à prendre les dispositions qui s'imposent (rupture etc) si c'est ce qui sort de cette conversation?2) Même si je conçois que cela puisse avoir un impact sur la libido, cette situation dure depuis beaucoup trop longtemps pour considérer que tout vienne de là (ou bien alors c’est qu’elle est depuis toujours malheureuse avec moi).
Cela te poserait problème qu'elle le fasse?Mais le bilan général est sombre. Elle a été jusqu’à dire dans sa colère que même si elle ne le ferait pas, ces temps-ci il lui arrive de songer à l’idée de fuir avec notre fils chez ses parents…
fils.
Aussi il prend le problème à l'envers, à force de trop penser à elle il ne pense pas à lui. Je suis sur qu'en la laissant un peu de côté et en recentrant ses efforts sur lui, il se sentirait déjà mieux dans sa peau et peut être que cela donnerait plus envie à sa femme (pas sur mais au moins il perd moins son temps)
Quand à la rupture, au bout d'un moment il faut y songer vraiment quand ça s'impose.
Je n'ose imaginer la situation que tu vis au jour le jour. Mais je retiens deux choses:
-Tu n'as pas l'air d'être heureux.
-Tu essaies de te contenter ta femme en étant attentionné et gentil. Le fait est que ça ne marche pas. Dans ce cas-là, n'est-il pas temps d'employer une autre méthode? (éventuellement une méthode radicalement différente)
J'ai presque envie d'être provocateur et de te demander si votre histoire n'est pas finie depuis longtemps et s'il n'est pas temps de passer à autre chose ...je ne sais pas d'où vient son problème mais ce chantage affectif de se barrer avec le petit chez ses parents, c'est:
Bon courage pour la suite.
-Tu n'as pas l'air d'être heureux.
-Tu essaies de te contenter ta femme en étant attentionné et gentil. Le fait est que ça ne marche pas. Dans ce cas-là, n'est-il pas temps d'employer une autre méthode? (éventuellement une méthode radicalement différente)
J'ai presque envie d'être provocateur et de te demander si votre histoire n'est pas finie depuis longtemps et s'il n'est pas temps de passer à autre chose ...je ne sais pas d'où vient son problème mais ce chantage affectif de se barrer avec le petit chez ses parents, c'est:

Bon courage pour la suite.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Absolument le 31.03.14, 21h43 par Spring
Je pense moi aussi qu'il est temps que tu indique clairement que la situation doit évoluer, faute de quoi tu ne conçois pas de sacrifier toute vie sexuelle pour le reste de ta vie avec elle. Tes efforts pour l'aider a avancer sur ce problème qui mine désormais votre couple ne suffisant clairement pas, proposes lui de consulter ensemble ou seule un sexologue pour vous aider.
A défaut de vouloir faire quelque chose, tu n'auras d'autre choix que de considérer qu'elle ne souhaite pas véritablement entretenir une dimension charnelle dans votre couple, et donc de facto vos aspirations sont désormais incompatibles.
Attention, ce n'est pas un chantage. C'est de l'honnêteté. Tu l'aimes visiblement beaucoup: pour l'aider, tu dois l'aider a faire le pas pour qu'elle tente d'affronter ses demons. La patience l'ayant surtout aider a repousser à plus tard jusqu'ici, il est temps de la mettre dans l'obligation de décider : soit elle tente *quelque chose* soit votre couple est perdu.
Tu as le droit de lui dire que tu es à bout de solution, que tu sais plus quoi faire mais que tu ne te résouds pas a ne plus jamais avoir envie charnellement d'elle, ce qui est parfaitement légitime faut-il le rappeler.
En gros, l'appeler *elle* a l'aide.
Et tirer les conclusions de sa réaction.
A défaut de vouloir faire quelque chose, tu n'auras d'autre choix que de considérer qu'elle ne souhaite pas véritablement entretenir une dimension charnelle dans votre couple, et donc de facto vos aspirations sont désormais incompatibles.
Attention, ce n'est pas un chantage. C'est de l'honnêteté. Tu l'aimes visiblement beaucoup: pour l'aider, tu dois l'aider a faire le pas pour qu'elle tente d'affronter ses demons. La patience l'ayant surtout aider a repousser à plus tard jusqu'ici, il est temps de la mettre dans l'obligation de décider : soit elle tente *quelque chose* soit votre couple est perdu.
Tu as le droit de lui dire que tu es à bout de solution, que tu sais plus quoi faire mais que tu ne te résouds pas a ne plus jamais avoir envie charnellement d'elle, ce qui est parfaitement légitime faut-il le rappeler.
En gros, l'appeler *elle* a l'aide.
Et tirer les conclusions de sa réaction.