Besoin de conseils suite à une dépression.

Note : 6

le 15.06.2014 par Arawyn

20 réponses / Dernière par Vinsanity le 20.06.2014, 02h40

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
J'ai lu la réponse que tu m'as faite.

Je réitère mon conseil d'envisager sérieusement de la quitter. Pour toi, pour elle et pour votre relation.

Parce que la relation que tu décris ne donne pas envie d'être vécue. Ni d'un côté ni de l'autre. Parce que dire je le ferais quand je serais plus fort, c'est justement refuser de devenir plus fort. Objectivement aujourd'hui il y a fort à parier que ta relation ne t'apporte rien de positif, si ce n'est une certaine nostalgie et un confort (dans le sens habitude, zone de confort).

Et je ne suis pas sur que tu lui apportes autant de choses positives que tu le croies malgré tes intentions qui semblent plus que claires et honnêtes.
Elle semble être en train de changer, et tu es peut être un frein à ce changement. Malgré toi d'ailleurs. Et sans doute plus pour ce que tu représentes pour elle que par tes agissements. Ce qui malheureusement rendra inutiles beaucoup de tes actions visant à "l'aider" selon ton point de vue.

Voilà, j'imagine que ce n'est pas évident à lire. Et une fois encore j'ai pris le parti de te répondre en "oubliant" le côté médical de tes problèmes ce qui donne forcément un conseil très partiel.
De plus en toute transparence, j'ai connu ce genre de situation, et j'ai moi même mis quelque temps avant de comprendre que les bonnes intentions sont parfois contre-productives, quitte à cacher parfois un simple manque de courage à prendre des décisions difficiles. Donc je ne suis pas impartial non plus.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Constructif le 16.06.14, 20h33 par Arawyn
The_PoP a écrit :la relation que tu décris ne donne pas envie d'être vécue. Ni d'un côté ni de l'autre. Parce que dire je le ferais quand je serais plus fort, c'est justement refuser de devenir plus fort. Objectivement aujourd'hui il y a fort à parier que ta relation ne t'apporte rien de positif, si ce n'est une certaine nostalgie et un confort (dans le sens habitude, zone de confort).
Globalement, je suis d'accord avec toi, j'ai déjà réfléchi sérieusement à la quitter d'ailleurs. Je l'ai même fait, en lui explicitant calmement les raisons qui m'ont poussées à le faire, et en lui disant que nos chemins avaient pris des directions trop différentes, que c'était mieux et pour elle et pour moi. Cependant, elle ne voulait pas qu'on se quitte, et moi même j'ai eu un mal fou à le faire. Si tu veux, je m'étais dit qu'au point où on en était, on tirait tous les deux plus de choses négatives que positives de cette relation, et que même si ça faisait mal, il fallait qu'on se quitte parce que la balance serait plus équilibrée. Or je me suis senti encore plus mal une fois séparé d'elle qu'avec elle.

Ensuite, bien entendu, on a eu plusieurs fois des plus ou moins grosses disputes depuis les seize mois où on est ensemble, ce qui est normal je pense. Mais ça ne va plus depuis environ deux mois, depuis que j'ai perdu confiance en elle et qu'elle s'est mise à me mentir. Avant ça, tout se passait bien, et vraiment, c'est aussi la personne avec qui j'ai passé le plus de moments heureux.

Donc depuis que ça va plus mal que bien, je lui ai parlé plusieurs fois, sérieusement, calmement, et clairement, lui disant qu'il fallait qu'elle se pose certaines questions, et notamment si elle était vraiment heureuse avec moi, si notre relation lui convenait, et si elle était sûre ou non de m'aimer vraiment ou si ce n'était pas autre chose (du confort, peur de la solitude, de l'attachement....). À chaque fois elle m'a répondu qu'elle voulait qu'on reste ensemble parce qu'elle m'aime et parce qu'elle sentait que je l'aime, et qu'elle en était sûre. Et même dernièrement, elle m'a encore parlé du fait qu'elle pensait encore que l'on était des âmes soeures, et qu'en tout cas qu'elle pensait vraiment qu'on était fait pour être ensemble et qu'elle voulait qu'on surmonte cette mauvaise passade, qu'elle veut qu'on vive ensemble, et tout ce qu'une fille dit quand elle voit son futur avec quelqu'un.

Malheureusement, il est tout à fait possible qu'elle se voile la face, qu'elle se mente à elle-même, et qu'elle ne se donne pas les vraies réponses à ces questions. Mais je n'ai aucun moyen de savoir ce qui se cache dans sa tête, dans son inconscient, et je ne peux pas le savoir pour elle.

Pour ce qui est de mon côté, c'est vrai, et forcément, qu'en postant ici, je m'oriente directement problèmes, et je me place du point de vue plutôt négatif que positif. Pour ce qui va bien, je n'ai pas besoin d'aide, dans un sens. Donc j'ai parlé clairement, je pense, de toutes les pensées que j'avais pour ce côté négatif, mais je n'ai pas parlé du côté positif.

Je pense sincèrement que cette relation m'aporte des choses positives, mais pas du confort justement, puisque ces derniers temps, la situation est quelques fois plus inconfortable que l'inverse, et je te rejoins en disant que dans ces cas j'ai tout à gagné, pour mon confort en partie aussi, à la quitter, pour ne plus vivre ces moments inconfortables. Pour ce qui est de la nostalgie, tout cela m'aura au moins permis, contradictoirement peut-être, d'y voir plus clair qu'avant, de me rendre compte des illusions que je m'étais faite dans le passé, au début de relation, ou plutôt vers le milieu, et de me désillusionner par rapport au présent et au futur. Honnêtement, je n'ai eu presque aucun moment de nostalgie, je vois vraiment les choses par rapport au présent et le moins possible en ressassant le passé, parce que j'estime que le passé ne sert qu'à nous apprendre à ne pas répéter les même erreurs. Mais nous sommes faits pour vivre dans le présent, non dans le passé.

The_PoP a écrit :Et je ne suis pas sur que tu lui apportes autant de choses positives que tu le croies malgré tes intentions qui semblent plus que claires et honnêtes.
Comme je l'ai dit, je ne peux pas répondre à ça, seule elle le peut. Et apparemment, elle a l'air de penser que je lui apporte des choses positives, même maintenant.

The_PoP a écrit :tes actions visant à "l'aider" selon ton point de vue
Je suis encore d'accord avec toi sur ce point, mais si l'on parle du passé. Par le passé, j'ai pensé que je pouvais l'aider, et j'ai pensé que je l'aidais même, mais comme tu le dis, et tu as raison, c'était mon point de vue, et non le sien. En se replaçant au présent, j'ai maintenant compris que la meilleure façon pour moi de l'aider, peu importe pour quoi, c'est de ne pas l'aider. Elle a sûrement plusieurs choses à comprendre, mais elle doit les comprendre seule, à son rythme, et dans ses moments à elle, non aux miens. Actuellement, je ne l'aide plus, dans le sens où je pensais le faire avant. Je préfère la laisser se planter, faire des erreurs, et en tirer (ou non d'ailleurs) des leçons toute seule, parce que d'essayer de lui éviter de faire des erreurs, finalement, a été et serait encore complètement contre-productif, et pour elle, et pour moi.

The_PoP a écrit :Voilà, j'imagine que ce n'est pas évident à lire. Et une fois encore j'ai pris le parti de te répondre en "oubliant" le côté médical de tes problèmes ce qui donne forcément un conseil très partiel.
Dans tous les cas, je tiens compte de tout conseil que l'on peut me donner. Même si ce n'est pas totalement impartial ou objectif, ce n'est pas pour autant que c'est dénué de valeur, au contraire. Si je peux me servir de tes expériences et de tes conseils pour les adapter à ma situation et à mes expériences, je le ferai sans hésiter. Et je ne suis pas venu poster ici pour avoir du réconfort ou pour que les gens aille dans le sens où je voudrais qu'ils aillent, bien au contraire. Je prends ce qu'on me dit de manière la plus objective possible, et je sais que tu as pris le temps de me lire, de me répondre, de lire encore mes réponses, et que tu fais tout ça simplement dans le but de m'aider, alors qu'on ne se connait même pas. Alors je ne peux que te dire merci pour l'aide que tu m'apporte. Je demande des points de vue extérieurs, des points de vue que je n'ai pas forcément ou auxquels je n'ai pas forcément pensé, et c'est ce que je trouve ici.


Après, quoi que je fasse de toute façon, et c'est un peu le charme de la vie finalement, je le fais en prenant dans le même temps le risque de me tromper. Et si même après avoir fait une erreur je finis par la refaire quand même, alors tant pis, je la ferai encore et encore jusqu'à ce que je finisse par comprendre pourquoi je la fais.
Salut a toi, je n'ais pas lu tous les messages et j'ai un peu survoler ton topic, mais j'aimerais rebondir sur ta maladie puisque certains points me paraissent relativement étrange. Je suis atteint d'une maladie de Crohn diagnostiqué a mes vingts ans.

J'ai connue exactement les même symptôme que toi pendant a peu prés deux ans de galère sans qu'on puisse trouver la cause ou un traitement adapté, jusqu'a ce qu'un medecin décide de me prendre en main. Tous ce que tu dis est évocateur de cette maladie et je ne sait pas si c'est dejà fait de ton côté, mais si ce n'est pas le cas, il faut que tu pousse le personnel médical a te faire passer une coloscopie.

Après des années difficile et de nombreux traitement, on m'injecte tous les deux mois un produit agressif mais particulièrement efficace et combatif. A ce jour, je subit des douleurs abdominal et de la fatigue fréquente mais je n'ais plus aucune diarrhée et je peux vivre correctement. Tous les patient qui prennent ce produit et avec qui j'ai pu discuter a l’hôpital durant des années décrivent les même symptômes que tu as.

Pour ce qui est de la dépression, je pense qu'il faudrait juste que tu largue ta copine, une relation fraîche et passionnelle avec une femme, c'est le meilleur moyen de te sortir de la dépression, et c'est beaucoup plus efficace que tu Xanax ou de l'Effexor, courage mon amis.
sebz9999 a écrit :Salut a toi, je n'ais pas tous lu tous les messages et j'ai un peu survoler ton topic, mais j'aimerais rebondir sur ta maladie puisque ça me paraît relativement étrange. Je suis personnellement atteint d'une maladie de Crohn diagnostiqué a mes vingts ans.

J'ai connue exactement les même symptôme que toi pendant a peu prés deux ans de galère sans qu'on puisse trouver la cause ou un traitement jusqu’à ce qu'un médecin décide de prendre les choses en main. Tous ce que tu dis est évocateur de cette maladie et je ne sait pas si c'est dejà fait de ton côté, mais peut-être que tu devrait pousser le personnel médical a te faire passer un examen : seul l'examen coloscopique peut révéler cette maladie avec fiabilité.

Après des années difficile et de nombreux traitement, on m'injecte a l’hôpital, tous les deux mois, un produit agressif mais particulièrement efficace et combatif. A ce jour, je subit des douleurs abdominal et de la fatigue fréquente mais je n'ais plus aucune diarrhée et je peux vivre correctement. Tous les patient qui prennent ce produit et avec qui j'ai pu discuter a l’hôpital durant tout des années décrivent exactement les même symptômes que tu as.

Pour ce qui est de la dépression, je pense qu'il faudrait juste que tu largue ta copine, une relation fraîche et passionnelle avec une femme, c'est le meilleur moyen de te sortir de la dépression, et c'est beaucoup plus efficace que tu Xanax ou de l'Effexor, quitte a prendre des désillusions ou des coups avec certaines. Pour le reste, courage avec toi mon amis.
La maladie de crois est différente de la colopathie qui est plus un dérèglement de l intestin et de la flore intestinale ou du a une difficulté de digéré le lactose ou fructose ou gluten. (pour ce dernier ça peut être la maladie coeliaque)

La maladie de crohn est une inflammation, qui peut avoir des effet très néfaste sur le long terme. La colopathie peut s'atténuer rapidement si on trouve les aliments qui sont difficiles à digérer er que l'on adapte son régime alimentaire. La muqueuse est irritée pas inflammee. Sil y a du sang dans les selles il faut effectivement faire les examen approfondi, un coloscopie ne sert à rien dans une colopathie sauf à éliminer la maladie de crohn.
J'ai subit trois coloscopies et deux fibroscopie, qui ont justement permis de diagnostiquer la colopathie fonctionnelle en écartant notamment la maladie de Chron.


sebz9999 a écrit :Après des années difficile et de nombreux traitement, on m'injecte tous les deux mois un produit agressif mais particulièrement efficace et combatif. A ce jour, je subit des douleurs abdominal et de la fatigue fréquente mais je n'ais plus aucune diarrhée et je peux vivre correctement.
Cependant, si c'est possible, j'aimerais bien connaître le nom de ce produit pour pouvoir me renseigner dessus et s'il est possible de l'appliquer si l'on n'est pas dans le cadre d'un Chron ?

Parce que franchement, tant que les diarrhées disparaissent, je m'en fous si les douleurs restent, même si elles sont plus (+) présentes !

Je te remercie de ton message sebz !
Arawyn a écrit :J'ai subit trois coloscopies et deux fibroscopie, qui ont justement permis de diagnostiquer la colopathie fonctionnelle en écartant notamment la maladie de Chron.
Je me doutais bien que tu avais du passer ce type d'examen mais sait on jamais, le personnel médical est parfois défaillant même si c'est plutôt rare dans notre pays.
Arawyn a écrit :Cependant, si c'est possible, j'aimerais bien connaître le nom de ce produit pour pouvoir me renseigner dessus et s'il est possible de l'appliquer si l'on n'est pas dans le cadre d'un Chron ?
Malheureusement, il est quasiment certains que ce produit est inutile sur ton affection, il est utilisé dans la maladie de crohn, dans les rectocolite hémorragique et dans le traitement de l’arthrose. Ce traitement s'appelle le Rémicade et il est trés loin d'être inoffensif, mais la balance du bénéfice risque est largement acceptable par rapport a ce qu'il m'apporte.

Généralement, les pathologies intestinal sont aussi causé par des réactions psychologique, en particulier le stresse et le sommeil. Tu peux aussi te tourner vers l'alimentation en prenant un rendez-vous chez un nutritionniste, tu pourrais avoir un bénéfices important avec un régime alimentaire adapté. Enfin, je prend des cures de probiotique en pharmacie, ce sont des petites bactérie qui renforce la flore intestinal et les résultats sont là, a voir si cela pourrais t'apporter quelque chose dans ton cas. Tu peux aussi te tourner vers l'homéopathie, mais je pense que si tu travail sur ton sommeil, ton stresse et sur ton alimentation avec un professionnel, tu pourrais dejà avoir une amélioration notable, parle en avec ton médecin, c'est important.
Je me suis renseigné auprès d'un camarade infirmier. Ce n'est pas non plus sa spécialité (il est en chir'), mais il a été d'accors avec le pricipe d'un léger jeûne.

2-3 jours sans manger, puis réalimentation progressive, en réintroduisant un aliment à la fois: d’abords blé (pâtes basiques sans œufs et si possible sans gluten), pusi pâtes avec gluten, puis viande, laitages, œufs, levures, alimentes fermentés, épices etc

D'après lui, on peut être intolérant à un aliment sans y être à proprement parler allergique.

Et on peut être intolérant à plusieurs choses.

En cas de retour douloureux, reprendre l'alimentation avec l’aliment en question en moins et tester d'autres choses
olivier a écrit :Je me suis renseigné auprès d'un camarade infirmier. Ce n'est pas non plus sa spécialité (il est en chir'), mais il a été d'accors avec le pricipe d'un léger jeûne.

2-3 jours sans manger, puis réalimentation progressive, en réintroduisant un aliment à la fois: d’abords blé (pâtes basiques sans œufs et si possible sans gluten), pusi pâtes avec gluten, puis viande, laitages, œufs, levures, alimentes fermentés, épices etc

D'après lui, on peut être intolérant à un aliment sans y être à proprement parler allergique.

Et on peut être intolérant à plusieurs choses.

En cas de retour douloureux, reprendre l'alimentation avec l’aliment en question en moins et tester d'autres choses

Oui, l'idée du jeune me paraît bien, il faut que j'essaye en tout cas. Parce que, pour l'instant, au niveau alimentaire, j'ai fait plusieurs régimes, supprimé plusieurs aliments, mais un peu "en vrac", et je suis peut-être passé à côté d'une intolérance. Par contre, rester 2-3 jours sans manger, je l'ai déjà fait, et mes crises sont toujours là pendant cette période. Je vais me renseigner pour voir si je peux faire durer une période de jeune plus longtemps (4-5 jours). Il faudra que je sois bien organisé pour la réintroduction des aliments ! Histoire de ne pas passer à côté d'une possible intolérance cette fois.

Je te remercie de ton message et merci à ton pote infirmier !
Oui, l'idée du jeune me paraît bien, il faut que j'essaye en tout cas. Parce que, pour l'instant, au niveau alimentaire, j'ai fait plusieurs régimes, supprimé plusieurs aliments, mais un peu "en vrac", et je suis peut-être passé à côté d'une intolérance. Par contre, rester 2-3 jours sans manger, je l'ai déjà fait, et mes crises sont toujours là pendant cette période. Je vais me renseigner pour voir si je peux faire durer une période de jeune plus longtemps (4-5 jours). Il faudra que je sois bien organisé pour la réintroduction des aliments ! Histoire de ne pas passer à côté d'une possible intolérance cette fois.

Je te remercie de ton message et merci à ton pote infirmier !
En fait, c'est même préférable, mais beaucoup de gens sont effrayés par l'idée de ne pas manger plus de 2 jours. Et c'est à partir du 4° jour que le sentiment obsédant de faim à tendance à disparaître. (Après avoir sacrément culminé)

L’intérêt des petits jeûnes, c'est qu'il habitue le corps à ne pas réagir violemment au manque momentanée de nourriture.

Si tu as déjà pratiqué, ce sera plus facile.

Pour éviter les interactions entre ton ventre vide et la la nourriture de tes intestins, tu peux peut être pratiquer un lavement doux (poire à lavement+eau tiède légèrement salée) au début du jeûne ou la veille.

En effet, le jeûne augmentant les défenses et l'activité de l'organisme dans un premier temps, la réaction inflammatoire (qui est une défense) contre un produit non supporté peut augmenter avant de se stabiliser.

Une fois de plus, à toi de voir.

PS: En cas de jeûne, la réalimentation progressive est très importante. En général, on commence à manger une souple claire, la même qu'on a mangé la veille du dernier jour pendant la préparation au jeûne.

Dans ton cas, mon pote conseille plutôt des pâtes... mais ce n'est pas un spécialiste.

Documentes toi, et entoure toi de toutes les précautions valables si tu testes cette thérapeutique.
Je n'ais pas de grandes connaissances en médecine mais cela me paraît potentiellement risqué de pratiquer ce genre de chose sans un suivie médical extrêmement rapproché. Je pense que l'idéal serait que tu en parle avec ton médecin avant d'envisager quoi que ce soit, voir même penser a une hospitalisation pour le faire.
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