Journal d'un noob!
Coucou!
Révisions et une partie de LoL avec un pote. Il a afk au bout de trois minutes. On a gagné, j'ai fait du 24/0/1 avec LeBlanc. Ca remonte le moral!
A quand ce tournoi?
Révisions et une partie de LoL avec un pote. Il a afk au bout de trois minutes. On a gagné, j'ai fait du 24/0/1 avec LeBlanc. Ca remonte le moral!
A quand ce tournoi?
J'ai passé trois heures avec Orignac.
Son copain est venu ce matin la voir. Depuis 100 kilomètres. Elle l'a rejoint à la gare. Et là, elle a refusé de l'embrasser. Ils ont longuement parlé tous les deux, notamment par rapport à ses sentiments à elle et à ce qu'il lui a dit lundi dernier, à savoir des propos passablements dégradants. Apparement, il était en mode pleurs. Je le comprend très bien...
Je peux donc en conclure qu'ils ne sont plus ensemble. Qu'est-ce que cela présage? J'ai remarqué aussi que par jeu elle aime bien garder le contact avec moi, en me tenant la main pour m'empêcher de la chatouiller. Serait-ce des signes d'interêt? Mystère et boule de gomme.
Une chose est certaine, je vais rester moi-même et pas calculer comme d'habitude. J'y vais franchement. Avec détente et plaisir.
Son copain est venu ce matin la voir. Depuis 100 kilomètres. Elle l'a rejoint à la gare. Et là, elle a refusé de l'embrasser. Ils ont longuement parlé tous les deux, notamment par rapport à ses sentiments à elle et à ce qu'il lui a dit lundi dernier, à savoir des propos passablements dégradants. Apparement, il était en mode pleurs. Je le comprend très bien...
Je peux donc en conclure qu'ils ne sont plus ensemble. Qu'est-ce que cela présage? J'ai remarqué aussi que par jeu elle aime bien garder le contact avec moi, en me tenant la main pour m'empêcher de la chatouiller. Serait-ce des signes d'interêt? Mystère et boule de gomme.
Une chose est certaine, je vais rester moi-même et pas calculer comme d'habitude. J'y vais franchement. Avec détente et plaisir.
Dernier soir de folie. Je vais arrêter de me coucher à cette heure là.
J'ai commencé par GoT. Ensuite, je suis allé dans la chambre d'une fille du bâtiment voisin. On a travaillé jusque minuit. Elle rigole tout le temps à mes blagues, hésite pas à me toucher et est superbe. MAIS, fidèle à mes résolutions, je n'agit que sur ce que je veux. Je ne voulais pas tenter quoi que ce soit. Je n'ai donc rien fait.
De minuit à une heure, je vais dans la chambre de Clara. J'aime parler de sexe à présent, j'ai remarqué. Chose que je ne faisais pas il y a une semaine. Je me sens mieux dans ma peau, depuis que je fais ca. Avant, j'avais une sorte de malaise, je trouvais injuste que je fasse des blagues de sexe tout en étant puceau. C'était un bon moment, pas de pression non plus. Par contre, j'ai l'intime conviction qu'il sera possible de faire un truc avec elle un jour. Il faut préparer le terrain, dans la bonne humeur.
De 1 H à 1H10, je vais dans la chambre d'une espagnole. On parle un peu, elle rigole beaucoup elle aussi. Décidément, je suis quelqu'un de drôle. J'ai une blagounette d'ailleurs:
"Pourquoi y a-t-il beaucoup de célibataire à Dijon? Parce que l'amour tarde! L'amour tarde de Dijon"!
J'ai aussi compris que je n'ai pas besoin de séduire pour être heureux. Rien que le fait de parler avec ces trois filles pendant des heures me fait du bien. Je vais continuer d'augmenter mon réseau social. C'est tellement agréable. Vivre sans pression. Si il y a du feeling, si je n'ai pas besoin de forcer, j'y vais. Naturellement.
Enfin, on m'a fait remarqué que j'étais très tactile. J'ai pris l'habitude de toucher souvent les gens, en leur faisant la bise, en leur parlant tout simplement.
On m'a aussi dit que je n'étais pas timide. Ca m'a fait exploser de rire.
Et a présent je vais me coucher, je pense.
Salut!
J'ai commencé par GoT. Ensuite, je suis allé dans la chambre d'une fille du bâtiment voisin. On a travaillé jusque minuit. Elle rigole tout le temps à mes blagues, hésite pas à me toucher et est superbe. MAIS, fidèle à mes résolutions, je n'agit que sur ce que je veux. Je ne voulais pas tenter quoi que ce soit. Je n'ai donc rien fait.
De minuit à une heure, je vais dans la chambre de Clara. J'aime parler de sexe à présent, j'ai remarqué. Chose que je ne faisais pas il y a une semaine. Je me sens mieux dans ma peau, depuis que je fais ca. Avant, j'avais une sorte de malaise, je trouvais injuste que je fasse des blagues de sexe tout en étant puceau. C'était un bon moment, pas de pression non plus. Par contre, j'ai l'intime conviction qu'il sera possible de faire un truc avec elle un jour. Il faut préparer le terrain, dans la bonne humeur.
De 1 H à 1H10, je vais dans la chambre d'une espagnole. On parle un peu, elle rigole beaucoup elle aussi. Décidément, je suis quelqu'un de drôle. J'ai une blagounette d'ailleurs:
"Pourquoi y a-t-il beaucoup de célibataire à Dijon? Parce que l'amour tarde! L'amour tarde de Dijon"!
J'ai aussi compris que je n'ai pas besoin de séduire pour être heureux. Rien que le fait de parler avec ces trois filles pendant des heures me fait du bien. Je vais continuer d'augmenter mon réseau social. C'est tellement agréable. Vivre sans pression. Si il y a du feeling, si je n'ai pas besoin de forcer, j'y vais. Naturellement.
Enfin, on m'a fait remarqué que j'étais très tactile. J'ai pris l'habitude de toucher souvent les gens, en leur faisant la bise, en leur parlant tout simplement.
On m'a aussi dit que je n'étais pas timide. Ca m'a fait exploser de rire.
Et a présent je vais me coucher, je pense.
Salut!
Non, être interne est beaucoup plus éprouvant que la PACES.Et comment! Je veux dire, ce sera dix ans de pur bonheur. Après la PACES, les soirées! Jusqu'à la fin de mon cursus!
Gwahahahaha!

Tu viens de ruiner tous mes efforts pour avoir le moral positif.
Bonsoir tout le monde.
Il est tard. Moins tard qu'hier, mais tard. Cependant, il faut que j'écrive cet article, avant que ma mémoire ne sature.
Nous allons commencer par quelques remémorations de mon passé.
Mais ce n'était pas de l'amour. Cela ne compte pas.
Quand on regarde ces différents récits, on se rend compte que j'ai pris beaucoup plus d'assurance au fil du temps. Je n'ai plus demandé comme à Tiphaine de sortir, j'ai directement embrassé. Je n'ai plus fait mon needy, je ne montrais pas que j'avais besoin d'amour. Quand Alexia et moi c'était finit, au final, j'étais revenu à la case "morosité et tristesse permanente".
J'ai gagné en confiance. Je me sens bien dans mes baskets, à présent. Une fille ne me met plus mal à l'aise. Je suis à l'aise avec les gens, alors qu'en quatrième j'étais très réservé, timide, et laid.
Aujourd'hui, c'est moi qui va vers les gens, les incite à sortir, à venir me voir, à venir voir les gens. Je connais tout le monde dans le résidence, tout le monde connaît mon nom, et je ne connais pas tous les noms. J'en rencontre encore tous les jours. Des nouvelles espagnoles. Des nouveaux noirs. Des nouvelles têtes quoi.
J'ai fait un énorme progrès. Je suis en pleine acquisition d'une preuve sociale importante. Les gens m'attendent pour sortir. On me demande si je viens à telle soirée. Si je peux faire les courses avec elle. C'est agréable. Je suis l'ami de tout le monde.
La seule chose qui perdure depuis ma première expérience, c'est le fait d'être l'ami de tout le monde. Y compris de celles que je veux mettre dans mon lit. Et pourtant, cela ne me rend pas triste. Je suis heureux d'être ami avec tout le monde, à l'heure actuelle. Passer une heure à rigoler dans la chambre d'une fille me rend aussi heureux que passer une heure à l'embrasser. L'amour n'est pas réellement nécessaire. Enfaite, tant que je penserai qu'il est nécessaire, c'est que quelque chose cloche. Il faut s'aimer pour que les autres nous aiment.
Ainsi, j'en vient à la conclusion que je dois continuer sur ma voie. C'est à dire, étendre mes relations, et me bâtir peu à peu une vie autre que League of Legends. Le sport. La culture. Sortir de ma zone de confort, comme à l'église protestante.
Je trouverai une fille au moment où je ne m'y attend le moins. Je n'ai pas envie de "forcer", le jeu n'en vaut pas la chandelle. Si il y a le feeling, cela passe tout seul. Si il n'y a pas de feeling, autant ne pas me donner de peine et profiter malgré tout de la présence d'une amie.
J'ai enfin compris ce que je veux. Je ne veux pas une copine. Non. Je suis bien sans, actuellement. Je veux être heureux. Et pour l'être, il faut que je satisfasse mes désirs. Je désire être l'ami de tout le monde.
Il est tard. Moins tard qu'hier, mais tard. Cependant, il faut que j'écrive cet article, avant que ma mémoire ne sature.
Nous allons commencer par quelques remémorations de mon passé.
Cela était ma première expérience avec les femmes. C'est la première fois où j'ai réussit à séduire une fille. Réussit ou pas, je ne sais pas. Mais ca a plus ou moins marché.Il était une fois... Un petit Kangou, en 4ème. Lors de la rentrée, j'ai été placé en SVT à côté d'une fille nommée Tiphaine. Cette fille était à la beauté incroyable à mes yeux. Des cheveux d'un noir ténébreux et agréable, des lèvres sensuels promptes à sourire, des courbes joliement dessinées. Elle était, à mes yeux, une pure canon.
J'avais le don de la faire rire. Je la faisais rire, pendant longtemps. Mais sans plus. Je n'allais pas lui parler pendant les pauses, je me contentais de lui parler en cours. Je m'en satisfaisais, parce que un minable comme moi ne méritait rien de mieux que de fantasmer.
Puis arriva notre voyage à Paris. A ce moment là, j'ai commencé à me rapprocher d'elle. Je l'ai charmé. Je l'ai séduite, réellement. J'allais vers elle, lui soufflait une blague salace et repartait voir mes potes, la tête haute, le sourire aux lèvres. Je lui insufflait le chaud et le froid. Je l'ai dragué.
Puis vint le moment où ses amies vinrent me voir. Elles me dirent toutes de lui demander de sortir avec moi, qu'elle attendait que cela. L'une d'elle s'appele Elodie, j'y reviendrai par la suite.
J'avais confiance en moi, je pensais que si ses copines me le disaient, c'est qu'elles étaient sures. J'allait donc la voir, après une croisière sur la Seine. Je lui demandai si elle voulait sortir avec moi. Elle paraissait gênée, timide, mal à l'aise. Je la regardai fixement, tendu, dans l'attente du verdict. Elle me dit qu'il lui fallait du temps pour y réfléchir. Pendant le chemin de retour, je continuai de lui parler, j'essayai de la convaincre, je la suppliai presque.
Pendant deux jours, elle y réfléchit. J'étais stressé, sous l'épée de Damoclès.
Puis vint sa décision. Non. C'était sa réponse. J'en pleurai. Je chialais dans les bras d'une amie qui jouait de la flûte, qui me disait que ca passera, que ca ira.
Après cet épisode, je me sentit triste. Je réiterai ma demande régulièrement, et je me pris au total 9 râteaux. C'était assez marrant pour les autres. Lol.
Et un jour, sans que je m'y attende, elle me demanda de la rejoindre dans une salle à côté du CDI. Je l'y rejoint. Et là, elle accepta de sortir avec moi. Elle me disait qu'elle m'avait aimé en début d'année, mais que puisque je ne manifestai rien elle était passée à autre chose. Puis qu'elle ressentait à présent quelque chose pour moi.
Notre relation dura trois jours. Mon premier baisé me fut accordé. J'étais content, et j'avais arrêté la masturbation devant les magazines Union pendant trois jours.
Puis elle me dit qu'elle préfère qu'on reste amis. Ce fut terminé entre nous. On est resté amis, comme elle le voulait. J'en étais heureux, d'ailleurs, puisque c'est une fille géniale.
Un an plus tard, en troisième. Je me suis rapproché d'une fille qui s'appelle Elodie, la meilleure amie de Tiphaine. Après le sport, en sueur et des gouttes d'eau sur mon pull acheté au marché, je vint lui demander sa main. Elle me dit non. Je partit dépité. On est resté amis. Jusqu'à la fin de l'année du moins.
La même année, j'avais pour rituel pendant deux mois de parler à une fille à la sortie du collège, en attendant les bus. J'étais dans sa classe en 5ème, et ca me faisait plaisir de lui parler. Elle était une sacré cochonne, je parlais donc beaucoup de sexe. Avec elle, on rigolait.
J'appris au bout d'un moment qu'elle voulait sortir avec moi. J'acceptai. Pendant deux jours, on est sortit ensemble. Elle avait des formes, mais n'était pas extra pour les autres. Beaucoup se foutaient de ma gueule. Et de la sienne. D'autres me disaient que si elle me plait, c'est le plus important. Mais je la lâchai. Je la revit un an plus tard; et elle était d'une beauté... Pfiou.
Ce fut le premier véritable coup de coeur que j'eut. Et le dernier, à ce jour. Depuis cette rupture, je n'ai plus jamais été le même. Ma mère me l'a dit, je ne l'ai pas cru, et pourtant c'était vrai.Mon expérience suivante se produisit en seconde. En octobre, je me suis rapproché d'une fille de ma classe. Elle s'appellait Caitlin, hollandaise, blonde, avec des très jolies formes. Je la trouvais attirante. Elle m'a callée dans sa FriendZone. Un jour, elle se pointa avec une haleine de fromage. Je compris qu'elle avait fait ca pour me dissuader d'être plus entreprenant. C'est bien son genre.
Elle m'invita à son anniversaire, et je rencontrai là bas Noémie. En l'espace d'un soir, on s'est rapproché, c'était un moment magique. Je la kiffais. J'étais tombé amoureux. Très amoureux.
Une semaine plus tard, pour mon anniversaire, elle m'embrassa. Pendant un mois, nous sommes restés ensemble. J'ai pu un jour toucher ses seins à travers son soutien george. Premier pas dans le monde du sexe, on va dire.
Le 3 janvier, elle m'annonce qu'elle veut qu'on reste amis. J'étais trop collant, needy, dépendant. Je cherchai à être rassuré en permanence. Pathétique.
Aujourd'hui, c'est une meilleure amie. Elle est aussi à Brest, en PACES, avec un an de plus.
Un mois après Noémie, je fut invité à un anniversaire par une fille rencontrée une fois. J'essayais de draguer une autre fille. Mais ca marchait pas, on était amis. Du coup, elle me demanda si je voulais sortir avec elle. Je lui ai dit non pendant une heure. Puis j'ai eut un coup de chaleur, je bandais, et j'ai dit oui. Elle dormit dans mes bras. Je ne l'ai pas baisé.
Techniquement, on était ensemble une semaine. Je me suis empressé de mettre un statut "en couple" sur FB.
Mais je ne suis jamais revenu la voir.
J'ai fait le tour. Ma dernière expérience vis à vis des femmes remonte à Coraline, la fille qui m'a initié au sexe. Avec qui j'ai failli coucher. Qui a proposé sa boîte à caca à un puceau.Dernière expérience de couple en date: c'était il y à quelques mois. Je suis sorti avec une fille du 1 février au 2 avril. Elle s'appelle Alexia. Je l'ai rencontré dans le bus. Après un rencard dans lequel on devait être quatre, on n'était plus que deux au final, pour aller voir au cinéma "Belle et Sébastien". Je passai rapidement mon bras autour d'elle. Puis je l'embrassai. On est allé manger une pizza, on a parlé et elle accepta de se mettre en couple avec moi.
Deux semaines plus tard, pour la St-Valentin, je l'invitai chez moi. On alla manger chinois dans mon canapé. Puis après une longue séance de bisous, elle enleva son haut. Et m'appris à défaire son soutien george. J'ai galéré.
J'ai pu toucher, sucer, masser à souhait sa belle poitrine. Petite mais ferme. Douce et chaude. Je sentais son plaisir monter petit à petit, et j'en étais heureux. J'adore donner du plaisir, de quelque manière qui soit. Je pense beaucoup aux autres.
On recommenca cela deux fois. Puis elle me dit par skype qu'elle veut rompre et qu'on reste amis. Je m'apprêtais à l'inviter chez moi et à conclure.
Aujourd'hui, c'est une de mes meilleures amies. On s'est revu récemment, elle m'a sauté dans les bras, faisant applaudir et sourire une brave mamie à côté, qui trouvait cette scène de retrouvaille touchante.
Mais ce n'était pas de l'amour. Cela ne compte pas.
Quand on regarde ces différents récits, on se rend compte que j'ai pris beaucoup plus d'assurance au fil du temps. Je n'ai plus demandé comme à Tiphaine de sortir, j'ai directement embrassé. Je n'ai plus fait mon needy, je ne montrais pas que j'avais besoin d'amour. Quand Alexia et moi c'était finit, au final, j'étais revenu à la case "morosité et tristesse permanente".
J'ai gagné en confiance. Je me sens bien dans mes baskets, à présent. Une fille ne me met plus mal à l'aise. Je suis à l'aise avec les gens, alors qu'en quatrième j'étais très réservé, timide, et laid.
Aujourd'hui, c'est moi qui va vers les gens, les incite à sortir, à venir me voir, à venir voir les gens. Je connais tout le monde dans le résidence, tout le monde connaît mon nom, et je ne connais pas tous les noms. J'en rencontre encore tous les jours. Des nouvelles espagnoles. Des nouveaux noirs. Des nouvelles têtes quoi.
J'ai fait un énorme progrès. Je suis en pleine acquisition d'une preuve sociale importante. Les gens m'attendent pour sortir. On me demande si je viens à telle soirée. Si je peux faire les courses avec elle. C'est agréable. Je suis l'ami de tout le monde.
La seule chose qui perdure depuis ma première expérience, c'est le fait d'être l'ami de tout le monde. Y compris de celles que je veux mettre dans mon lit. Et pourtant, cela ne me rend pas triste. Je suis heureux d'être ami avec tout le monde, à l'heure actuelle. Passer une heure à rigoler dans la chambre d'une fille me rend aussi heureux que passer une heure à l'embrasser. L'amour n'est pas réellement nécessaire. Enfaite, tant que je penserai qu'il est nécessaire, c'est que quelque chose cloche. Il faut s'aimer pour que les autres nous aiment.
Ainsi, j'en vient à la conclusion que je dois continuer sur ma voie. C'est à dire, étendre mes relations, et me bâtir peu à peu une vie autre que League of Legends. Le sport. La culture. Sortir de ma zone de confort, comme à l'église protestante.
Je trouverai une fille au moment où je ne m'y attend le moins. Je n'ai pas envie de "forcer", le jeu n'en vaut pas la chandelle. Si il y a le feeling, cela passe tout seul. Si il n'y a pas de feeling, autant ne pas me donner de peine et profiter malgré tout de la présence d'une amie.
J'ai enfin compris ce que je veux. Je ne veux pas une copine. Non. Je suis bien sans, actuellement. Je veux être heureux. Et pour l'être, il faut que je satisfasse mes désirs. Je désire être l'ami de tout le monde.
Coup de blues. J'hésite à me réorienter. La médecine c'est chiant. Trop de travail, pas assez interessant. Alors que l'histoire... Je kiffe!
Je ne sais que faire. Je suis perdu!
Je vais aller à la piscine me détendre et m'éclaircir les idées. J'espere y trouver mes réponses.
Je ne sais que faire. Je suis perdu!
Je vais aller à la piscine me détendre et m'éclaircir les idées. J'espere y trouver mes réponses.
Finalement, la journée a été bonne.
La piscine m'a détendu et fatigué. J'ai pu réviser quelques heures, et tenter la sieste.
Ensuite j'ai revu une fille que j'avais abordé dans la résidence. Du coup, j'ai mangé avec elle et une amie, et je l'ai présenté à beaucoup de gens.
Quand à Orignac, elle m'a caché un truc quand je suis allé dans sa chambre. Ce soir, on ira pour son anniversaire au bar. Elle m'a dit que ce truc est pour moi. Je ne sais pas ce que c'est; et je ne suis pas sur de vouloir le savoir.
Et une des filles avec qui je suis allé au cinéma me trouve très insistant et adore ca. Je pense qu'il y a moyen, mon ami aussi.
Bonne soirée dans l'ensemble. Ca promet.
La piscine m'a détendu et fatigué. J'ai pu réviser quelques heures, et tenter la sieste.
Ensuite j'ai revu une fille que j'avais abordé dans la résidence. Du coup, j'ai mangé avec elle et une amie, et je l'ai présenté à beaucoup de gens.
Quand à Orignac, elle m'a caché un truc quand je suis allé dans sa chambre. Ce soir, on ira pour son anniversaire au bar. Elle m'a dit que ce truc est pour moi. Je ne sais pas ce que c'est; et je ne suis pas sur de vouloir le savoir.
Et une des filles avec qui je suis allé au cinéma me trouve très insistant et adore ca. Je pense qu'il y a moyen, mon ami aussi.
Bonne soirée dans l'ensemble. Ca promet.
Coucou, toi.
Aujourd'hui, zero révisions. Irresponsable.
J'ai commencé en mangeant des pâtes avec des champignons Bien Vu meme pas cuits. Horrible.
Puis direction Ikea avec deux espagnoles. J'ai trouvé des truc pour ma chambre et un thermos.
Puis LeClerc avec une des deux et l'autre espagnole, Paula. Celle qui a un copain.
Elle reste proche de moi. Et à un moment, elle me tend sa joue et la pointe de son doigt. Je sais ce qu'elle veut. Je répond donc "No doy a las chicas lo que quieren". J'aurai peut-être du agir.
On rentre, je décharge tout et retourne voir Orignac. Puis on va au Subway fêter son anniversaire.
On finit dans un parc avec les même gens que jeudi dernier, comme Jésus. J'ai rencontré de nouvelles personnes, des gens sympas et amicaux.
Malgré tout, je ne sais pourquoi, j'ai encore eut ce coup de blues. Ce vide intérieur qui me rongeait. Alors que d'habitude je suis ouvert et sociable, me voilà au sommet du toboggan à ruminer par rapport à Orignac.
Pendant cette soirée, j'ai parlé avec une des filles du cinéma sur Facebook. Puis elle me donne son numéro. Puis elle me propose de boire un verre dans deux semaines. J'ai bien fait monter la pression, j'ai parlé avec franchise et sexe, j'ai adoré ce jeu là. J'ai donc un deuxième rencard! Avec une fille de 21 ans!
Puis on est rentré. Je suis allé voir Orignac dans sa chambre, et on a regardé des vidéos. Pas de signes d'interêt. Comme d'habitude. Elle n'a pas rompu avec son copain pour aller avec moi. Ca me rend triste, je pensais qu'elle me réservait une surprise. Elle a des yeux tellement magnifiques...
J'ai voulu depuis le début être amis avec tout le monde. Je dois donc forcément renoncer à certaines relations privilégiées. Malgré tout, ces relations privilégiées restent possible. Avec mon rencard ou Paula par exemple.
Et tout ca, sans faire de pêche dans la rue. J'ose pas, en faite.
Autre nouvelle: j'ai reparlé avec Coraline, après un mois de silence total. Je ne sais pas si il y a moyen que l'on fasse quelque chose, tous les deux. La dernière fois, j'ai bien réussit à bander. Je lui tapotais mon zizi tout dur sur son fessier. Je vais essayer d'orienter la conversation telephonique vers un possible truc ce week-end. A explorer.
Maintenant, je vais Dexter. Encore.
Dormez bien, amis terriens.
Aujourd'hui, zero révisions. Irresponsable.
J'ai commencé en mangeant des pâtes avec des champignons Bien Vu meme pas cuits. Horrible.
Puis direction Ikea avec deux espagnoles. J'ai trouvé des truc pour ma chambre et un thermos.
Puis LeClerc avec une des deux et l'autre espagnole, Paula. Celle qui a un copain.
Elle reste proche de moi. Et à un moment, elle me tend sa joue et la pointe de son doigt. Je sais ce qu'elle veut. Je répond donc "No doy a las chicas lo que quieren". J'aurai peut-être du agir.
On rentre, je décharge tout et retourne voir Orignac. Puis on va au Subway fêter son anniversaire.
On finit dans un parc avec les même gens que jeudi dernier, comme Jésus. J'ai rencontré de nouvelles personnes, des gens sympas et amicaux.
Malgré tout, je ne sais pourquoi, j'ai encore eut ce coup de blues. Ce vide intérieur qui me rongeait. Alors que d'habitude je suis ouvert et sociable, me voilà au sommet du toboggan à ruminer par rapport à Orignac.
Pendant cette soirée, j'ai parlé avec une des filles du cinéma sur Facebook. Puis elle me donne son numéro. Puis elle me propose de boire un verre dans deux semaines. J'ai bien fait monter la pression, j'ai parlé avec franchise et sexe, j'ai adoré ce jeu là. J'ai donc un deuxième rencard! Avec une fille de 21 ans!
Puis on est rentré. Je suis allé voir Orignac dans sa chambre, et on a regardé des vidéos. Pas de signes d'interêt. Comme d'habitude. Elle n'a pas rompu avec son copain pour aller avec moi. Ca me rend triste, je pensais qu'elle me réservait une surprise. Elle a des yeux tellement magnifiques...
J'ai voulu depuis le début être amis avec tout le monde. Je dois donc forcément renoncer à certaines relations privilégiées. Malgré tout, ces relations privilégiées restent possible. Avec mon rencard ou Paula par exemple.
Et tout ca, sans faire de pêche dans la rue. J'ose pas, en faite.
Autre nouvelle: j'ai reparlé avec Coraline, après un mois de silence total. Je ne sais pas si il y a moyen que l'on fasse quelque chose, tous les deux. La dernière fois, j'ai bien réussit à bander. Je lui tapotais mon zizi tout dur sur son fessier. Je vais essayer d'orienter la conversation telephonique vers un possible truc ce week-end. A explorer.
Maintenant, je vais Dexter. Encore.
Dormez bien, amis terriens.
Jeudi. Le jour de plaisir pour les étudiants.
Pas pour moi...
J'ai acheté un thermos à Ikéa hier. Après avoir mit mon thé bouillant dedans, quand je veux le boire dehors, je me trompe de trou et en verse sur mes lèvres, mon menton et mon torse. Lèvres craquelées, micro-cloques sur mon menton et le tout avec du rouge.
Je vais à la BU pour la première fois de ma vie. Beaucoup de filles sur des tables seules. Je vais y retourner régulièrement.
Je rentre et je croise plein de gens avec des bouteilles. Ca donne envie.
Je rentre dans la résidence et je vois les espagnoles me sauter dessus en m'invitant à sortir. Ca donne envie.
J'arrive à mon étage et je vois des gens détaler avec de l'alcool. Ca donne envie.
Je vais voir le 4ème étage du bâtiment d'à côté. Ils sont tous entrain de boire, et se préparent à aller en ville. J'ai failli succomber à la tentation. Putain de merde. Enfoirés d'étudiants.
J'ai placé un bisou sur la joue de Paula, je continue de draguer Clara, et j'ai rencontré encore d'autres gens.
Ma vie sexuelle est retournée au néant. J'ai arrêté le porno, cependant, depuis près de deux mois. Je suis fier de moi. Mais je n'ai pas eut d'occasion de tremper mon biscuit depuis un mois. Je suis pas fier de moi. Ca a l'air agréable, le sexe. Plus que Z+M.
J'ai aussi été tenté à nouveau de me réorienter. Finalement, après avoir vu les débouchés de la Fac d'histoire, non. Pas d'Indiana Jones pour un gars comme moi. Et je ne me vois pas journaliste. Je vais rester et réussir en médecine.
Avoir dit non aux sorties ce soir est un premier pas. Je vais à présent respecter mes engagements, et ma prochaine soirée de prévue est lundi soir. Puis jeudi de la semaine suivante. Petit à petit, l'écart entre chaque soirée augmente. Un sevrage progressif.
Parce que la PACES, c'est la mort. Je suis pis que mort.
Et voilà, ma fenêtre est ouverte, j'entend une bande de mec bourrés chanter. Les mecs du 4ème étage en plus. Ils sont finalement sortis.
Mon avenir me semblait tracé sans problème quand j'étais au lycée. Je me voyais passer ma PACES et sortir tous les soirs l'an d'après. Ce n'est pas si simple, quand on entend des gens cool rigoler et chanter la digue du cul.
A présent, je vais y aller. Pleurer sur mon sort.
Adieux, amis terriens.
Pas pour moi...
J'ai acheté un thermos à Ikéa hier. Après avoir mit mon thé bouillant dedans, quand je veux le boire dehors, je me trompe de trou et en verse sur mes lèvres, mon menton et mon torse. Lèvres craquelées, micro-cloques sur mon menton et le tout avec du rouge.
Je vais à la BU pour la première fois de ma vie. Beaucoup de filles sur des tables seules. Je vais y retourner régulièrement.
Je rentre et je croise plein de gens avec des bouteilles. Ca donne envie.
Je rentre dans la résidence et je vois les espagnoles me sauter dessus en m'invitant à sortir. Ca donne envie.
J'arrive à mon étage et je vois des gens détaler avec de l'alcool. Ca donne envie.
Je vais voir le 4ème étage du bâtiment d'à côté. Ils sont tous entrain de boire, et se préparent à aller en ville. J'ai failli succomber à la tentation. Putain de merde. Enfoirés d'étudiants.
J'ai placé un bisou sur la joue de Paula, je continue de draguer Clara, et j'ai rencontré encore d'autres gens.
Ma vie sexuelle est retournée au néant. J'ai arrêté le porno, cependant, depuis près de deux mois. Je suis fier de moi. Mais je n'ai pas eut d'occasion de tremper mon biscuit depuis un mois. Je suis pas fier de moi. Ca a l'air agréable, le sexe. Plus que Z+M.
J'ai aussi été tenté à nouveau de me réorienter. Finalement, après avoir vu les débouchés de la Fac d'histoire, non. Pas d'Indiana Jones pour un gars comme moi. Et je ne me vois pas journaliste. Je vais rester et réussir en médecine.
Avoir dit non aux sorties ce soir est un premier pas. Je vais à présent respecter mes engagements, et ma prochaine soirée de prévue est lundi soir. Puis jeudi de la semaine suivante. Petit à petit, l'écart entre chaque soirée augmente. Un sevrage progressif.
Parce que la PACES, c'est la mort. Je suis pis que mort.
Et voilà, ma fenêtre est ouverte, j'entend une bande de mec bourrés chanter. Les mecs du 4ème étage en plus. Ils sont finalement sortis.
Mon avenir me semblait tracé sans problème quand j'étais au lycée. Je me voyais passer ma PACES et sortir tous les soirs l'an d'après. Ce n'est pas si simple, quand on entend des gens cool rigoler et chanter la digue du cul.
A présent, je vais y aller. Pleurer sur mon sort.
Adieux, amis terriens.