Après, j'en fréquente des gens. Encore hier soir, fête de la musique en petit groupe ovs; et en rentrant, dans le Noctilien, j'ai tapé la discute avec un jeune à qui j'avais demandé de quel quai le bus décollait. Sympa le gars, on a jacté un peu sur les nanas et sur le foot; et il m'a proposé d'échanger les nums aussi. Avant lui j'avais aussi abordé un set de quelques filles, assez jeunes mais plutôt pas mal physiquement, pour continuer quand-même à m'entraîner au "contact". Ca s'est un peu mieux passé qu'avec le duo de la veille: + de sourires, mais quand-même elles faisaient jeunes, un peu moins de 20 ans je dirais.
> Le truc, c'est que mes vrais amis savent depuis longtemps pour mes troubles psychiques, et m'ont toujours accepté avec. Ce sont aussi les seuls (avec mon équipe médicale et encadrante) qui me connaissent vraiment, et ont eu la patience et la curiosité de passer outre mes petits défauts comme le stress, l'anxiété, le manque de confiance... pour découvrir les autres facettes + positives de ma personnalité (comme l'humour, le côté énergique, curieux et motivé, ma sensibilité artistique...)Il t'apprécie, pourtant tu crées peu de liens d'amitié avec eux
Et puis, on se connait depuis le collège aussi. L'école, c'était un cadre beaucoup + propice et facile pour créer des liens comme ça. Avec la vie d'adulte, c'est + compliqué. On a des soucis + importants et prioritaires à gérer. Moins de temps libre aussi.
Je suis pas "légèrement", mais "beaucoup" + stressé et intimidé par les filles qui me plaisent. Ma flippe est d'ailleurs assez proportionnelle à mon attirance: + la fille m'attire, + la boule au ventre se fait sentir...
> Peur du rejet, peur de "mal faire", peur de la souler ou de passer pour un gars mal-intentionné (croyances limitantes, pensées ancrées super profond, façon "Inception"); et je crois que j'assume assez mal mon attirance physique et sexuelle à leur égard. L'impression de faire quelque chose de mal. J'ai pourtant réussi à passer outre ce sentiment lors des shows sur visio-cam et à me lâcher là-bas, mais en vrai face-à-face c'est autre chose.