Comment savoir quand elle a jouit??
J'explique ma note :
Un sexologue, pourquoi pas?
Mais voir l'orgasme comme une "norme" et une personne ne l'atteignant pas comme "anormale" risque fort de faire oublier ce qui a été rappelé par les filles plus haut : l'orgasme n'est pas une finalité en soi et le plaisir peut se trouver ailleurs.
Je me demande d'ailleurs, quand on parle de "performance" et d'"obsession de l'orgasme" concernant les mecs qui veulent faire jouir à tout prix leur partenaire, quelle est la part de pression présente chez les femmes qui n'ont pas - ou rarement - d'orgasme?
Un sexologue, pourquoi pas?
Mais voir l'orgasme comme une "norme" et une personne ne l'atteignant pas comme "anormale" risque fort de faire oublier ce qui a été rappelé par les filles plus haut : l'orgasme n'est pas une finalité en soi et le plaisir peut se trouver ailleurs.
Je me demande d'ailleurs, quand on parle de "performance" et d'"obsession de l'orgasme" concernant les mecs qui veulent faire jouir à tout prix leur partenaire, quelle est la part de pression présente chez les femmes qui n'ont pas - ou rarement - d'orgasme?
1/ certaines femmes n'ont pas atteint encore leur maturité sexuelle et ne savent pas jouir ou plus exactement ce qui les fait jouir. Ou elles ne savent pas suffisamment se lâche ou se relâcher pour atteindre la jouissance. J'ai lu qu'en moyenne cela arrivait à 35 ans, ça me paraît beaucoup mais en fait quand on y réfléchit : beaucoup de femmes n'ont jamais eu un vrai orgasme, peut-être pas celle que nous rencontrons, celles qui sont introvertie, ne sortent pas, sont à fond dans leur boulot, leur vie de famille. Donc je pense au sujet de cette maturité sexuelle féminine, elle est très disparate : certaines vont l'avoir à 20 ans et d'autres à 50 ans quand elles auront changé de vie ou de marie, trouver un amant ou que sais-je.
2/ J'ai eu 2 copines récemment qui adorent faire l'amour, j'ai couché 5-6 fois avec chacune. La première (38-39 ans) a eu un orgasme une fois sur 2, la seconde (27-28 ans) à chaque fois. Les 2 étaient plutôt clitoridienne (surtout la première) comme la plupart des femmes. Voici un exemple de ma manière la plus commune de faire l'amour (bien sûr c'est tout le temps différents et des fois complètement), elle vaut ce qu'elle vaut : préliminaire assez long (p-e trop d'ailleurs j'ai l'impression) et en général je varie 3 positions : missionnaire / andromaque / levrette.
La position de la levrette est celle où je viens le plus facilement donc généralement je termine avec ça après qu'elle ait jouis. Elle y prend bp de plaisir mais atteint pas forcément l'orgasme (position qui est mieux pour les filles vaginales).
Le missionnaire, plutôt au début généralement car c'est la position où l'on peut le plus varier les mouvements, la vitesse, etc.
La position d'andromaque au milieu : les filles qui sont clitoridiennes et qui savent comment prendre leur pied atteignent souvent l'orgasme avec cette position voir tout le temps si/quand on a compris le truc. Ce sont elles qui prennent les commandes et qui bougent le bas-ventre à leur façon, à leur vitesse jusqu'à atteindre l'orgasme. Pendant ce temps, faut d'une part, relever un peu le cul pour avoir un meilleur contact mais généralement ne pas accompagner le mouvement. Il faut surtout ne pas rester passif pour autant, il faut en parallèle exciter la fille par d'autres moyens : embrasser la fille, embrasser ses seins, fourrer sa tête entre ses seins et embrasser tous le haut de son corps avec passions, prendre ses fesses avec ses mains et accompagner un peu son mouvement, etc, etc.
Au bout d'un moment, elle y va de plus en plus fort (c'est la position où le lit grince pas mal et se déplace dans la chambre) et atteint l'orgasme (gémissement, relâchement, etc). Par contre pour ma part, totalement impossible pour moi d'éjaculer dans cette position qui me stimule assez peu même si elle me plait quand même beaucoup. Donc ensuite je continue sur autre chose (missionnaire ou levrette) pour venir à mon tour.
Voilà un cas général pratiqué en début de relation, bien sûr, il y a vraiment pleins de manières de faire et il faut varier...
2/ J'ai eu 2 copines récemment qui adorent faire l'amour, j'ai couché 5-6 fois avec chacune. La première (38-39 ans) a eu un orgasme une fois sur 2, la seconde (27-28 ans) à chaque fois. Les 2 étaient plutôt clitoridienne (surtout la première) comme la plupart des femmes. Voici un exemple de ma manière la plus commune de faire l'amour (bien sûr c'est tout le temps différents et des fois complètement), elle vaut ce qu'elle vaut : préliminaire assez long (p-e trop d'ailleurs j'ai l'impression) et en général je varie 3 positions : missionnaire / andromaque / levrette.
La position de la levrette est celle où je viens le plus facilement donc généralement je termine avec ça après qu'elle ait jouis. Elle y prend bp de plaisir mais atteint pas forcément l'orgasme (position qui est mieux pour les filles vaginales).
Le missionnaire, plutôt au début généralement car c'est la position où l'on peut le plus varier les mouvements, la vitesse, etc.
La position d'andromaque au milieu : les filles qui sont clitoridiennes et qui savent comment prendre leur pied atteignent souvent l'orgasme avec cette position voir tout le temps si/quand on a compris le truc. Ce sont elles qui prennent les commandes et qui bougent le bas-ventre à leur façon, à leur vitesse jusqu'à atteindre l'orgasme. Pendant ce temps, faut d'une part, relever un peu le cul pour avoir un meilleur contact mais généralement ne pas accompagner le mouvement. Il faut surtout ne pas rester passif pour autant, il faut en parallèle exciter la fille par d'autres moyens : embrasser la fille, embrasser ses seins, fourrer sa tête entre ses seins et embrasser tous le haut de son corps avec passions, prendre ses fesses avec ses mains et accompagner un peu son mouvement, etc, etc.
Au bout d'un moment, elle y va de plus en plus fort (c'est la position où le lit grince pas mal et se déplace dans la chambre) et atteint l'orgasme (gémissement, relâchement, etc). Par contre pour ma part, totalement impossible pour moi d'éjaculer dans cette position qui me stimule assez peu même si elle me plait quand même beaucoup. Donc ensuite je continue sur autre chose (missionnaire ou levrette) pour venir à mon tour.
Voilà un cas général pratiqué en début de relation, bien sûr, il y a vraiment pleins de manières de faire et il faut varier...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Intéressant le 21.05.14, 11h22 par Terrigan
Énorme Owen, au point de ne plus avoir envie de faire l'amour à cause de ça.Je me demande d'ailleurs, quand on parle de "performance" et d'"obsession de l'orgasme" concernant les mecs qui veulent faire jouir à tout prix leur partenaire, quelle est la part de pression présente chez les femmes qui n'ont pas - ou rarement - d'orgasme?
Je suis plus que circonspecte là... Genre on est un peu bêtes ?...certaines femmes n'ont pas atteint encore leur maturité sexuelle et ne savent pas jouir ou plus exactement ce qui les fait jouir. Ou elles ne savent pas suffisamment se lâche ou se relâcher pour atteindre la jouissance.
Cliniquement tout est bon, j'ai consulté une gynéco pour ça, pour moi la réponse est ailleurs. Soit c'est la nature qui est capricieuse, qui dote certaines femmes du pouvoir d'atteindre l'orgasme avec un partenaire, à d'autres de pouvoir l'atteindre toute seule uniquement, et à d'autres rien du tout; soit je suis une lesbienne refoulée.
Cela dit :
Why not ?Dans ce cas-là, direction un sexologue.![]()
Y'a des traitements hormonaux pour ça.
Soit il te restes encore quelques trucs à découvrir, moins conventionnels, que tu n'oses pas encore assumer : Sm / sexe anal / plans à plusieurs / lesbianisme / cassoulet sur le ventre...
Apres tout, Cosmopolitain ne fait-il pas recette chaque été en vendant des histoires bidons de filles qui atteignent l'orgasme pour la premiere fois à 35 ans parce qu'elles se sont encanaillées dans les buissons avec un parfait inconnu alors que ca ne marche pas avec leur mari?
Apres tout, Cosmopolitain ne fait-il pas recette chaque été en vendant des histoires bidons de filles qui atteignent l'orgasme pour la premiere fois à 35 ans parce qu'elles se sont encanaillées dans les buissons avec un parfait inconnu alors que ca ne marche pas avec leur mari?
Je vais essayer le cassoulet sur le ventre ;)
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Bonne idée le 21.05.14, 11h23 par Terrigan
Je ressors ça d'un article assez sérieux que j'ai lu je sais plus trop où. C'était tiré d'une étude statistiques / sondage il me semble.lucie1 a écrit :Je suis plus que circonspecte là... Genre on est un peu bêtes ?...certaines femmes n'ont pas atteint encore leur maturité sexuelle et ne savent pas jouir ou plus exactement ce qui les fait jouir. Ou elles ne savent pas suffisamment se lâche ou se relâcher pour atteindre la jouissance.
Bien sûr que ce n'est pas une question d'intelligence ! Vraiment tu as lu ça dans mes propos ?
C'est plus une question de savoir se lâcher, ne pas être coincer avec le sexe (c'était un peu le cas avec mon ex), avoir le bon mec, avoir eu des relations sexuelles avec plusieurs hommes.
Mon ex (31 ans / 12 ans de vie commune avec moi), n'avait pas souvent d'orgasmes :
- Pas assez d'ouverture d'esprit, de prise d'initiative au lit de son coté.
- C'était la première fille avec qui j'avais eu des relations sexuelles et je n'avais pas eu assez d'expériences avec d'autres pour comprendre beaucoup de choses. Donc je savais pas bien m'y prendre clairement. C'était beaucoup trop "mécanique".
- De son coté, pareil, son 3e partenaire sexuelle à 18 ans. Ceux qui m'ont précédés je pense était jeune et pas assez expérimenté.
- Au pieu, ça n'a jamais été l'éclate entre nous, on a pas su évoluer là dessus et à la fin on faisait de moins en moins l'amour (baisse de désir et d'amour)...
On en arrive au jour où à 31 ans où je me pose même la question de savoir si un jour elle a vraiment eu un vrai orgasme "ravageur" (je pense que oui mais que quelques fois par an malheureusement).
Je pense qu'il y a de très nombreux cas similaires. A cela il faut ajouter beaucoup de choses : filles introverties ou coincées qui auront toujours du mal à suffisamment se lâcher, filles qui ont eu divers traumatisme à ce niveau étant enfant ou ado, femmes qui par nature ont plus de mal à atteindre l'orgasme, etc.
Nan mais j'ai pas de mal à me lâcher. En fait, je suis même ouverte à presque toutes les expériences. Ce qui est bizarre, c'est que le sexe ne provoque pas grand chose chez moi. Comme si j'étais blasée.
C'est un peu hors-sujet, il faudrait peut-être créer un topic pour ça ou en parler par MP.
C'est un peu hors-sujet, il faudrait peut-être créer un topic pour ça ou en parler par MP.
Ou continuer à en parler ici, car c'est finalement assez bien dans le sujet.
Le manque de nouveauté, le sentiment que c'est plus ou moins les mêmes sensations à chaque fois, cela à tendance à diminuer la valeur de l'expérience. A cela doit s'ajouter cette idée même, consciente, *pendant* les rapports...
Et, surtout, j'ai l'impression que cette recherche d'orgasme (pour les deux - ou plus ;-) - partenaires), cela focalise sur la mécanique sexuelle plus que sur l'intensité des émotions partagées, qui participe pourtant je pense à sublimer cette mécanique.
Après, si du cassoulet sur le ventre cela sublime le plaisir sexuel, franchement, go!
Le manque de nouveauté, le sentiment que c'est plus ou moins les mêmes sensations à chaque fois, cela à tendance à diminuer la valeur de l'expérience. A cela doit s'ajouter cette idée même, consciente, *pendant* les rapports...
Et, surtout, j'ai l'impression que cette recherche d'orgasme (pour les deux - ou plus ;-) - partenaires), cela focalise sur la mécanique sexuelle plus que sur l'intensité des émotions partagées, qui participe pourtant je pense à sublimer cette mécanique.
Après, si du cassoulet sur le ventre cela sublime le plaisir sexuel, franchement, go!
Oui il faudrait probablement varier les plaisirs.
Malgré tout, je doute que ça puisse changer quelque chose.
Malgré tout, je doute que ça puisse changer quelque chose.
Parce que j'ai rencontré une nana qui n'avait jamais connu d'orgasme, de réel plaisir à faire l'amour.Owen a écrit :J'explique ma note :
Un sexologue, pourquoi pas?
Mais voir l'orgasme comme une "norme" et une personne ne l'atteignant pas comme "anormale" risque fort de faire oublier ce qui a été rappelé par les filles plus haut : l'orgasme n'est pas une finalité en soi et le plaisir peut se trouver ailleurs.
Je me demande d'ailleurs, quand on parle de "performance" et d'"obsession de l'orgasme" concernant les mecs qui veulent faire jouir à tout prix leur partenaire, quelle est la part de pression présente chez les femmes qui n'ont pas - ou rarement - d'orgasme?
Et qui suite à un traitement hormonal prescrit par un sexologue, elle a pu avoir des orgasmes. Péniblement, certes, mais elle a pu en avoir. Et ça a été une révélation pour elle.
Il n'y avait aucune idée de performance derrière. Vous oubliez parfois qu'il existe de véritable troubles physiologique.
Le médical n'est peut-être pas à oublier.
Un sexologue est un professionnel qui saura détecter les véritable troubles relevant du médical, du reste.
Donc, non. Conseiller d'aller voir un sexologue n'est en aucun cas malsain, ni douteux.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+1] Ca va mieux en le disant le 21.05.14, 11h25 par Terrigan