L'autre qui se disqualifie en LTR
On ne s'entend pas bien sur le mot contrôle. Des synonymes seraient:
raideur, rationalisation exagérée, couper les cheveux en quatre.
C'est l'opposé du laisser-aller, du détendu.
Au vu de ce que tu nous dis de ton ex et de tes parents, ce n'est pas étonnant. Et ces traumatismes transparaissent dans ta façon d'écrire.
Ta réponse le montre bien que tu as besoin de contrôle:
Ta volonté que cela se passe en mp alors que ce sujet est fait justement pour t'aider. Ce sujet, c'est notre conversation avec toi. Ca fait depuis un bon moment qu'on accepte les aide perso. Et c'est même plus pertinent que le sujet soi ouvert parce qu'on marche en synergie pour te répondre. Chacun ici est suffisamment intelligent pour apporter sa pierre de manière pertinente.
Je ne réagis pas de manière négative, je ne suis pas en train de te juger. (quand je dis "je", je pourrais dire on ou nous, cela inclus les autres aussi)
Et je ne suis pas borderline. Tu n'as pas besoin d'être raide avec moi. Je suis juste en train d'essayer de t'aider réellement.
Parce que ça... Ca c'est le cœur de ton problème. Il n'est pas ailleurs.
Le fait que tes parents étaient un couple dysfonctionnel, le fait que ton ex était borderline, tous ces éléments sont absolument essentiels pour comprendre pourquoi, aujourd'hui, tu as des difficultés dans tes relations à long terme. Ton passé est partie intégrante du problème.
Et effectivement, on appuie clairement là où ça fait mal. Mais c'est pour ton bien.
raideur, rationalisation exagérée, couper les cheveux en quatre.
C'est l'opposé du laisser-aller, du détendu.
Au vu de ce que tu nous dis de ton ex et de tes parents, ce n'est pas étonnant. Et ces traumatismes transparaissent dans ta façon d'écrire.
Ta réponse le montre bien que tu as besoin de contrôle:
Ta volonté que cela se passe en mp alors que ce sujet est fait justement pour t'aider. Ce sujet, c'est notre conversation avec toi. Ca fait depuis un bon moment qu'on accepte les aide perso. Et c'est même plus pertinent que le sujet soi ouvert parce qu'on marche en synergie pour te répondre. Chacun ici est suffisamment intelligent pour apporter sa pierre de manière pertinente.
Je ne réagis pas de manière négative, je ne suis pas en train de te juger. (quand je dis "je", je pourrais dire on ou nous, cela inclus les autres aussi)
Et je ne suis pas borderline. Tu n'as pas besoin d'être raide avec moi. Je suis juste en train d'essayer de t'aider réellement.
Parce que ça... Ca c'est le cœur de ton problème. Il n'est pas ailleurs.
Le fait que tes parents étaient un couple dysfonctionnel, le fait que ton ex était borderline, tous ces éléments sont absolument essentiels pour comprendre pourquoi, aujourd'hui, tu as des difficultés dans tes relations à long terme. Ton passé est partie intégrante du problème.
Et effectivement, on appuie clairement là où ça fait mal. Mais c'est pour ton bien.
Vivre avec une personne borderline est un vrai parcours du combattant parce que lorsqu'elle est en crise, aucun raisonnement aussi cohérent et logique soit-il ne l'atteint. Tout dialogue rationnel devient impossible, la personne n'ayant alors plus accès aux repères habituels et plus aucun recul sur elle-même ni sur la situation ce qui donne aux interlocuteurs l'impression qu'elle est complètement illogique et hermétique.Ash a écrit :Quand je me retrouve face à une personne borderline en crise, oui, je cherche à comprendre, et "contrôler". Parce que si elle va "au fond du trou", perso, je n'ai aucune envie d'y aller. Mais elle tente de m'y emmener (la notion de contenant psychologique).
Quand la crise est passée, elle se souvient à peine de ce qu'elle a pu ressentir ou dire, donc là encore difficile d'en reparler de façon cohérente pour faire le point et anticiper sur un prochain épisode.
Le borderline est un état qui demande en effet des traitements et un soutien psychologique.
Souvent les personnes qui en souffrent n'ont pas conscience de cette nécessité car en dehors des crises, elles se sentent assez bien, ce sont souvent des personnes intelligentes et extrêmement attachantes mais leur vie sentimentale est chaotique, beaucoup de ruptures du fait de leurs changements d'humeur.
Pour les conjoints c'est très compliqué de gérer cela, car l'outil habituel qu'est le dialogue, ne marche pas et souvent enferme le couple dans un cycle infernal d'ambiguïtés au lieu d'établir compréhension et confiance comme c'est le cas en temps normal.
Vivre avec un borderline demande une patience d'ange et aussi d'accepter que ce ne pourra jamais être une relation ordinaire basée sur les codes standards de la communication.
Voilà pourquoi il est difficile de conseiller sur une relation de ce type.
Il existe des associations et aussi des forums d'entr'aide pour les proches qui échangent entre eux leurs vécus et leurs ressentis avec des personnes compétentes pour comprendre le fonctionnement intellectuel et émotionnel du borderline, les choses à faire, à ne pas faire etc...
En général, si l'on veut vivre avec une personne comme ça, on a intérêt à ne pas rester seul face à tous les problèmes que cela pose, c'est trop épuisant et déstabilisant à la longue.
Arf ... Je déteste quand il y a autant d'incompréhension ... Mais finalement, c'est peut-être une bonne chose que ça se passe dans ce sujet. On en rejoint une conclusion :
Ensuite, pour ma manière d'écrire. On m'a fait passer le message il y a un moment que mes posts étaient pertinents, mais bordéliques. Si je les formate, parfois à outrance c'est vrai, ce n'est pas le signe d'une rigidité intellectuelle, mais pour le plaisir de vos yeux. J'espère être quelqu'un d'ouvert aux critiques constructives des autres.
En temps normal, ce n'est pas un mécanisme que j'utilise sous cette forme ni à la même fréquence. C'est plus de la prévision que du contrôle. Même si effectivement, la notion associée derrière est une gestion du risque.
Après, je n'ai pas dit que vos retours n'étaient pas pertinents. D'après toi je vous ai "attaqué" ?
Qu'est-ce qui dans mes propos a généré cette incompréhension chez toi ?
Pour moi, le "coeur du problème", c'est que je ne sais pas "choisir" mes relations, ou que je suis trop compréhensif au début. Cellar Door m'a dit il y a un moment que je ne savais pas m'entourer. Sur le cas particulier de mes compagnes, il a raison. Ceci dit, je n'arrive pas encore à déterminer où je m'y prend mal. Enfin si, je le vois, mais c'est encore flou. Quelque part, on pourrait dire que "je les qualifie mal". Même si je n'aime pas l'exprimer comme cela, car il y a une notion de jugement qui me déplait là-dedans.
. Mais non ! Héhéhé 
Ces incompréhensions sont plutôt pertinentes dans le cadre de cette notion de qualification. Mon ressenti, c'est un peu "je ne me sens pas compris". Ash, je suppose que tu en as un du même genre, puisque tu insistes sur ta pensée ?
Déjà, je ne suis pas sur la défensive. Je prends plaisir dans cet échange, même si je ne vois pas l'intérêt de dresser mon profil psychologique, d'où ce que je dis pour les mps. Parce que faire mon profil psychologique, je m'y emploie quand nécessaire, c'est à dire quand je vis mal une situation. Et pour le faire, il faudrait plus que les quelques lignes que j'ai pu écrire sur FTS.Bref, dans l'idéal, il faut arriver à comprendre l'autre, et lui parler avec un langage qui lui est propre. Ce n'est pas forcément une chose simple car lors des périodes de "crises", la confiance peut diminuer et l'autre être moins à l'écoute.
Ensuite, pour ma manière d'écrire. On m'a fait passer le message il y a un moment que mes posts étaient pertinents, mais bordéliques. Si je les formate, parfois à outrance c'est vrai, ce n'est pas le signe d'une rigidité intellectuelle, mais pour le plaisir de vos yeux. J'espère être quelqu'un d'ouvert aux critiques constructives des autres.
Ça, je suis totalement d'accord avec toi. En phase d'insécurité uniquement. Je l'ai écris ainsi dans la première page :Ash a écrit :On ne s'entend pas bien sur le mot contrôle. Des synonymes seraient:
raideur, rationalisation exagérée, couper les cheveux en quatre.
C'est l'opposé du laisser-aller, du détendu.
Et c'est super nocif pour moi. D'où l'utilité de bien communiquer. Ce que je n'arrive pas forcément à bien faire alors. Ni ma compagne du moment.En ramenant à moi, et en croisant avec ce que j'ai pu lire des profils T, un des mécanismes de défense psychologique des xxTx est la rationalisation : Justification logique, mais artificielle, qui camoufle, à l'insu de celui qui l'utilise, les vrais motifs (irrationnels et inconscients) de certains de ses jugements, de ses conduites, de ses sentiments, car ces motifs véritables ne pourraient être reconnus sans anxiété.
Disons que rationaliser à outrance est le signe d'un problème, donc éventuellement de la non acceptation de ses pulsions. Autre lien
En temps normal, ce n'est pas un mécanisme que j'utilise sous cette forme ni à la même fréquence. C'est plus de la prévision que du contrôle. Même si effectivement, la notion associée derrière est une gestion du risque.
Traumatismes pour mes parents, tu y vas fort ... Je n'ai pas dit que ma famille était dysfonctionnelle. Je n'ai pas vu des parents tendres entre eux, ni qui se soutenaient comme je pense qu'il aurait été bon. Il y a bien pire hein ?Ash a écrit :Au vu de ce que tu nous dis de ton ex et de tes parents, ce n'est pas étonnant. Et ces traumatismes transparaissent dans ta façon d'écrire.
Sauf que je n'estime plus avoir besoin d'aide, sur ce sujet en particulier. J'entends ce que vous me dites sur le contrôle. Mais j'y ai déjà répondu en fait. Selon ce que je ressens, vous ne tapez pas là où ça fait mal, vous tapez à côté. C'est là où se situe mon incompréhension.Ash a écrit :Ta réponse le montre bien que tu as besoin de contrôle:
Ta volonté que cela se passe en mp alors que ce sujet est fait justement pour t'aider. Ce sujet, c'est notre conversation avec toi. Ca fait depuis un bon moment qu'on accepte les aide perso. Et c'est même plus pertinent que le sujet soi ouvert parce qu'on marche en synergie pour te répondre. Chacun ici est suffisamment intelligent pour apporter sa pierre de manière pertinente.
Après, je n'ai pas dit que vos retours n'étaient pas pertinents. D'après toi je vous ai "attaqué" ?
Je ne sais pas pourquoi tu as écris cela. Je ne l'ai pas mal pris. Au contraire, si j'ai écris un pavé, c'est que je me sentais en confiance.Ash a écrit :Je ne réagis pas de manière négative, je ne suis pas en train de te juger. (quand je dis "je", je pourrais dire on ou nous, cela inclus les autres aussi)
Et je ne suis pas borderline. Tu n'as pas besoin d'être raide avec moi. Je suis juste en train d'essayer de t'aider réellement.
Qu'est-ce qui dans mes propos a généré cette incompréhension chez toi ?
Tout à fait.Ash a écrit :Parce que ça... Ca c'est le cœur de ton problème. Il n'est pas ailleurs.
Le fait que tes parents étaient un couple dysfonctionnel, le fait que ton ex était borderline, tous ces éléments sont absolument essentiels pour comprendre pourquoi, aujourd'hui, tu as des difficultés dans tes relations à long terme. Ton passé est partie intégrante du problème.
Pour moi, le "coeur du problème", c'est que je ne sais pas "choisir" mes relations, ou que je suis trop compréhensif au début. Cellar Door m'a dit il y a un moment que je ne savais pas m'entourer. Sur le cas particulier de mes compagnes, il a raison. Ceci dit, je n'arrive pas encore à déterminer où je m'y prend mal. Enfin si, je le vois, mais c'est encore flou. Quelque part, on pourrait dire que "je les qualifie mal". Même si je n'aime pas l'exprimer comme cela, car il y a une notion de jugement qui me déplait là-dedans.
MerciAsh a écrit :Et effectivement, on appuie clairement là où ça fait mal. Mais c'est pour ton bien.

Ces incompréhensions sont plutôt pertinentes dans le cadre de cette notion de qualification. Mon ressenti, c'est un peu "je ne me sens pas compris". Ash, je suppose que tu en as un du même genre, puisque tu insistes sur ta pensée ?
AcrObate,
tu dis ne pas te sentir compris dans ces échanges. Sois sur que si on te répond c'est qu'on prend le temps de te lire et d'y réfléchir avant.
Ta problématique m'apparait compliquée et j'avoue que, personnellement je finis effectivement par ne plus comprendre ce que tu attends comme réponses..
Il est vrai que si on « tape toujours à coté », ça ne sert pas à grand chose mais je crois que chacun ici essaye de répondre du mieux qu'il peut et en fonction de ce qu'il parvient à comprendre.
Chacun possède sa grille de lecture et en fonction de cela émet un avis avec le risque de tomber à coté, difficile de faire autrement sur un forum.
tu dis ne pas te sentir compris dans ces échanges. Sois sur que si on te répond c'est qu'on prend le temps de te lire et d'y réfléchir avant.
Ta problématique m'apparait compliquée et j'avoue que, personnellement je finis effectivement par ne plus comprendre ce que tu attends comme réponses..
Il est vrai que si on « tape toujours à coté », ça ne sert pas à grand chose mais je crois que chacun ici essaye de répondre du mieux qu'il peut et en fonction de ce qu'il parvient à comprendre.
Chacun possède sa grille de lecture et en fonction de cela émet un avis avec le risque de tomber à coté, difficile de faire autrement sur un forum.
C'est tout à fait ça, au niveau de mon ressenti. Imagine avec une personne comme moi qui a plutôt une "logique mathématique" ?Sclavie a écrit :Vivre avec une personne borderline est un vrai parcours du combattant parce que lorsqu'elle est en crise, aucun raisonnement aussi cohérent et logique soit-il ne l'atteint. Tout dialogue rationnel devient impossible, la personne n'ayant alors plus accès aux repères habituels et plus aucun recul sur elle-même ni sur la situation ce qui donne aux interlocuteurs l'impression qu'elle est complètement illogique et hermétique.
Sclavie a écrit :Quand la crise est passée, elle se souvient à peine de ce qu'elle a pu ressentir ou dire, donc là encore difficile d'en reparler de façon cohérente pour faire le point et anticiper sur un prochain épisode.
Je n'ai jamais croisé une personne comme mon ex. En phase normale, elle a tout pour elle. Ça participe aussi à une idéalisation possible et le one itis qui peut en découler si on n'y fait pas attention. Et même si tu y fais attention, tu n'es pas à l'abri ...Sclavie a écrit :Le borderline est un état qui demande en effet des traitements et un soutien psychologique.
Souvent les personnes qui en souffrent n'ont pas conscience de cette nécessité car en dehors des crises, elles se sentent assez bien, ce sont souvent des personnes intelligentes et extrêmement attachantes mais leur vie sentimentale est chaotique, beaucoup de ruptures du fait de leurs changements d'humeur.
La fameuse communication paradoxale ...Sclavie a écrit :Pour les conjoints c'est très compliqué de gérer cela, car l'outil habituel qu'est le dialogue, ne marche pas et souvent enferme le couple dans un cycle infernal d'ambiguïtés au lieu d'établir compréhension et confiance comme c'est le cas en temps normal.
Arf ... Une patience d'ange, oui ...Sclavie a écrit :Vivre avec un borderline demande une patience d'ange et aussi d'accepter que ce ne pourra jamais être une relation ordinaire basée sur les codes standards de la communication.
Ceci dit, ce trouble est codifié et facilement décodable pour un esprit "rationnel". Sinon les psys ne guériraient pas leurs patients. Mais jouer avec ces codes, c'est de la manipulation. A titre perso, je m'y refuse.
Se protéger en phase down et poser des limites. Mais ... c'est triste.Sclavie a écrit :Voilà pourquoi il est difficile de conseiller sur une relation de ce type.
Je connais bien.Sclavie a écrit :Il existe des associations et aussi des forums d'entr'aide pour les proches qui échangent entre eux leurs vécus et leurs ressentis avec des personnes compétentes pour comprendre le fonctionnement intellectuel et émotionnel du borderline, les choses à faire, à ne pas faire etc...
Ça dépend de la personne en fait. Tout est une histoire de sortie de déni.Sclavie a écrit :En général, si l'on veut vivre avec une personne comme ça, on a intérêt à ne pas rester seul face à tous les problèmes que cela pose, c'est trop épuisant et déstabilisant à la longue.
Ah mais j'en suis convaincuSclavie a écrit :tu dis ne pas te sentir compris dans ces échanges. Sois sur que si on te répond c'est qu'on prend le temps de te lire et d'y réfléchir avant.


Ben en fait, c'est "j'attendais". Le post initial date d'avril. En quatre mois j'ai eu le temps de cogiterSclavie a écrit :Ta problématique m'apparait compliquée et j'avoue que, personnellement je finis effectivement par ne plus comprendre ce que tu attends comme réponses..

Pas de soucis. Et je le redisSclavie a écrit :Il est vrai que si on « tape toujours à coté », ça ne sert pas à grand chose mais je crois que chacun ici essaye de répondre du mieux qu'il peut et en fonction de ce qu'il parvient à comprendre.
Chacun possède sa grille de lecture et en fonction de cela émet un avis avec le risque de tomber à coté, difficile de faire autrement sur un forum.

C'est quelque chose que j'ai senti en te lisant. C'est de l'ordre de l'émotionnel.Je ne sais pas pourquoi tu as écris cela. Je ne l'ai pas mal pris. Au contraire, si j'ai écris un pavé, c'est que je me sentais en confiance.
Qu'est-ce qui dans mes propos a généré cette incompréhension chez toi ?
Je me suis peut-être trompé.
Je suis du genre empathique, j'absorbe les émotions comme une éponge. En général, je ne me trompe pas trop, même si c'est parfois difficile de mettre des mots sur ce que je ressens.
Au moins là dessus on ne s'était pas trompé. J'avais bien senti ce que tu décris. Et je pense que Lucie a vu la même chose.Disons que rationaliser à outrance est le signe d'un problème, donc éventuellement de la non acceptation de ses pulsions. Autre lienEn ramenant à moi, et en croisant avec ce que j'ai pu lire des profils T, un des mécanismes de défense psychologique des xxTx est la rationalisation : Justification logique, mais artificielle, qui camoufle, à l'insu de celui qui l'utilise, les vrais motifs (irrationnels et inconscients) de certains de ses jugements, de ses conduites, de ses sentiments, car ces motifs véritables ne pourraient être reconnus sans anxiété.
Et c'est super nocif pour moi. D'où l'utilité de bien communiquer. Ce que je n'arrive pas forcément à bien faire alors. Ni ma compagne du moment.
En temps normal, ce n'est pas un mécanisme que j'utilise sous cette forme ni à la même fréquence. C'est plus de la prévision que du contrôle. Même si effectivement, la notion associée derrière est une gestion du risque.
A aucun moment, on ne s'est senti attaqué. Rassure-toi.Sauf que je n'estime plus avoir besoin d'aide, sur ce sujet en particulier. J'entends ce que vous me dites sur le contrôle. Mais j'y ai déjà répondu en fait. Selon ce que je ressens, vous ne tapez pas là où ça fait mal, vous tapez à côté. C'est là où se situe mon incompréhension.
Après, je n'ai pas dit que vos retours n'étaient pas pertinents. D'après toi je vous ai "attaqué" ?
Qu'est-ce que tu entends par: "je les qualifie mal"?Pour moi, le "coeur du problème", c'est que je ne sais pas "choisir" mes relations, ou que je suis trop compréhensif au début. Cellar Door m'a dit il y a un moment que je ne savais pas m'entourer. Sur le cas particulier de mes compagnes, il a raison. Ceci dit, je n'arrive pas encore à déterminer où je m'y prend mal. Enfin si, je le vois, mais c'est encore flou. Quelque part, on pourrait dire que "je les qualifie mal". Même si je n'aime pas l'exprimer comme cela, car il y a une notion de jugement qui me déplait là-dedans.
Il super intéressant ton outil Sclavie. En fait, je n'avais vraiment pas compris comment l'utiliser, ma réponse d'alors l'illustrant très bien.Sclavie a écrit :l'outil que je t'ai proposé m'a paru intéressant en ce sens mais peut-être mal-venu?
Merci beaucoup Sclavie

Je ne pense pas que tu te sois trompé. J'ai mal communiqué.Ash a écrit :C'est quelque chose que j'ai senti en te lisant. C'est de l'ordre de l'émotionnel.
Je me suis peut-être trompé.
Je suis du genre empathique, j'absorbe les émotions comme une éponge. En général, je ne me trompe pas trop, même si c'est parfois difficile de mettre des mots sur ce que je ressens.
En comprenant l'outil de Sclavie, je pense identifier cette incompréhension. Je viens de me relire. En fait, je parle de souffrances passées, mais en utilisant le temps du présent. Maintenant tout de suite, ces souffrances ne me font pas mal. Mais le fait d'en parler au présent peut laisser croire que j'y fais attention maintenant. Et donc, que je suis actuellement dans le contrôle. Je suis dans le présent, je parle dans le présent, mais je fais référence à du passé. J'ai mal communiqué ... Très intéressant à savoir par rapport à cette notion de disqualification, parce que mon message n'est finalement pas celui que je veux faire passer.
Je te comprends bien pour cette notion d'empathie.
A ma lecture dans ce post, ou dernièrement dans les autres ?Ash a écrit :Au moins là dessus on ne s'était pas trompé. J'avais bien senti ce que tu décris. Et je pense que Lucie a vu la même chose.
CoolAsh a écrit :A aucun moment, on ne s'est senti attaqué. Rassure-toi.

Eeeuuhhh ... Justement, c'est une réflexion en cours ... C'est flou. Pour tenter de préciser, je dirai que j'identifie mal leurs qualités/défauts (ça ne me plait pas de l'écrire comme ça ...) et la compatibilité avec mes qualités/défauts. En même temps, tomber amoureux, il n'y a pas que ça ... C'est une alchimie ... Sincèrement, c'est pas que je ne veux pas dire, mais là je me cherche.Ash a écrit :Qu'est-ce que tu entends par: "je les qualifie mal"?
Limite, quitte à poser une question conne, ce serait "comment tombez-vous amoureux ?" ou "comment écartez-vous une prétendante ?"
No problem ;)Acrobate :
C'est tout à fait ça, au niveau de mon ressenti. Imagine avec une personne comme moi qui a plutôt une "logique mathématique" ? Image (Je te charrie Lucie, mais je ne le veux pas méchant Image )
IdemAsh :
Je suis du genre empathique, j'absorbe les émotions comme une éponge. En général, je ne me trompe pas trop, même si c'est parfois difficile de mettre des mots sur ce que je ressens.
Yep !Ash :
Au moins là dessus on ne s'était pas trompé. J'avais bien senti ce que tu décris. Et je pense que Lucie a vu la même chose.
Il y a un truc que je trouve assez tordu Acrobate (on ne va pas te lâcher AHAHA

"Non mais vous répondez à côté, cherchez encore, la réponse est ailleurs."

Tu nous indiques même le chemin : "Tapez de ce côté-là"
Ça c'est bien tordu.
Je n'ai pas l'intention de chercher plus loin pour ma part, parce que d'1), il est grand temps que je passe plus de temps IRL que sur ce forum et parce que 2), ça risque de prendre du temps de démêler tout ça.
Voilà, bonne journée !

doublon